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L’Inde compte aujourd’hui plus d’un milliard d’habitants répartit dans 28 états de taille et de

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Academic year: 2022

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L’Union Indienne depuis 1945.

Carte de l’Inde et de sa population aujourd’hui.

Inférieure à 10 millions Entre 10 et 50 millions

Entre 50 et 75 millions Entre 75 et 100 millions Supérieure à 100 millions Introduction :

L’inde fut durant plus de 100 ans, un territoire dominé par le Royaume Uni. Depuis son indépendance en 1947, elle a connu de nombreuses difficultés politiques, économiques et internationales. Malgré cela, elle est aujourd’hui le pays démocratique le plus peuplé au monde(1 milliards d’habitants) qui se transforme depuis une vingtaine d’années en puissance économique majeure d’Asie de plus en plus intégrée au commerce mondiale ;

Comment l’union Indienne a-t-elle réussi à surmonter ses difficultés apparues dès l’indépendance pour devenir une des puissances émergentes du XXIe siècle ?

I. L’indépendance indienne entre rêve d’unité, violence et partition.

1. La situation coloniale et l’œuvre de Gandhi

Carte 5 p 83 + Photo 1 p 82 : L’Union Indienne fut durant les XIXe et XXe siècles dominée par les britanniques dans le cadre de l’Empire des Indes, colonies qui réunissait cinq états actuels. La lutte pour l’indépendance débuta très tôt en Inde mais c’est avec l’action du Mahatma (la grande âme) Mohandas Gandhi qu’elle s’intensifia dès les années 1910-1920.

Son action politique originale fait du Mahatma Gandhi une grande figure de l’humanité et un modèle pour des hommes comme Martin Luther King ou Nelson Mandela. Celle-ci est basée sur le principe de la non-violence et repose sur des actions dont le but est de contraindre la puissance dominante à cesser son oppression. L’arme est avant tout économique et vise à la désorganisation du système colonial :

réorganise le Parti National du Congrès (mouvement né vers1880) unissant tous les indiens opposés à la colonisation et ce quelque soit leur religion.

Le boycott des produits britanniques et l’incitation à produire soi-même ce dont on a besoin (à ce titre, Gandhi portait la tenue traditionnelle indienne qu’il avait confectionné lui-même)

L’Inde compte aujourd’hui plus d’un milliard d’habitants répartit dans 28 états de taille et de

peuplement différents.

C’est une fédération regroupant des

peuples très différents.

Il existe 19 langues

officielles dont

l’Anglais mais plus de

300 dialectes sont

parlés en Inde.

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La désobéissance civile : Ce principe plus politique conduisait les Indiens a refusé d’obéir aux ordres britanniques (impôts, démarches administratives, refus de la conscription militaire) mais cette forme de lutte conduisait à une répression féroce de la part des autorités coloniales. Durant la seconde Guerre Mondiale, Gandhi rédige un texte intitulé Quit India, dans lequel il réclame une nouvelle fois le départ des Britanniques mais également, il appelle ses concitoyens à ne pas soutenir l’effort de guerre du R.U. Cela lui vaut d’être emprisonné et le marginalise vis-à-vis des membres du congrès pour qui aider le R. U. peut conduire à l’indépendance plus rapidement.

Les Sit-in, ce sont des manifestations pacifiques dans lesquelles les participants bloquent les réseaux de transport en s’asseyant. Seule l’utilisation de la force conduisait à la dispersion de la foule. Les autorités coloniales étaient alors discréditées et la presse montrait alors l’injustice subie par les Indiens.

Toutes ces actions n’aboutirent pas à l’indépendance mais obligèrent les Britanniques à rechercher une voie de sortie négociée.

Gandhi militait pour l’union de tous les territoires de l’empire des Indes dans un seul état indépendant. Mais son message était mal accueilli aussi bien par la majorité Hindoue à laquelle il appartenait que par les minorités musulmane et bouddhiste. En effet l’empire des Indes est alors constitué d’une multitude de peuples qui appartiennent à différentes religions dont les trois plus importantes étaient : L’Hindouisme (60%), l’Islam (30%), le Bouddhisme (8% principalement en Birmanie et à Ceylan).

En 1947, la situation est particulièrement tendue entre les deux communautés principales, les hindous et les musulmans qui souvent cohabitent dans les régions du Nord-ouest et de Nord-est.

2. L’impossible unité : Photo 3 et texte 4 p 82 :

a. Repérez les deux leaders politiques indiens et la communauté religieuse à laquelle ils appartiennent.

b. Au vu de la Photo 1, que pouvez-vous dire de Nehru ?

c. D’après le texte 4, Quelle solution Jinnah propose-t-il ? Quels arguments utilisent-ils pour rejeter la proposition du parti du congrès ? Q1 et 2 : Lors des négociations pour l’indépendance qui débute dès 1946sous l’autorité de Lord Mountbatten nommé en 1945 vice-roi des Indes (représentant de sa Majesté le roi d’Angleterre), les Indiens sont principalement représentés par deux grands leaders :

Nehru, un hindou proche de Gandhi dont il fut le plus intime compagnon de lutte, chef du Parti du Congrès,

Jinnah, un musulman, chef de la ligue Musulmane, mouvement réunissant les partisans de la constitution d’un état musulman indépendant.

Q3 : Dans un discours d’Avril 1946 (début des négociations d’Indépendance) Jinnah au nom des musulmans rejette l’idée de l’unité indienne prônée par le Parti du congrès. Pour lui, cette proposition ne repose pas sur une réalité mais sur les illusions d’une nationalité indienne commune à tous sans distinction de religion (« qui n’existe que dans l’esprit de doux rêveurs »). Il réclame donc la partition de l’Inde en deux états :

Le Pakistan, pays des musulmans.

L’Hindoustan, future Union Indienne.

Cette solution est celle qui sera finalement appliquée dès le mois de juillet 1947, lorsque les britanniques se retirent définitivement d’Inde. Le 15 août 1947, l’Union Indienne proclame son indépendance officielle.

3. Les conséquences de la partition : Carte 5 p 83 :

Q1. Quelles sont les conséquences immédiates de la partition de 1947 ? Q2. Quelles sont les difficultés qui découlent de cette partition ?

Q1 : La partition se fait sur une base communautaire. Les états majoritairement musulmans constituent alors le Pakistan qui a la particularité d’être constitué de deux espaces disjoints (le Pakistan Occidental et le Pakistan oriental).

L’Union indienne est alors constituée des28 états à majorité hindouiste.

Q2 : La partition loin de conduire à la paix entraîne la division et la violence :

Gandhi qui s’oppose à cette violence est assassiné par un extrémiste hindou en 1948.

Des milliers de personnes musulmanes et hindoues sont massacrées dans les villes et les villages où ils sont minoritaires (photo 6p 83) Dès 1947, l’U. I. et le Pakistan entre en guerre pour des questions frontalières les opposant au sujet du Cachemire.

De grands déplacements de populations sont organisés entre les deux nouveaux états, 9 millions d’Hindous et 8 millions de musulmans quittent l’inde et le Pakistan pour vivre dans le pays de leur communauté.

En 1948, la Birmanie et Ceylan deviennent indépendantes et se séparent de l’Union indienne. Ces deux états sont majoritairement Bouddhistes.

Carte 14 p 85 : La question du Cachemire.

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Le Cachemire est un ancien état princier situé au Nord-Ouest de l’Inde à la frontière de l’Inde, du Pakistan et de la Chine. En 1947, L’Inde obtient ce territoire bien qu’il soit peuplé d’une proportion de musulmans supérieure à celle des hindous. Dès lors, le cachemire devient l’enjeu de quatre guerres impliquant les deux états voisins ainsi que la Chine qui profite de cette situation pour s’étendre.

La guerre de 1947-1949, conduit à un partage de fait car l’armée pakistanaise puis en 1951, l’armée chinoise prennent possession d’un partie de l’Etat. La ligne de cessez-le-feu est depuis lors devenue la frontière non reconnue mais bien réelle entre les trois états. Si la guerre est aujourd’hui terminée, les tensions restent vives, les relations diplomatiques entre l’Inde et ses voisins sont particulièrement tendues. De plus, les trois états sont devenus, depuis les années 1980-1990, des puissances nucléaires. Cette donnée, si elle est créée un équilibre de la terreur qui rappelle celui de la Guerre Froide, fait peser sur l’Asie et sur le reste du monde le spectre d’une guerre atomique.

II. L’Union Indienne une démocratie entre traditions et transformations : 1. Une grande démocratie :

Etude du doc 8 p 84 :

Q1 : Quels éléments montrent que l’Inde est une démocratie complète ? Q2 : Quels éléments montrent qu’il s’agit d’un état fédéral ?

Q1 / La Constitution indienne repose sur les grands principes de la démocratie :

L’organisation d’élections libres au suffrage universel direct qui permet à tous les citoyens de désigner les députés siégeant dans les différentes assemblées dont la plus importante à l’échelon national est la chambre du peuple.

Le partage des pouvoirs, un gouvernement dirigé par un 1er ministre nommé par le Président de la République (fonction principalement honorifique) exerce le pouvoir exécutif sous le contrôle de la Chambre du peuple qui détient le pouvoir législatif. Le gouvernement doit disposer d’une majorité à la chambre du peuple qui vote les lois qu’il propose. En cas de mise en minorité, le gouvernement doit démissionner.

Q2/ L’Inde est une fédération dans laquelle chacun des 28 états dispose d’une assemblée ayant la capacité de voter des lois propres sur des sujet comme l’éducation, l’économie régionale, la justice... Il existe donc une grande autonomie interne qui s’explique par la multitude de traditions ethniques et religieuses. Pourtant, cela n’empêche pas de vives tensions qui influent sur la vie politique.

2. La question religieuse et la vie politique en Inde de 1947 à aujourd’hui : Carte 7 p 84 :

L’Inde reste un état majoritairement Hindou même s’il existe un grand nombre de minorité religieuse. Les musulmans représentent 12%

de la population soit plus de 120 millions de citoyens indiens présents dans tout le pays. Les autres communautés représentent, chacune, moins de 2% de la population totale de l’Inde mais peuvent localement constituer de fortes minorités voire des groupes majoritaires. C’est le cas des Sikhs au Pendjab, des chrétiens dans le sud et le Nord-est et des Bouddhistes dans l’Himalaya. Si le drapeau indien (doc. 3 p 89) rappelle le caractère pluri-religieux de l’Union, dans les faits les Hindous constituent le groupe dominant. Les vives tensions religieuses et la montée du nationalisme hindou influent sur la vie politique démocratique indienne.

De 1947 à 1991, les Indiens confient le pouvoir au Parti du Congrès et à une famille celle de Nehru dont 3 membres se succèdent comme premier ministre :

De 1947 à 1964 : Nehru gouverne le pays. Si les tensions avec le Pakistan et l’inde sont vives, le pays connaît une stabilité interne et peu de crises religieuses

De 1966 à 1977 puis de 1980 à 1984, Indira Gandhi, sa fille doit faire à de nombreux troubles dont la révolte des Sikhs du Pendjab de 1981-1983, face aux violences, elle ordonne l’attaque du lieu saint du Sikhisme, Le Temple d’or d’Amritsar, Cet acte conduit à son assassinat le 31 octobre 1984.

1984 à 1989, Rajiv Gandhi succède à sa mère. Son gouvernement doit faire face à de nombreux problèmes en particulier le terrorisme religieux et la question Tamoul (carte 7p84). Alors que l’Inde soutenait la guérilla Tamoul (une minorité Hindouiste) au Sri Lanka, Rajiv Gandhi décide de mener une offensive armée contre cette dernière en 1987. Cette action conduit à son assassinat par un extrémiste tamoul en 1991 alors qu’il était en campagne électorale.

Dans les années 1990, l’Inde connaît une montée du nationalisme hindou, Le Parti du peuple indien (Bharatiya Janata Party, BJP) accède au pouvoir en mars 1998. Pour ce parti, l’identité indienne implique l’appartenance à la communauté hindou ; ce principe s’oppose à ceux défendus par le Mahatma Gandhi et le Parti du Congrès pour qui la nation indienne est constituée par tous les Indiens quelque soit leur religion. Le

nationalisme hindou s’exerce contre toutes les minorités et conduit à rendre difficile la cohabitation interreligieuse (destruction de mosquée et rejet des musulmans dans certains états ou villes, opposition au christianisme dans le Nord…). Les mariages mixtes fréquents dans certaines régions comme dans le Nord-ouest ont tendance à disparaître.

Les attentats constituent un risque toujours présent comme les attaques en 2006 et en Novembre 2008 à Bombay qui firent plus de 260 morts et 1000 blessés (revendiquées par Moudjahidines du Dekkan).

3. La fin des castes ? Doc. 4 p 89 :

Fortement liées à la religion hindouiste, le système des castes est un système très ancien qui organise la société indienne. En 1951, la Constitution les abolit mais dans les faits, les divisions survivent en particulier dans les zones rurales.

Questions:

En quoi le système des castes renforce-t-il les inégalités sociales et peut être un frein au développement économique du pays ?

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Les castes supérieures forment les groupes dominants de la société indienne. Ils sont souvent les grands propriétaires et les familles les plus riches et instruites. Les castes inférieures regroupent l’immense majorité des indiens qui vivent dans des conditions souvent précaires. Le maintien des castes ne peut que renforcer les inégalités et nuire au progrès social. En effet, par exemple, les mariages inter-castes sont rares et donnent souvent lieu à des conflits familiaux. D’un point de vue économique, les castes supérieures n’acceptent pas de travailler sous les ordres d’hommes ou de femmes issues de castes inférieures. Petit à petit, les choses changent, l’état a mis en place des mesures d’accès aux universités pour les étudiants issus des castes inférieures et des emplois administratifs réservés, mesures qualifiées de discrimination positive. La modernisation de l’Inde passe donc par une transformation sociale et la disparition effective des castes.

III. La transformation économique de l’Inde, de l’expérience socialiste d’autosuffisance à la conquête du marché mondiale.

1. L’expérience socialiste et la révolution verte.

Doc. 11 p 85 :

1. Quelle partie de l’économie reste sous contrôle de l’Etat ? 2. Quel modèle suit alors l’Inde ?

Doc. 12 p85 :

3. Quel événement incite l’Etat à développer le secteur agricole ? 4. Quels sont les résultats obtenus ?

5. Selon vous, quels moyens ont été utilisés pour obtenir ces résultats ?

Durant les années 1950-1990, les gouvernements indiens ont mis en place une économie mixte*. L’Etat applique les principes du socialiste soviétique et prend le contrôle du secteur industriel. Durant la guerre froide, le gouvernement d’Indira Gandhi, dans les années 1970, poursuit le conflit avec le Pakistan qui a choisi l’alliance américaine. Cela pousse l’Inde à quitter sa position d’Etat Non Aligné pour se rapprocher de l’URSS et à renforcer la politique socialiste.

Mais l’Inde fait porter ses efforts sur l’agriculture et lance le programme de Révolution verte (après la famine de 1966). Ce programme doit permettre au pays d’atteindre l’autosuffisance alimentaire en augmentant principalement la production céréalière (blé, riz, millet). Pour atteindre ses objectifs, le programme s’appuie sur 4 points :

Les VHR,

La diffusion massive d’engrais et de pesticides, La mécanisation et l’irrigation,

Les prêts, les subventions, et la garantie des prix d’achat des productions.

D’un point de vue économique, les années 1947-1990 sont marquées par une faible croissance et ce malgré les succès de la révolution verte. La pauvreté reste forte d’autant que la croissance démographique (l’Inde passe de 350 millions à plus d’un milliards d’habitant entre 1947 et 2005) absorbe la croissance de la production ce qui ne permet pas l’amélioration des conditions de vie. La société reste profondément inégalitaire. Dans le monde rural la pauvreté reste prédominante et dans les villes qui connaissent une croissance incontrôlée, des millions de démunis s’entassent dans des bidonvilles toujours plus nombreux.

2. Le temps des réformes, de la croissance et de l’affirmation. (1991-2008)

Jusque dans les années 1990, l’Inde apparaît comme un géant démographique mais dont l’économie est celle d’un PMA*. En réalité, le pays dispose d’atouts et a entrepris depuis les années 1950 d’importantes réformes en particulier dans le domaine scolaire. Il dispose d’université et de grandes écoles techniques de qualité et d’un important secteur de recherche public (nucléaire, aérospatial, informatique, armement…).

En 1991, l’état choisit de mettre fin à l’expérience socialiste et procède à de grandes réformes conduisant à une libéralisation* économique, et une ouverture au marché mondial.

Dans un premier temps, l’Inde apparaît comme un Pays atelier* mais depuis les années 2000, elle devient une puissance émergente qui sur le plan économique comme diplomatique cherche à s’affirmer comme une des grandes puissances d’Asie et du monde (carte 19 p 87). La croissance économique a dépassé les 6%/an durant près de 15 ans, cela a permis une croissance du revenu des indiens (doc 2 p96), l’émergence d’une classe moyenne mais également l’apparition d’une élite économique. Certaines villes apparaissent comme les symbole de cette nouvelle prospérité.

Bombay, capitale culturel et industriel de l’Inde est une mégapole de près de 20 millions d’habitants. C’est surtout la capitale de l’industrie du cinéma qui lui vaut le surnom de « Bollywood ».

Bangalore et Madras font figure de technopoles, villes dans lesquelles se sont développées les activités liées à l’informatique et à la haute technologie. (photo 18p 86)

New Delhi, la capitale politique est comme son nom l’indique une ville nouvelle et moderne qui reste une métropole dynamique tout comme Calcutta.

De nombreuses autres cités ont développées les activités de services et industrielles.

Conclusion :

L’Inde continue cependant à présenter deux visages, celui de la modernité incarnée par les succès économiques et le renforcement de sa place dans les relations internationales (carte p87) et celui d’un pays où la pauvreté et les inégalités sociales et régionales demeurent une faiblesse visible. En effet, la pauvreté est partout présente et saute aux yeux des voyageurs.

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