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Anna Prangé APÉRO LITTÉRAIRE. Bibliographie des coups de cœur Hiver 2021

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Academic year: 2022

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Texte intégral

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APÉRO LITTÉRAIRE

Bibliographie des coups de cœur Hiver 2021

© Anna Prangé

(2)

Trésor national, de Sedef ECER chez J.C. Lattès

Roman conseillé par le libraire d’Atout-Livre, Paris XII où je fais des achats pour les médiathèques. Le « trésor national », c’est Esra Zaman, actrice turque au sommet de sa gloire dans les années 60. En fin de vie, elle demande à sa fille exilée en France, de rédiger un texte pour son enterrement. L’occasion pour cette fille, elle-même mère, de revenir sur sa lignée, et sur la trajectoire de sa mère, diva adulée, excentrique, provocatrice, passionnée. C’est aussi l’Histoire de la Turquie marquée par des coups d’état, de 1960 au dernier, en 2016. On suit les troubles, l’instabilité politique et économique, les soulèvements populaires, les arrestations arbitraires, dont sera victime le père de la narratrice, et les secrets qui l’accompagnent. 1er roman (Yann)

La Brodeuse de Winchester, de Tracy CHEVALIER aux éd. de La Table ronde

Angleterre 1932, Violet, protagoniste du roman, considérée comme d’autres femmes célibataires «excédentaire», est employée comme dactylo avec un salaire qui lui permet à peine de vivre. Violet quitte Southampton et sa mère acariâtre pour Winchester. Pour cela elle loue une chambre et trouve un semblant de liberté. Pour compenser son ennuie Violet va s’introduire au sein des brodeuses de la cathédrale.

Cette nouvelle activité va lui apporter des amitiés mais aussi le désir de faire quelque chose de sa vie. De plus elle va rencontrer Arthur le sonneur de cloches qui va la protéger. Roman très pudique. L’auteure par sa capacité à nous captiver avec tous ses romans, sait donner un vrai sens romanesque à ses récits. (Brigitte)

Par l’auteure de La jeune fille à la perle et Prodigieuses créatures.

L’enfant parfaite, de Vanessa BAMBERGER chez Liana Levi

L’auteure nous donne à voir les terribles témoignages de deux protagonistes reliés par un même drame à venir. D’un côté Roxanne qui s’étouffe sous la pression sociale et scolaire, et François médecin cardiologue qui doit s’expliquer devant ses pairs pour prescription médicamenteuse dangereuse. J’ai eu beaucoup d’empathie pour ces deux personnages. Plus on s’approche de dénouement plus l’atmosphère se tend et devient oppressante. Ce livre soulève intelligemment et sans parti pris le culte de l’excellence scolaire et ses dangers. Une pression que subissent les adolescents et qu’exigent en toute bonne foi les parents. L’auteure nous renvoie implicitement à cette question essentielle, qu’est ce qui compte vraiment, quel est le sens de la vie ? (Marlène)

Les autres titres de l’auteure : Alto Braco et Principe de suspension

Un papillon, un scarabée, une rose, d’Aimee BENDER aux éd. de l’Olivier

Voici un roman où se mêle réel et fantastique et qui nous emmène dans une lecture originale et poétique. Un style particulier mais une histoire touchante qui aborde la bipolarité d’une mère du point de vue de sa fille de 8 ans, par le miroir déformant de ses rêveries, son imagination, ses rituels. Un roman qui se démarque de la production américaine actuelle par le regard que portent les personnages sur le monde matériel, et qui invite le lecteur à partager cette expérience assez inédite. Un voyage intérieur…

(Gladys)

LES ROMANS

(3)

Bandit : mémoires d’une fille de braqueur, de Molly BRODAK aux éd. du sous-sol (Feuilleton non-fiction)

Une enfance en eaux troubles : Molly a 13 ans en 1994 quand son père se fait arrêter pour braquage de banques. Ce père employé de l’usine auto du coin devenu « Super Mario le Bandit », défrayant la chronique, en une des journaux. Que s’est-il passé ? C’est ce que tente de raconter l’auteure, son regard sur la transformation de ce père aimé, complexe, un homme à plusieurs visages, accroc aux jeux d’argent, menteur, manipulateur, sociopathe. Ses relations avec sa mère, sa sœur, les visites en prison, sa sortie, les récidives… Et l’analyse est douloureuse, profonde, l’auteure extrait de sa mémoire ses souvenirs d’enfance pour les regarder sous un autre jour, celui de l’adulte qu’elle est devenue, meurtrie. (Yann)

Là où nous dansions, de Judith PERRIGNON chez Payot/Rivages

Un roman dense et foisonnant comme l’était la vie à Détroit dans les années 60 quand émergeaient les chanteurs du célèbre label Motown : Stevie Wonder, Diana Ross, les Suprêmes et tant d’autres… Judith Perrignon croise ici les voix, les époques, les regards, l’histoire d’une ville combative, fière et musicale que le racisme et la violence économique ont brisée. Ce livre est aussi un roman policier, car nous suivons aussi, de nos jours l’enquête de Sarah, flic qui recherche l’identité d’un corps retrouvé dans les décombres d’un immeuble détruit. Un sacré roman difficile à résumer… et documentaire à lire ! (Laurence)

En descendant la rivière, de Edward ABBEY chez Gallmeister (Americana)

Dans cette période troublée où l’on ne peut pas voyager, cela fait du bien de se plonger dans ce livre où l’auteur nous entraine au cœur de la nature sauvage qu’il a chérit toute sa vie et qui se retrouve dans toute son œuvre. Ses descriptions nous transportent dans les canyons de l’ouest des Etats-Unis, ce qui lui permet de faire passer un beau message écologique en râlant avec humour sur le capitalisme, l'industrialisation à grande échelle, la consommation à outrance. Un livre qui se déguste chapitre par chapitre, chacun d’entre eux racontant une expédition différente. Pour les amateurs des livres de Jim Harrison qui retrouveront là la beauté des grands espaces américains.

(Laurence)

Par l’auteur du Gang de la clé à molette et Le feu sur la montagne.

La Dame du Ritz, de Melanie BENJAMIN chez Albin Michel

L’histoire repose sur le palace « Ritz» à l’époque de la 2nde guerre mondiale. Le début de cette histoire m’a un peu ennuyée. Les infidélités du couple Auzello, dont le mari est directeur de l’hôtel, ne m’ont pas intéressées. Mais la suite, beaucoup plus orientée vers les problématiques de la guerre, la résistance et la déportation, est très réussie. L’auteure analyse bien les sentiments ambigus des protagonistes face à l’obligation de servir les nazis tout en faisant de la résistance. J’ai beaucoup apprécié la sincérité de l’auteure et la justesse de son jugement devant des comportements honteux, tel Coco Chanel, et par contradiction, l’héroïsme de français inconnus. Le paradoxe entre le traumatisme irréversible de Blanche Auzello après son arrestation et la joie de certains « libérateurs» planqués dépeint l’état d’esprit de cette époque. Roman intéressant qui nous fait revivre un pan de l’histoire lointaine mais qui malheureusement résonne encore maintenant. (Brigitte)

(4)

Nos secrets trop bien gardés, de Lara PRESCOTT chez Robert Laffont

Une double narration Est/Ouest dans les années d’après-guerre pour suivre, côté Etats-Unis, le fonctionnement d’une agence d’espions, et en l’occurrence, une espionne ; et, côté Union soviétique, les liens de l’auteur Boris Pasternak avec sa maîtresse Olga et la manière dont son célèbre roman « Le docteur Jivago » fut sauvé de la censure, jugé subversif et anti-soviétique. Le puzzle se construit au fur et à mesure du récit. Peut-être pas un grand livre, l’écriture étant quasi neutre, mais à coup sûr une grande histoire, à « hauteur » de femmes, et portée par des problématiques qui résonnent toujours à l’heure actuelle… 1er roman. (Yann)

Le Grand jeu, de Graham SWIFT chez Gallimard (Du monde entier)

Écriture trop morcelée à mon goût ou peut-être est-ce mon rythme de lecture qui n'est pas adapté... Pourtant, j'ai été séduite par l'histoire sans connaître l'auteur. J'ai juste été happée par le synopsis que je trouvais intriguant. Et très franchement, l'histoire est attrayante, de la magie et du spectacle, une histoire d'amour (ou deux), la peinture d'une Angleterre des années 40/50 à travers laquelle on voyage, beaucoup en train d'ailleurs. Mais comme le train, on s'arrête souvent et on repart. Parfois on a changé de personnages, parfois on a changé d'années. On se perd un peu entre tous ses arrêts (la segmentation par astérisques et non par chapitre doit également jouer). (Auréline)

Coup de cœur de l’auteur : Le dimanche des mères.

Des diables et des saints, de Jean-Baptiste ANDREA chez l’Iconoclaste

Dès les 1ères lignes on se retrouve assis à côté de ce pianiste virtuose de gare. Et on le laisse nous transporter plus loin, dans ses souvenirs d’enfance : celle d’un orphelin au milieu d’autres, brimés par le prêtre qui dirige d’une main de fer son institution.

Dans ces murs, toute joie toute frivolité toute amitié est étouffée. La vie est dure, il faut que ces enfants sans famille donc sans droits s’y conforme! Malgré la rudesse de cette histoire, l’auteur en usant de poésie et de retenue ne nous englue pas dans le malheur. On devient spectateur de ce parcours de vie de jeunes adultes en devenir parsemé d’épreuves qui les façonneront. J’ai refermé ce livre prudemment pour ne pas brusquer ces flots d’émotions qui m’avaient traversé durant sa lecture et les garder encore un peu en moi. (Marlène) 1er roman de l’auteur coup de cœur : Ma reine.

La soutenance, d’Anne URBAIN aux éd. de l’Olivier

Un premier roman léger et bien écrit. Antoine ne réussit pas à avouer à sa mère qu’il ne veut pas finir sa thèse et se retrouve obligé de travailler dessus toutes les vacances d’été. Angoissé, stressé, pris dans les névroses familiales et obligé d’héberger son frère ainé, le narrateur aborde ainsi des sujets qui parlent à tous : la place de chacun au sein de la famille, les relations au sein d’une même fratrie, la peur de l’avenir… Anne Urbain a publié sa thèse de doctorat sur la censure de la littérature érotique au XXe siècle. 1er roman. (Laurence)

(5)

Ady, soleil noir, de Gisèle PINEAU chez Philippe Rey

Ady c’est Adrienne Fidelin, amante de Man Ray à Paris dans les années 30. Elle vient de l’île de la Guadeloupe, qu’elle fuit orpheline, avec ses frères et sœurs suite au cyclone de 1928. Elle danse dans les cabarets parisiens où elle rencontre l’artiste.

C’est un tournant dans sa vie : pendant 5 ans ils s’aiment, il l’introduit dans le milieu artistique, lui présente ses amis surréalistes, dadaïstes, Eluard, Breton, Picasso, Dali, Desnos et plein d’autres, il la photographie sous tous les angles. Le juif américain et la noire des Caraïbes : avec la montée des fascismes, leur couple n’est pas « dans l’air du temps » mais ils sont libres, amoureux. Leur devise « Joie, jouer, jouir… » créée une bulle entre eux et la réalité.

On prend plaisir à revivre ces années de l’entre-deux-guerres. (Yann)

Autre coup de cœur de l’auteure Folie, aller simple. Journée ordinaire d’une infirmière

Avant elle, de Johanna KRAWCZYK aux éd. Héloïse d’Ormesson

« Elle », c’est la dictature argentine des années 70. La narratrice retrouve les carnets de son père décédé où son retracées ses jeunes années en Argentine, avant son installation en France. Se dévoile l’histoire de sa famille, ce que personne n’a su/pu lui raconter. La vérité est-elle toujours bonne à connaître ? Ne vaut-il pas mieux parfois rester dans l’ignorance ? Elle, déjà reconnu « borderline » va sombrer dans l’alcool et la dépression, pour renaître à la vie et profiter pleinement de son mari et de sa fille. 1er roman puissant qui traite des « mécanismes du mensonge et des traumatismes de la chair ». (Yann)

Un bon féministe, d’Ivan REPILA chez Jacqueline Chambon / Actes Sud

Un jeune journaliste rencontre Najwa, une universitaire féministe à une conférence. A travers son influence, il devient ultra-activiste et décide de mener une vie double pour rallier les femmes à sa révolution libératrice. Quelle bonne surprise que ce roman qui offre une réécriture de Fight Club à la sauce « guerre des sexes » ! On retrouve cet aspect psy de la révolte, ce dédoublement de personnalité qui permet au narrateur d’aller au bout de son projet. Ce roman parle de nos sociétés occidentales et de la recherche d’une plus grande justice entre les individus. Recherche qu’on espère plus sereine et dialoguée. Ne sont-ce pas là les véritables vertus d’un bon féminisme ? (Alexis)

(6)

Chroniques à venir…

Elle, la mère : roman, d’Emmanuel CHAUSSADE aux éd. Minuit

Le narrateur enterre sa mère, et ses secrets. D’où le titre de ce 1er roman bref, magnifique et dérangeant. La suite c’est la quête des origines. Le passé de cette mère élevée à la dure par des religieuses, un beau-père qui aime trop les petites filles, puis un mari volage. 1er roman. (Elisabeth, Emmanuel, Jérôme)

La maison de Bretagne, de Marie SIZUN chez Arléa (1er Mille)

(Myriam) Les autres coups de cœur de l’auteure : La gouvernante suédoise et Les sœurs aux yeux bleus

La grâce, de Thibault de MONTAIGU chez Plon

PRIX DE FLORE 2020 (Brigitte T.) Ecouter le podcast sur le portail pour avoir l’avis sur ce roman.

Et nous vous recommandons vivement la lecture de…

Ce matin-là, de Gaëlle JOSSE aux éd. Noir sur blanc (Notabilia)

L’ami, de Tiffany TAVERNIER chez Sabine Wespieser Autre coup de cœur : son 1er roman Roissy

Les orages : histoires, de Sylvain PRUDHOMME chez Gallimard (L’Arbalète)

13 nouvelles sur des moments brutaux de la vie, vécus par différents personnages, mais sans aucune tristesse. Sentiments bien décrits, lecture agréable à picorer.(Elisabeth)

Autres coups de cœur Les Grands ; Légende ; Par les routes : prix Femina 2019.

Le train des enfants, de Vola ARDONE chez Albin Michel

Un fait historique méconnu à découvrir : juste après la 2è guerre mondiale, en Italie, des milliers d’enfants pauvres du sud furent placés quelques mois dans des familles sans enfant du Nord. 1er roman tendre et un touchant récit de formation.

La sirène d’Isé, de Hubert HADDAD chez Zulma

(7)

L’enfant étoile, de Katrine ENGBERG chez Fleuve noir

Ce n’est pas le roman policier de l’année, c’est classique mais d’une efficacité redoutable. Chapitres courts, quasiment à la fin de chaque scène, scénario maîtrisé, tempo élevé. Le meurtre est découvert dès les premières pages, l’enquête est menée par un flic désabusé et accro aux anti-douleurs. Les finalités de l’enquête m’ont laissé sur ma faim avec un arrière-goût de vieille bourgeoisie blanche très « réac ».

Bonne immersion dans la société danoise et à Copenhague. 1er roman danois. (Loïc)

L’éventreur du Palais Royal : une enquête de Léandre Lafforgue, de Sylvain LARUE aux éd. de Borée

L’intrique de ce roman policier se passe à Paris au 19ème siècle. L’histoire n’est pas originale car elle reprend avec succès la célèbre histoire de «Jack l’éventreur». On retrouve avec bonheur les enquêtes de Léandre Lafforgue dit le Goupil dans ce cinquième épisode. L’auteur connait bien l’époque, et l’ambiance de ce siècle est soigneusement restituée. Histoire palpitante, on tremble de peur pour ces pauvres victimes. Impossible de lâcher ce polar, on le dévore jusqu’aux dernières pages. (Brigitte)

L’imposture du marronnier, de Mariano SABATINI chez Actes Sud (Actes noirs) Un politicien véreux romain, ancien promoteur immobilier, est retrouvé mort dans sa villa. L’enquête met à jour « les liaisons dangereuses entre entrepreneurs, mafia et politique». 1er roman trad. en France (Loïc)

Et nous attendons avec impatience…

Traverser la nuit, d’Hervé LE CORRE chez Payot / Rivages noir

Avec les derniers romans d’Hervé Le Corre, on atteint des sommets dans l’art du roman noir.

Blue bird, bluebird, d’Attica LOCKE chez Liana Levi

Un Ranger noir américain enquête sur deux meurtres peut-être racistes dans un bayou du Texas, sur fond de soul/blues des années 50.

Lëd, de Caryl FEREY aux éd. Les Arènes (Equinox) Bienvenu à Norilsk, le paradis sibérien…

LES POLARS ET ROMANS NOIRS

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Bhajans : Timeless devotional songs of India d’EverSound

« Bhajan » se traduit par « partage ». Cette musique envoutante venue du Bengladesh invite à la méditation et au repos. En fermant les yeux tout en écoutant, on peut imaginer les musiciens et les danseuses vêtus de leurs plus beaux costumes. Il faut se laisser envouter, lâcher prise et rêver. Une musique merveilleusement bien interprétée par ce groupe de chanteurs et de musiciens indiens. (Brigitte)

Piano magic de Lang Lang

Sony sort une compilation consacrée au prodige chinois Pour ceux qui ne connaissent pas le virtuose pianiste Lang Lang et pour ceux qui adorent, voici un cd que vous apprécierez. Ce génial pianiste nous emmène dans un délire de notes créant ainsi une atmosphère propre à la diversité des compositeurs joués.

« Cela nécessite une immense musicalité, un talent considérable- et une bonne dose de magie » (Brigitte)

Le temps béni de la pandémie par Les Goguettes

Comme il est drôle cet album ! Un vrai médicament pour remonter le moral aux dépressifs du Covid. Sur les reprises de chansons de Cabrel, Brel, Brassens … le groupe invente des paroles savoureuses et critiques pour nous faire supporter ce moment pénible et tragique de la pandémie. De T’as Voulu Voir le Salon, parodie de Vesoul, à Macron In The Sky With Diamonds, d'après la chanson des Beatles : onze titres, pour faire rire. Soyez joyeux et optimistes et riez ! ne vous en privez pas en écoutant ce cd… (Brigitte)

Venice’s fragance d’Artemandoline

L’enchantement de cette musique est une pure merveille d’originalité et de raffinement. La voix et la mandoline s’harmonisent idéalement et donnent une couleur chaude et vagabonde. Cette musique de l’époque baroque nous ramène au temps du carnaval de Venise au 18è siècle avec ses masques et costumes sans oublier bien-sûr les gondoles. Un voyage virtuel à expérimenter ! (Brigitte)

LA MUSIQUE

Références

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