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Academic year: 2022

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Texte intégral

(1)

Ministère du Loisir, de la Chasse et de la Pêche Service de l'aménagement et de l'exploitation de la faune

Région-de l'Outaouais

Expérimentation de diverses techniques de pêche pour le doré et le brochet

dans la réserve La Vérendrye.

Par

Fay Cdtton,technicténne'de-lafaune et Henri Fournier, biologiste

Août 1979

(2)

Table des Matières

Liste de figures 2

Liste des tableaux 3

Remerciements 4

Introduction 5

Matériel et Méthodes 6

Verveux et Filet Trappe 6

Chalut 10

Seine de rivage 17

Résultats 17

Verveux et Filet Trappe 17

Seine de rivage 20

Discussion et Conclusion 22

Verveux et Filet Trappe 22

Seine de rivage 22

Chalut 23

Bibliographie 26

Annexe 1 28

Annexe 2 29

(3)

/2

Liste des Figures

Figure Titre Page

I Verveux noir avec guide 7

2 Verveux noir avec guide 7

3 Seine de rivage 7

4 Filet trappe 8

5 Chalut 9

6 Installation du verveux avec guide 9

7 Carte bathymétrique du lac Jean Péré 11 avec sites de pêche expérimentale

Août 1979

8 Tracés d'échosonduise a, b et c montrant le 14-15 comportement du chalut à différentes vitesse, profondeurs et longueurs de corde

9 Techniques pour mettre le chalut à l'eau 16

(4)

/3

Liste des Tableaux

Table Titre Page

I Pêche au chalut 22 et 23 Août, 1979 12 2 Effort de pêche déployé et captures 18

enregistrés pour chacun des engins de pêche utilisé

3 Description et résultat à chaque site 21 de pêche à la seine

4 Utilisation de chaluts en eau douce par différents auteurs

Annexe

I A. Numéro de bague et longueur totale des brochets bagués, capturés à la seine le 21 août aux sites F, G, H.

B. Numéro de bague et longueur totale des dorés bagues, capturés au filet trappe le 16 Août au site 2.

2 Liste de poissons capturés au Lac Jean-Péré.

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/4

Remerciements

Nous tenons à remercier Raymond Weselowski professeur à la station biologique du collège Vanier pour son conseil et le prêt du chalut.

Nous remercions aussi Richard Coursole, guide de pêche au domaine, pour ses renseignements concernant les sites de pêche sur le lac Jean-Péré.

Nous remerciements vont également à Mario Poulin, technicien de la faune, et Mario Benoit, stagiaire du collège de Sherbrooke, qui ont participé à l'instal- lation des engins de pêche et à la pêche active sur le lac.

Nous remercions le dessinateur Jean-René Moreau, pour la préparation des figures et Diane Patry, secrétaire, pour la dactylographie du rapport.

(6)

Introduction.

En l'absence de données d'exploitation détaillées, l'étude de certains paramètres de la dynamique de population de poissons requiert l'utilisation des techniques de baguage, d'où le besoin de capturer de grands nombre de spécimens vivants. Actuellement nous ne connaissons pratiquement rien des populations de grand brochet et de doré qui constituent pourtant la majeure partie de l'exploitation dans la réserve La Vérendrye.

Au printemps 1979, une première expérience fut tentée au lac Whiskq,/dans cette réserve. Toute la capture des spécimens s'est effectuée pendant le frai et à l'aide de filets maillants. Pour réduire le taux de mortalité, les filets doivent être visités très fréquemment (à interval d'une heure ou deux), le jour pour le grand brochet et la nuit pour le doré. Dans ce dernier cas, plusieurs problèmes se posent alors, dont le moindre n'est pas le coût élevé de l'opération.

Pour tenter d'abaisser le coût de la capture des spécimens, nous avons décidé d'expérimenter l'utilisation de divers engins de pêche, en dehors de la période de frai et au cours de la période nor-

/5

(7)

/6

male de travail du'personnel du Service. Pour ce faire nous avons choisi le lac Jean-Péré parce qu'il était très accessible, connu par les employés de la réserve et nous disposions d'une carte bathymétrique.

Matériel et méthodes

Les divers engins utilisés sont décrits aux figures 1, 2, 3, 4 et 5.

Un moteur hors bord d'une puissance de 50.p. sur une chaloupe starcraft de 5.5m.

tirait le chalut. Nous avons aussi utilisé une écho-sondeuse FURUNO F.G. 200 Mark 3.

Verveux et filet trappe.

Deux verveux étaient installés avec des guides perpendiculaire à la rive. Vu la hauteur de la seine comparée à celle du verveux, l'excès de seine fut ramassé en pinces le long de la ligne de flotteurs après que sa ligne de plomb fut fixé au dessous du cerceau d'entrée du verveux. Le verveux était tenu en place avec un système d'ancres et bouées présenté à la figure 6. La longueur

"A" était d'environ trois fois la profondeur de l'eau pour permettre de remonter le corps du verveux en surface sans déplacer l'ancre. La procédure d'installation fut comme

(8)

Fig. I - Verveux noir avec guide

Cerceaux en bois

3.3 m

N

. 0 crr(

m Seine blanch

30.5 m Fig. 2 - Verveux noir avec guide

m

en bois Cerceaux en métal

Fig. 3 Seine de rivage, blanche

3 0 ,5,E

longueur totale 22.7 m

(9)

3.8 m

±.72 rn

0

2.0 cm

....41.31.«Fla.sellIMIIMin

44.5 m Fig. 4 - Filet trappe, noir

(10)

25 mm

10 mm

chaîne en métal Fig. 5 - Chalut, vert

Fig. 6 - Installation du verveux avec guide

(11)

suit: Toutes les ancres et bouées étaient attachées et l'ensemble verveux-ailes-guide était placé dans cet ordre à l'avant de la chaloupe. L'extrémité libre du guide est attaché à la berge et est installé en se déplaçant en marche arrière vers le large. Ar- rivé aux corps,du verveux l'ancre de chaque aile est lancée aussi loin que possible de son côté respectif pour la placer temporaire- ment. Le corps du verveux est ensuite tendu, dans l'axe du guide, et l'ancre était déposée dans le fond par la corde de bouée. Les ailes étaient tendues de la même façon.

Le filet-trappe et les verveux sans guide étaient ins- tallés avec le même système de bouée et d'ancres.

Chalut.

Tel que suggéré par Dadswell nous avons d'abord utilisé une corde de traîne possédant un rapport longueur: profondeur de 3:1 (ie. 3 fois plus longue que la profondeur de l'eau), en espérant qu'ainsi le chalut suivrait le fond du lac. Le chalut fut traîné sur des distances variant d'approximativement 1.2 à 4.5 km. La

vitesse n'a pu être évaluée qu'à postériori en connaissant la longueur du parcours et le temps nécessaire pour le parcourir. Les résultats sont présentés au tableau 1. Aucun poisson ne fut capturé mais

aux traînées 1, 2 et 3(voir fig 7) le chalut paraissait suivre le fond puisque de la boue et des débris furent ramassés.

/10

(12)

/11

Figure 7: Sites de pêche expérimentale - Août 1979

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Superficie Altitude

3079,6 ha

Date d'édition Août 1976

CARTE BATHYMÉTRIQUE CARACTÉRISTIQUES

Truite grise Cisco

Corégone Esox lucius Catostome noir Meunier nain Lotte

Dore jaune

LOCALISATION

Longitude W 76'35' Latitude N 47°04'

GOUVERNEMENT DU QUÉBEC MINISTÈRE DU TOURISME, DE LA CHASSE ET DE LA PÈCHE

7610 ac SERVICE DE L'AMÉNAGEMENT DE LA FAUNE

District de l'Outaouais 250, Boul. Saint-Joseph

Hull P.O. J8Y 3X6 Tél (819) 771-5857

LAC JEAN-PÉRÉ

CANTONS SBARETTI ET TURQUETIL COMTÉ PONTIAC

DISTRICT ÉLECTORAL GATINEAU QUÉBEC

350,5 m 1150 pi

ESPÈCES DE POISSONS

Date des relevés Juillet 1960-1961

(14)

Tableau 1.' Pêche au chalut 22 et 23 août, 1979.

No. de Longueur de Distance Vitesse (approx) Profondeur no. papier d traînée la corde (km) (km/hre) du chalut l'échosondeu

(m) (mètre)

1 44 1.5 3 inconnu

2 44 1.2 2.5 inconnu

3 44 4.5 3.4 inconnu

4 44 3 3. a

5 70 1.5 à 10 10 à 5

6 70 2.0 3 à 1.2 75 à 23

7 70 2.0 3.5 5 (fond)

8 70 10.0 5 (fond)

/12

(15)

/13

Nous avons par la suite fait des expériences pour connaître la longueur de la corde de traîne nécessaire pour que le chalut atteigne une profondeur donnée en fonction de la vitesse. Pour chacune de ces traînées nous disposons d'un enregistrement d'échosondage qui sont analysés à la fi- gure 8.

Le rapport longueur de la corde de traîne: profondeur du chalut de 3:1 fonctionne qu'à des vitesses plutôt faibles de l'ordre de 3 km/h ou proba- blement moins. A des vitesses de l'ordre de 8 à 10 km/h un rapport de 10:1 est nécessaire.

Tout au cours de ces expériences aucune capture ne fut enregistrée.

Nous avons par la suite fait deux traînées à des vitesses différentes (tableau 1, traînées 7 et 8) dans une section peut profonde du lac mais sans succès.

La technique de mise à l'eau du Chalut suggéré par Dadswell est mon- trée à la figure 9 no.l. Nous avons trouvé que la méthode no.2 était aussi pra- tique. Une corde sur laquelle un noeud coulant de la corde du chalut était atta- ché reliait les deux coins arrière de la chaloupe. Le chalut fut tiré à bord à la main par deux personnes 25 mètres de .83 cm. corde (3/16) fut attaché à la corde de 44 mètres du chalut.

(16)

/14

I,

a)

A une vitesse de 3 km/hre et une corde de 44 mètres, le chalut ne calait pas beaucoup, il restait à 3 mètres de la surface soit un rapport longueur de la corde de traîne: profondeur du chalut de 14.6:1.

n t'a-longeant la corde de 25 mètres et en ralentissant pour laisser caler le chalut on reprenait une vitesse normale 10km/hre. Comme on peut le constater, le chalut remonte à 5m. de la surface, soit un rapport de 8.8:1.

(17)

/15

En ralentissant progressivement km/hre à 1.2 km/hre chalut descendit dans le fond.

rapport corde: profondeur: 3 km heure: 9.2:

1.2 km heure: 23:

(18)

2.

3.

No 1. Dadswell (1975) 16' di rection

du vent

Fig. 9 - Techniques pour mettre le chalut à l'eau

(19)

Seine du rivage

La seine de rivage était utilisée en eau peu profonde .3 à 1 mètre dans les herbiers pour la capture de grand brochet.

On procédait en empilant la seine sur la proue de la chaloupe, en prenant soin que la poche ne soit pas inversée. A chaque bout de la seine nous avons ajouté une corde de 25 m de longueur pour ainsi pouvoir étendre la seine à une certaine distance de la rive. La poche était faite en cousant la ralingue flottante et la ligne de plombs sur une distance de 2 mètres.

L'abondance relative des différentes espèces dans les captures a été notée.

Les brochets plus grands que 200 mm ont été bagués à l'operculaire et les plus petits au spaghetti.

Résultats.

Verveux et filet trappe.

Les verveux avec guide furent installés sur des pointes (figure 7 , sites 2 et 3) où le fond était couvert de blocs et de

gallets. Au site 2 le corps du verveux fut installé à une profon- deur de 3m et au site 3 de 6m. En 7 jours nous n'avons rien capturé (tableau 2).

/17

(20)

/18

Tableau 2. Effort de pêche déployé et captures enregistrées pour chacun des engins de pêche utilisé.

Engin Station Effort de Doré Grand Meunier Lotte Perchaude Cyprin Chabot Dards

pêche brochet noir

Filet-trappe 1 7 jours. 2 5 3

6 2 jours. 6 3 1

Verveux avec guide perpendiculaire à

Verveux simples parallèles à la berge

Seine Chalut

2,3 7 jours. 1

7 2 jours.

4,5 5 jours. 1 1

8, 9, 10 2 jours.

A- H 10 coups 14 2 000 X X X

de seine.

4-5 heures.

(21)

Le filet-trappe au site 1 était installé de sorte que le guide traverse un haut fond de sable, où se retrouvaient des po- tamots, redescend?e le long de la pente et la cage fut installée à une profondeur de 3 m. environ.

En 7 jours, le filet-trappe a capturé 5 meuniers noirs

(Castostonus commersoni), 2 dorés (Stizostedion vitreum), 3 perchaudes (Perca flavescens). Il fut déplacé dans une passe de 40 m. de large et de 3 m. de profond, entre deux grandes îles, sites 6-7. La cage du filet-trappe était à une profondeur de 2 m. d'un côté, le guide montait la pente jusqu'à l'autre côté où un verveux était placé à une profondeur de 1.5 mètres. En deux jours de pêche à cet endroit, 6 dorés, 2 meuniers noirs, et 1 perchaude ont été capturés dans la trappe. Rien n'a été pris dans le verveux.

Quatre verveux sans guide ont été installés à cinq sites différents de façon à ce que le corpsdu verveux soit parallèle à la berge. Aux sites 4 et 5, deux verveux furent installés aux pieds des chutes de l'un des tributaires ouvert vers l'aval. En 5 jours 1 lotte et 1 meunier noir ont été capturés.

Aux sites 8, 9, 10, les verveux étaient placés parallèle- ment à la berge sur des pointes rocheuses à une profondeur de 4 m.

à la station 8, une aile du verveux était ancrée à la berge.

/19

(22)

Les deux jours de pêche à ces endroits n'ont rien rap- porté.

Seine de rivage.

La description des stations où la seine de rivage fut utilisée et les résultats sont présentés au tableau 3. Les petits spécimens, trop nombreux, n'ont pas été comptés; les espèces sont placées par ordre décroissant d'importance dans les captures. Les jeunes perchaudes de l'année dominaient dans les captures à toutes les stations, en particulier aux stations F, G et H où plusieurs milliers de perchaudes furent capturées; c'est à ces stations que les résultats furent les meilleurs. A cet endroit plusieurs broche- tons et deux adultes furent bagués (annexe 1). Par temps calme et ensoleillé les brochetons pouvaient être aperçus dans la végétation aquatique composée surtout de juncus sp. Le lendemain nous avons vu huit brochetons dont deux seulement étaient marqués. La liste d'espèces capturés au lac Jean Réré est dans l'annexe 2.

/20

(23)

Tableau 3. Description et résultat à chaque site de pêche à la seine.

Site Description

fond rive

Résultat (voir annexe)

A débris rocheuse, forêt perchaudes, cyprins, chabots

B sable plage étroite, forêt perchaudes, cyprins chabots

C vase marécage; arbres morts

D, E sable, vase herbier, marécage, tributaire perchaudes cyprins, chabots, dar F, G, H sable, vase herbier, grande plage 14 brochets, 1 doré.

Perchaudes, cyprins, dard -perches.

/21

(24)

Discussion et conclusion.

Verveux et filet trappe.

Comme pour Forney (1967) le rendement de ces engins fut trop faible pour qu'ils puissent être utilisés, même si les dorés sont actifs la nuit en eau peu profonde (Ryder, 1977). Ils ne sont probablement utilisables qu'au temps du frai pour bloquer les accès à une frayère/ par exemple.

Le choix des stations ne permet pas de conclure quant à la vulnérabilité du grand brochet à ces engins, mais notre expérience a démontré que ces engins n'étaient efficace que pour une courte période (6-12 jours) avant le frai.

Seine de rivage.

La seine de rivage fut utilisée surtout pour tenter de capturer des grands brochets. Malgré le faible effort déployé, un certain nombre de captures furent enregistrées.(Annexe 2)

/22

(25)

Le succès de cette méthode est très dépendant de la configuration'du littoral du plan d'eau étudié et pourra proba- blement varier beaucoup d'un plan d'eau à l'autre. Elle pourrait possiblement fournir d'excellent résultants dans des plans d'eau où les plages colonisées par la végétation aquatique sont nombreuses.

A cause du comportement lucifuge du doré, cette méthode n'est guère utilisable.

Chalut.

L'efficacité du chalut fut depuis longtemps démontrée en mer. Même si c'est un engin de pêche relativement peu utilisé en eau douce, plusieurs auteurs l'ont utilisé avec succès comme on peut le constater au tableau 4.

L'utilisation efficace du chalut demande toutefois de très bien connaître le comportement de l'engin lui-même et de la proie recherchée dans le plan d'eau donné. Nos expériences ne sont pas concluantes quant à cet engin et une expérimentation beaucoup plus longue, avec ce seul engin serait nécessaire pour en établir l'ef- ficacité.

/23

(26)

/24

Tableau 4. Utilisation de chaluts en eau douce par différents auteurs.

Description Force du Vitesse Durée Rapport de Résultats

de l'engin. moteur km/hr corde à pro-

fondeur du chalut.

AUTEUR Largeur (headrope)

mètres

longueur mètres

mailles corps

mm

queue

Van Vliet 2.7 5.3 9.5 hp. 6.5 15min 3:1 Parmi des espèces de

fond-8 alevins de grise (5 coups sur 39 en avait Dadswell 3.0 5.5 38 3 9.5 hp. 5 à 1.J0 5-7min. 3:1 Pour étude de Cottus sp

et plankton.

Notre étude 5.2 5.5 33 25 50 hp. .5 à 3.4 60min. 3:1

Reckahn 4.7 38 3 40 hp. 10-15-30min. 6:1 Etude de Corégone.

Dryer 10.3 56 13 4.8 15min. Truite grise, grand co-

régone, éperlan,occasior nellement, Catostomus commersoni,

Perca flavescens, Stizostedion vitreum

vitreum, Salmo trutta,

Salvelinus gairdneri

(27)

Il pourrait probablement être utile pour la capture du doré, mais aussi peut-être pour celle du grand brochet et même du touladi, lorsque ce dernier se retrouve en eau peu profonde tôt le printemps, après le départ des glaces, ou au cours du frai.

Pour que nous soyons en mesure de l'utiliser efficacement, il faudrait que l'embarcation soit équipée d'un loch. La profondeur du chalut, en fonction de la longueur de la corde de traîne pourrait être beaucoup mieux contrôlée et l'utilisation de l'engin plus sys- tématique.

Malgré les efforts déployés, il appert que beaucoup de temps (au moins un mois . personne) doit encore être déployé pour la seule expérimentation du chalut et que quelques modifications doivent être faites à l'embarcation pour démontrer les possibilités d'utilisation de cet engin.

/25

(28)

Bibliographie.

Charles S. Holt, Gary C.S. Grant, George P. Oberstar, Charles C.

Oakes, and Dirck W. Bradt. 1977. Movement of walleye, (Stizostidion vitreum), in lake Bimidjie, Minnesota as

Determined by Radio Telemetry. Trans. Am. Fish. Soc.

106: 163-169.

Dadswell, M.J. 1975. A small-boat other trawl for limnological studies. J. Fish. Res. Board Can. 32: 2535-2538.

Dryer W.R. 1966. Bathymetric, distribution of fish in the Apostle Islands region Lake Superior. Trans. Am. Fish. Soc.

95: 248-259.

KempingerJ.J. and Carline R.F. 1978. Changes in Population Density, Crowth, and harvest of northern pike in Escanaba lake Wisconsin Dept. of Nat. Res., Tech. Bull. no 104, 16p.

Reckahn,•J.A. 1970. Ecology of young lake whitefish (Coregonus clupeaformis) in South Bay, Manitoulin Island, lake Huron, p. 437-460. In C.C. Lyndsey and C.S. Woods (ed) Biology of coregonid fishes Univ. Manitoba Press. Winnipeg. Man.

Ryder, R.A. 1977. Effects of Ambient light variations of behiaviour of yearling, subadult and adult walleyes. (Stizostedion vitreum vitreum) J. Fish. Res. Board Can. 34: 1481-1491.

/26

(29)

Van Vliet, W.H. and Qadri S.U. 1970. Capture, Morphology and food of lake charr Alevins in lake Heney, Quebec. Can. Field

Naturalist. 84: 177-179.

127

(30)

/28 ANNEXE 1

A. Brochets capturés à la seine au lac Jean-Péré le 21 août, aux sites F, G, H.

- Heures: 14:00 - 20:00 heures

- Conditions météorologiques: grand soleil, faible vent.

# de bague L.T. (mm) Pièces récolté.

spaghetti spaghetti spaghetti spaghetti spaghetti spaghetti spaghetti spaghetti spaghetti spaghetti spaghetti spaghetti operculaire operculaire

sans # 57 58 59 60 61 62 63 64 65 66 67 1004 1005

169 jeune de l'année

162 jeune de l'année

211 jeune de l'année

151 jeune de l'année

171 jeune de l'année

190 jeune de l'année

174 jeune de l'année

175 jeune de l'année

171 écailles

165 jeune de l'année

161 jeune de l'année

186 jeune de l'année

582 écailles

469 jeune de l'année

- rien - rien - rien - rien - rien - rien - rien - rien - rien - rien - rien - rien

B. Dorés capturés au filet-trappe et bagués, le 16 août au site 1.

# Bague operculaire L.T. (mm)

1000 405

1001 455

(31)

ANNEXE 2

Liste de poissons capturés au lac Jean-Péré.

Doré jaune Stizostedion vitreum vitreum (mitchill)

Grand brochet Esox Lucius

Lotte Lota Iota (Linnaeus)

Meunier noir Catostomus commersoni

Baveux Notropis hudsonius

Dard Perche Percina caprodes

Chabot marbre Cottus bairdi

Mené vert Notropis atherinoides

Perchaude Perca flavescens

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