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Description de <i>Praedictyorbitolina Claveli</i> n. sp. Orbitolinide (<i>Foraminiferida</i>) de l&#039;Hauterivien supérieur du Jura neuchâtelois et vaudois (Suisse)

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Description de Praedictyorbitolina Claveli n. sp. Orbitolinide ( Foraminiferida ) de l'Hauterivien supérieur du Jura neuchâtelois et

vaudois (Suisse)

SCHROEDER, Rolf

Abstract

'Praedictyorbitolina claveli' n.sp. est décrite dans des calcaires de la partie inférieure de l'Hauterivien supérieur (zone à Sayni et Balearis pro parte) du Jura neuchâtelois et vaudois (Suisse). Cette nouvelle forme représente vraisemblablement l'ancêtre direct de 'Praedictyorbitolina carthusiana' SCHROEDER, CLAVEL & CHAROLLAIS. Elle existe également, dans des niveaux de même âge, dans le Jura méridional et en Chartreuse (France).

SCHROEDER, Rolf. Description de Praedictyorbitolina Claveli n. sp. Orbitolinide ( Foraminiferida ) de l'Hauterivien supérieur du Jura neuchâtelois et vaudois (Suisse). In:

Calcaires urgoniens et grès verts jurassiens et delphino-helvétiques . Genève : Université de Genève, Département de géologie et paléontologie, 1994. p. 15-23

Available at:

http://archive-ouverte.unige.ch/unige:137001

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1 / 1

(2)

Publ. Dèp. 9èol. paléontol. Univ. Genèvc Volume 14 t88N t0t2.2990 p.16-24 Gcnève, aoûi l99tl

DESCRI PTIO N

Dl

P BAEDI CTYO H EITO Ll N

A

CLAV ELt

n,sp.

oRBTTOLTNI DE (FOFA M tM F E n/p.Al

DE L'HAUTERIV|EN SUPERTEUR DU

JURA

NEUCHATELOIS ET VAUDOIS (SUISSE)

par

Rolf

SCHROEDER*

RESUME

Praedictyorbitolina clavelin.sp. est décrite dans des calcair€s de la partie inférieure de l'Hauterivien supérieur (zone

à

Sayni

et

Balearis

pro

partel

du

Jura neuchâtelois

et

vaudois (Suisse). Cette nouvelle forme représente vraisemblablement l'ancêtre direct

de

Praedictyorbitolina cafthusiana SCHROEDER, CLAVEL & CHAROLLAIS. Elle existe également, dans des niveaux de même âge, dans le Jura méridional et en Chartreuse (France).

ABSTRACT

Praedictyorbitolina clavelin.sp. is described from the lower part of the Upper Hauterivian (Sayni- and Balearis zone

pro

partel from

the

Swiss Jura (cantons Neuchâtel and Vaud). This new species probably has to be regarded as the direct anceslor of Praedictyorbitolina carthusiana SCHROEDER, CI-AVEL & CHAROLLAIS.

lt

occurs

in

horizons of the same age, in the southern Jura and in the Chartreuse Massif (northern Subalpine Region).

* Geologisch-Palâontologisches lnstitut, Universitât FranklurVMain ,32-3/,, Senckenberg-Anlage, D-6000 Frankfurt am Main.

(3)

ZUZAMMENFASSUNG

Praedictyorbitolina claveli n.sp. wird aus dem unteren Teil

des

Oberen Hautedvien

(Sayni-

und Balearis Zone

pro

parfe) des schweizerischen Jura (Kantone Neuchâtel und Vaud) beschrieben.

Diese neue

Art is

wahrscheinlich

als der

direkte Vorlâufer

von

Praedictyorbitolina carthusiana SCHROEDER, CTAVEL

&

CHAROLLAIS anzusehen.

Sie tritt

ebenfalls

auf in

gleichaltrigen Horizonten des sûdlichen Jura und der Chartreuse (nôrdliche subalpinen Ketten).

1

. ETUDE PALEONTOLOGIOUE

Famille Orbltolinidae MARTIN 1890

Sous-famille Dlctyorbitollninae SCHROEDER 1 990 Genre Praedictyorbitolina SCHROEDER & al. 1990

P raedlctyo rb lto I I na clavel I n. sp.

(pl. I, fig. 1 à 11)

Holotype: section axiale, figurée planche I (fig. 1)

Derlvatlo nomlnls: espèce dédiée à Bernard CI-AVEL (Villeurbanne).

Locus typlcus: route cantonale Olbe-Vallorbe, près

du

point 674,

au

SW

de

La Russille, VD

-

Suisse (coord. 526,54/1 76,05).

Stratum typlcum: niveau C 7042, calcaires bioclastiques de "l'Urgonien blanc", 3 m au dessus des

"Marnes de La Russille".

{99:

Cgrtège

{e

hqutnjveqqdgg qéqqe4geq

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(zone à Sayni} et

las

(!one

{

Qalgqris).

Matérlel étudlé: 14 lames minces de l'échantillon C7042 contenant plusieurs dizaines d'individus. De la même localité,

5lames

de l'échantillon C 7040

et

19 lames de l'échantillon G 7041. S'y ajoutent des échantillons de Boveresse (C 7047

-

14 lames) et Vaulion {C 7043

-

10 lames;

C7044

- l0lames;

C7O45

-

l4lames; C7046

-

14lames).

Tous les individus étudiés-probablement sans exception mégalosphériquesrmontrenl un test conique assêz aigu, aussi haut ou un peu plus haut que large (hauteur = 1,0-1,1 mm; diamètre = 0,9-1,1 mm;

angle apical = 45"-50o). Les flancs du cône sont plans ou légèrement ondulés; la face basale du test est également plan€ ou faiblement convexe (pl. l; fig. 1, 8-9).

L'embryon, situé en position excentrée (pl. l; fig. 1), consiste en une loge irrégulièrement globulaire (0,06 mm de diamètre chez I'holotype). ll n' a pas encore été possible de déterminer si cette loge est

un

élément homogène

ou, plus

probablement,

une

slructure formée

d'une proto- et

d'une deutéroconque.

(4)

L'ensemble des cinq à six loges postembryonnaires formant la partie initiale du test est faiblement incliné et montre un axe légèrement courbe. Cette partie initiale est suivie d'une série rectiligne d'une vingtaine de loges discoiïales, tout d'abord plates puis de plus en plus bombées le long de I'axe de croissance.

Ces loges sont différenciées en une zone marginale et une zone centrale:

- la

zone marginale

de

chaque loge

est

subdivisée par

de

minces cloisonnettes verticales qui s'étendent jusqu'à la limite de la zone centrale (pl.

l;

fig. 6). Ces cloisonnettes de premier ordre n'alternsnt pas d'une loge

à

l'autre, mais s'alignent

de

façon rectiligne (pl.

l; fig.

1

individu situé en haut à gauche;

fig.3,4,

10). La partie extérieure de chacune des logettes formées par ces cloisonnettes est en général subdivisée par un€ cloisonnette de deuxième ordre (verticale et horizontale), assez courte, dont l'ensemble forme un réseau sub-épidermal (pl. l; fig. 7, 1O). Les cloisonnettes horizontales sont parfois très rudimentaires,

-

la zone centrale est divisée par de nombreux piliers qui, dans leur partie inférieure, montrent en section transversale des contours irrégulièrement arrondis (pl. l, fig. 6). lls s'épaississent vers le haut si bien que, dans la partie sommitale des loges, des piliers voisins pêuvent se réunir et former

des

structures d'aspect vormiculairo

on

oootion traneverealo

(pl. l, fig. 6

moitié supérieure). Certains piliers situés en'bordure

de

la zone centrale sont soudés dans leur partie sommitale avec des cloisonnettes de premier ordre de la zone marginale (pl. I, fig. 6 moitié supérieure).

En section axiale, on observe que les piliers alternent d'une loge à l'autre (pl. l, fig. 1, individu situé en bas à droite; fig. 9).lls montrent des contours subtriangulaires en raison de leur épaississement vers le haut.

Les orifices aperturaux perçant les planchers sont exclusivement limités

à la

zone centrale. Les orifices situés en bordure de cette zone (= ouvertures marginales), suivant un axe vertical par rapport au plancher, forment une rangée circulaire. Tout comme les cloisonnettes verticales de premier ordrê, ces derniers s'alignent sur des droites issues de l'apex et se dirigent vers la base (pl. l;

fig.3-4,

10).

Au

contraire,

les

orifices aperturaux situés

dans la zone

centrale

à la

base

des

piliers sont obliquement orientés et s'alignent sur des droites disposées suivant les diagonales.

2. RAPPORTS ET DIFFERENCES

Praedictyorbitotina carthusiana SCHROEDER

& al.

1990, type et jusqu'à présent unique espèce attribuée

au genre

Praedictyorbitolina,

se

distingue extérieurement

de P.

claveli

par son

test beaucoup plus étaté (angle apical des individus provenant de la localité-type

=70" -

100") et ses

dimensions nettement plus grandes (hauteur = 1,2

-

1,6 mm; diamètre = 1 ,6

-

2,0 mm). La base des individus adultes

de P.

carthusiana présente une dépression morphologique centrale. Les loges embryonnaires des P. carthusiana de la localité-type sont considérablement plus grandes (diamètre = 0,13

-

0,14 mm) que celles de P. claveli.

(5)

0

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Russille l o )ùç$

YVERDON

ort,-' Vallorbe o Orbe 0

10km

r Vaulion

Localité-type de

claveli

n.

Fig. 1. - Plan de situation.

(6)

L'ensemble de ces faits permet de conclure que

P.

claveliest une espèce moins évoluée que P.

carthusiana

et

pourrait donc être considérée comme

un

ancêtre

de

cette

dernière

espèce. La présence dans les niveaux sommitaux de La Russille (C 70421et Vaulion (C 7046) d'individus plus volumineux et plus étalés qui semblent enchaîner morphologiquement sur des lormes primitives de P.

carth usiana renforce cette hypothèse.

La

même succession vient d'être retrouvée

au

Pic

de

I'Oeillette

en

Chartreuse (massif subalpin septentrional)

où les

Praedictyorbitolina clavelitypiques

de la

base

de

la falaise urgonienne sont accompagnées de formes plus évoluées à base concave et font rapidement place à des formes de transition entre P. claveliel P. carthusiana.

3. POSITION STRATIGRAPHIQUE

Dans les affleurements

de

La Russille, Vaulion

et

Boveresse (fig. 1), les niveaux qui ont fourni le matériel étudié appartiennent à la partie inférieure de l'Hauterivien supérieur (périodes de haut niveau des séquences tla4 -zone à Saynl- et HaS -zone à Balearis-) ICLAVEL et a\,1994, ce volumel, lls représentent la partie sommitale de "l'Urgonien inférieur = jaune"

-

échantillons C 7040, C 7043, C

7044,C7047-etlapartiebasalede"l'Urgoniensupérieur=blanc"-échantillonsCT04l ,C7042,C

7045,

C

7046

-.

Dans l'ensemble du Jura,

-

Valserina primitiva SCHROEDER, CHAROLLAIS &

CONRAD,

el

Valserina brônnimanni SCHROEDER

&

CONRAD

-

orbitolinidés

dont

I'apparition successive est datée respectivement de la base et du sommet de la zone à Angullcostata (CIâVEL et al. 1994, ce volume), se renconlrent beaucoup plus haut dans cette formation (dans les coupes les niveaux de cet âge sont représentés, ce qui n'est le cas ni à La Russille ni à Vaulion).

ll convient d'autre part de signaler que P. claveli, seule puis accompagnée de ses formes transientes vers P. carthusiana, a été collectée au Pic de I'Oeillette (massif de la Chartreuse, France) à la base de la falaise urgonienne:

-

seule, dans les calcaires hémipélagiques à petits bioclastes et dans les marnes interstratifiées à nombreux Toxaster retusus I-AMARCK. Au sein de la série hauterivienne qui les abrite, ces niveaux représentent le cortège de haut niveau d'une séquence attribuable

à

la séquence HaS

de

I'Hauterivien (zone

à

Balearls)

en

raison

de la

présence

de

Plesiospitidiscus gr.

ligatus D'ORBIGNY.

-

en compagnie de formes transientes, puis remplacée par des individus représentant des formes de transition clairement caractérisée vers P. carthusiana accompagnée

de

Valserina primitiva dans les vingt premiers mètres des calcaires bioclastiques grossiers représentant le cortège de bas niveau relatif de la séquence Ha6 (zone à Balearis).

Cette faune offre

un

intérêt tout particulier dans

la

mesure

I'affleurement

du

Pic

de

I'Oeillette représente I'extrémité méridionale d'une falaise qui se suit aisément dans la topographie, sur un peu moins

de neuf

kilomètres, jusqu'à

sa

retombée septentrionale

du Pas du Frou

(massif

de

la Chartreuse), localité-type

de

Praedictyorbitolina carthusiana. Dans

ce

dernier affleurement, le

(7)

niveau-type

de P.

carthusiana

se

situe quarante mètres au-dessus

de la

base

de la

falaise bioclastique urgonienne, (marquée par le toit du dernier niveau marneux hémipélagique

à

Toxaster retusus qui se retrouve

en

même position au Pic de l'Oeillette), au-dessus même des premières Valserina broennimanni.

ll

est donc vraisemblable que les orbitolinidés déterminées dans les vingt premiers mètres au-dessus de ce niveau comme

d.

P.carthusiana en raison de I'absence d'embryon dans les individus examinés (SCHROEDER & al. 1990), appartiennent à I'espèce claveli.

En tout état de cause, il appert que

P,

clavelise situe, en Chartreuse comme dans le Jura, dans la

partie

inférieure

de

I'Hauterivien supérieur, au-dessous

des divers

niveaux

fournissant

P.

carthusiana, V. primitivaou V. broennimanni.

Le matériel décrit dans cette note est déposé

à

l'lnstitut de Géologie et Paléontologie de l'Université de Francfort.

Les auteurs tiennent à remercier J. Fellmann pour avoir assuré la dactylographie et

la

mise en page, ainsique P. Desjacques et F. Gischig pour avoir confectionné de nombreuses lames minees.

Les missr'ons de tenain nécessaires à la réalisation de ce travail ont été, en partie, financées par le Fonds nationalsuisse de la Recherche scientifique (requêtes: 20-37089.93 et 20-33422.92).

(8)

BIBLIOGRAPHIE

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8.,

SCHROEDER,

R,,

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J.,

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domaine

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région genevoise. Contribution

à

l'études

des

Orbitolinidae:

Valserina bronnimanni SCHROEDER

und

CONRAD,

n.gen., n.sp.;

Paleodictyoconus barremianus (MOULI-ADEI

el

Paleodictyoconus cuvillieri(FOURY). Arch. Sc. Genève, 20/2, 199-222.

(9)

PLANCHE I

Fig. 1-1 1.

-

Praedictyorbitolina clavelln.sp.

1: Section tangentielle (à gauche, en haut) et section axiale, holotype (à droite, en bas). La Russille, Lame C 7042-5. 50 x.

2: Section transverse oblique. La Russille. l-ame C 7041-15. 50x.

3: Section tangentielle. Boveresse. l-ame C 7047-5. 50x.

4: Section tangentielle. Boveresse. Lame C 7047-3.50x.

5: Section oblique. Vaulion. Lame C 7046-1. 50x.

6: Section transverse, un peu oblique. La Russille. Lame C 7042-11. 50x.

7: Section tangentielle. Vaulion. Lame C 7046-2. 50x.

8: Section subaxiale. La Russille. l-ame C 7041-'12.50x.

9: Section subaxiale. Vaulion. Lame C 7045-1. 50x.

10: Section tangentielle. Vaulion. Lame C 7046-3. 50x.

1 1: Section tangentielle oblique. Vaulion. Lame C 7046-4. 50x.

(10)

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