Commission de dÉveloppement ÉConomique des premières nations du quÉbeC et du labrador (Cdepnql)
Nikan La voie des ODEC
www.cdepnql.org
Suivi des projets majeurs de la CDEPNQL ...2 Échos de votre conseiller en développement économique ...2 Lancement de
services cellulaires à Whapmagoostui ...3 Capsule Nikan ...3 Profil : Formule Fitness ...4 Profil : Le Savonneux ...5 Programme
Infrastructures de loisirs du Canada ...6 À mettre à votre
agenda ...6
Sommaire Conseil d’administration de la Cdepnql
Le 16 juin dernier, les membres du conseil d’administration et le personnel de la CDEPNQL se sont rencontrés à Québec afin de discuter des progrès de certains dossiers, des événements à venir et des orientations des prochaines actions de la CDEPNQL.
La rencontre aura permis de confirmer la tenue d’une activité le 9 septembre prochain, la veille de l’assemblée générale annuelle, soit une consultation avec tous les ADEC sur la planification stratégique 2009-2014 de la CDEPNQL, une planification pour laquelle les membres du conseil d’administration se sont déjà impliqués. Nous pouvons également vous informer qu’il y a de fortes probabilités que des représentants du MAINC soient à Mashteuiatsh ce 9 septembre pour une séance d’information sur le cadre de développement économique des Autochtones du gouvernement fédéral 2010-2015. Notez aussi que les ADEC seront invités à un tournoi de golf, organisé par la Société de développement économique Ilnu (SDEI), le lendemain de l’AGA, Juin 2009
volume 8 numéro 2
Suivi des projets majeurs de la CDEPNQL
Communautés visitées, implication assurée!
Depuis le début de 2009, votre conseiller en développement économique a fait le maximum pour assurer une présence dans les communautés. En quelques mois, pas moins de douze (12) commu- nautés ont été visitées par le conseiller soit Winneway, Kahnawake, Kanesa- take, Opitciwan, Wemotaci et Manawan Timiskaming, Long Point, Waswanipi, Chisasibi, Whapmagoostui et Eastmain.
Ces déplacements auront été fructueux en permettant à la CDEPNQL de s’impliquer dans différents projets communautaires.
En répondant à l’appel de plusieurs per- sonnes et organisations du milieu des Premières Nations, la CDEPNQL joue donc pleinement son rôle de développe- ment économique local. Parmi les projets auxquels nous apportons notre soutien,
Bien que le mandat principal de la CDEPNQL soit de soutenir les agents de développement économique des Premières Nations, les projets de développement économique régional occupent une place importante dans les activités de la CDEPNQL. Voici un aperçu des avancements réalisés pour les trois projets majeurs actuels de la CDEPNQL :
Projet Progrès
Réseau d’affaires des Premières Nations du Québec (RAPNQ)
Achèvement du plan opérationnel
Attente de confirmation de la participation financière des gouvernements fédéral et provincial
Organisation d’un salon d’affaires à l’automne 2009
Étude de partenariat pour la mise en place d’une Coop forestière des Premières Nations
Ébauche du rapport final complétée
Validation du document dans les communautés dès le mois d’août 2009
Date de remise du document final aux ADEC : janvier 2010
Développer le tourisme des Premières Nations
Sondage auprès d’agents de développement économique et de développement touristique pour évaluer les besoins des communautés
Embauche d’un expert en tourisme pour la conception d’une planification stratégique pour l’ensemble des Premières Nations du Québec
Échos de votre conseiller en développement économique
notons un centre de soins pour les aînés à Listuguj, un projet de pisciculture et une manufacture de meubles à Long Point, la création d’un secteur de protection de la faune permanent pour Kahnawake et la commercialisation et la cueillette des pommes dans les vergers de Kanesatake.
De façon générale, la CDEPNQL s’est aussi engagée à aider les Premières Nations dans les secteurs de l’énergie éolienne, des télécommunications et du tourisme.
Enfin, le conseiller a aussi entretenu des collaborations essentielles avec quel- ques organisations dont Statistiques Canada, la Société de développement du Témiscamingue et même l’Atlantic Policy Congress of First Nations Chiefs, située au Nouveau-Brunswick, dans le but de les aider à former leur propre structure en développement économique.
Terence McBride, le conseiller en développement économique de la CDEPNQL
La Première Nation de Whapmagoostui est heureuse d’annoncer le lancement de services cellulaires dans les communautés de Whapmagoostui et de Kuujjuarapik, au Québec. Les services cellulaires seront fournis par Whapmagoostoo-Eemuun, une filiale de Whapmagoostui Eeyou Enterprise Development Corporation. “Nous sommes très heureux d’introduire les services cellu- laires dans notre région. Whapmagoostui, est une communauté géographique- ment isolée, sans accès routier vers le Sud, donc, les services de télécommunications, comme l’Internet et les technologies cel- lulaires, demeurent notre seul lien avec le monde extérieur,” déclare le Chef Losty Mamianskum. “Cet ultime effort ouvre la voie à des opportunités en développement économique, à l’amélioration des com- munications d’urgence, aux compétences en milieu de travail, de même qu’à la fierté de la collectivité.”
lancement de services cellulaires à Whapmagoostui et à Kuujjuarapik, au québec
Nouvelle initiative en formation
En plus de la formation Développer son réseau d’affaires qui eut lieu en mars, le conseiller travaille actuellement à une col- laboration très prometteuse avec le Centre d’études collégiales de Chibougamau afin d’entamer un processus de reconnaissance des acquis pour tous les agents de dévelop- pement économique des Premières Nations.
Ainsi, les formations suivies précédemment avec la CDEPNQL, et tout autre cours suivi,
pourraient finalement être reconnus et vous aider dans votre cheminement de carrière!
Nous vous tiendrons informer d’une rencon- tre d’information potentielle à ce sujet lors de la journée précédant l’assemblée géné- rale annuelle en septembre prochain.
Pour la suite…
Beaucoup de gens redécouvrent actuelle- ment la CDEPNQL, une observation faite par le conseiller qui, lors de ses visites com- munautaires, ne se limite pas à rencontrer
l’ADEC mais également des ressources de différents secteurs de la communauté, des entrepreneurs, des ouvriers et autres servi- ces communautaires. Nous ressentons que l’ADEC est toujours fier de nous montrer les projets qu’il a accomplis et ceux qui sont en développement. Nous apprenons beau- coup lors de nos visites et nous tenons à remercier tous les ADEC pour leur constante hospitalité et leur entière collaboration.
Le lancement des services cellulaires par la Première Nation de Whapmagoostui résulte d’une initiative financée par l’Administration Régionale Crie afin d’implanter un service cellulaire dont la collectivité en est la pro- priétaire et dont l’orientation est assurée par cette dernière, et qui est rendu disponible par l’entremise de Lynx Mobility. Lynx Mobil- ity est le premier fournisseur de services de téléphonie cellulaire dont le co-propriétaire est un partenaire Autochtone, et dont les services doivent desservir les collectivités isolées à travers le Canada. Se spécialisant
dans la livraison de services cellulaires à coûts réduits conçus idéalement pour utilisation dans les endroits non desservis, Lynx Mobility offre un modèle innovateur de partenariat d’affaires qui repose sur le partage des revenus, où les communautés classifient et gèrent leur propre service cel- lulaire, tout en créant une capacité locale et des emplois de haute technologie. “C’est un moment très stimulant pour nous de pou-
voir commencer à déployer des services cellulaires aux petites communautés isolées à-travers le Canada. Nous croyons que notre service abordable et fiable s’avérera un outil précieux pour prévenir les effets sociaux et économiques causés par l’écart numérique,”
de déclarer le Dr Jason Neale, Président de Lynx Mobility Inc.
La nouvelle annonçant la prestation de services cellulaires dans la région vient com- péter les plans d’un lancement commercial officiel de services à Whapmagoostui, plus tard ce mois-ci.
Le Plan d’action économique du Canada prévoit l’affectation, sur deux ans, d’un milliard de dollars au Fonds d’adaptation des collectivités, afin de créer et de conserver les emplois au sein de ces collectivités. Quel organisme de développement régional administrera le Fonds pour le Québec (211,6 M$) ? a) Développement économique du
Canada pour les régions du Québec (DEC)
b) Industrie Canada (IC)
c) Affaires indiennes et du Nord Canada (AINC)
*Réponse à la page 6
Nikan
La Capsule
Sidney Orr, agent de développement économique communautaire de Whapmagoostui.
Il est plutôt rare de voir un centre de conditionnement physique dans un village de 150 personnes, mais c’est le défi qu’a relevé la communauté de Wôlinak en 2009! Un projet auquel toute la communauté a d’ailleurs participé, car la création de Formule Fitness résulte d’abord d’un besoin exprimé par les membres de la communauté lors de consultations du conseil de bande. Suite à ces consultations, le processus de démarrage s’est enclenché rapidement : analyse de la rentabilité, recherche de finance- ment (le ministère des Affaires indiennes et du Nord Canada et le Secrétariat aux affaires autochtones ont grandement parti- cipé), choix du lieu, évaluation du coût de la construction, achat d’équipements, etc. Par la suite, même s’il s’agissait d’un projet communautaire, il devenait impératif de trouver une personne pour être responsable de Formule Fitness. Un appel d’offres a ainsi été lancé pour dénicher des gestionnaires et le Conseil fut très heureux que deux jeunes de Wôlinak manifestent leur inté- rêt. Ce sont finalement eux qui furent sélectionnés : « En nous offrant la possibilité d’acheter les appareils cardio-vasculaires et les équipements de musculation après deux ans d’opérations, ça devenait très intéressant. » affirme Dave Bernard, copropriétaire de Formule Fitness avec son cousin Nayan Bernard.
Et le succès ne se fit pas attendre pour les deux gestionnaires.
Déjà, depuis le 5 janvier 2009, plus de 300 personnes sont deve- nues membres de Formule Fitness et plus de 92 % de la clientèle vient des municipalités environnantes! Avec des équipements de premier plan, par exemple des équipements de musculation Matrix, et un coût d’abonnement plus qu’abordable (260 $ par année pour un adulte), il semble déjà évident que la commu- nauté ait pris une bonne décision : « Si on exclut Trois-Rivières, il y a peu de compétiteurs. Mais nous avons quand même fait
les efforts pour nous faire connaître des gens qui habitent les environs, comme Bécancour, Saint-Grégoire, Sainte-Gertrude ou Sainte-Marie-de-Blandford, et jusqu’à maintenant ça répond bien. » précise Dave qui occupe également le poste de coordon- nateur des programmes et des services au Conseil de bande de Wôlinak. La stratégie promotionnelle qui a tant porté fruit fut d’être agressif dès les débuts et d’utiliser plusieurs médias, soit les journaux (publicité dans le Nouvelliste), la radio (publicité à CKBN) et l’envoi d’un dépliant par le service médiaposte.
Comme tout centre de conditionnement physique, l’achalandage chez Formule Fitness est varié selon le moment de la journée.
Les périodes de pointe sont tôt le matin avant le travail, en fin d’après-midi lors du retour à la maison et en soirée après le repas. Mais peu importe le moment de votre visite, les res- ponsables de Formule Fitness pensent à tout pour que leurs clients soient satisfaits : « Je crois que les téléviseurs HD placés devant les appareils cardio-vasculaires sont bien appréciés de la clientèle. Ça favorise la motivation! » selon Dave. D’ailleurs si ce n’était pas du manque d’espace, Dave et Nayan auraient déjà entrepris des démarches pour offrir le populaire cours de
« spinning », un entraînement d’endurance avec un vélo spécia- lisé, à leurs membres! Avec des résultats aussi positifs en si peu de temps, il est facile d’affirmer que Formule Fitness est une entreprise des Premières Nations qui est là pour rester.
la formule gagnante de Formule Fitness
Denys Bernard, directeur général du Grand Conseil de la Nation Waban-Aki, et Dave Bernard, copropriétaire de Formule Fitness.
Dès notre arrivée à l’entreprise Le Savonneux, on constate que ça travaille fort! La propriétaire, Pierre Pellerin, nous accueille avec un tablier, un produit à demi-emballé et les cheveux en broussailles dans ses locaux où tout est fabriqué de A @ Z. Un coup d’œil rapide permet de cibler les produits fabriqués par Le Savonneux : des bombes de bain (le produit vedette), du savon en barres, de la crème corporelle, des huiles à massage, de la mousse de bain, du gel de douche et différents type de sels de bain. Pierre nous précise d’ailleurs que tout est fabriqué à la main et que plus de cent fragrances sont disponibles pour chacun de ses produits! Il s’excuse également, à tort, du désordre des lieux : « Nous venons tout juste de déménager et nous nous préparons à faire des rénovations majeures pour nous doter d’un entrepôt.
» Un plan d’affaires préparé par Paul Gosselin, agent de déve- loppement économique à Odanak, permit à Pierre d’obtenir un fonds de soutien d’Entreprise Autochtone Canada (EAC) pour cet agrandissement : « J’ai également pu acheter un camion de livraison, divers équipements et faire du marketing. Cette fois-ci, j’ai eu la patience d’attendre l’approbation du financement! » nous dit-il en riant. Pour Pierre, qui est à quelques années de la retraite, ce bâtiment, qui deviendra simultanément le siège social, la boutique et l’entrepôt de l’entreprise Le Savonneux, est bien situé sur la très achalandée route 132 qui traverse Odanak et deviendra sans contredit un arrêt obligatoire pour plusieurs automobilistes!
Les débuts
Revenons quelques années en arrière pour bien compren- dre ce qui a mené Pierre à la fabrication de produits de bain.
Inventeur dans l’âme et curieux de nature, Pierre s’est toujours demandé comment il arriverait à faire mieux lorsqu’il remar- quait un produit ou un concept qui l’intéressait. C’est ce qui
est arrivé en 2000 à Ottawa : « Je me promenais dans le marché du centre-ville, où il y a une multitude de petites boutiques de toutes sortes, et mon œil a été attiré par cette bombe de bain effervescente (la marque Lush, qui commençait à être populaire à l’époque). En l’analysant de près, la conception m’intriguait encore plus et je me suis dit que je serais sûrement capable d’en fabriquer moi aussi! » raconte Pierre. Ainsi, il s’acheta un livre de chimie pour les procédés de fabrication de ce genre de produit et se procura les équipements requis pour débuter les tests, soit les matières premières, un mélangeur, des contenants, des outils de mesures, etc. Par la suite, l’important est d’aimer faire de la recherche….et être prêt à mettre beaucoup efforts! « Pour développer une bombe de bain moussante ou effervescente, c’est complexe car ce sont des produits de bain « solides ». La bombe effervescente, par exemple, doit pétiller et avoir une odeur agréa- ble dès qu’elle touche l’eau. J’ai eu besoin d’une année complète pour en arriver à un produit qui me convenait. » explique Pierre.
Et bien que le conseil de bande d’Odanak l’ait également soutenu financièrement au démarrage de l’entreprise Le Savonneux, il est habituellement difficile d’obtenir de l’aide à cette étape et « il faut être disposé à investir de son propre argent » selon Pierre.
Le Savonneux en 2009
Les efforts de Pierre pour faire progresser Le Savonneux n’auront pas été vains, bien au contraire! Pour la vente, par exemple, il a commencé en faisant littéralement du porte-à-porte. Il a graduel- lement trouvé des clients pour se former une base de revenus et ce, sans l’aide de représentants. Éventuellement, cela l’a mené à dénicher un contrat avec un important détaillant québécois, que vous connaissez sûrement très bien! Les produits du Savonneux sont donc maintenant visibles un peu partout dans la province :
« Quand tu fais de la recherche et du développement, tu dois être optimiste et persévérer. Tu dois constamment te dire que ça va débloquer et y croire. Quand tout le temps et les efforts investis finissent par payer, c’est très gratifiant! » conclut le pro- priétaire de l’entreprise florissante Le Savonneux.
le savonneux : une entreprise à faire mousser!
Pierre Pellerin, propriétaire de l’entreprise Le Savonneux, et Paul Gosselin, agent de développement économique pour le Conseil de bande d’Odanak.
www.lesavonneux.com
Réponse Nikan
La Capsule
Commission de développement économique des premières nations
du québec et du labrador 250, Place Michel-Laveau, bureau 101
Wendake (Québec) G0A 4V0 téléphone : 418 843-1488 télécopieur : 418 843-6672 Courriel : information@cdepnql.org
internet : www.cdepnql.org mise en page : Siamois graphisme
AVIS SUR LA PROTECTION ET LA CONFIDENTIALITÉ DE L’INFORMATION
L’information contenue dans ce bulletin est protégée en vertu des lois et règlements applicables. Il est donc interdit de le diffuser ou de le copier en tout ou en partie sans l’autorisation
écrite de la CDEPNQL.
Dépôt légal – Bibliothèque nationale du Québec, 2004
Dépôt légal – Bibliothèque nationale du Canada, 2004
Complexe Jacques-Cartier 320, Saint-Joseph Est, Bureau 400 Québec (Québec) G1K 9J2 Téléphone : 1 800 567-9604 Télécopieur : 1 866 817-3977 Courriel : infopubs@ainc-inac.gc.ca
Secrétariat aux affaires autochtones 905, avenue Honoré-Mercier, 1er étage Québec (Québec) G1R 5M6
Téléphone : 418 643-3166 Télécopieur : 418 646-4918
Le Fonds d’adaptation des collectivités a été créé à l’issue de vastes consultations pré-budgétaires menées à l’échelle du pays par le gouvernement du Canada. L’objectif est de stimuler les économies des collectivités durement touchées par le ralentissement économique. Pour consultez la définition détaillée de ce Fonds, consultez le site internet suivant : http://www.nrcan.gc.ca/media/
newcom/2009/200940a-fra.php
9 septembre 10 septembre 11 septembre
Mashteuiatsh Mashteuiatsh Mashteuiatsh
Sessions de travail Assemblé générale annuelle Tournoi de golf – Fondation
Héritage culturel
CDEPNQL CDEPNQL Société de développement économique Ilnu ADEC
ADEC ADEC et membres
des Premières Nations
À mettre à votre agenda
Date Lieu Clientèle Activité Organisateur
Région Montant prévu Organisme
Canada atlantique 100,4 M$ l’Agence de promotion économique du Canada atlantique Région centrale 348,9 M$ Industrie Canada
Ouest canadien 306,3 M$ Diversification de l’économie de l’Ouest Canada Nord canadien 32,8 M$ Affaires indiennes et du Nord Canada
C’est Développement économique Canada pour les régions du Québec (a) qui gérera l’enveloppe de 211,6 M$
pour le Québec. Voici la répartition pour le reste du Canada :
Programme Infrastructures de loisirs du Canada
Dans les prochains jours, la CDEPNQL vous informera d’un nouveau programme fédéral, géré pour les Premières Nations du Québec par Développement économique Canada et nommé Infrastructures de loisirs Canada. Pour l’instant, le montant de l’enveloppe financière et le moyen de soumettre les projets restent à déterminer, mais nous sommes très heureux de vous communiquer les détails suivants.
Définition : aide financière aux projets visant à moderniser ou réparer des infrastructures de loisirs existantes, ou à construire de nouvelles
infrastructures qui viennent soit agrandir ou remplacer des infrastructures existantes.
Projets admissibles:
• Arénas, gymnases, piscines ou terrains de sport;
• Terrains de tennis, de basketball, de volleyball ou d’autres disciplines sportives;
• Parcs, sentiers pédestres et pistes cyclables;
• Autres installations de sport polyvalentes.
Soyez à l’affût des prochains courriels d’informa- tion de la CDEPNQL pour plus de détails!