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Alliages à structure « modulée »

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HAL Id: jpa-00236690

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00236690

Submitted on 1 Jan 1962

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Alliages à structure “ modulée ”

J. Manenc

To cite this version:

J. Manenc. Alliages à structure “ modulée ”. J. Phys. Radium, 1962, 23 (10), pp.830-834.

�10.1051/jphysrad:019620023010083000�. �jpa-00236690�

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ALLIAGES A STRUCTURE « MODULÉE»

Par J. MANENC,

I. R. S. I. D., Saint Germain en Laye. (S.-et-O.)

Résumé.

2014

Les alliages métalliques qui donnent lieu aux phénomènes de raies satellites sur

les diagrammes de rayons X se classent en plusieurs catégories, elles-mêmes subdivisées en familles.

Le protoxyde de fer présente au début de sa décomposition en magnétite et fer, au-dessous de 570°, les mêmes effets. Ceux-ci sont analysés ainsi que les théories actuelles qui tentent de les expliquer.

Abstract.

2014

Metallic alloys showing side bands on X-ray patterns can be divided into several classes, each of them being subdivided into

"

families ". Ferrous oxide shows the same effects,

at the beginning of its décomposition into magnetite and iron, below 570 °C. These effects are

analysed, as well as theories present, which attempt to explain them.

PHYSIQUE 23, 1962,

Les premiers alliages à structure « modulée », Cu-Fe-Ni, ont été étudiés par Bradley [1], puis par Daniel et Lipson [2]. Le diagramme d’équilibre comporte pour ces alliages à haute température

une solution solide c. f. c. et un domaine à deux

phases c. f. c. de paramètres voisins. Ce dernier domaine s’élargit à basse température et on obtient

un durcissement par décomposition de la solution solide. Avant d’arriver à l’état final d’équilibre,

ces alliages passent par des stades intermédiaires :

un stade caractérisé par une diffusion anormale se

traduisant par des satellites sur les diagrammes de

diffraction de rayons X et un stade pendant lequel

les phases de décomposition sont visibles mais ont des mailles de structures quadratiques peu diffé- rentes de leurs mailles d’équilibre c. f. c. Nous

allons considérer de plus dans cet exposé d’autres alliages étudiés depuis la publication des travaux

cités plus haut. Ils appartiennent à trois catégories principales : les alliages binaires ou ternaires qui se décomposent en deux solutions solides, les alliages

avec précipitation d’une phase de formule MgN de

structure type Cu3Au et les alliages avec préci- pitation d’une phase également de formule MgN

mais de structure hexagonale.

A) Solutions solides.

-

a) ALLIAGES BINAIRES

Au-Pt ET Au-Ni.

-

Les diagrammes d’équilibre

ont la forme représentée (fig. 1). A haute tempé-

rature les deux rrétaux sont miscibles en toutes

proportions, la phase unique est c. f. c. A basse température deux solutions solides terminables

c. f. c. coexistent. Tiedema, Bouman et Burgers [3],

ont montré dans les alliages Au-Pt, l’existence du stade de pré-précipitation et en ont expliqué la for-

ination par des considérations thermodynamiques [4], [5]. Fukano [6] a trouvé récemment que le vieillissement vers 150 OC des alliages Au-Ni faisait

apparaître de la diffusion en forme de satellites sur

les diagrammes de diffraction d’électrons.

Dans les alliages Al-Zn on pense [7] qu’il existe

une lacune de miscibilité métastable à basse tempé- rature ; or Graf [8] a trouvé des satellites sur les

diagrammes de polycristaux pour les alliages Al-Zn

à 40 % de Zn. On peut donc les faire entrer dans

cette première famille.

FIG. Diagramme d’équilibre Au-Ni.

b) ALLIAGES TERNAIRES Cu-Fe-Ni, CO-Cu-Nl,

Cr-Cu-Ni.

-

Les alliages Cu-Fe-Ni ont été étudiés

ces dernières années par Hargreaves [9], Bie-

dermann et Kneller [10], Hillert, Cohen et Aver-

bach [11]. Ils se comportent comme des alliages

binaires : les deux solutions solides c. f. c. qui remplacent au refroidissement la solution solide

homogène c. f. c. stable à haute température sont

d’une part, une solution solide riche en cuivre et d’autre part, une solution solide riche en fer. La lacune de miscibilité est provoquée par la faible solubilité du cuivre dans le fer et réciproquement.

Les alliages Co-Cu-Ni ont été étudiés par .Geisler [12] ainsi que par Biedermann [10]. Ils pré-

sentent une grande analogie avec les alliages Cu

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphysrad:019620023010083000

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831

Fe-Ni, puisque le cobalt et le cuivre sont peu solubles l’un dans l’autre.

Pour les alliages Cu-Cr-Ni le diagramme est à peine plus, compliqué que pour les précédents [13].

Il existe cependant une lacune de miscibilité dont l’étendue diminue aux températures élevées [14].

Elle est due à la faible solubilité réciproque du

chrome et du cuivre, alors que le chrome et le nickel forment une solution solide riche en nickel.

Ces trois systèmes sont composés de trois métaux

dont deux sont peu solubles l’un dans l’autre, mais

sont susceptibles de dissoudre le troisième ou de

s’y dissoudre largement. On pourrait vraisembla- blement trouver d’autres systèmes de trois métaux qui conduiraient à des propriétés analogues. Dans

ces alliages les atomes solutés ne semblent pas occuper de sites privilégiés dans les mailles des

phases en équilibre. Au contraire les atomes sem-

blables se repoussent dans les alliages suivants et

un orde apparaît.

B) Alliages formés d’une solution solide termi- nale où une phase de formule M3N précipite.

-

La

solution solide terminale est c. f. c., son domaine d’existence s’élargit lorsque la température s’élève (fig. 2). Le composé M3N a un domaine d’existence

Fie. 2.

-

Diagramme d’équilibre Ni-Ti.

étroit, sa composition varie peu le long de la ligne qui le sépare du domaine à deux phases du côté de

la solution solide terminale.

a) LE PRÉCIPITÉ DE FORMULE M3N A UNE MAILLE

DE STRUCTURE TYPE Cu3Au.

-

Les alliages Ni-Al, Ni-Si, Co-Ti en font partie. Les phases précipitées

sont d’une part Ni3AI et Ni3Si [15, 16, 17] et

d’autre part Co3Ti [18]. La solution solide c. f. c.

des alliages à base de cobalt est retenue en l’absence

d’écrouissage car le titane abaisse la température

de la transformation allotropique du cobalt au

refroidissement. On peut pour ces trois familles

d’alliages, ajouter un troisième et un quatrième

élément qui peuvent entrer en solution de substi- tution soit dans le composé défini soit dans la solution solide [19]. On accroît ou réduit de cette façon la différence de paramètre qui existe entre la

maille du précipité et celle de la matrice.

b) LE PRÉCIPITÉ DE FORMULE M3N a une maille

de structure hexagonale ordonnée ou qui en diffère

peu. On connait les alliages Ni-Ti riches en nickel

[20,’ 21], Cu-Ti riches en cuivre [22, 23]. La préci- pitàtion de la phase d’équilibre est précédée par celle d’une phase métastable dont la structure est voisine de celle de la solution solide, mais ordonnée.

C) ON TROUVE EN DEHORS DES CATÉGORIES PRÉ- cÉDENTES d’autres alliages et un oxyde qui donnent

les mêmes phénomènes de diffraction :

-

Les alliages Fe-Ni-Al peuvent être considérés

comme quasi-binaires et formés d’une part du

fer oc c. c. et d’autre part de la phase Ni-Al c. c., ordonnée. Les paramètres des mailles sont très voisins [12].

-’ Les alliages Co-Mo la solution solide hexa-

gonale après transformation allotropique se décom-

pose en deux phases de mailles hexagonales, de paramètres peu différents également [24].

-

Le protoxyde de fer FeQ n’est stable qu’à

haute température. Au-dessous de 570 OC, il se décompose en magnétite Fe304 et fer-métal. Cette

décomposition était considérée jusqu’à présent

comme due à une réaction du type perlitique.

Cependant avant que n’apparaisse aux basses tem- pératures la magnétite, on voit sur les diagrammes

de rayons X, des raies et taches satellites, exac-

tement comme pour les alliages que nous venons de mentionner [25]. C’est cette manifestation com- mune de la précipitation que nous allons examiner maintenant.

Manifestations générales du début de la préci- pitation.

-

Après le maintien à haute température

et la trempe, on obtient une solution solide sur-

saturée et on ne détecte rien d’autre sur les dia-

gramnies de diffraction que les raies qui lui corres- pondent. Toutefois, Bagaryatskii et Tyapkin pen- sent que dans le cas des alliages Ni-Al et Ni-Ti des

rassemblements d’atomes, qui préfigurent les zones

de pré-précipitation, existent avant la trempe. Ils

ont opéré avec des alliages très riches en aluminium

ou titane ; or on‘ sait qu’il est difficile d’éviter dans

ces conditions le début de la précipitation, car le

refroidissement n’est pas immédiat.

Au début des traitements de revenu la solution solide durcit, on voit apparaître sur les diagrammes

de diffraction, une diffusion « anormale » : chaque

raie est bordée de deux raies satellites floues dont

l’espacement angulaire ne correspond pas à ce que l’on pourrait attendre si l’on avait affaire à des

phases individuelles qui diffracteraient sans cohé-

(4)

832

rence avec la matrice, tandis que l’on ne décèle pas de changement de paramètre pour la maille de cette dernière (fig. 3). L’exploration de l’espace réci»

FIG. 3.

-

Raies satellites obtenues avec un alliage à 46 %

de Cu, 44 % de Ni, 10 % de Cr vieilli 2 h à 700°.

proque à l’aide de gros cristaux a permis de voir

que ces raies satellites correspondaient à des noeuds

situés sur les rangés 100 > de l’espace réci-

proque de la matrice et à leur voisinage immédiat (fig. 4 et 5). En particulier lorsque les phases

Fie. 4.

-

Noeuds satellites sur les taches 111 et 200 d’un

alliage de nickel Ô 8 % d’aluminium vieilli 3 h à 650°.

d’équilibre ont des paramètres qui diffèrent de plus

de 0,5 %, ces noeuds sont bien résolus ; leur écar-

tement à partir du noeud de la matrice est sensi- blement constant dans les premières mailles (fig. 6).

Les noeuds (h 0 0) ne comportent qu’une seule paire

de noeuds satellites, les noeuds (h k 0) deux paires,

les noeuds (h k l) trois paires. Pour certains alliages

le centre de l’espace réciproque est bordé de satel-

lites de faible intensité [7, 8] et une diffusion appa- raît à l’emplacement des noeuds (100), (110)

...

FIG. 5.

-

Noeuds satellites donnés par le protoxyde de

fer trempé doucement.

correspondants à la maille type Cu3Au (Ni-Al, Ni-Si). Lorsque le vieillissement se poursuit les raies

satellites se rapprochent de celles de la matrice,

leur intensité s’accroît, elles deviennent dissy-

FIG. 6.

-

Maille de l’espace réciproque d’un cristal c. f. c.

montrant la disposition des satellites.

métriques. Elles sont ensuite progressivement rem- placées par les raies propres au précipité incohérent

et à la solution solide appauvrie. Simultanément,

les raies de la matrice s’aflaiblissent et disparaissent

Lorsque les alliages comportent des phases d’équi-

(5)

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libre de paramètres différents de moins de 0,3 % environ, les satellites près des noeuds (h k 1) ne sont

pas résolus (fig. 7).

FIG. 7.

-

Alliage de nickel à 7 % de silicium vieilli 1 h à 6500. Satellites non résolus pour les taches 111.

Signification de la diffusion anormale.

-

La dif- fusion anormale peut être attribuée à une modi-

fication de la distribution des atomes du soluté au sein de la solution solide hors d’équilibre après trempe. Dans la plupart des cas, on peut faire

abstraction dé différences de facteurs de structure des atomes et ne tenir compte que de leurs dépla-

cements. On devrait, si l’effet de ceux-là était

sensible, trouver 3 paires de satellites pour les noeuds (h 0 0) que l’on n’observe pas expérimen-

talement lorsque les noeuds satellites sont résolus.

Les atomes de chaque plan 1100 du cristal sont

déplacés en bloc dans la direction 100 > qui lui

est perpendiculaire, ce qui provoque une augmen-

tation ou diminution locale de la distance interré- ticulaire.

Nous avons dit plus haut, que l’écartement entre les noeuds satellites et le noeud de la matrice, était sensiblement constant dans l’espace réciproque. Ce

fait suggéra à Daniel et Lipson l’interprétation

suivante : localement, le réseau du cristal est

modulé périodiquement dans une des trois direc-

tions 100 >, avec formation d’une nouvelle structure dont la maille est quadratique. Le para-

mètre a est égal à celui de la matrice c. f. c., le

paramètre c est égal à Q fois celui de la matrice-

Dans la super-maille ainsi formée, les plans cristal- lographiques sont déplacés de telle sorte que leur

distance moyenne reste celle de la solution solide sursaturée et que la cohérence soit conservée. Il en

résulte dans l’espace réciproque, des noeuds dis- tants de 1/c sur les rangées parallèles à [001] et dimension inversement proportionnelle au nombré

de · mailles ainsi formées. L’intensité diffractée, attachée à chacun d’eux dépend de la valeur du

facteur de structure de la super-maille en ce point

de l’espace réciproque. Les calculs de l’intensité ont été faits par Hargreaves [9], Biedermann [26],

Tiedema [3] pour plusieurs modèles de structure. On

trouve plusieurs ordres de satellites, y compris les

noeuds principaux et une dissymétrie d’intensité de part et d’autre de ces derniers. Cette dissymétrie

peut s’accroitre soit en fonction de la,dimension de

la super-maille, soit en fonction de l’ordre de dif- fraction, c’est-à-dire de l’éloignement du centre de l’espace réciproque.

Une autre interprétation proposée par Gui-

nier [27] est la suivante : au sein de la solution solide sursaturée, se forment des zones planes.

Elles sont composées d’un feuillet de plans ato- miques dont la distance est plus faible ou plus grande que celle des plans de la solution solide,

bordé de deux feuillets de plans dont la distance

est telle qu’elle compense les déplacements dés plans du feuillet central. On calcule à partir d’un

tel modèle l’intensité diffusée en dehors des ré- flexions principales par suite des déplacements des plans atomiques. On trouve des noeuds satellites dont l’intensité est d’autant plus dissymétrique

que la zone a une dimension transversale plus grande, ou que l’ordre de diffraction est plus grand [28].

Les modèles périodique et non périodique peu-

vent donc rendre compte l’un et l’autre de l’exis-

tence des noeuds satellites. Dans la première éven- tualité, lorsqu’ils se rapprochent du noeud prin- cipal, ce déplacement indique une augmentation

de la période de modulation, dans l’autre une aug- mentation de l’épaisseur de la zone. La modulation périodique du réseau doit conduire à des satellites fins, équidistants du noeud principal si la longueur

d’onde est uniforme dans tout le cristal, mais ce

n’est pas ce que l’on observe. Il faut admettre, si ce

modèle est valable, qu’il y a un spectre de longueurs

d’onde assez étalé, qui permette de justifier l’élargissement et la dissymétrie de position cons-

tatée dans plusieurs alliages, en particulier dans

les alliages Cu-Ti. Ces dernières années des efforts ont été faits pour montrer que seul le modèle pério- dique était applicable aux alliages Cu-Fe-Ni et

Au-Pt. Dehlinger [29] le premier l’a justifié par la

théorie des fluctuations développée par Bore-

lius [30]. Tiedema and al. [4], [5], pour les alliages

Au-Pt, ont trouvé des satellites sur les diagrammes

(6)

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pour des points situés au-dessous de la courbe spi-

nodale et n’en ont pas trouvé au-dessus. Leur rai- sonnement est le suivant : au-dessous de la courbe

spinodale, l’alliage peut se décomposer sans énergie d’activation, car toute fluctuation de composition

s’accentue par diffusion « ascendante » et peut se

propager en créant une modulation. Hillert [31] a

donné une expression mathématique à ce dévelop- pement et a montré que la courbe spinodale ne joue pas de rôle discriminant. Une synthèse inté-

ressante basée sur des résultats expérimentaux a été proposée par Bagaryatskii. Cet auteur suppose que les premières manifestations de la précipitation sont

dues pour les alliages Ni-Ti à des zones qui se rejoignent pour former une modulation pseudo- périodique avant la rupture de cohérence. Cepen- dant, comme l’a fait remarquer Guinier [32], le

modèle périodique est difficilement applicable

lorsque les précipités ont des formes presque sphé- riques. Par contre Gerold [7] suppose que les noyaux enrichis adoptent une disposition analogue

à celle des molécules dans un liquide.

En résumé on peut dire que l’état actuel de

nos connaissances sur ce mode de précipitation dans

les solutions solides, n’est pas assez avancé pour que l’on puisse, conclure définitivement. Nous dispo-

sons de toute une gamme d’alliages, dont plusieurs binaires, qui devrait permettre un grand nombre

d’observations sur la forme et l’intensité des dif- fusions satellites en utilisant des méthodes de dif- fraction plus précises et plus puissantes que celles utilisées jusqu’ici. On pourrait ainsi apporter une

preuve directe en faveur de l’une ou l’autre des théories en présence. Celles-ci, quoique très fé- condes, sont peut-être trop formelles et ne tiennent

pas encore compte de tous les paramètres.

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