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Application du système d’acquisition de données
Plurimat 20 en physique
J.F. Sellier, G. Guillaume, J.P. Weymann
To cite this version:
APPLICATION
DU
SYSTÈME
D’ACQUISITION
DE
DONNÉES
PLURIMAT
20
EN
PHYSIQUE
J. F. SELLIER
(*),
G.GUILLAUME
et J. P.WEYMANN
Centre de Recherches Nucléaires et Université Louis
Pasteur,
Strasbourg,
France(Reçu
le 24septembre
1976,
accepté
le 27 octobre1976)
Résumé. 2014 Deux
applications
du systèmed’acquisition
de données Plurimat 20 sontprésentées.
L’une concerne un
appareil
destiné àl’enregistrement automatique
sur minicassette de 48para-mètres
indépendants, quasi simultanément,
provenant de mesures degrandeurs physiques (telles
que des
températures)
codées enfréquence. L’échantillonnage
desparamètres
et lecouplage
de la minicassette au Plurimat 20 sont décrits. L’autreapplication
a trait àl’acquisition
d’événementscorrélés en
Physique Nucléaire ;
uneexpérience
de corrélationangulaire
03B1-03B3, par la réaction18O(t, 03B103B3)
17N, est décrite dans sapartie technique.
Abstract. 2014 Two
applications
of the Plurimat 20data-acquisition
system arepresented.
The first concerns the apparatus used toautomatically
andquasi-simultaneously
record 48independent
physical
parameters(such
astemperatures)
on a minicassette. Thesampling procedure
and thecoupling
of the cassette to the Plurimat 20 are described. The secondapplication
treats theacqui-sition of correlated nuclear
physics
events and isexemplified by
an 03B1-03B3angular
correlationexpe-riment using the 18O(t,
03B103B3) 17N reaction.Classification
Physics Abstracts 0.670
1. Le
système
Plurimat 20. - Nousprésentons
ici brièvement et pour la clarté del’exposé qui
suit,
lesystème
d’acquisition
Plurimat 20(1)
utilisé dansnotre laboratoire. Ce
système comprend
un mini-ordinateur Multi 20 de 32 K octets demémoire,
unevisualisation
biparamétrique,
un dérouleur de bandemagnétique
9pistes
800 BPIType
AMPEX-TMZcompatible
IBM,
deux convertisseursanalogiques-numériques
CT 103Intertechnique
et unetélétype
ASR 33. La liaison entre le mini-ordinateur et les
périphériques
est effectuée par l’intermédiaire d’un ensemble decoupleurs
soit sur la liaison standardparallèle qui
est constituée du busd’entrée-sortie,
soitsur la mémoire par canal d’accès direct mémoire. Un
coupleur
complémentaire
M1604,
32 entrées et sortiesnumériques,
résout laplupart
des connexionsd’élé-ments
périphériques
non conventionnels. Ces 32lignes
sont
réparties
en 4 groupes de 8lignes. Chaque
groupeconstitue un canal adressable
grâce
aux codes de fonc-tion des instructions d’entrée-sortie. Les transferts de données s’effectuent en modeprogrammé
sur le busd’entrée-sortie
parallèle.
Chacun des 4 canauxdispose
d’une
ligne d’interruption
ordonnée par lepériphé-(*) Adresse permanente : Ecole Nationale Supérieure des Arts et Industries, Strasbourg, France.
(1) Système commercialisé par la Société Intertechnique, 78370 Plaisir, France.
rique.
Un 0 Ulogique
réunit les 4lignes d’interruption
en un niveau
unique d’interruption
externe commandé par un sous-programmed’interruption.
Des
dispositifs électroniques originaux
etcomplé-mentaires,
tels queenregistrement
de données surminicassette du commerce et relecture de ces cassettes
sur le mini-ordinateur Multi
20,
sont décrits en détailci-après.
2.
Applications
dusystème
Plurimat 20 enphysique.
- 2.1 CODAGE
EN
FRÉQUENCE
D’INFORMATIONS ISSUES DE CAPTEURS DE TEMPÉRATURE ET STOCKAGE SUR MINICASSETTE DU COMMERCE. - 2.1.1 Introduction.-La réalisation de circuits
électroniques
annexes aumini-ordinateur et l’utilisation de ce dernier est en rela-tion avec le
problème
physique
suivant : commentdéterminer les coefficients
d’échange
thermique
d’une enceinte degrand
volume(par exemple
unimmeuble) ?
Il est pour cela nécessaire de connaître les variations des
caractéristiques thermiques
de cette enceinte avec les conditionsextérieures,
en effectuant des mesures detempérature
en de nombreux endroits de l’enceinte. Parsuite du
grand
nombre de mesures à faire et de leur durée(plusieurs jours
ou mêmeplusieurs
semaines)
il est nécessaire de
prévoir
unsystème
d’acquisition
dedonnées à
grande capacité
mémoire. Pour éviter l’immobilisationpermanente
dusystème
d’acquisition
dedonnées,
nous avons stocké lesinformations,
après
448
codage
enfréquence,
sur une minicassette. Nous avonsréalisé une interface branchée sur le
coupleur
M1604,
qui
effectue levidage
des événementsenregistrés
sur laminicassette dans la mémoire du mini-ordinateur Multi 20.
L’enregistrement
sur bandemagnétique
9
pistes
800 BPIpermet
alors un traitementmathé-matique
élaboré des événements sur des ordinateurs deplus
grosse taille(UNIVAC
1100,
CII duCRN,
parexemple).
2.1.2
Caractéristiques
desparamètres
et del’échan-tillonnage.
- Lestempératures
sont desgrandeurs
physiques
ramenées à unegrandeur électrique
analo-gique
oudigitale
à l’aide de transducteursappropriés.
Nous avonsentrepris
depouvoir
suivre l’évolution de 48paramètres
indépendants,
quasi
simultanément et de lesenregistrer.
Un commutateuranalogique
et unconvertisseur
analogique-numérique
permettent
de coder successivement tous lesparamètres.
L’enregis-trement de la valeur mesurée s’effectue alors
immédia-tement à la fin du
temps
de mesure. Larapidité
del’échantillonnage dépend
surtout du convertisseuranalogique-numérique
utilisé. Dans notre cas, letemps
de mesure est de 100 ms et le
temps
d’enregistrement
a été fixé à la même valeur pour
permettre
l’enregistre-ment de tous les bits caractérisant un
paramètre.
La scrutation de tous lesparamètres
s’effectuerégulière-ment et le
temps
entrechaque
scrutationpeut
êtreprésélectionné
à une valeurcomprise
entre 1 et90 minutes.
L’enregistreur
ne fonctionne pascontinuel-lement mais est mis en route à
chaque
scrutation etarrêté
après
le 48eparamètre.
Lediagramme
entemps
de
l’enregistrement
estexplicité
par le schéma dela
figure
1. ,FIG. 1. -
Diagramme en temps d’un enregistrement complet.
2.1.3
Caractéristiques
del’enregistrement.
-Comme le
temps
d’enregistrement
d’unparamètre
estrelativement
long,
on a choisi pourreprésenter
lesnombres un
codage
enfréquence.
Aux valeurs 1 et 0 de l’informationdigitale correspond respectivement
lesfréquences f,
etfo.
Undigit
defréquence f2,
intercaléentre les
digits f,
1 etfo,
permet
lesynchronisme
de labande
magnétique
à la lecture. Ce nombredigital
représentant
la valeur d’unparamètre
est codé sur25 bits
appelés
bitsinformations.
Entrechaque
bit information est intercalé un bithorloge
pour lasynchro-nisation. Au
total,
il y a 50 bits par nombre. Letemps
d’enregistrement
d’un nombre est de 100 ms, la durée d’un bit sera donc de 2 ms. Celle-ci étantfixée,
onpeut
choisir les
fréquences fo, fi, f2 qui
ont pour valeurrespectivement
0,
4 000Hz,
6 000 Hz. La valeur 0correspond
à l’absence designal.
Lafigure
2repré-sente le
diagramme d’enregistrement
d’un nombre.FIG. 2. - Diagramme de l’enregistrement d’un nombre.
Après l’enregistrement
d’unnombre,
il y a donc unespace de 100 ms
correspondant
à une mesure. Onplace
dans cet intervalle detemps
une informationsupplémentaire
defréquence
f3 indiquant
la fin del’enregistrement
du nombre comme le montre ledia-gramme de la
figure
3.FIG. 3. -
Diagramme en temps de la fin d’un enregistrement.
2 .1. 4 Lecture de la bande. - La sélection de
chaque
fréquence
s’effectue à l’aide de filtres.Chaque
filtre estsuivi d’un circuit de mise en forme
composé
d’uncomparateur
et d’un monostable(Fig. 4).
FIG. 4. - Schéma de
principe du lecteur ; f = filtre,
C =
Un
registre
àdécalage
transforme l’information série en une informationparallèle.
La sortieparallèle
du
registre
est reliée à l’entrée de la cattecoupleur
M 1604 du mini-ordinateur Multi-20. La sortie fin de
mot envoie une
impulsion
sur laligne
d’interruption
dumini-ordinateur. Ce dernier traite alors un
sous-programme
correspondant
à cetteinterruption.
Le programme enlangage
machinecomporte
donc deuxphases :
l’attented’interruption
et le sous-programmed’interruption
entrée du nombre. Le programme estdisponible
sous forme de rubanperforé.
Lesous-programme
d’interruption
effectue lecadrage
du nombre et lerangement
en mémoire. Il estpossible
deprévoir
un sous-programme de traitementplus
complet
tel que linéarisation et calibration des nombres.
Tou-tefois,
ce programme nepeut
durerplus
de 200 ms,puisque
au bout de cetemps
un nouveau nombre doitpouvoir
entrer en mémoire.2.1.5 Conclusion. -
Bien que notre réalisation soit caractérisée par une faible
rapidité d’acquisition
(5 paramètres
parseconde),
elle al’avantage
d’un faiblecoût de revient par suite de la
simplicité
de la concep-tion des circuitsélectroniques
et d’être insensible auxparasites
ambiants.Ultérieurement,
nousaugmen-terons la
rapidité
et la fiabilité del’enregistrement
par l’utilisation de bandemagnétique
à deuxpistes,
l’une pour les informations et l’autre pour les bits desynchronisation.
2.2 CORRÉLATIONS ANGULAIRES DANS LE NOYAU
17N. -
La détermination de momentsangulaires
totaux(spins)
des états excités d’un noyau, ainsi que demélanges multipolaires
des transitionsélectromagné-tiques, requiert
leplus
souvent la mesure de fonctionsde corrélation
angulaire
entre deux radiationssucces-sives. Dans le cas du
noyau l’N,
que nous avons étudiépar la réaction
180(t,
exy)17N
àEt
= 3.5 MeV[1 ],
les corrélations
angulaires
ont été mesurées dans unegéométrie particulière
dite méthode II de Litherlandet
Ferguson
[2] :
seules lesparticules
a émises lelong
de l’axe du faisceau des tritons incidents étaient
détec-tées,
en coïncidence avec lesrayonnements
yproduits
par la réaction. Dans cette
symétrie
axiale,
seuls les sous-étatsmagnétiques
+1/2
et -1/2
sontpeuplés,
à
égalité ;
on réalise ainsi unalignement optimum
desnoyaux
17 N*.
Enréalité,
le détecteur departicules
(annulaire,
ensilicium)
que nous avionsplacé
à1800,
a des dimensionsfinies,
avec desangles
de détectioncompris
entre 1640 et175°,
cequi
a pour effet depeupler
aussi,
et pour moins de 10%
les sous-étatsmagnétiques
+3/2
et -3/2.
La détection desrayon-nements y était assurée par un cristal
Ge(Li)
de 120cm3
de volume et de 4 keV de résolution en
énergie
àEy
=1,33
MeV(sous faisceau), placé
à 9 cm de lacible,
et tour à tourpositionné
à6y
=00, 30°, 45°,
55°,
60° et 90°. Tous les détecteurs utilisés ont été construits dans notre laboratoire. La cible était constituée d’une feuille
autoportée
de 50Jlg/cm2
d’oxyde
detitane ;
elle a été
préalablement fabriquée,
sous enceinted’argon,
parélectrolyse
d’une feuille de titane dans unbain
D2 180
dont l’enrichissementen "0
était de 98%.
Laréaction 18O(t, 03B1)17N
est caractérisée par unren-dement faible
[3],
mais est certainement la seule uti-lisable pour lever toutes lesambiguïtés
laissées par les études antérieures sur17 N.
Les réactionscompétitives
ou
parasites,
nombreuses etprolifiques
[180(t,
p)2°0,
16O(t,
p)18O, 12C(t, p)14 C
notamment],
ainsi que le bruit derayonnement
ambiant occasionné par l’accélé-rateur et le faisceau detritons,
masquent
lesphéno-mènes à étudier. De
façon
à remédier àceci,
nous avonsutilisé d’une
part,
un détecteur departicules
mince(d’épaisseur
34 pm dans unepremière
série de mesures,puis
un autre de25 pm
dans lasuite)
permettant
l’obtention d’unspectre
departicules
a débarrassé des groupes deprotons
sur saplus grande partie
et,
d’autre
part,
lesystème
Plurimat 20permettant
l’acqui-sition de tous les événements en mode
biparamétrique
sur destemps
de mesurelongs.
Soulignons
que celogiciel
programmable
évitait aussil’emploi
de fenêtresanalogiques
dont lamultiplication
n’aurait eud’autres fins que de diminuer la fiabilité de
l’expérience
et de donner des informations
partielles
et achevéesqui
nepourraient
être niaméliorées,
nicorrigées
qu’aux
dépens
de nouvelles semaines de mesure àl’accélérateur.
Les circuits
électroniques
utilisés(Fig. 5)
sont dutype
rapide-lent
avec untemps
de résolution de 30 nsFIG. 5. - Bloc
diagramme de l’unité de coïncidence «
rapide-lent ». PA = préamplificateur ; A = amplificateur linéaire ;
DR = discriminateur à fraction constante ; CTA =
convertis-seur temps amplitude ; D = discriminateur
différentiel ;
R = ligne à retard ; CAN = convertisseur
analogique-numé-rique.
(mesuré
à la base dupic
temps
donné par le CTA etsans sélection
d’énergies
sur les deuxvoies)
et un450
la
porte
des deux convertisseursanalogiques
CT 103 laissant le passage à deuximpulsions énergies
venantdes deux détecteurs. Au niveau de l’ordinateur Multi-20 des
couples (X, Y) = (énergie
gamma,énergie
parti-cules)
sont ainsigénérés
et codés sur deux fois deuxoctets. La
configuration
maximum que nous avonsadoptée
était de 2 048 x 512 canaux. Une mémoiretampon
dans l’ordinateur retient cescouples
ensimul-tanéité avec
l’acquisition
et estvidée,
lorsqu’elle
estsaturée,
sur une bandemagnétique, pendant
que, sanstemps
mort, une autre mémoire s’active. Des blocs de 960 octets sont ainsi constitués sur la bandemagné-tique,
les deuxpremiers
octets étant réservés à la date d’écriture du bloc[4].
L’expérience
a duré environ trois semaines. Le tauxde coïncidences était de l’ordre de un à deux coups par seconde pour
un
faisceau de tritons d’intensité 20 à 80 nA suivantl’angle
0y
choisi ;
ces conditionscorrespondaient
en fait à destemps
morts d’environ 60%
au niveau des convertisseurs CT 103 et pour lesspectres
directs.Les événements
biparamétriques
stockés sur bandesmagnétiques
ont été ensuite triés et ordonnés enpla-çant,
par programme, des fenêtresnumériques
sur lesvoies d’intérêt X ou Y. La reconstitution des
spectres
encoïncidence,
soit parfeuilletage,
soit parprojection,
a été réalisée à cause d’une infrastructure en
pro-grammes divers très
élaborée,
sur un ordinateurIBM 1130 et dont la structure en mot de 16 bits
permet
une lecture aisée des événements. La
figure
6 montreFIG. 6. - Spectre
de rayonnements y obtenu à
03B803B3
= 90° encoïncidence avec le groupe de particules a alimentant le niveau
de 2,53 MeV. Ce spectre, construit à partir des événements
bruts, représente environ le tiers de la statistique totale. Le schéma de désexcitation du niveau de 2,53 MeV est présenté en encart.
un
spectre
de rayonnements y encoïncidence,
recons-truit en
plaçant
une fenêtre en Y sur les groupes departicules
03B14 alimentant le niveau de2,53
MeVde 17N.
Les intensités des
pics
depleine énergie
ont été extraitspour
chaque angle
0.,
et normalisées d’unangle
à unautre à l’aide des
spectres
departicules
directs. Pour l’obtention des informations de naturespectroscopique,
nous avons
analysé
les corrélationsangulaires
suivantle formalisme
développé
par Poletti et Warburton[5] :
les corrélationsangulaires expérimentales
sont lisséespar des fonctions de corrélations
angulaires
théoriques
contenant les
quantités
à obtenir(spins, mélanges
multipolaires, intensités)
et par une méthode demoindres carrés linéaires.
Un travail assez
long
dedépouillement
des résultatsbruts,
qui
a consisté à relire les bandesmagnétiques
de nombreuses fois à
l’ordinateur,
nous apermis
dedéterminer,
sansambiguïté,
lespropriétés
électro-magnétiques
des sixpremiers
états excitésde 17N
[1 ].
Ces
propriétés, telles
queénergies
desétats, rapports
d’embranchementdes
transitions y,mélanges
multi-polaires
et valeurs despins,
découlent de notre étudesans référence aux résultats
fragmentaires
connus parailleurs. Un intérêt évident d’un
système mégacanaux,
avec
stockage
de tous les événements sur bandemagné-tique,
réside aussi dans le fait que des résultats anté-rieurement bien connus etqui
concernent d’autresnoyaux,
peuvent
être recherchés et servir de tests de confiance. Ainsi lesénergies
des états de17 N
sontétablies,
à07
=90°,
par référence avec ceux de
11B
et
180,
enparticulier,
atteints par les réactions12C(t, 03B103B3)11B
et160(t, py)180 ;
lesspins
dequelques
niveaux très excités de2°0,
atteints par 180(t, p)2°0,sont aussi retrouvés en traitant les corrélations
angu-laires
(p, y) correspondantes.
3. Conclusion. - Nousavons décrit dans cet article deux
applications
dusystème d’acquisition
Plurimat 20. L’une concernaitl’enregistrement,
effectuéautomati-quement
etquasi
simultanément,
de 48paramètres
indépendants
sur minicassette et lecouplage
de cettedernière au
système.
Il est bien entendu que les48
paramètres (ou
plus)
peuvent
provenir
d’autresgrandeurs physiques
que destempératures,
en faisantsuivre les
appareils
de mesures de transducteurs ou deconvertisseurs
appropriés.
La secondeapplication
a été faite à laPhysique
Nucléaire où lesystème
Plurimat 20a montré sa nécessité par
rapport
auxsystèmes
clas-siques
modulaires,
sa facilitéd’utilisation,
son utilitéet sa fiabilité à
l’acquisition
degrandeurs
corrélées,
telles que celles
provenant
d’uneexpérience
de corré-lationsangulaires particule-gamma.
Remerciements. - Un des auteurs
(JFS)
estrecon-naissant au Professeur R. Armbruster de l’avoir accueilli dans son laboratoire au C. R. N.
Bibliographie
[1] GUILLAUME, G., RASTEGAR, B., FINTZ, P. et GALLMANN, A.,
Nucl. Phys., sous presse.
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[4] Programme PN05A/012D standart, fourni par le construc-teur (Société Intertechnique).
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