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Michel Delpech : chanteur populaire et copte orthodoxe

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Academic year: 2022

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Par Constance Ledoux

Michel Delpech : chanteur populaire et copte orthodoxe

S’il aligne tube sur tube dans les années 60 et 70, il s’est fait plus rare depuis. Il a voyagé, déprimé, redécouvert l’amour et, de temps en temps, sorti un album… Et retrouvé la foi. Michel Delpech est l’invité du Festival de Pâques de Chartres, un événement chrétien.

Chanteur chrétien, Michel Delpech ? Un chanteur qui parle de Dieu dans ses chansons, un chanteur qui témoigne de sa foi, un chanteur qui s’adresse à un public chrétien ? L’auteur de Chez Laurette n’est rien de tout cela. Pourtant, il est chanteur populaire et chrétien. Il sera à l’affiche du Festival de Pâques de Chartres. Chaque année depuis quatre ans, une association de laïcs catholiques de la ville de Chartres organise pour Pâques un festival de musique à vocation œcuménique. Chanteurs chrétiens engagés s’y succèdent, depuis la chorale de gospel jusqu’aux groupes de rock, qui faisaient la une des journaux il y a encore quelques mois. Cette année, un « special guest ». « Je vais au Festival de Chartres en tant que chanteur populaire. C’est mon rôle de chanter pour les gens, qu’ils soient catholiques ou bouddhistes. Mais c’est vrai aussi que ça m’intéresse, je suis chrétien et chanteur », confie Michel Delpech.

Après les énormes succès de ses débuts (Wight is Wight ou Pour un flirt, par

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exemple) commence une longue période de morosité artistique et psychologique pour l’artiste. Il se tourne alors un temps vers le bouddhisme. En pleine période de doute, il écrit un ouvrage fortement inspiré de son expérience personnelle, L’homme qui avait bâti sa vie sur le sable. Il fait quelques réapparitions, comme en 1983, avec un 45 tours, Animaux, animaux. Toujours en 1983, il rencontre une artiste-peintre, Geneviève Garnier-Fabre, qu’il épouse deux ans plus tard. La même année, naît leur fils, Emmanuel.

Copte orthodoxe

Après un détour passionné par les philosophies orientales, plus pour coller aux tendances du moment que par réelle conviction, le chanteur revient au christianisme. Et finalement s’ancre dans la révélation de la foi catholique. Tout jeune, se souvient-il, il a toujours été sensible à la spiritualité de l’Eglise catholique. Messes et communions sont pour lui des moments importants, davantage que le catéchisme, trop scolaire. « Dans mes débuts de chanteur, j’étais dans la folie du travail et de la musique, j’avais peu de temps pour penser à la religion, mais j’étais toujours préoccupé. J’ai toujours eu la sensation d’un Autre. » C’est alors un homme tout neuf qui sort son premier album depuis des années, en 1985, Loin d’ici. Le disque ne rencontre pas le succès des tubes d’antan, mais le public n’a cependant pas oublié Michel Delpech.

En 1989, la compilation de ses plus grands succès se vend à plusieurs centaines de milliers d’exemplaires pour atteindre le chiffre de 800 000 en quelques années.

Dans la foulée, Michel Delpech sort un album cosigné avec Didier Barbelivien, J’étais un ange. Côté spiritualité, il se rapproche d’une Eglise chrétienne orientale : « J’ai fait la connaissance d’un évêque copte orthodoxe. J’ai découvert cette confession par cet ami, je m’y suis trouvé bien. Les enfants jouent dans les allées, c’est joyeux, simple et tolérant. Ma seconde femme et moi avons choisi de nous marier dans cette tradition chrétienne, et d’y faire baptiser notre fils. »

Chanteur sans chapelle

Même s’il n’est pas un pratiquant assidu de l’Eglise copte orthodoxe, il s’y rattache volontiers sans pourtant être passé par une réelle conversion spirituelle ou dogmatique, mais seulement parce qu’il peut y exprimer sa spiritualité. « J’ai un parcours religieux “déglingué”, alors je n’arrive pas à affirmer que je suis tel ou tel, j’ai eu une enfance catholique, et un parcours chaotique qui m’a conduit

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aujourd’hui vers l’Eglise copte orthodoxe. »

Actuellement, Michel Delpech se livre à un exercice difficile. Parce que la sortie d’une intégrale de ses titres l’y oblige, le chanteur se replonge dans ses premiers succès. Fin 2004 sort l’album Comme vous, le premier depuis sept ans, qui donne l’occasion à l’artiste de tenter un vrai retour sur le devant de la scène avec de nouvelles chansons. En reprenant le chemin des studios d’enregistrement, Michel Delpech a, comme souvent, fait appel à ses complices de longue date, Jean-Michel Rivat et Pierre Grillet. Pour les musiques, il s’est adressé à Laurent Coulon dont les compositions, aux tonalités folk et country, apportent une fraîcheur bienvenue au répertoire du chanteur. Cet artiste discret et au répertoire souvent ancré dans la réalité, voire sa réalité, a été à son zénith (deux millions d’exemplaires pour Les Divorcés en 1973), puis est tombé dans un semi-oubli.

Mais le public a bien saisi la tendresse et la sincérité d’un travail directement issu d’une chanson française de grande qualité. Un retour sur trente ans de carrière, sur des chansons « classées » qu’il n’avait jamais réécoutées. « Dans mes chansons, même quand j’étais tout jeune et que ma spiritualité ne me préoccupait pas, j’ai écrit, sans le vouloir et sans m’en rendre compte, des chansons empreintes d’un certain mysticisme. » Des chansons « chrétiennes », il en a.

Celles qui parlent d’amour et de fraternité. « Sans dire Dieu à chaque phrase, et sans écrire pour un public précis, beaucoup de chanteurs laissent entrevoir des messages chrétiens dans leurs textes. »

Michel Delpech insiste, la religion est pour tous, elle est populaire. Pour lui, un chanteur populaire a sa place dans un festival chrétien tout comme à la Fête de l’Humanité. Pas de « chapelle » donc, pour Michel Delpech, mais une affirmation :

« Je suis chrétien. Je crois en Jésus-Christ. »

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Par Constance Ledoux

Jean-François Breyne : Pasteur et heureux de l’être

Prédicateur de l’édition 2005 de l’assemblée du Désert, Jean-François Breyne est en charge de la paroisse réformée de Nîmes-sud, et fait partie de cette nouvelle génération de pasteurs atypiques. Parcours de ce pasteur à la voix qui porte.

A quoi reconnaît-on un pasteur nîmois ? Il est dynamique, travaille en équipe et foisonne de projets. Jean-François Breyne ne souhaite visiblement pas faire exception à la règle. Le jeune pasteur de Nîmes-sud, aujourd’hui vice-président de la région Cévennes-Languedoc-Roussillon, a quitté son précédent poste du Vigan pour Nîmes, avec, pour cahier des charges, entre autres, de dresser le bilan de cette jeune paroisse surgie de nulle part.

Pas de temple, mais des salles municipales prêtées par les communes, des cultes originaux, enlevés et musicaux, des « grands coups » une fois par mois, pendant lesquels toute la paroisse se retrouve pour la journée, catéchisme d’adulte, week- ends de retraite… le tout fréquenté par de nombreux quadras actifs.

Parcours formateur

Jean-François Breyne est aujourd’hui un pasteur de paroisse comblé. En une période où la morosité et le défaitisme font des ravages, voilà un pasteur qui exerce son ministère avec enthousiasme et assurance. En cause, un parcours plutôt formateur. Lorsque, à l’âge de quinze ans, son père le sonde sur ses projets d’avenir, Jean-François hésite. Son désir le plus cher est de devenir pasteur, mais cela implique des études longues et donc coûteuses pour sa famille. Et, malgré l’admiration profonde qu’il porte au pasteur de ses années de catéchisme, la

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« raison » l’emporte. Il opte pour une formation de sylviculture dans un lycée agricole aux environs d’Annecy. De retour à Paris, âgé de dix-huit ans, marié et bientôt papa, le jeune Jean-François doit travailler. Quelques années de surveillant dans un lycée, puis le choix d’une objection de conscience dans un univers hospitalier, proche des Eglises. Un bon moyen de « tester » sa vocation pastorale toujours bien présente.

La clinique de La Montagne, clinique protestante parisienne, l’engage pour la durée de son service civil. Grâce à cette expérience, Jean-François Breyne devient diacre au sein de l’Eglise évangélique luthérienne de France (EELF). « J’ai obtenu un poste à mi-temps comme aumônier de la clinique de La Montagne, et l’autre mi-temps était consacré, lui, à la JLP (jeunesse luthérienne de Paris). »

Renouer avec sa vocation première

Mais c’est une charge très difficile pour un jeune homme de vingt-deux ans.

S’ensuivent difficultés conjugales puis divorce quelques mois plus tard. Lorsque l’Eglise évangélique luthérienne de France le remercie, conformément à la discipline de cette Eglise, Jean-François est un homme brisé. Après deux années difficiles, loin de toute vie ecclésiale, Jean-François tente alors sa chance dans la région d’Avignon. « J’ai pris contact avec le pasteur réformé local, simplement parce qu’il avait mon âge et que je pouvais avoir de bons rapports avec lui », se souvient-il.

Juste inspiration. Grâce à cette relation, Jean-François Breyne rencontre Michel Bertrand, président du conseil régional de l’ERF en région PCAC. « Un poste était vacant à Lourmarin. Il s’agissait d’un mi-temps de gestion d’un gîte paroissial et d’un mi-temps en paroisse. Le demi-poste administratif m’a intéressé et j’ai accepté. » Sans s’occuper de la paroisse, Jean-François fait tourner le gîte.

Lentement, doucement, il entame son retour au sein de l’Eglise. Comme pour accélérer le processus, le destin frappe encore. Une famille en deuil à Lourmarin a besoin d’un pasteur. Le poste pastoral est vacant et aucun pasteur des environs n’est disponible. C’est Jean-François qui accompagnera la famille. Alors le jeune homme endosse la robe pastorale. Et, grâce à cette famille, renoue avec sa vocation première. La région lui confie un mandat de desserte pendant un an pour le poste pastoral de Lourmarin, qui sera renouvelé trois années de suite.

Au Vigan et à Nîmes

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« Au bout de trois ans, la commission des ministères (CDM) a estimé qu’il était temps que je poursuive ma formation théologique, ce qui me convenait tout à fait.

», raconte Jean-François. Le jeune étudiant s’installe avec sa famille dans le presbytère de Vergèze, en échange de quelques cultes et études bibliques. Puis, après les diplômes de rigueur, la CDM lui confie le poste pastoral du Vigan, en Cévennes. « J’aime beaucoup le ministère pastoral, confie le pasteur, il y a une grande diversité des tâches et beaucoup de responsabilités. Au Vigan, j’ai découvert une paroisse humaine et proche, et aussi très exigeante. C’est une paroisse dynamique avec un grand potentiel. Avec la paroisse de Valleraugue, nous avions 40 catéchumènes et 50 enfants à l’école biblique. »

Après six années, il est temps de se rapprocher d’une ville plus grande, pour les besoins professionnels de son épouse. La paroisse de Nîmes avait déjà commencé un renouvellement de ses pasteurs et cherchait des jeunes, dynamiques, capables de travailler en équipe. Il y trouve une équipe avec laquelle il s’entend bien, dans laquelle chacun se soutient et bâtit des projets. Aujourd’hui, Jean-François Breyne est prédicateur à l’Assemblée du Désert. Une expérience enrichissante de plus pour cet habitué du rassemblement cévenol, qui a accepté l’offre avec enthousiasme : « L’Assemblée est une vitrine du protestantisme, une occasion unique de prêcher l’Evangile au plus grand nombre. Ça ne se refuse pas ! »

Par Constance Ledoux

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Jean-Bertrand Pontalis : Etre pris puis dépris

Figure essentielle du mouvement psychanalytique français, Jean-Bertrand Pontalis, directeur de collections chez Gallimard, écrit aujourd’hui des textes qui ne vous lâchent pas.

Dans le labyrinthe des éditions Gallimard, un bureau sous les toits, enfumé, chargé de livres et de photos : c’est le bureau de Jean-Bertrand Pontalis, directeur de collections chez Gallimard. Philosophe, psychanalyste et écrivain, J.-B. Pontalis a découvert la philosophie avec Sartre, appris la psychanalyse avec Lacan, et développé la littérature avec son enfance, son histoire, ses rencontres, ses « prendres » et ses « déprendres ».

C’est par hasard. Par hasard qu’en classe de terminale le jeune Pontalis découvre la philosophie. Depuis le cours élémentaire, les matières sont les mêmes, et là, soudainement, la philosophie fait son entrée. De quoi aiguiser la curiosité de cet élève attentif et organisé. « La classe de philosophie était pour moi une inconnue attirante. J’ai eu la meilleure note à notre première dissertation, et j’ai mordu à l’hameçon. » Pourtant, l’année de terminale n’aurait sûrement pas donné la suite qu’on lui connaît si J.-B. Pontalis n’avait pas reçu un enseignement tout particulier, celui de Jean-Paul Sartre. « Il tranchait, raconte J.-B. Pontalis. Etait-ce par la voix (sèche), la parole (coupante), ce qu’avait transmis la rumeur (il ne portait pas de cravate) ? Le fait est qu’il tranchait. Je le sus à l’instant même où j’entrais en classe ce matin-là, légèrement en retard. Il était là sans qu’on nous eût annoncé son retour, au point qu’une seconde je crus m’être trompé de salle. » La philosophie déroute et bouscule, mais Sartre fascine le jeune homme. Cette philosophie, jusqu’ici enseignée par un professeur plus conventionnel, prend un nouveau visage.

« J’avais fini par croire que pour être philosophe il suffisait de procéder à deux opération simples : d’abord choisir un terme abstrait, ensuite le faire précéder, comme un nom roturier d’une particule, du mot “idée”. Disserter sur la nature, c’eût été rester dans les belles-lettres ; méditer sur l’idée de Nature, c’était déjà philosopher. » Sartre happe le jeune Pontalis tout entier, sa pensée, sa personne.

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Sartre revient alors du stalag, expérience dont il ne dira pas un mot à ses élèves du lycée Pasteur de Neuilly.

Après son bac de philosophie, J.-B. Pontalis continue sur sa lancée. Hypokhâgne, khâgne, Sorbonne et agrégation. Il enseigne alors quelque temps en Egypte, puis devient, logiquement, professeur de philosophie au lycée. « Comme professeur, on est tenu de maîtriser son langage. Je n’avais pas le sentiment d’être ce que je disais, je n’habitais pas vraiment mes mots. J’ai alors voulu trouver un autre usage de la parole que celui du langage philosophique. » Comme la philosophie, la psychanalyse est une inconnue. Une discipline qui n’est fréquentée à l’époque que par certains médecins psychiatres. Dans ce paysage, Pontalis fait figure d’oiseau rare. La Société de psychanalyse de Paris, puis la Société française de psychanalyse l’accueillent. J.-B. Pontalis s’attache à Lacan avec qui il entreprend une psychanalyse. « Trouver une parole dont on ne sait ni d’où elle vient, ni où elle va nous mener », confie Pontalis. La psychanalyse est une prise de risque, un pas vers l’inconnu que l’on est soi-même pour soi-même.

Une série de publications suit. Une collection chez Gallimard, « Connaissance de l’inconscient », La Nouvelle revue de psychanalyse, qu’il dirige pendant 25 ans, publie des textes d’écrivains, de philosophes, d’ethnologues sur un thème, sans oublier le fameux Vocabulaire de la psychanalyse, traduit aujourd’hui en plus de 15 langues, et essentiel dans chaque bibliothèque d’étudiant en psychologie. Si Pontalis fait exception en entamant une psychanalyse et en s’intéressant à cette discipline dans les années 60, le phénomène s’est aujourd’hui largement inversé.

Les facultés de psychologie affichent complet. Pourtant, « la psychologie n’est pas la meilleure voie d’accès à l’analyse, tempère Pontalis. Il vaut mieux, pour aller vers l’analyse, investir fortement une discipline et éprouver le besoin d’en découvrir les limites, de se délivrer de la personne qu’on s’est construite soi- même ».

Derrière les mots

Avant de fonder La Nouvelle revue de psychanalyse, Pontalis a collaboré avec Sartre aux Temps modernes. Mais Sartre n’admet pas l’hypothèse d’un inconscient actif qui nous détermine. La fin des années 60 marque pour Pontalis la fin des « années Sartre ». « Après 68, ce fut pour Sartre une période gauchiste dans laquelle je ne me retrouvais pas. J’ai quitté Les Temps modernes après la publication de “L’homme au magnétophone”, dans lequel un patient se révolte

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contre son “analyste-tyran” et d’un édito ultragauchiste signé par la rédaction.

J’avais besoin de trouver ma voix et ma voie. Je me suis détaché de Sartre. Sans rejet. J’ai choisi de suivre Sartre, j’ai accepté d’être “pris” et, librement, je m’en suis “dépris.” »

Puis, plus tard, bien plus tard, après Sartre, après Lacan, la littérature vient charmer J.-B. Pontalis. Membre du comité de lecture de Gallimard, Pontalis est pourtant le seul à ne pas écrire. Alors il s’y met. Il écrit. Et, bien entendu, il excelle. Nourris de philosophie et de psychanalyse, ses livres se lisent d’une traite. Puis on y revient, on cherche à comprendre ce qui se cache derrière les mots, derrière les tableaux qu’il décrit ou plutôt qu’il dit dans Le Dormeur éveillé, derrière son histoire qu’il raconte dans L’amour des commencements ou derrière les fantômes de La Traversée des Ombres. A chaque fois, on suit, on prend, on fait sien, puis on ferme le livre, on se « déprend ». Et c’est là que commence la véritable histoire entre un auteur et son lecteur, entre un « Pontalis » et vous.

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