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BANQUE DROIT. la pratique du droit bancaire français et européen. La redéfinition de la notion de réception de fonds du public

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la pratique du droit bancaire français et européen

BANQUE DROIT

n° 156

juillet-août 2014

ISSN 1777-5752 Bimestriel 70 euros revue-banque.fr

ARTICLES

3 Monopole bancaire

La redéfinition de la notion de réception de fonds du public

Thierry SAMIN, Société Générale

9 Droit des sûretés

Gage de stock de droit commun en faveur des banques

Jean-François ADELLE, Jeantet Associés, et Étienne GENTIL, Latham & Watkins

14 Financement de projet

Réflexions sur le mécanisme de la cession de créance dans les contrats publics

Xavier MATHARAN et Thomas SERMOT, PARME Avocats

CHRONIQUES

20 DROIT BANCAIRE Thierry BONNEAU et Geneviève HELLERINGER

26 DROIT FINANCIER ET BOURSIER Jean-Jacques DAIGRE, Jean-Pierre BORNET et Anne-Claire ROUAUD

35 BANCASSURANCE Pierre-Grégoire MARLY, Sylvestre GOSSOU et Michel LEROY

38 DROIT DES SÛRETÉS Nicolas RONTCHEVSKY, François JACOB et Emmanuel NETTER

42 DROIT PÉNAL BANCAIRE Jérôme LASSERRE CAPDEVILLE

46 DROIT DES SOCIÉTÉS Isabelle RIASSETTO, Michel STORCK et Quentin URBAN

49 DROIT FISCAL Carine SABOT et Matthieu DAUTRIAT

57 NOMINATIONS

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Banque & Droit nº 156 juillet-août 2014

Monopole bancaire

La redéfinition de la notion de réception de fonds du public

La notion de réception de fonds reçus du public, que l’on connaissait depuis la loi bancaire du 24 janvier 1984, a été remplacée par celle de réception de fonds remboursables du public.

C’est l’œuvre de l’ordonnance n° 2013-544 du 27 juin 2013 relative aux établissements de crédit et aux sociétés de financement.

Par ce changement terminologique, le droit français s’est rapproché

du droit communautaire dérivé. S’agit-il là d’un changement purement nominal ? La présente contribution, issue

d’une conférence prononcée à la Sorbonne le 11 juin 2014, lors du colloque « La fin du monopole bancaire ? » organisé à l’occasion des 40 ans du Master 2 de droit bancaire et financier de l’Université Panthéon-Sorbonne, vise à faire fait le point sur le sujet.

Les actes complets de ce colloque feront l’objet d’un numéro spécial de Banque et Droit, à paraître d’ici la fin de l’année.

1.Comme le platane de M. Taine dans Les Déracinés 1, le Code monétaire et financier « ignore l’immobilité ». Lex reformata semper reformanda, pourrait-on écrire à son propos, parodiant un adage célèbre 2. La réception de fonds du public, première des opérations de banque énumérées par l’article L. 311-1 dudit code couverte par le monopole des établissements de crédit 3, est là pour en témoigner. La notion de « réception de fonds du public », connue depuis la loi bancaire du 24 janvier 1984 – pour ne pas dire depuis l’acte dit « loi du 13 juin 1941 » 4 –, a en effet cédé la place, le 1er janvier dernier, à la notion de « réception de fonds remboursables du public » en vertu de l’ordonnance n° 2013-544 du 27 juin 2013 5. Par ce changement terminologique, le droit français s’est rap- proché du droit communautaire dérivé, autrement dit de la directive CRD 4 6, qui réserve 7, sauf exception 8,

« l’activité de réception de dépôts ou d’autres fonds rembour- sables du public » aux établissements de crédit 9.

1. Cité par A. Finkielkraut dans ses ouvrages Le Mécontemporain. Péguy, lecteur du monde moderne, Gallimard, coll. « folio », n° 3191, 1991, p. 75 et L’Identité malheureuse, Stock, 2013, p. 109.

2. Cf., à propos de la loi du 24 juillet 1966 sur les sociétés commerciales, la préface de M.J.

Foyer au fameux traité sur les « Sociétés commerciales » de MM. J. Hémard, F. Terré et P. Mabilat, t. I, Paris, LGDJ, 1972, spéc. p. X.

3. Cf. C. Houin-Bressand, « Les limites à la libre disposition des fonds reçus du public », in A. Gourio et J.-J. Daigre (dir.), Droit bancaire et financier – Mélanges AEDBF-France VI, RB Édition, 2013, p. 257 et sq.

4. V. art. 2, alinéa 1, de la loi du 13 juin 1941 relative à la réglementation et à l’organisation de la profession bancaire (DA 1941, Lég. p. 333, rectificatif p. 456) : J. Stoufflet, « Le monopole des banques quant à la réception de fonds en dépôt », in Études de droit commercial à la mémoire de Henry Cabrillac, Librairies techniques, 1968, p. 437 et sq.

5. V. article 3, 1°, et 36 (combinés) de l’ordonnance (JO du 28 juin 2013, p. 10682).

6. V. Directive 2013/36/UE du Parlement européen et du Conseil du 26 juin 2013 concernant l’accès à l’activité des établissements de crédit et la surveillance prudentielle des établissements de crédit et des entreprises d’investissement, modifiant la directive 2002/87/CE et abrogeant les directives 2006/48/CE et 2006/49/CE (JOUE du 27 juin 2013, n° L. 176/338).

7. V. article 9, § 1, de la directive précitée.

8. V. article 9, § 2, de la directive précitée.

9. V. Rapport annuel de l’ACPR 2013, p. 72.

THIERRY SAMIN Responsable de la réglemen- tation bancaire et financière Société Générale

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SÉMINAIRES

Rencontre

Banque & Droit

LE STOCKAGE ET L’ARCHIVAGE ÉLECTRONIQUES DANS

LA BANQUE : QUELS ENJEUX ?

Lieu

Amphithéâtre Thomson Reuters Transactive 6/8 Bd Haussmann 75009

Tarifs

360 euros TTC Tarif réservé aux membres de l’ANJB : 270 euros TTC

Contact

Magali Marchal Tél.: 01 48 00 54 04 marchal@revue-banque.fr

Mardi 30 septembre

2014

9h00 - 12h00

DIF

In scription su r re vue-banque .fr

8h30 Accueil des participants et petit-déjeuner 9h00

Introduction et animation de la séance

Eric CAPRIOLI, avocat à la Cour, docteur en droit, spécialiste en droit des nouvelles technologies, de l’informatique et de la communication,

société d’avocats Caprioli & Associés

Panorama des problématiques informatiques et libertés

- La délibération n° 2013-270 du 19 septembre 2013 portant recommandation relative aux services dits de « coff re-fort numérique ou électronique » destinés aux particuliers - Les risques d’intrusion et de piratage

- Aspects de sécurité

Mathieu GRALL, chef du service de l’expertise technologique, CNIL

Aspects juridiques liés à l’archivage dans la banque et l’assurance

- Distinctions : stockage, sauvegarde et archivage ; archivage et conservation - Archivage interne v. Archivage externe ; Le statut du tiers archiveur - Régime juridique : droits et obligations en matière de Coff re-fort numérique Eric CAPRIOLI, avocat à la Cour, docteur en droit, spécialiste en droit des nouvelles technologies, de l’informatique et de la communication,

société d’avocats Caprioli & Associés

Point de vue du prestataire : le coffre-fort numérique : de la sécurité à la conformité

Arnaud BELLEIL, directeur associé, Cecurity.com

Les systèmes d’archivage dans la banque

- Quels sont les enjeux juridiques, durée de conservation, etc. ?

René PINON, directeur juridique adjoint groupe, Crédit Agricole Consumer Finance - Quels sont les enjeux de sécurité ?

- Quelles problématiques métier et quelle mise en œuvre pratique ? Cédric CLEMENT, Head of trust services, Informatique CDC 12h00 Clôture de la séance

SSOCIATION ATIONALE DES URISTES DE ANQUE A

N J B

En partenariat avec

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0-TETIERE-TOURN-DROIT

Banque & Droit n° 156 juillet-août 2014

Arsene Taxand

Delphine Bouchet rejoint le cabinet Arsene Taxand en tant qu’associée. Elle est accompagnée de sa collaboratrice Céline Morel.

l Delphine Bouchet, 37 ans, diplômée de l’Edhec Business School et titulaire d’un DESS de droit fiscal (Université de Dijon), es t sp é c ialis é e en TVA. D’abord chez Arthur Andersen, elle rejoint Baker McKenzie en 2002 avant d’intégrer Ernst & Young Société d’Avocats où elle était associée depuis 2012.

l Céline Morel, 29 ans, titulaire d’un Master 2 en droit f iscal (Paris II) et d’un Mastère s p é c i a l i s é e n gestion f iscale de l’entrepr ise (ESC Lille), était jusqu’alors avocat manager du pôle indirect taxes service chez Ernst & Young Société d’Avocats.

De Pardieu Brocas Maffei

l Éric Muller, 41 ans, est recruté par le cabinet De Pardieu Brocas Maffei pour renforcer les activités de son équipe corporate fusions &

acquisitions. Avocat au Barreau de Paris depuis 2002, il est titulaire d’un DESS de droit des affaires et fiscalité, d’un DJCE (Nancy II) et d’un Bachelor of Commerce (McGill University, Canada). Il était associé du cabinet américain White & Case depuis 2009.

GGV

l Aurélien Mallaret, 28 ans, intègre le cabinet franco- allemand GGV, en quali t é de collaborateur. Il interviendra sur les questions de droit f iscal des opérations corporate et en fiscalité immobilière. Titulaire d’un Master 2 professionnel de juriste fiscaliste

(Paris 5) et du CAPA, il exerçait auparavant chez Lefèvre Pelletier & Associés en tant que collaborateur au sein du département fiscal.

Norton Rose Fulbright

l Janet Butterworth, 49 ans, rejoint l’équipe de droit b a n c a i r e e t f inanc emen t s de Norton Rose F u l b r i g h t à Paris en qualité d ’ a s s o c i é e . Diplômée d’une maîtrise de droit anglais (université de Kent) et droit français (Paris XI), titulaire d’un DESS en droit du commerce international (Paris X), elle est Solicitor de droit anglais et avocate au Barreau de Paris depuis 1992.

Elle entame son parcours chez Jeantet

& Associés en 1989 avant de rejoindre Lovells l’année suivante. Devenue, en 1994, collaboratrice du département corporate du bureau parisien de Norton Rose Fulbright, elle était, depuis 2003, associée de Holman Fenwick Willan.

Nominations le carnet

DE GAULLE FLEURANCE & ASSOCIÉS

l Emmanuelle Corcos, 34 ans, est recrutée par la société d’avocats de Gaulle Fleurance & Associés en qualité d’avocat senior. Titulaire d’une maîtrise en droit fiscal des affaires (Paris I), d’un Master 2 professionnel en droit des affaires (Paris V) et d’un Master 2 recherche en droit fiscal (Paris I), elle débute en 2007 chez Clifford Chance LLP au Luxembourg au sein du département fiscal avant d’exercer, en 2010, chez Bastien Reheis dans les domaines du capital investissement et du private equity.

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Banque & Droit n° 156 juillet-août 2014 NOMINATIONS

Proskauer

l Proskauer accueille Nicolas Léger, 39 ans, en qualité d’International Counsel.

Titulaire d’un DEA en droit social et d’un doctorat en droit privé (Paris I), il commence comme chargé de recherches auprès du ministère du Travail et assistant de justice près la cour d’appel de Paris, avant de devenir avocat. Entré en 2004 chez Waquet Farge Hazan, il exerce à partir de 2005 au sein de Freshfields Bruckhaus Deringer, puis CMS Bureau Francis Lefebvre. Fin 2009, il rejoint Lexcom en tant qu’associé, pour y créer le département droit social du cabinet. Il est également maître de conférences à Sciences Po.

Racine

l Carol Santoni, 37 ans, intègre le département immobilier/construction de Racine, en qualité d’associée. Titulaire d’un DEA de droit des affaires, d’une maîtrise de droit des affaires (Université de Paris-Ouest) et d’un LLM de droit Allemand (Université de Postdam), elle est avocat au Barreau de Paris depuis 2001. Avant de rejoindre Racine, elle exerçait, depuis 2000, chez Gide. Elle a notamment été responsable du bureau serbe du cabinet en 2009/2010. Par ailleurs, c’est une ancienne chargée de cours en droit des sociétés.

Richard Demeure

& Associés

l Jérôme Barbet intègre le cabinet Richard Demeure en qualité d’associé afin d’y développer l’activité droit privé des affaires, droit commercial et droit de l’immobilier.

Titulaire d’un DEA droit international privé et droit du commerce international (Paris I), il est avocat à la Cour et Solicitor (England

& Wales). Il a exercé pendant dix ans chez Clifford Chance à Paris, avant de rejoindre Pichard

& A ssociés à Neuilly en 2010.

TÉLEX

l ASHURST annonce la nomination de deux nouveaux Counsels : Thomas de Mortemart au sein du département banking & finance et Priscilla van den Perre au sein du département fiscalité lBAKER & McKENZIE Ariane Calloud devient Local Partner du département fiscalité du bureau de Paris lKING & WOOD MALLESONS SJ BERWIN Audrey Molina, Isabelle Meyrier et Gwenaël Kropfinger accèdent à la qualité de Counsels respectivement dans les départements Restructuring, Corporate et Fiscalité lKRAMER LEVIN nomme Marie-Christine Fournier-Gille associée l MOISAND BOUTIN & ASSOCIÉS (MBA) renforce son département social et coopte Sophie Lemaître en tant qu’associée l SEKRI VALENTIN ZERROUK nomme une septième associée : Coppelia Burgos

Rosenblatt Solicitors

l Bruno Fatier, 45 ans, est nommé associé en charge de la pratique « services f inan c ier s e t fonds » au sein de Rosenblat t Solicitor s, un cabinet basé à Londres. Titulaire d’un LLM de l’université américaine de Notre-Dame et diplômé de l’IEP de Bordeaux, il exerce chez Fidal (1998-2001), avant de passer treize ans dans l’antenne parisienne de Clifford Chance, en tant que Counsel au sein de son département dédié aux banques et à la finance. Il a développé une expertise en services financiers et fonds comprenant notamment une pratique en matière de paiements, de droit bancaire général, de gestion d’actifs, d’infrastructures de marché, de contrats commerciaux, de partenariat et de distribution. n

ORRICK RAMBAUD MARTEL

l Alain Pietrancosta, rejoint le cabinet Orrick Rambaud Martel en qualité de consultant.

Agrégé de droit privé et professeur à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne depuis 2004, il est le fondateur et le directeur du Master recherches « droit financier » de l’École de droit de la Sorbonne. Auparavant, il a enseigné à l’Université de Tours, à l’Université de Paris X Nanterre et à l’École centrale de Paris. Il a également développé une pratique de consultation juridique depuis plus de quinze ans et a participé, en tant qu’expert-témoin, à des contentieux internationaux devant les cours étatiques et fédérales américaines.

Réalisé par Christine Hauvette, hauvette@revue-banque.fr

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Banque & Droit

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ABONNEMENTS 2014

la pratique du droit bancaire français et européen

BANQUE DROIT

Presse · Séminaires · Édition · Librairie · Internet n° 133  Septembre-octobre 2010 ISSN 1777-5752 Bimestriel  65 euros  revue-banque.fr

aRTIcles 3 Réglementation du travail

le droit dévertébré de la lutte contre la discrimination Emmanuel Jouffin, Docteur en droit

16 Lutte antiblanchiment  Dans le labyrinthe des listes d’États et territoires Arnaud LEfin et Vincent SouLignAc, groupe BPcE 25 Directive OPCVM IV  

Nouvelles règles, nouveaux défis pour la gestion d’actifs David MASSon et Houda DAMon, Ernst&Young, Société d’Avocats 29 Pérennité et diffusion des données

la dimension juridique de l’archivage électronique   Sabine MArcELLin, EPf - École d’ingénieurs

chRONIques 34 DROIT baNcaIRe Thierry BonnEAu 41 DROIT fINaNcIeR eT bOuRsIeR Hubert de VAuPLAnE, Jean-Jacques DAigrE,

Bertrand de SAinT MArS et Jean-Pierre BornET 50 GesTION cOllecTIve fabrice BuSSiÈrE 54 baNcassuRaNce Pierre-grégoire MArLY et Sylvestre goSSou 59 DROIT Des sûReTÉs nicolas ronTcHEVSKY et françois JAcoB 63 DROIT Des sOcIÉTÉs Michel STorcK, Quentin urBAn et isabelle riASSETTo 69 DROIT fIscal claire AcArD 71 NOmINaTIONs 73 bIblIOGRaphIe Alain cErLES

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la pratique du droit bancaire français et européen

BANQUE DROIT

Presse · Séminaires · Édition · Librairie · Internet Décembre 2010 30 euros  revue-banque.fr

hors-série

Compte-rendu Rencontre Banque & Droit du 12 octobre 2010 LES GARANTIES SUR CRÉANCES À L’ÉPREUVE DES PROCÉDURES COLLECTIVES

l Introduction Francis CREDOT, Senior of counsel, Salans Avocats Associés l Le nantissement de créances de droit commun : quelle efficacité ? Augustin AYNES, Agrégé des facultés de droit, Professeur à l’Université Paris XII l La cession Dailly et l’affaire « Cœur Défense » Jean-Louis GUILLOT, Directeur juridique, BNP Paribas l Le transfert de créances en fiducie : une alt

ernative, avec quelles limites ? Augustin AYNES, Agrégé des facultés de droit, Professeur à l’Université Paris XII l Gage espèces et nantissement de compte Thierry SAMIN, Responsable de la réglementation bancaire et financière, Société Générale l Délégation et stipulation pour autrui Lionel ANDREU

, Maître de conférences à la faculté de droit de Nantes la pratique du droit bancaire français et européen

BANQUE DROIT

Juin 2013 ISSN 1777-5752 70 euros revue-banque.fr

HORS-SÉRIE

Quel droit pour le développement de la banque en ligne ?

Banque & Droit présente les actes du colloque organisé sur ce thème par le Centre de droit de l’université de Strasbourg, les 6 et 7 décembre derniers.

Juristes, universitaires, praticiens du droit et banquiers ont dressé à cette occasion un état des lieux complet du droit applicable aux activités de banque en ligne : des problèmes liés aux transactions internationales et aux juridictions compétentes pour les juger à la cy- bercriminalité de la banque en ligne, ou encore à la protection des données personnelles des clients, en passant par des questions – simples en apparence, mais complexes dans les faits – comme l’ouverture d’un compte ou la souscription d’un crédit en ligne. Malgré un décalage parfois flagrant entre la théorie juridique et la pratique – qu’est-ce qu’un document sur un suppo

rt durable dans l’univers high-tech ? –, ce colloque a permis de poser certaines bases… et de cerner quelques vides juridiques. En effet, par exemple, comment s’assurer de l’identité de l’internaute en ligne ou déterminer s’il a la capacité juridique d’effectuer certains actes ? dans quelles cir- constances la responsabilité de la banque est-elle engagée en cas de fraude ?

BD14

Références

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Leurs aisance et connaissances tant en droit (droit français, international, de l’Union européenne, Common law britannique et américaine, droits espagnol, italien, allemand

Autres prérequis : De très solides connaissances, avec d’excellents résultats, sont exigées dans les principales matières du droit des affaires (droit commercial,

Securities Act de 1933 (ci-après, « l’Act de 1933 »), ou en vertu de quelque loi applicable dans un Etat américain, et les parts ne pourront pas être directement ou

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puisque, suivant 'l'expression de M. Toullier à cet égard faisait une distinction selon que la peine est stipulée du père pour le cas où l'enfant refuserait de se marier, ou