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Phénomènes électrocapillaires produits par des corps solides

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Academic year: 2021

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HAL Id: jpa-00239003

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00239003

Submitted on 1 Jan 1889

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Phénomènes électrocapillaires produits par des corps solides

Krouchkoll

To cite this version:

Krouchkoll. Phénomènes électrocapillaires produits par des corps solides. J. Phys. Theor. Appl.,

1889, 8 (1), pp.472-482. �10.1051/jphystap:018890080047201�. �jpa-00239003�

(2)

Substances.

PHÉNOMÈNES ÉLECTROCAPILLAIRES PRODUITS PAR DES CORPS SOLIDES ; PAR M. KROUCHKOLL.

1. Dans un travail antérieur (3), j’ai montré que les phénomènes électrocapillaires peuvent être généralisés et étendus aux liquides

non nliscibles : je me suis proposé de recherclier si ces phéno-

inènes ne pouvaient pas avoir une nouvelle généralisation et se

retrouver dans les corps solides. Il est clair que, dans ce cas, on ne peut chercher que les phénomènes électriques résultant d’un

changement de surface d’un corps solide, ou l’inverse de ces phé-

nomènes électriques : voir si la polarisation ne produit pas un

changement de surface.

3Ia première idée était de faire des expériences avec certaines

substances organiques qu’on obtient facilement en feuilles exten-

sibles, telles que la gélatine ou l’albumine coagulée.

Une lame de gélatine, telle qu’on en trouve dans le commerce,

laissée pendant quelque temps dans l’eau, devient extensible et

(1) lBIème composition que le précédent, avant fusion.

(2) Ces bronzes phosphoreux proviennent des fonderies et tréfileries d’Ander- lecht-les-Bruxelles. Leur composition est, à très peu près :

( 3 ) Voir Journal cle Physique) 2e série, t. III, p. 303.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018890080047201

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473

possède une élasticité assez grande pour reprendre sa forme ini-

tiale après avoir été soumise à une légère extension. Avec une

telle lame, rendue conductrice, on pourrait se proposer de voir si

quelque phénomène électrique accompagne l’extension de sa sur-

face, et si ce même phénomène, changé de sens, réapparaît quand

la lame étendue revient à sa forme primitive.

Mes premières expériences ont confirmé les prévisions théo- riques : elles m’ont montré qu’une lame de gélatine étendue dans l’eau devenait positive par rapport à l’eau (le courant tend à aller

du liquide à la gélatine à travers la surface de contact gélatine- eau) (’ ~.

Le phénomène changeait de sens lorsque la lame revenait. Ces premiers résultats obtenus, je me suis occupé de métaux ductiles,

comme le cuivre, l’argent et le plomb.

Voici comment l’expérience était disposée et exécutée :

Un fil métallique recuit j‘’f ~, de 6ol- de longueur et de omn’, 4 à omm,6 de diamètre, est tendu horizontalement dans un tube de

verre tel de 5o"n de longueur et de 8mm de section, rempli de li- quide et bouché aux deux extrémités par des tampons de coton.

Ce tube repose sur deux montants en liège KK’ fixés sur une planche de bois. L’une des extrémités du fil f~ est fixée dans une

borne b’ et reste immobile, l’extrémité f est pincée dans une

borne b fixée sur un tambour M tournant autour d’un axe hori- zontal. A ce tambour est fixé un levier L sur lequel on agit lors- qu’on veut étendre le fil. Grâce aux tampons de coton, le fil s’é- tend sans cesser d’être mouillé.

Dans quelques expériences, j’ai eu soin d’isoler les extrémités du fil des tampons, des deux côtés, en le couvrant à chaud d’une couche de vernis à la gomme laqué et de ne recuire que la partie

du fil entre les portions ainsi isolées. Les phénomènes étaient, d’ailleurs, les mêmes que si les extrémités du fil n’étaient pas vernies.

Sur le tube tt’ sont fixés deux autres tubes Il’ et ntnz’ plus larges, qui communiquent avec le tube central par de petits ori-

(’ ) Ces expériences sont reprises maintenant par

une

autre méthode qui me

ermettra d’étudier un grand nombre de substances organiques.

(4)

fices a, ~3, y, pratiques dans ce dernier. Ces deux tubes extérieurs

sont également remplis de liquide : l’un d’eux, Il’, contient une électrode témoin T, faite avec le même métal que le fil tendu, qui

est en dehors du circuit et qui sert de terme de comparaison pour les potentiels du fil ff°’ ; l’autre, n2j~z’, peut être mis en COnl11lUni-

cation, à l’aide du siphon S, avec un vase contenant une électrode impolarisable (une lame de cuivre plongeant dans du sulfate de cuivre).

Fig.

Fig.

T.

Si l’on réunit aux bornes d’un électromètre capillaire l’électrode témoin et le fil soumis à l’extension, on constate que ce dernier devient négatif au moment on l’allonge de façon à dépasser la

limite de l’élasticité.

L’électromètre revient à sa position initiale dès que l’extension

cesse.

On peut s’assurer que ce phénomène n’est pas un phénomène thermo-électrique. En effet, supposons que le fil soumis à l’ex- tension soit un fil de cuivre. Alors, si le tube central qui dépasse

le tube extérieur, comme on le voit sur la figure, est chauffé di-

rectement au moyen d’un bec Bunsen, on observe que le sens du

phénomène thermo-électrique est contraire au sens du phénomène précéden t : le fil devient positif. Or on sait qu’un fil métallique s’é-

chauffe lorsqu’on l’étend au delà de sa limite d’élasticité.

Essayons maintenant d’étendre le fil en le polarisant négative-

ment (par l’hydrogéne ~. On constate que, pour une certaine pola- risation, le sens du phénomène est renversé : l’extension rend le fil pusitif.11 est facile de mesurer la force électromotrice de polarisa-

tion par une méthode de réduction à zéro, sans supprimer le cou-

(5)

475

rant polarisant. J’applique cette méthode de la manière suivante : Le fil tendu est mis en communication avec le pôle négatif

d’une pile P qui fournit le courant polarisant, le pôle positif de

cette pile étant mis en colnmunication avec l’électrode impolari- sable ; de cette manière, toute la polarisation se porte sur le fil tendu. Puis, pendant que ce dernier se polarise, je le compare à l’électrode témoin T en compensant la force électromotrice qui

existe entre eux à l’aide d’une dérivation prise sur une pile étran- gère P’ due 2 daniells, dérivation qui contient l’électromètre ca-

pillaire. L’électromètre est toujours ramené à la position d’éclmi-

libre.

Pour la facilité des observations, l’électrolnètre est muni d’un

système de projection. L’image de la colonne mercurielle est pro-

jetée, à l’aide d’un objectif de microscope, sur un verre dépoli

portant une graduation. On pouvait ainsi apprécier facilement le

1UUU0 de daniell.

Le schéma de la disposition expérimentale est représenté sur

la fi,--. a : ~/~ est le fil soumis à l’extension ; I, l’électrode im-

polarisable ; P, la pile de 2 daniells qui fournit le courant pola-

risant. Les pôles de cette pile sont attachés à un rhéostat RR’, et

l’électrode impolarisable est reliée à un contact mobile b qui se déplace le long du rhéostat. En le déplaçant le long de ce rhéostat,

on peut obtenir toutes les valeurs de la polarisation comprises

entre o et 1 volt environ. P’ est la pile donnant le courant servant à compenser la force électromotrice de polarisation. Le courant de

cette pile passe dans une résistance R’; s et cc sont deux points pris sur cette résistance et entre lesquels la force électromotrice

est égale à celle qui existe entre le fil f’~ f’~ et l’électrode témoin T ;

a et ~ sont les deux bornes de l’électromètre.

La force électromotrice de la pile P’ n’étant pas constante, on la comparait avant et après chaque expérience avec la force élec- tromotrice d’un élément Latimer-Clark. En fait, on évaluait la force électromotrice de compensation entre cc et s en Latimer-

Clark. A cet effet, on détermine sur la résistance R~! deux points,

par exemple cc et c, entre lesquels la force électromotrice soit égale

à celle d’un Lat.-Cl. Il suffit alors de diviser la résistance czs par la résistance ac pour avoir la force électromotrice entre le fil ff’ et

l’électrode-témoin en Lat.-CI.

(6)

Dans le cas du cuivre en contact avec l’eau contenant 2 pour 100 de sulfate de soude, le renversement du sens du courante dû à l’extension du fil, s’est produit, dans deux expériences, pour des forces électromotrices de polarisation égales à olat, 206 et o’at, 2fi3

(o~3o4 et o~,348).

Fig.

2.

Il y a donc pour le cuivre en contact avec un liquide conducteur

une force électromotrice de polarisation pour laquelle la variation

de la surface du métal ne produirait aucun effet électrique.

2. On sait comment, dans le cas du mercure, l’hypothèse de la

couche double explique le phénomène du renversement des effets

électriques, pendant la variation de la surface, pour une certaine

polarisation. Dans cette théorie, la force électromotrice de pola-

risation correspondant au point l’efl’et à l’extension de la surface du métal est nul représente la force électromotrice vraie de contact du métal et du liquide.

Les nombres cités plus hau t, qui donnent la force électromotrice

entre l’électrode témoin et le fil f’f’ au moment l’extension de

ce fil ne produit aucun effet électrique, représenteraient donc la

force électromotrice de contact entre l’électrode témoin et le

liquide.

En effet, soient Vile potentiel du fil tendu, V2 celui du liquide

et V 3 celui du fil témoin. Au moment du renversement, on a,

(7)

477 dans l’h~~po thése de la couche double,

Soit p la force électromotrice de polarisation, force électro-

motrice mesurée par celle qui existe entre les deux points a et s pris sur la dérivation. On a, au moment où l’électromètre est en

équilibre,

p est donc égal à la force électromotrice de contact entre l’élec- trode témoin et le liquide.

3. On peut déterminer ainsi la force électromotrice de contact entre le liquide et les deux métaux séparément, par exemple entre

le liquide et le cuivre et ce même liquide et le mercure. On peut former ensuite une pile cuivre-liquide-mercure et mesurer sa force électromotrice E. Celle-ci sera égale à une somme algébrique de

termes

en désignant les métaux par leurs symboles chimiques, le liquide

par la lettre L, et en général par le symbole X ~ 1 Y l’excès de po- tentiel que présente un conducteur Y sur le conducteur X en con- tact avec lui. Dans cette somme, les termes Gu ~ l L et L 1 Hg sont

connus ; par différence, on aura Hg ! J Cu, c’est-à-dire la force électromotrice de contact du cuivre et du mercure.

Mes expériences ont porté sur le cuivre, le plomb et l’argent.

Quant au mercure, j’ai pu me servir du nombre donné par 1B1. Pellat.

4. Nous avons déjà vu que, pour le cuivre, le changement de

sens que subit le courant du à l’extension du fil se produit pour

une force électromotrice variant entre olat , 206 et o~~ 243, de sorte

que

~’ai trouvé de même que

et

(8)

Si j’adopte le nombre de M. Pellat pour la valeur de L 1 Hg, ilaurai

Si je forme des couples avec le liquide et les différents métaux

successivement, en prenant pour électrodes dans ces couples les

différentes électrodes témoins qui ont servi à déterminer les force,s électromotrices de contact entre le liquide et ces métaux 1 ’ ), je pourrai déduire de la force électromotrice des couples la force

électromotrice de contact des différents métaux.

Mais ici se présente une diffculté inhérente à toutes les mesures

de ce genre : les nombres qui représentent les forces électromo- trices des couples varient, ces forces électromotrices dépendant

de l’état des surfaces des électrodes. Déjà M. Hankel (2) et plus

tard M. Pellat ( 3 ~ ont montré que la différence de potentiel appa-

rente au contact des métaux variait avec l’état de leurs surfaces en

regard. Il était à prévoir que la même influence se ferait sentir dans la mesure des forces électromotrices des couples que j’ai eu

à former.

Il est bien entendu que ces couples n’ont jamais été fermés sur

eux-mêmes. La mesure se faisait par la méthode de compensation exposée plus haut, et, comme j’avais dans le circuit un électro- mètre capillaire, la polarisation était soigneusement évitée. En

outre, la température ambiante ne variait pas beaucoup : les ex- périences se faisaient au mois de juin. Du reste, les variations de force électromotrice étaient assez rapides.

Dans ces conditions, l’influence de la surface pouvait être ob-

servée avec beaucoup de netteté.

En général, la force électromotrice d’un co uple, même laissé

ouvert, varie avec le temps : elle augmente ou diminue (dans les couples l’un des métaux est le plomb) et cela tient également

aux modifications que subissent les surfaces des métaux avec le

temps, surtout lorsque ces métaux se trouvent en contact d’un liquide aqueux.

(1) Plus exactement entre le liquide et les électrodes témoin.

(2) Pogg. Ann., t. CXV, p. 57, et t. CXXVI, p. 286.

( 3 ) Annales de Chimie et de Physique, 5, série, t. XXIV, p. 5.

(9)

479 Voici les nombres que j’ai trouvés pour les forces électron~.o- trices des différents couples que j’avais à former :

C’est le couple le plus constant.

Les variations les plus curieuses ont été observées sur le couple mercure-liquide-argent. Suivant le temps que les deux électrodes

restent dans le liquide, Fardent forme le pôle positif ou le pôle négatif de la pile. Ainsi, en indiquant par le signe - que l’argent

est le pôle négatif, j’ai trouvé :

Dans une expérience la force électromotrice du couple était

--(- o, 004, il a suffi de frôler le fil d’ argent qui servait d’électrode

.avec du papier buvard pour que la force électromotrice changeât

de signe.

Les forces électromotrices des couples étant variables, les nom-

bres représentant les forces électromotrices de contact des mé-

(10)

taux s’en trouveront nécessairement affectés. Il faudra, parmi les

nombres qui représentent les forces électromotrices des couples,

choisir puur le calcul des forces électromotrices de contact ceux

qui corresponden t le mieux aux conditions dans lesquelles on a

mesuré les forces électromotrices de contact des métaux et des li-

quides.

Voici quels sont les nombres que j’ai obtenus pour les quatre

métaux Cu. Ag, Pb et Hg. J’ai

or

donc

Nous avons trouvé

On aura donc

On a de même cl’oii

De même

d’où

Je puis former trois couples l’ une des électrodes sera du mer-

cure, et j’aurai

d’ où donc

De même d’où

Finalement

(11)

48I

En résume, on a, pour les quatre métaux,

ce qui vérifie à o’a’, 0°7 près la loi des tensions.

En ef~’et, on a

ce qui donne

et le nomhre trouvé directement est

Il est bien entendu que ces nombres doivent être considérés

comme des valeurs approchées de la différence de potentiel entre

les métaux, pour les raisons que j’ai déjà indiquées plus haut.

D’ailleurs, cette remarque s’applique à tous les nombres don-

nant les différences de potentiel apparentes des métaux. Les ex-

périences que je viens d’exposer ont surtout pour but de confirmer la théori e de la couche double.

Je ferai encore remarquer qu’un fil de cuivre, soumis à l’exten-

sion dans une dissolution concentrée de sulfate de cuivre, ne donne

lieu qu’à un phénomène électrique presque inappréciable et n’est

pas modifié par la polarisation, parce que le fil ne se polarise pas.

Il n’est pas sans intérêt de rapprocher ce fait de celui qu’a observé

M. Kônig 1 ’ ) à propos de mercure, à savoir, que la tension superfi-

cielle d’une goutte de mercure dans une dissolution l’un sel de

ce métal ne varie pas; elle garde sa valeur maxima quelle que soi t la force électromotrice de polarisation.

5. M.

i

Gouy a montré qu’une spirale faite avec till~p_ lame très

mince, d’or vernie d’~~n côté, change de courbure lorsque, plongée

1 ) T~TZ~C~Gï72CG72~2’S _Ánnalen, t. xv L p. 2h; 1882.

(12)

dans un électrolytes, on la polarise. Sa courbure augmente, elle tend

à s’enrouler davantage quand on la polarise négativement ; elle

diminue et la spirale tend à se dérouler, lot~squ’on la polarise po- sitivement. Ce phénomène, découvert par M. t~ouy, peut être con- sidéré comme le phénomène inverse des phénomènes que j’ai dé-

crits plus haut.

WIEDEMANN’S ANNALEN DER PHYSIK UND CHEMIE.

Tomes XXXIII et XXXIV; janvier-août 1888 [Suite (

E. WIEDEMANN. 2013 Sur la phosphorescence et la fluorescence,

t. XXXIV, p. £fi6-£63.

1. W. Wiedemann propose une terminologie nouvelle pour les

phénomènes d’émission lumineuse qui échappent à la loi de Kirch-

hoff. Le nom générique de luznz~2esce~zce appliqué à tous les phénomènes donnerait les noms dérivés de ~lzotoZzzrnZJ2escence (phosphorescence ou fluorescence développée sous l’action de la

lumière), d’électroluminescence (tubes de Geissler), de cl2zznzLzc-

~~2zr2escence, de thermo-, tribo-, enistcclZoZzcn2znescence. Enfin

on nommerait température de Luminescence) pour une radiation donnée, la température à laquelle il faudrait élever le corps lumi-

nescent pour qu’il émit, en dehors de toute excitation extérieure,

la radiation considérée, avec la même intensité.

2. La phosphorescence n’a été observée jusqu’ici que sur les corps solides. M. Wiedemann s’est demandé si des liquides fluo-

rescents, solidifiés artificiellement, ne deviendraient pas phospho-

rescents. L’éosine, le sulfate de quinine, l’esculine, le fluorescéine, le chlorhydrate d’acridine en dissolution aqueuse ont été addi- tionnées de gélatine, puis desséchées : toutes ces substances ont

présenté le phénomène de la phosphorescence, en particulier le

sulfate de quinine et le chlorhydrate d’acridine luisent pendant plusieurs secondes.

3. M. Wiedemann décrit un phosphoroscope du genre du

( 1 ) Voir Journal de Physique) t. VIII, p. !~~ ; .

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