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(1)

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' URBANISME

VOIRIE

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382 pierre larouche - urbaniste

ingenieur en circulation

(2)

1

URBANISME ET VOIRIE

1

par: pierre larouche, urbaniste ingenieur en circulation.

1

SERVICE TECHNIQUE DE LA CIRCULATION

',TASTERE DES

TRANSPORTS :L7..NTRE DE rOCUMENTATION /00, DOUL liENE-LEVESQUE EST, 21e ETAGE

-QUEBEC (QUEBEC) CANADA •

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(3)

TABLE pgs MATIERES

Page

I LES ELEMENTS DE BASE 1

II ROLE DE LTURBANISTE 3

III ETENDUE GEOGRAPHIQUE DU ROLE DE LTURBANISTE

IV LIURBANISTE DU MINISTERE DE

LA VOIRIE 9

V PASSER A LTACTION 11

CONCLUSION 15

(4)

URBANISME ET VOIRIE

La complexite croissante qufimplique le developpement du reseau routier, les argents tou—

jours plus eleves requis a cette fin, le milieu mu—

nicipal en effervescence oA sfexerce cette activite;

autant de raisons accentuant la necessite pour le Mi—

nistbre de planifier a lfavance s.9s besoins routiers.

Aussi faut—il que cette tache de planification soit placee sur une base solide.

1— LES ELEMENTS DE BASE.

.0A Puiser les elements qui doivent presider lfelaboration de cette politique de developpement du reseau routier. Dfabort faut—il que ces elements puisent leur source h bonne enseigne puisque de ceux—

ci naltront les guides pratiques dfune action journa—

liere. Ces donnees sont de trois ordres bien distincts I's relevent de considerations dfordre economique, de considerations dfordre social et de considerations dfor—

dre technique. De ces trois domaines bien distincts doivent naltre les guides de 'faction eclairee.

(5)

Les considerations dtordre technique sont bien connues des specialistes en transport et en circu- lation. Quant aux donnees economiques, les coiits de

construction et dtentretien du reseau routier dtune part et les argents alloues cette fin dtautre part, impo- sent des limites bien determinees et facilement mesura- bles.

Cependant, le probleme devient tout autre lors- qutil stagit dtexpliciter les besoins de lthomme dans son habitat. Ici, lturbaniste est de par sa specialisation celui A, qui il incombe de souligner les elements impor- tants. Puisque ceux-ci proviennent- de considerations dtordre esthetique et fonctionnel souvent non mesurables sur lthomme et son habitat, ctest ici que nait ltincom- prehension bien connue entre ltingenieur nta-de-valeur- que.ce-qui-se-mesure, et lturbaniste la-valeur-ne-se-me- sure-pas. Comme sans doute on lta devine, in medio stat virtus. Ltingenieur doit reconnoitre que certaines va- leurs existent qui ne se mesurent pas; lturbaniste, que dtautres valeurs peuvent et doivent etre mesurees.

Le rale que peut et doit jouer le specialiste des considerations dtordre technique qutest ltingenieur en circulatioh est generalement bien accepte. Ltexpose qui suit soulignera donc le r81e que lturbaniste doit jouer dans ltelaboration din plan dtamenagement routier.

(6)

II— ROLE DE LtURBANISTE DANS LA SOCIETE

1

Le

rne

de lturbaniste stexerce a deux ni—

veaux, celui de ltindividu et celui de la. communaute:

Au niveau de ltindividu, le r81e de lturbaniste consiste principalement a favoriser un milieu sain correspondant aux besoins et aspirations de lthomme.

Besoins de . beaute, besoins dtamitie (Ithomme est un animal sociable) .besoins dtun logis, etc...o se tra—

duisent par des imperatifs plus ou moms definissables portant sur le lieu de residence, de travail et de loi—

sir de lthomme.

Au niveau de la communaute, la tAche est encore plus ambitieuse. Ltequipement communautaire de tous genres;

la disposition et ltagencement dans ltespace des gran—

des affectations du sol; les reseauX de communication etablissant le lien entre ces grandes affectations; au, tant de considerations auxquelles lturbaniste doit ap—

porter une solution eclairee.

Ce travail de faconnage du milieu de lthomme par lturbaniste se traduit dans la pratique en autres choses par un plan de developpement et une structuration

1

bien definie dans ltespace des affectations du sol o En c'orrolaire, ceci definit de meme un reseau de communica-

1

(7)

tion assujetti.aux imperatifs definis par le p1an. Ce- ci est de toute premiere importance en ce qui concerne la gouverne dtun bureau de planification et dtamenage- ment des besoins routiers. Un plan de reseau routier ne peut done stelaborer en vase clos. Clest dans ltop- tjAue du tout auquel il appartient et qui en determine la structure quton se dolt de le'voir, •. de be mesurer, de ltanalyser et de le planifier.

txempie dtassujettissement du Reseau Routier.

QuTun plan.de reseau routier et ltetablisse- ment dtun ordre de priorites ne puissent steffectuer en vase cIos (comme pourrait ltetre un plan base purement sur des comptes• dtecoulement de circulation) nous est demontre comme exemple, par les etudes effectuees par le Roads Department de ltEtat du Connecticut en colla-

boration•avec ltagence regionale du Capitol Region.

Cette derniere formee de quelques vingt municipalites interessees a faire cause commune devant leurs proble- mes de developpement, etudia en effet divers plans cu formules dturbanisation. Parmi celles-ci nommons la formule dite "villes satellites" oh des centres secon, daires orbitent autour dtun pole regional; la formule

"lineaire" (A la croissance est favorisee be long VI=

axe donne defini, dans be cas present par ltaxe dtune

(8)

"VILLE SATELLITE"

Domiciliaire eparse

Domiciliaire intense

Centres

EcheIle - 1 po. = 20 mules

PLANS D'AMENAGEMENT

Capitol Region - Connecticut

FIGURE I

(9)

vallee; et la formule telle que preconisee par le zo—

.nage déjà en vigueur dans chacune des municipalites concernees. Ces diverses formules sont esquissees la figure I.

De grand interet ici sont les etudes dlas—

signation de circulation faites par le Roads Depart—

ment pour chacun de ces plans de developpement. Tel que demontreJ- A. la figure II, chacune de ces formules.

se traduisit en un ecoulement de circulation a carac—

.t4ristiques bien definies. Ces ecoulements de circu—

lation propres chaque plan, sont llelement "demande"

a - satisfaire et servent a determiner les besoins dlun reseau routier (I),; Llon saisit facilement id i que ,vouloir planifier ce reseau routier sans tenir compte

du plan concept, de developpement serait pour le moms bizarre car le plan d/amenagement entraine un ecoulement de circulation bien particulier a besoins particuliers.

Concluons donc 1/evident; le developpement routier doit slinscrire dans le cadre du concept. - du developpement global de la communaute humaine, non en marge de celle—

ci.

(I) Dans le Cas du Capitol Region, le plan dit "lineaire"

fut, a la suite de longues etudes, finalement adapte, comme le plus apte a rencontrer les besoins sociaux et economiques de la region.

(10)

"ZONAGE"

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ECOULEMENT DE LA CIRCULATION

Capitol Region - Connecticut

"VILLE SATELLITE"

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"LINEAIRE"

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WV fil/Pv 1

Etendue de la region

44. Intensite de la circulation Echelle - 1 po. = 20 mules

FIGURE II

(11)

III - ETENDUE GEOGRAPHIQUE DU ROLE DE LTURBANISTE

.Lton concoit tres bien liurbaniste.affaire a' la conception d7une unite de voisinage, ou encore a 'la protection dTune silhouette urbaine de valeur histo-

rique ou encore a ltamenagement urbain metropolitain.

Mais que dire de son role dans ltorganisation d'une region tout court,. .Llurbanisme de par sa definition ntimplique- t-il pas exclusivement le concept de vine, de cite par contraste a celui de campagne ou de contree. Voyons brib- vement la transformation qua connuele milieu de lthomme depuis le sibcle dernier, soit bien apres la definition

I.

1

dans les temps anciens du mot urbanisme. La, se trouve- ra la reponse a notre question.

a) De la realite municipale A, la realite regionale.

Le dernier siecle a'apporte, comme on le de tres grands changements ausi bien dans le domaine social.quteconOmique. Ltindustrialisation et la mecani- sation, la levee du proletariat accompagne dtun pouvoir dtachat accrue de la masse ouvribre, le developpement des villes aux depens des campagnes; autant de phenome- nes bien corinuS. Vu du cOte transport, le resultat de

ces influences est demontre schematiquement a la figure III.

1

I.

(12)

SIECLE DERNIER

AUJOURD'HUI

REDISTRIBUTION DES LIGNES DE DESIR

Region Hypothetique

FIGURE III

(13)

Alors qu au siecle dernier, la majorite des trajets h l'interieur dune municipalite etait dirigie vers le ceztre de celle—cis ctest—a—dire le village (schema superieur); ainsi lion constate au—

jourdthui une redistribution d'un nombre de ces tra—

jets vers les municipalites voi0.nes ainsi qutun noyau—

tage de ces trajets autour dtun centre, dit centre re—

gional (schema inferieur).

Cette redistribution des allegeances des tra—

jets trouve sa cause dams des transformations des phenome—

nes socio—economiques: ainsi la boutique familiale .a fait place au complexe industriel, ltecole du rang et le magasin general A. llecole et au centre dlachat regionauxs et ainsi de suite. Done dans plusieurs domaines de ltactivite so—

ciale et economique de lfhomme s la realite municipale a cede la place a la realite regionale.

b) Ourbanisme llechelle de la region.

De tout cecil tirons deux conclusions: premie—

,rements le r81e de iturbaniste ne peut plus se concevoir comme ne Oetendant qula la zone bltie diune region. Par exemple, au concept,' dlequipement communautaire urbain st.ajoute celui dlequipement cpmmunautaire regional; ceci

(14)

A partir des services eux—memes, tels que les parcs de loisirs ou industriels regionaux, jusqutaux orga—

nismes memes qui doiVent etre crees pour monter ces services. Le remous que connait actuellement la cho—

se municipale avec les projets de fusionnement de mu—

nicipalites de groupements regionaux, de renforcis—

sement des conseils de comte, etc., sont autant de preu—

yes que lturbanisme a depuis longtemps depasse le cadre des zones purement urbaines.

Deuxibmement, ce noyautage des trajets aut our de centres regionaux a produit des entites regionales lien definiesqui non seulement peuvent mais doivent ser—

vir de base 1 ces etudes dtamenagement regional.

(15)

IV - LIURBANISTE AU MINISTERE DE LA VOIRIE.

0.6 .situer exactement le r81e de lturbaniste au ministbre de la Voirie?

a) Niveau regional ou metropolitain.

Le role de llurbaniste se situe dfabord au niveau du plan regional ou metropolitain par ltelabo- .-rtion de la philosophie dlapproche conduisant a un con-

cept et au plan de developpement. Ceci stapplique aussi bien une' region de nature rurale quturbaine pour les raisons deCrites plus haut.

Ce travail avec celui de ltingenieur en cir- culation qui approche le probleme sous llangle circula- tion, condui s a. un etablissement des besoins routiers •et a un ordre de'priorites de ceux-ci, tel que decrit par le diagramme de processus A la figure IV. Des considerations de trois ordres bien distincts entrent ici en jeu. Ce sont des considerations dlordre (referer A la figure IV):

Circulation routibre.

Developpement regional ou metropolitain, et le plan dturbanisme quills impliquent.

.(C) Economique et financier.

Llexpert en circulation, lturbaniste et lleco- nomiste representent en fait trois aspects d'un meme pro- bleme, celui de lfamenagement rationel dun reseau routier.

Sans cette triple rue du probleme le systeme ne pourra que demeurer boiteux.

(16)

DES BES01 DEFINITION

Processus

Diagramme

TRAFIC ACTUEL RESEAU ACTUEL

ETUDES et PROJECTIONS

TRAFIC PROJETE

AMENAGEMENT ACTUEL

ETUDES et PROJECTIONS

AMENAGEMENT PROJETE

Predominance donnees

ETUDES des PRIOR ITES 17- 1

CEDULE de CONSTRUCTION RESEAU PROJETE

BESO INS

ROUTIEM

'144 'ii

FIGURE

(17)

.10—

) Au niveau local.

Au niveau local, le role de lturbaniste est de concevoir 1/ adaptation du reseau routier aux impe—

ratifs du bon urbanisme. Si un plan directeur existe, la tache est relativement simplifiee. Souvent par ail—

leurs le seul guide sont les regles de la discipline urbanistique. Aini comment devra—t—on passer une au—

toroute: .en deblai, en remblai ou bien en ponte? Ou encore devra—t—on contourner grands frais une zone domiciliaire homogene, ou la bisecter par une iroie qui menace de 1a detruire? Autant de questions qui requierent de la part de l/urbaniste une connaissance approfondie de sa discipline de meme qulune conscience des normes du genie routier.

Dlautre part, llingenieur doit reconnaitre qutune localisation de route ne se decide pas seulement en fonc—

tion de la somme de dollars impliquee dans divers traces possibles; que les considerations dtordre esthetique par exemple, peuvent necessiter des coats additionnels de 'construction routiere„ ou dicter une localisation non

de cofit minimum.

(18)

V — PASSER A L/ACTION.

Que tirer de pratique pour la gouverne de ce ministere: deux choses. Premierement, le minis—

tbre de la Voirie se doit de former en son sein un bureau d/urbanisme qui verra a integrer la construc—

tion du reseau routier a celui de ltamenagement glo—

bal du milieu de lihomme. Deuxiemement, le ministere favorisera lIetablissement dun colloque quotidien de cette equipe diurbanisme avec les diverses organisa—

tions et administrations qui detiennent effectivement les pouvoirs dlamenagement et de planification. Expli—

citons.

a) Bureau d/urbanisme.

Le role de cette equipe, a llinstar de celle de llingenieur en circulation qui apporte a la solution des problemes des donnees scientifiques, sera de mettre en valeur les considerations dTordre esthetique et fonc—

tionnelle relatives a. 1/habitat de lthomme.

Il est de premiere importance que cette equi—

pe collabore etroitement avec le technicien en circula—

tion et preside avec celui—ci au travail de conception et dtelaboration du reseau routier toujours dans ltop—

tique de Ce reseau comme partie d/un pout plus grand,

(19)

EQ.U.I.F.T REG.I.ONALE , UIPE LOCA

ngenieur en circulation

FIGURE V

(20)

-.12—

le milieu de lthomme amenager. Une telle equipe ne peut et ne doit done exister en marge des grandes activites de ce ministere. Au contraire, elle dolt etre carrement placee dans la tache.quotidienne du travail de planification et dfamenagement. La re—

leguer a une fonction dturbanisme esthetique serait ltatrophiee et la diminuee de ce qutelle peut avoir de plus vital pour les interets de la societe et de la Voirie.

Les Equipes — Etudes sug&erees.

La composition de ce bureau est explicitee a. la figure V. Sous la direction dtun urbaniste—chef, deux equipes staffairentI llune principalement aux pro—

blemes .souleves par ltamenagement regional et metropo—

litain; llautre a un niveau plus restreinty aux proble—

mes dlamenagement local tel que la localisation exacte des arteres prevues et de leur moulage au milieu urbain.

Les etudes entreprises par chaque equipe'doi—

vent repondre. aux besoins les plus pressants du minis—

tere. A titre dtinformation, pour ltequipe dtamenage—,

ment regional et metropolitain, les premieres etudes devront etre les suivantes:

— Etude des criteres devant servir de guide a.

la localisation du reseau drautoroute dtetat.

(21)

—.ttude de delimitation des regions pour 1? ensemble de ltEtat du Quebec.

Etude de la localisation de la future autoroute Trans—Quebec.

Etude dtamenagement routier regional et metropolitain. Etc...

Lt6quipe des amenagements locafax, devra repon—

dre aux cas les plus pressants du ministere, tels que:

Localisation dtarteres en milieu urbain.

Regles guides dtesthetique routiere.

— Etc...

b) Le Colloque.

Entre ce bureau dturbanisme et les divers organismes municipaux et provinciaux charges de

conner le milieu urbain et regional, devra stotablir le colloque, source dtinformation et de compr6hension

pour les. uns et les autres. La tache en ce qui concer—

ne le Ministere est dtetre sur place a la table de dis- cussion avec ces divers organismes lorsque ceux—ci 61a—

borent des plans qui auront repercussion sur be reseau routier. Trop souvent, le ministere se voit place dans la position de spectateur aux erreurs des autres pour

ensuite etre appel6 a Teparer les pots casses. Le collo—

que aidera a minimiser ces erreurs.

(22)

Les echanseurs de circulation.

Donnons un exemple qui prend chaque jour plus dtactualite, celui concernant nos grands echangeurs.

Ici, des sommes quton aurait dit ii y a quelques annees, fantastiques, sont maintenant investies afin de satis—

faire les besoins dtune circulation toujours de plus en plus exigeante. Ceci est tres bien. Main bient8t plu—

sieurs de ces echangeurs seront déjà desuets. Pourquoi?

Une des principales raisons est la localisation prbs de ces echangeurs de grands generateurs. (centres industriels, centres dtachat regional, etc.), sur laquelle localisation le ministere de la Voirie nta aucun droit de regard. Ici, le colloque est donc de toute necessite afin dtetablir

avec les municipalites concernees -une base dtentente et ,les regles qui determineront ltaffectation du sol pres

de ces echangeurs. Sinon la Voirie se verra dans la ma—

lencontreuse position dtp.voir a rebatir a grands frais

dtici peu des echangeurs qutune politiqu6 positive vis—

a—vis le probleme eviterait.

(23)

CONCLUSION

La,tache de construction routiere ne peut sso.desassocier. de celle plus grande encore de bgtir

le milieu physique de lthomme, son habitat., Tels que demontre-en frontispice et aux figures I et II, la circulation routiere ntest que le resultat des grandes affectations du sol determines par les orga—

nismes charges de cette tache. Cet assujettissement . de la construction routiere a ces imperatifs ne Peut que resul-ter pour ce Ministere en une politique plus' eclairee resultant en des investissements routiers plus .ratiotels et plus economiques. 'La formation a ce Mi—

.nistere dIun bureau dturbanisme est done de toute.ne—

cessite.

(24)

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I

I

I

I

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