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A l'occasion de la crise monétaire française, la question du maintien de la parité ou de la dévaluation a de nouveau été soulevée en Suisse.

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La Chaux-de-Fonds, Mercredi 22 Juillet 1936. Bureaux : Rue d e la Serre, 58 Cinquante-unième Année. — N ° 29

U Ï M M I W HORLOOÈRE

S U I S S E

O R G A N E de la CHAMBRE SUISSE DE L'HORLOGERIE, des CHAMBRES DE COMMERCE, des BUREAUX DE CONTRÔLE, des ASSOCIATIONS PATRONALES de l'INFORMATION HORLOGÈRE SUISSE et de la FIDUCIAIRE HORLOGÈRE SUISSE (Fidhor)

: ABONNEMENTS: Un an Six mois •

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Paraissant le Mercredi à La Chaux-de-Fonds

LES C O N S U L A T S SUISSES À L'ÉTRANGER REÇOIVENT LE J O U R N A L

Annonces: Publicitas, S.A. suisse de Publicité, 5, rue St-Honoré, Neuchâtel, Tél. 51.187 Succursales et Agences en Suisse et à l'Etranger

A N N O N C E S : suisses 15 centimes, offres et demandes

de places 10 cts. le millimètre, étrangères 20 cts. le millimètre.

les annonces se paient d'avance.

Le Franc suisse

Nous lisons dans le « Bulletin mensuel de la Cham- bre de Commerce suisse en Belgique » l'article suivant dû à la plume de M. le Dr. G. Bachmann, Directeur général de la Banque Nationale Suisse.

La Rédaction.

A l'occasion de la crise monétaire française, la question du maintien de la parité ou de la dévaluation a de nouveau été soulevée en Suisse.

Une dévaluation du franc suisse n'est en réalité préconisée que par certains milieux très restreints en vertu de considérations purement économi-

3 ues. La grande majorité du peuple suisse consi- érerait une dévaluation comme un malheur national. Il y a cependant des gens qui craignent que ce malheur ne puisse être évité.

Si l'on se hase sur la situation économique à l'étranger pour préconiser une dévaluation de notre monnaie, on oublie trop souvent que le problème monétaire est pour tous les pays un problème essentiellement national et qu'il n'en faut chercher la solution que dans le cadre des économies nationales. En effet, chaque pays a une structure économique, financière et monétaire qui lui est propre. Si telle dévaluation, celle de l'Angleterre par exemple, a paru réussir, cela ne veut pas dire du tout qu'en Suisse elle aurait eu le même succès. De même, l'on ne saurait tirer de l'échec de l'expérience tchécoslovaque des conclusions valables pour la Suisse.

La Suisse a une structure économique toute

f iarticulière qui diffère sensiblement de celle de a Belgique, de l'Angleterre ou de n'importe quel autre pays. On comprend facilement que la Suisse, qui n'a pas de matières premières et importe la plus grande partie des denrées alimen- taires dont elle a besoin pour nourrir sa popu^

lation, doive envisager le problème monétaire sous un autre angle que l'Angleterre dont les colonies forment un puissant empire économique doté d'une devise commune, que les Etats-Unis ou même que la Belgique ou la Suède dont le sol est riche en matières premières. On le com- prend encore mieux si on considère aussi que la Suisse n'exporte pour ainsi dire que des pro- duits fabriqués et des denrées alimentaires. Ces dernières ne sont pas des denrées de première nécessité et consistent presque entièrement en fromages. Les exportations de Suisse ne sont pas dirigées essentiellement vers un pays ou un groupe de pays, mais se répartissent dans le monde entier.

Le fait que la Suisse est pauvre en matières premières et ne produit pas assez de denrées ali- mentaires pour nourrir sa population permet de prévoir que la dévaluation du franc aura une influence néfaste sur la formation des prix. La consommation intérieure, la production indus- trielle et par contre-coup l'exportation s'en res- sentiraient.

Le développement économique du pays dépen- drait alors de la mesure de ce renchérissement, car plus ce dernier agit sur les coûts de produc- tion, plus est petit l'avantage économique que devrait apporter une dévaluation.

Ce n'est un secret pour personne qu'actuelle- ment les coûts de production suisses sont très élevés si on les compare à ceux de l'étranger. La prospérité extraordinaire qui a précédé la crise actuelle a suscité une surorganisation et une surcapitalisation de tout notre appareil écono- mique et financier. L'accroissement considérable

des charges fixes qui en est résulté et dont on ne ressentait guère le poids alors que l'économie était en plein essor, est maintenant une des en- traves les plus lourdes au redressement écono- mique et il doit y être remédié. Le Conseil fédé- ral n'envisage pas cette adaptation sur le plan monétaire, mais cherche à l'atteindre par des me- sures économiques. Il faut prendre en considé- ration deux points essentiels:

1. Les frais de production ont toujours été plus élevés en Suisse que dans la plupart des au- tres pays. Ce fait résulte en grande partie de l'obligation d'importer des matières premières aux prix desquelles s'ajoutent des frais de transport relativement élevés. C'est une des raisons pour lesquelles les industries d'exportation se sont spé- cialisées dans la production de qualité et de précision.

2. II ne serait pas possible et il n'est même pas nécessaire de réduire par déflation forcée les coûts de production au niveau du concurrent le moins cher. La Suisse ne doit donc pas s'enga- ger dans une lutte des prix à outrance. Si elle continue à attacher la plus grande importance à une production de qualité, elle réussira de nou- veau — dans la mesure où l'étranger retrouvera son pouvoir d'achat — à écouler ses produits en plus grandes quantités. Ce fait ne la dispense pas de pousser le plus loin possible l'adaptation de son économie. Elle a d'ailleurs abaissé ses prix dans divers domaines, en particulier dans l'indus- trie hôtelière. Bien que le coût de la vie soit resté à peu près stable depuis 1934, l'industrie hôte- hère a fortement réduit les conditions faites à ses hôtes. II faut d'ailleurs remarquer que souvent, pour cette branche d'activité de même que pour l'industrie d'exportation en général, ce ne sont pas des prix trop élevés qui s'opposent à une reprise. Les barrières douanières, les restrictions mises au trafic des devises et surtout l'affai- blissement du pouvoir d'achat de la plupart des pays sont autant d'obstacles à l'exportation aux- quels la Suisse ne peut remédier en dévaluant sa monnaie.

Dans l'examen de la question de savoir si la Suisse doit ou non dévaluer sa monnaie, l'éco- nomie ne peut être considérée à elle seule comme facteur principal. D'autres éléments de sa struc- ture matérielle et morale doivent entrer en ligne de compte et vont être examinés à leur tour très rapidement.

Pour un pays à régime économique simple dans lequel l'organisation du crédit et des ban- ques est peu poussée et qui ne dépend pas éco- nomiquement du commerce mondial, l'importance de la stabilité monétaire ne passe pas au premier plan. La Suisse au contraire possède une struc- ture économique, bancaire et financière très dé- veloppée. L'esprit d'épargne y est ancré depuis des générations; en fin d'année 1934, il y avait

{ )Ius de 4 millions de livrets d'épargne en circu- ation représentant environ 5,9 milliards de frs.

de fonds épargnés. Les fonds étrangers confiés aux banques atteignent, à fin 1934, plus de 16 milliards de francs. Une dévaluation de ces fonds atteindrait toutes les parties du pays et toutes les classes de la population et aurait de profondes et durables répercussions.

Une dévaluation du franc suisse serait préjudi- ciable à la balance des paiements. Si l'on consi- dère, en effet, que les placements suisses à l'é- tranger dépassent de plusieurs milliards les avoirs étrangers en Suisses et que ces placements sont en majeure partie libellés en francs suisses, on comprend que la fortune nationale à l'étranger perdrait, par la dévaluation, une partie de sa

valeur réelle et de son pouvoir d'achat intérieur et extérieur.

Il en serait de même pour les bénéfices que retire la Suisse des affaires internationales d'assu- rances. II ne faut pas oublier que la Suisse n'a joué un rôle important dans les relations inter- nationales de banques et d'assurances que grâce à sa monnaie saine.

La Suisse ne doit en aucun cas recourir à la dévaluation comme dépréciation volontaire et ajustement au marché mondial. Le Conseiller fé- déral Häberlin a dit: «Personne n'osera jamais faire, au prix de notre honneur, une affaire avec notre monnaie ». L'immense majorité du peuple suisse est aujourd'hui encore prête à sou- scrire à cette déclaration. Notre pays n'a con- quis sa place dans le monde que par sa stricte honnêteté et son respect des contrats; la Suisse tentera l'impossible pour éviter une dévaluation et ne s'y résoudra que contre son gré, sous la pression d'une nécessité absolue. La situation technique de la Banque nationale suisse est très forte; ses engagements à vue sont couverts par l'or à raison de près de 90 °/o. Sa structure ban- caire s'est révélée, à part quelques exceptions, assez souple pour supporter sans dommage des retraits considérables. Le franc suisse a certains liens techniques avec le franc français du fait que la Banque Nationale Suisse rembourse ses billets en délivrant de la devise française, mais le sort du franc suisse n'est pas nécessairement lié à celui du franc français. Les causes des diffi- cultés actuelles ne sont pas les mêmes pour la France et pour la Suisse; prenons à titre d'exem- ple les dettes des deux Etats auprès de leur banque d'émission respective. Alors que la dette de la Confédération auprès de la Banque Natio- nale Suisse n'est que de 75 millions de francs, en France, le plafond d'émission des bons de Trésor à court terme a été élevé à 21 milliards de francs français, le 1

e r

avril dernier.

Comme tous les pays, la Suisse a le plus grand intérêt à un rétablissement général de la stabi- lité monétaire. A moins d'y être forcée par les circonstances, elle ne contribuera pas à le re- tarder en se lançant dans une expérience moné- taire aux conséquences imprévisibles. Un pro- gramme de mesures extraordinaires a été élaboré et adopté. Destiné à parfaire l'adaptation écono- mique de la Suisse à la situation actuelle, il fixe les grandes lignes d'une politique de déflation différentielle qui permettra à la Suisse de conser- ver l'intégrité de sa monnaie et de revivifier son économie. D

r

G. BACHMANN.

Prescription/ étrangère/

en matière de deviser

(Des Informations économiques, OSEC, Lausanne)

Arrêté du Conseil fédéral

concernant le règlement des paiements entre la Suisse et l'Espagne.

(Du 14 juillet 1936) Le Conseil fédéral suisse,

vu les articles 1 et 3 de l'arrêté fédéral du 14 octo- bre 1933 concernant les mesures de défense écono- mique contre l'étranger, prorogé par l'arrêté fédéral d u 11 décembre 1935,

a r r ê t e :

Article Premier. — Tous les paiements effectués directement ou indirectement par des personnes physi- ques ou morales domiciliées en Suisse en faveur de personnes physiques ou morales domiciliées en Espagne (à savoir l e territoire péninsulaire, les îles Canaries, les îles Baléares, lès villes de Ceuta et de Melilla,

(2)

168 F É D É R A T I O N H O R L O G È R E S U I S S E N° 29. — 22 Juillet 1936

la zone du Maroc sous protectorat espagnol ainsi que les autres possessions espagnoles) doivent être acquittés auprès de la Banque Nationale Suisse. Les paiements afférents à des marchandises d'origine espagnole impor- tées ou qui seront importées en Suisse doivent égale- ment être faits à la Banque Nationale Suisse, même si la marchandise a été introduite par un pays tiers ou par un intermédiaire non domicilié en Espagne.

Art. 2. — Sont exceptés de l'obligation mentionnée à l'article premier les engagements qui sont réglés par compensation privée avec l'assentiment de l'Office suisse de compensation.

Art. 3. — Les paiements à effectuer à la Banque Nationale Suisse pourront aussi être opérés indirecte- ment par l'entremise d'une banque ou de la poste.

L'Office suisse de compensation prescrit les formalités à observer pour les versements à la Banque Nationale Suisse.

Art. 4. — Les paiements qui sont effectués contraire- ment aux prescriptions du présent arrêté ne libèrent pas le débiteur de l'obligation d'opérer les versements à la Banque Nationale Suisse.

Art. 5. — Les fonds reçus par la Banque Nationale Suisse conformément à l'article premier seront tenus exclusivement à la disposition des créanciers domiciliés en Suisse possédant des créances sur des débiteurs domiciliés en Espagne.

Art. 6. — Les directions générales des douanes, des postes et des télégraphes et les entreprises suisses de transport sont chargées de prendre les mesures néces- saires pour contribuer à garantir le versement à la Banque Nationale Suisse des sommes à acquitter par le débiteur en Suisse.

Le Département de l'économie publique est autorisé à édicter les prescriptions nécessaires à l'exécution du présent arrêté.

Art. 7. — Celui qui, pour son propre compte ou en qualité de représentant ou de mandataire d'une per- sonne physique ou morale domiciliée en Suisse, aura opéré autrement que par u n versement à la Banque Nationale Suisse un paiement visé par le présent arrêté,

celui qui, en qualité de représentant ou de manda- taire d'une personne physique ou morale domiciliée en Suisse, aura accepté u n tel paiement au compte du bénéficiaire domicilié en Espagne ou du créancier do- micilié dans un pays tiers dont la créance résulte de

l'importation en Suisse de marchandises d'origine espa- gnole et ne l'aura pas remis à la Banque Nationale Suisse,

celui qui, en qualité de bénéficiaire ou de représen- tant ou mandataire du bénéficiaire, aura accepté en Suisse un tel paiement,

celui qui aura contrevenu aux prescriptions édictées par le Département de l'économie publique ou aura entravé ou tenté d'entraver de quelque autre façon en Suisse les dispositions prises par l'autorité pour l'exécu- tion du présent arrêté,

sera puni d'une amende de dix mille francs au maxi- mum ou de l'emprisonnement pour douze mois au plus. Les deux peines pourront être cumulées.

La première partie du Code pénal fédéral du 4 fé- vrier 1853 est applicable.

Art. 8. — Les autorités cantonales sont chargées de poursuivre et juger les infractions, en tant que le Con- seil fédéral ne défère pas le cas à la cour pénale fédérale.

Les gouvernements cantonaux sont tenus de commu- niquer immédiatement au Département de l'économie publique les jugements, les ordonnances de non-lieu et les décisions administratives ayant u n caractère pénal.

Art. 9. — Selon le traité d'union douanière conclu le 29 mars 1923 entre la Confédération suisse et la Prin- cipauté de Liechtenstein, le présent arrêté sera appli- cable également a u territoire de la Principauté de Liechtenstein.

Art 10. — Le présent arrêté entre en vigueur le 16 juillet 1936.

Règlement des payements avec l'Italie.

Par le présent avis, l'Office Suisse de Compensation .porte à la connaissance des intéressés que l'abrogation des mesures de sanctions envers l'Italie à partir du 15 juillet 1936, en application de l'arrêté du Conseil fédé- ral en date du 8 juillet 1936, n'infirme en aucune manière la validité de l'Accord concernant le règlement des paiements conclu avec ce pays et que, par consé- quent, toutes les obligations soumises a u clearing de débiteurs domiciliés en Suisse envers des créanciers domiciliés en Italie ou en territoire dépendant de la souveraineté italienne ne peuvent être réglées, comme par le passé, que selon la manière prescrite pour les paiements par clearing. ^

Importations d'horlogerie pendant le 2

me

trimestre 1936

En complément du tableau de nos importations et numéro, nous donnons ci-dessous le tableau de nos tinction entre importations réelles. et

No. du tarif

931 Mouvements finis Boîtes de montres:

932 en métaux précieux 933 a en argent

933 b en plaqué or 933 c en or ou platine

Montres:

935 a en métaux communs 935 b en argent

935 c en or

935 d chronographes Montres-bracelets:

936 a en métaux communs 936 b en argent

936 c en or ou platine 936 d chronographes

936 bis Montres »pour automobiles 936 el Autres montres, à boîtes métal

Total

exportations d'horlogerie, publié dans notre dernier importations pendant le 2e trimestre en faisant la dis- et celles en trafic de

Total Pièces 3,766 57,528 2,739 43,676 261 1,859 241 287 231 8,104 255 1,374 282 80 l 270

120,953

Frs.

43,630 199,914 13,005 130,190 9,293 15,713 7,838 27,278 12,956 92,945 7,596 83,055 7,071 2,242 8,588 661,314

perfectionnement et de i Trafic de perfectionnement

et de réparation Pièces

3,358 2,812 1,188 559 155 1,767 241 278 210 7,114 249 1,342 86 13 261 19,633

Frs.

35,761 12,580 7.034 2,517 4,624 15,003 7,838 26,973 12,594 83,461 7,508 82,310 1,944 400 7,766 308,313

réparation.

Importation Pièces

408 54,716 1,551 43,117 106 92

— 9 21 990 6 32 196 67 9 101,320

directe Frs.

7,869 187,334 5,971 127,673 4,669 710

— 305 362 9,484 88 745 5,127 1,842 822 353,001

Echanges commerciaux avec la Lettonie.

Les négociations engagées entre la Suisse et la Let- tonie pour le règlement des échanges commerciaux n'ont pas abouti jusqu'à maintenant à u n accord en raison de l'attitude intransigeante des autorités lettones.

Le principal obstacle est la prétention lettonne d'appli- quer la clause dite d'« exportation » au commerce avec la Suisse, ce qui aurait pour conséquence que les importations de marchandises suisses seraient passibles d'une « surtaxe de devises » d'environ 35 °/o.

Depuis l'automne dernier, les créances suisses d'ex- portation non transférées, par suite du manque de de- vises, se sont de nouveau accumulées. Il est indispen- sable de connaître leur importance pour continuer les pourparlers.

Afin de déterminer le montant de ces créances suisses bloquées, l'Office suisse d'Expansion commerciale à Lausanne procède à une enquête auprès des maisons suisses intéressées. Il demande que le questionnaire qu'il a établi lui soit retourné au plus tard jusqu'au mercredi 29 juillet courant.

Des exemplaires de la dite circulaire, ainsi que du questionnaire peuvent être obtenues soit auprès de la Chambre suisse de l'Horlogerie, soit auprès de l'Office sus-mentionné.

Chronique sociale

Les prix de détail et le coût de la vie en mal 1936.

Selon l'Office fédéral de l'industrie, des arts et mé- tiers et du travail, l'indice suisse du coût de la vie a légèrement fléchi en mai 1936 (— 0,3 »/o). Arrêté à

l'unité, il s'inscrivait de nouveau à 130 (ju™ 1914 = 100), comme à la fin du mois précédent, contre 126 à la fin de mai 1935. Arrêté à l'unité, l'indice spé- cial à l'alimentation est resté à 119, contre 111 à la fin de mai 1935. Par suite de l'entrée en vigueur des prix d'été dans le commerce des charbons domes- tiques, l'indice spécial au chauffage et à l'éclairage a passé de 113 à 112. Les loyers, d'après le nouveau re- levé qui en a été dressé, ont légèrement diminué de- puis le mois de mai 1935. L'indice spécial au loge- ment s'est en conséquence abaissé de 180 à 177 (—1,5 pour cent).

Chronique du travail

Le marché suisse du travail pendant le moi/ de mai 1936.

D'après l'Office fédéral de l'industrie, des arts et métiers et du travail, le marché suisse du travail a enregistré une nouvelle amélioration. Le nombre des personnes cherchant emploi a diminué de 9366 en mai dernier; il avait diminué de 6536 en mai 1935 et de 10,123 en mai 1934. De fin janvier qui a marqué le point culminant du chômage hivernal à fin mai, le nombre des personnes cherchant emploi a diminué d'en- viron 40,000, c'est-à-dire à peu près dans la même proportion que l'an dernier durant la même période.

H était cependant encore d'environ 14,100 plus élevé à fin mai 1936 qu'à fin mai 1935. Les offices du travail ont compté 80,004 demandes d'emploi inscrites à fin mai dernier, contre 89,370 à la fin du mois précédent et 65,908 à fin mai 1935. Les travaux de secours et les camps de travail subventionnés par la Confédération occupaient environ 11,700 chômeurs à fin mai dernier, soit quelque 2000 de plus qu'en 1935 à pareille date.

Ces chômeurs sont compris parmi les personnes inscrites dans les offices du travail. En outre, environ 650 per- sonnes cherchant emploi participaient à fin mai dernier à des cours divers destinés au développement profes- sionnel des chômeurs.

Le nombre des chômeurs complets a diminué dans la plupart des groupes professionnels. Outre le nou- veau progrès enregistré par l'état de l'emploi dans l'industrie du bâtiment, les travaux de la fenaison qui ont commencé vers la fin du mois n'ont pas peu con- tribué à dégager le marché du travail.

Quant à l'état de l'offre d'emploi, il n'a pas beau- coup changé de fin avril à fin mai. Les offres inscrites étaient toutefois passablement moins nombreuses à fin mai dernier (2012) qu'à fin mai 1935 (3014).

Dans l'industrie horlogère, chômeurs complets et chômeurs partiels sont en légère diminution. Les ou- vriers en horlogerie cherchant emploi étaient a u nom- bre de 8015 à fin mai 1936, contre 9265 à fin mai 1935.

Nombre des assurés à fin avril 1986 Caisse de chômage de la F. O. M. H. 61,276 dont: ouvriers sur métaux . 42,059

gorlogers 19,217 Chômeurs complets

par 100 assurés à fin avril 1935 mars 1936 avril 1936 Caisse de chômage F . O . M . H . 18,9 21,5 18,4 dont: ouvriers sur métaux 12,5 17,7 15,5 horlogers 32,9 30,0 24,8 Chômeurs partiels

par 100 assurés à fin avril 1935 mars 1936 avril 1936

Caisse de chômage F . O . M . H . 17,3 16,6 15,7 dont: ouvriers sur métaux 11,7 12,9 11,9 horlogers 29,6 24,9 24,1

Avis de l'Information Horlogère Suisse

Bue Leopold Robert 4 2 , La Chau.v-de-Fonds Les maisons

Guida, Aristide, Crcmona

Schaad-Brotschi, Anita Watch Manufactory, Sclzach sont en faillite. Les créanciers sont priés de nous en- voyer le relevé de leur compte en triple, au plus vite, afin que nous puissions produire dans les délais.

— Les créanciers de la maison

Virgile Paillard, Le Noirmont

sont priés de nous envoyer le relevé de leur compte en triple, afin que nous puissions sauvegarder leurs intérêts.

— Nous mettons en garde contre:

Hcrzog-Bingisser, Karl, Einsiedeln Martinclli, Giuseppe, Lacques

Sarafian & Djcblar, propriétaires de la maison You- You, Bois-Colombes

Varaud, Georges, Lyon.

(3)

No 29. — 22 Juillet 1936 F É D É R A T I O N H O R L O G È R E S U I S S E 169

Information/

Service de recherches

Réf. 2.43) M a i s o n h o l l a n d a i s e c h e r c h e f o u r n i s s e u r d e m o n t r e s d e p o c h e b o n m a r c h é ; q u a l i t é c o u r a n t e . Réf. 2.44) M a i s o n suisse c h e r c h e f o u r n i s s e u r d e p e n -

d u l e s d e t o u s g e n r e s e t p e n d u l e s d e cuisine p o u r l a B u l g a r i e .

Réf 2.45) M a i s o n a m é r i c a i n e s'intéresse à l ' a c h a t d e m o n t r e s c a l e n d r i e r s , d e m o n t r e s 8 j o u r s e t d e m o n t r e s a v e c c a d r a n s i n d i q u a n t l ' h e u r e d e p l u - s i e u r s p a y s .

Réf 2.46) M a i s o n c h e r c h e p o u r l e m a r c h é a m é r i c a i n d e s m o n t r e s - j o a i l l e r i e (jewelled w a t c h e s ) .

A d r e s s e e t d é t a i l s s o n t d o n n é s p a r C h a m b r e suisse d e l ' H o r l o g e r i e , S e r r e 5 8 , L a C h a u x - d e - F o n d s , c o n t r e r e - mise d e fr. 1.20 p o u r frais.

7/7/36. — Aktiengesellschaft L é o n Lévy & frères, h o r - l o g e r i e , B i e n n e , d o n n e , p r o c u r a t i o n collect, à J e a n F l e g e n h e i m e r , d e G e n è v e .

10/7/36. — L a r a i s o n « A . W a s s n e r » e s t r a d i é e . Actif e t passif s o n t r e p r i s p a r W a s s n e r & Sohn, s o c . n . coll. ( D a m e V v e A g n è s W., n é e Kämpffer, r e s s o r t i s - s a n t e a l l e m a n d e , e t J o h a n n e s W . - B ü t l e r , d e Z u r i c h ) , o r f è v r e r i e e t a r g e n t e r i e e n g r o s , K r e u z p l a t z 1, Z u - r i c h 7.

R a d i a t i o n s :

30/6/36. — Stefan S t a u b e r e t C i c , b i j o u t e r i e e t a r g e n - t e r i e e n g r o s , L u c e r n e .

30/6/36. — F r a u A n n a W y s s , b i j o u t e r i e - p i e r r e r i e s , L u - c e r n e .

Brevet/ d'invention

Légation/ et Consulat/

Suisse

Belgique. — S u i v a n t u n e c o m m u n i c a t i o n d e l a l é g a - t i o n d e Belgique, M. G u s t a v e P i t o t , c o n s u l d e Bel- g i q u e à Bâle, e s t d é c é d é . M . E m i l e P o b é , vice- c o n s u l , a é t é c h a r g é d e l a g é r a n c e i n t é r i m a i r e d u c o n s u l a t d e Belgique à Bâle.

I r a k . Le Conseil f é d é r a l a a c c o r d é l ' e x e q u a t u r à M . A n i K h a l i d y , n o m m é v i c e - c o n s u l d ' I r a k , à G e n è v e , a v e c j u r i d i c t i o n s u r t o u t e l a Suisse.

Italie. S u i v a n t u n e c o m m u n i c a t i o n d e l a L é g a t i o n d ' I t a - lie, M . P i e t r o S o l a r i , v i c e - c o n s u l d e c a r r i è r e d'Italie, à L o c a r n o , a é t é a p p e l é à u n a u t r e p o s t e . M . A n t o n i o D a z z i , c h a n c e l i e r d e c a r r i è r e , e s t c h a r g é d e l a g é r a n c e i n t é r i m a i r e d u v i c e - c o n s u l a t .

L i t h u a n i c . — L e C o n s e i l f é d é r a l a a c c o r d é l ' e x e q u a t u r à M . F r i e d r i c h Simon, n o m m é c o n s u l h o n o r a i r e d e L i t h u a n i e à Z u r i c h , a v e c j u r i d i c t i o n s u r t o u t e l a Suisse, e n r e m p l a c e m e n t d e M . W i l h e l m S i m o n , c o n - s u l g é n é r a l , d é c é d é .

E s p a g n e . — M . J u l i o L o p e z O l i v a n a r e m i s a u Conseil f é d é r a l s e s l e t t r e s d e r a p p e l e n q u a l i t é d ' e n v o y é e x t r a o r d i n a i r e e t m i n i s t r e p l é n i p o t e n t i a i r e d ' E s p a g n e p r è s l a C o n f é d é r a t i o n suisse.

Italie. — S u i v a n t u n e c o m m u n i c a t i o n d e l a L é g a t i o n d'Italie, M . G i a n G a s p a r e d e i M a r c h e s i C i t t a d i n i Cesi a é t é n o m m é vice-consul d e c a r r i è r e d ' I t a l i e à N e u - c h â t e l , a v e c j u r i d i c t i o n s u r l e c a n t o n d e N e u c h â t e l , e n r e m p l a c e m e n t d e M . V i t t o r i o S e g a n t i , a p p e l é à u n a u t r e p o s t e . L e Conseil fédéral a a c c o r d é l ' e x e q u a t u r a u n o u v e l é l u .

E t r a n g e r

F r a n c e . — L e C o n s u l a t d e Suisse à Béziers e s t s u p p r i m é d è s l e 15 j u i l l e t c o u r a n t . L e s d é p a r t e m e n t s d e l ' A u d e , d e l ' H é r a u l t , d e l a L o z è r e e t d e s P y r é n é e s o r i e n t a l e s s o n t a t t r i b u é s à l ' a r r o n d i s s e m e n t c o n s u l a i r e d e M a r - seille, l e d é p a r t e m e n t d e l ' A v e y r o n e t l a r é p u b l i q u e d ' A n d o r r e à c e l u i ' d e T o u l o u s e . L e C o n s e i l f é d é r a l a a c c e p t é , a v e c r e m e r c i e m e n t s p o u r l e s services r e n - d u s , l e s d é m i s s i o n s d e M M . J e a n - P a u l B ü h l e r , c o n s u l e t J a c q u e s - A l b e r t B ü h l e r , v i c e - c o n s u l t o u s d e u x d e H e u b e r g ( S t - G a U ) .

L i t h u a n i e . — L e C o n s u l d e Suisse à K a u n a s , M . W e i n - g a r t , a d o n n é s a d é m i s s i o n . L e C o n s e i l f é d é r a l a d é s i g n é p o u r l e r e m p l a c e r , M . K â s t l i , d u C o n s u l a t d e M u n i c h .

E n r e g i s t r e m e n t s :

Cl. 94, N o . 184367. 8 février 1936, 13 3/d h . — B r a c e l e t d e m o n t r e - b r a c e l e t . — H u g u c n i n & F r ü h , 158, R u e N u m a D r o z , L a C h a u x - d e - F o n d s (Suisse). M a n d a - t a i r e : A . B u g n i o n , G e n è v e .

CI. 59, N o . 184338. 21 s e p t e m b r e 1935, 16 h . — P i è c e d ' h o r l o g e r i e p o u r d é t e r m i n e r l ' a n g l e h o r a i r e d u soleil p a r r a p p o r t a u m é r i d i e n d e G r e e n w i c h p o u r n ' i m - p o r t e q u e l l e é q u a t i o n d u t e m p s . — F a b r i q u e d e s L o n g i n e s F r a n c i l l o n & C o . S. A . , St-Imier (Suisse).

M a n d a t a i r e : W . Koelliker, B i e n n e .

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21 Juillet 1936 M é t a u x p r é c i e u x

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Registre du Commerce

Raisons sociales:

E n r e g i s t r e m e n t :

3/7/36. — S c r t a S. A . , soc. a n . c a p . soc. fr. 1,000 n o m . , a t e l i e r d e s e r t i s s a g e s . C o n s . a d m . R o g e r G o n s e t h , d e K r a t t i g c n . S i è g e : Gesellschaftsweg 5, B i e n n e .

M o d i f i c a t i o n s :

6/7/36. — D i a m a n t A . G., c o m m e r c e d e d i a m a n t s , p i e r r e s fines, etc., Z u r i c h . J a c q u e s P e r s i t z e s t d é c é d é , s a sign, r a d i é e c o m m e m e m b r e d u C o n s . a d m . e t r e m p l a c é p a r Isidor J a c o b s o h n , d e Z u r i c h , sign, i n d i v . 7/7/36. — Les F a b r i q u e s d e b a l a n c i e r s r é u n i e s , S u c c u r -

c u r s a l c d e B i e n n e , soc. a n . s i è g e p r i n c i p a l a u x P o n t s d e M a r t e l , s u c c u r s a l e à B i e n n e . L e c a p . soc. e s t r é d u i t d e 2 millions à 1,400,000 fr. p u i s r e p o r t é à 1,500,000 fr. n o m .

10/7/36 — Agassiz W a t c h C o . S. A . , h o r l o g e r i e , siège à St-Imier, s u c c u r s a l e à G e n è v e . L e c a p . s o c . e s t r é - d u i t d e 100,000 à fr. 10,000 a u p o r t e u r . C o n s . a d m . Louis C h a p o n , p r é s i d . , P i e r r e C a r t e r e t , secret., P h i - lippe M o n t a n t , g é r a n t , sign, t o u s t r o i s collect, à d e u x . Les a n c i e n s m e m b r e s M a r t h a - S o p h i e W i t t n a u e r , p r é s i - d e n t e e t P a u l - V i r g i l e H e i n m ü l l e r , d é m i s s i o n n a i r e s , s o n t r a d i é s .

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51.82 0.61 138.89 138.89 138.89 13.05 58.14 9.13 100.—

6.72 3.74 3.10 2278.50 2261.80 25.22 25'.22 220.—

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