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Guide montréalais de gestion des cas et contacts en établissement d enseignement préscolaire, primaire et secondaire

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Academic year: 2022

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(1)

INTRODUCTION ... 2

CHEMINEMENT D’UN CAS VERS LA DRSP : DEUX TRAJECTOIRES COMPLÉMENTAIRES... 2

ÉTAPES POUR LA GESTION DES CAS ET DES CONTACTS EN MILIEU SCOLAIRE MONTRÉALAIS ... 3

ÉTAPE 1 : L’ÉCOLE REÇOIT LE SIGNALEMENT DU CAS POSITIF DE COVID-19 ... 3

ÉTAPE 2 : L’ÉCOLE AVISE LE CAS DE LA DÉMARCHE À SUIVRE ... 3

ÉTAPE 3 : L’ÉCOLE RECUEILLE DES INFORMATIONS DE BASE AUPRÈS DU CAS ... 3

ÉTAPE 4 : L’ÉCOLE IDENTIFIE LES CONTACTS FACILEMENT REPÉRABLES DANS LES LIEUX FRÉQUENTÉS PAR LE CAS DURANT SA PÉRIODE DE CONTAGIOSITÉ ... 3

ÉTAPE 5 : L’ÉCOLE FAIT UNE ÉVALUATION INITIALE DU NIVEAU DE RISQUE DES CONTACTS ET PEUT PROCÉDER À CERTAINS ISOLEMENTS PRÉVENTIFS ... 4

TABLEAU 1. NIVEAUX DE RISQUE ET RECOMMANDATIONS DE LA DRSP ... 5

TABLEAU 2. SITUATIONS PRÉSENTANT UN DÉFI (ABSENCE DE PORT DU MASQUE – EXPOSITION PROLONGÉE) ... 6

ÉTAPE 6 : ET SI UN DEUXIÈME CAS SE PRÉSENTE ? ... 8

ÉTAPE 7 : L’ÉCOLE ENVOIE LE GABARIT À LA DRSP ET ATTEND LES DIRECTIVES ... 8

ANNEXE 1 ... 9

Guide montréalais de gestion des cas et contacts en

établissement d’enseignement préscolaire, primaire et secondaire

2021-10-19

Les modifications apportées depuis la dernière mise à jour sont indiquées ainsi dans le document

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Introduction

L’objectif du présent guide est d’outiller les écoles lors d’un signalement d’un cas de COVID-19 dans leur établissement et de faciliter la mise en place de certaines mesures initiales pour limiter la transmission au sein de l’école avant la prise en charge par l’équipe de la Direction régionale de la santé publique (DRSP) de Montréal. Les rôles attendus de l’école pour la rentrée 2021 ressemblent, de manière générale, à ce qui a été fait durant l’année scolaire précédente, où l’école remplissait un gabarit avant l’appel de la DRSP et procédait à des isolements préventifs en attente des consignes de la DRSP. La principale nouveauté de la gestion des cas et contacts (GCC) de l’actuelle rentrée implique la considération du port du masque et de la vaccination dans l’évaluation du risque chez les élèves et les membres du personnel.

De manière générale, les objectifs de santé publique pour les écoles primaires et secondaires à Montréal sont en cohérence avec les orientations nationales, qui sont de réduire les risques de transmission de la COVID-19 dans les écoles tout en maintenant, le plus possible, les élèves en classe. Selon l’évolution de l’épidémiologie du variant Delta dans les milieux scolaires montréalais et les enjeux de faisabilité sur le terrain dans l’application de la GCC, des mises à jour pourront être faites au moment opportun.

Cheminement d’un cas vers la DRSP : deux trajectoires complémentaires

Deux trajectoires peuvent mener à la déclaration d’un cas en milieu scolaire vers la DRSP. D’une part, le cas de COVID-19 est déclaré à l’école, souvent dès qu’un élève ou un membre du personnel apprend un résultat de test positif. Les écoles primaires peuvent également utiliser les tests à détection antigénique rapides (TDAR, ou tests rapides) chez les élèves symptomatiques et obtenir des résultats positifs qui devront être confirmés par un test TAAN-labo. D’autre part, le cas est également déclaré à la DRSP par le laboratoire ayant analysé le test. Puisque le cas est souvent déclaré plus rapidement à l’école qu’à la DRSP, une intervention initiale faite par le milieu d’enseignement, dans un premier temps, permet de prendre une longueur d’avance afin de repérer les contacts qui sont faciles à identifier, en attente des consignes de la DRSP.

Advenant que l’école ne soit pas informée d’emblée si un cas positif a fréquenté son établissement, la déclaration par le laboratoire permettra d’identifier le milieu exposé lors de l’enquête du cas par la DRSP.

Un appel sera ensuite fait par la DRSP à l’école afin de procéder à l’évaluation du risque des contacts et d’émettre ses recommandations.

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Étapes pour la gestion des cas et des contacts en milieu scolaire montréalais

Étape 1 : L’école reçoit le signalement du cas positif de COVID-19

● Le cas positif de COVID-19 (par test TAAN-laboratoire) est signalé à la direction de l’école par les parents ou le personnel.1

Étape 2 : L’école avise le cas de la démarche à suivre

● Demander au cas de rester en isolement selon les indications données par le centre de dépistage désigné (CDD) et la DRSP. Habituellement, les cas sont isolés 10 jours à partir de la date de début des symptômes (ou de la date du test en l’absence de symptôme).

● La bulle familiale du cas positif (ex. : fratrie, parents) devrait également être en isolement pour 10 jours s’ils sont non protégés. Les contacts considérés protégés n’ont pas à s’isoler. Ces consignes pour la bulle familiale sont données par la DRSP lors de l’enquête du cas (GCC dans la communauté).

Étape 3 : L’école recueille des informations de base auprès du cas

● Déterminer la période pendant laquelle le cas était contagieux. La période de contagiosité débute 48 heures avant la date de début de symptômes ou la date de prélèvement si la personne n’a pas de symptôme.

- Si le cas n’a pas fréquenté l’école durant sa période de contagiosité, aucune intervention supplémentaire n’est nécessaire et le gabarit n’a pas à être rempli.

- Si le cas a fréquenté l’école durant sa période de contagiosité, compléter l’onglet

« Identification du cas » dans le gabarit disponible à l’adresse suivante :

https://santemontreal.qc.ca/professionnels/drsp/sujets-de-a-a-z/services-de-type-clinique- jeunesse/milieu-scolaire/.

Étape 4 : L’école identifie les contacts facilement repérables dans les lieux fréquentés par le cas durant sa période de contagiosité

● Suivre les instructions du gabarit. L’étape 4 permet une première identification des groupes et individus à risque d’avoir été en contact avec le cas, afin de prendre de l’avance en rassemblant les informations qui seront demandées lors de l’appel par la DRSP.

Note : L'approche pour l'année 2021-2022 vise à identifier les contacts qui sont faciles à cibler par l'école sans faire une recherche exhaustive dans tous les lieux fréquentés par le cas.

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Étape 5 : L’école fait une évaluation initiale du niveau de risque des contacts et peut procéder à certains isolements préventifs

• L’école évalue d’abord le niveau de risque des contacts selon les trois catégories du tableau 1, sans égard au statut de protection dans un 1er temps.

L’évaluation du niveau de risque tient compte des critères suivants : o La distance entre le cas et le contact (+ de ou – de 2 mètres).

o La durée de l’exposition du contact (+ de ou – de 15 minutes cumulatives sur 24 h).

o Le port adéquat du masque de procédure par le cas ET le contact pendant toute la durée de l’exposition.

Ainsi, pour les élèves du primaire et du secondaire, on suppose a priori qu’il y aura eu une exposition à moins de 2 mètres durant au moins 15 minutes (cumulatives sur une période de 24 heures) dans les classes ou groupes où la distanciation physique n’est pas requise.

• L’évaluation initiale du risque des contacts par l’école permet à l’établissement qui le souhaite de procéder rapidement à l’isolement préventif des contacts à risque modéré non protégés qui sont facilement identifiables, en attente de l’appel de la DRSP.

• Le niveau de risque pourrait ensuite être modifié lors de la prise en charge du milieu par la DRSP qui pourra évaluer si des ajustements sont nécessaires en fonction des informations disponibles.

Note : Le tableau 1 présente un résumé des recommandations de la DRSP selon le niveau de risque.

Certaines situations pourraient présenter un défi pour l’identification des contacts et l’évaluation du risque, vu l’absence de port du masque. Le tableau 2 présente des exemples de situations courantes avec le niveau de risque correspondant qui sera utilisé par la DRSP.

Pour les isolements préventifs par les écoles, les personnes suivantes sont d’emblée considérées comme étant non protégées : 

• Enfants de moins de 12 ans non éligibles à la vaccination.

• Jeunes et membres du personnel qui rapportent de manière volontaire qu’ils ne sont pas vaccinés.

Pour la DRSP, les personnes suivantes sont considérées comme étant protégées :

● Personne qui a reçu 2 doses de vaccin il y a au moins 7 jours (au moins 21 jours entre les doses).

● Personne qui a eu la COVID-19 dans les 6 derniers mois.

● Personne qui a eu la COVID-19 il y a plus que 6 mois ET qui a reçu par la suite 1 dose de vaccin il y a au moins 7 jours (au moins 21 jours entre la date du début de l'épisode et la vaccination).

● Personne qui a reçu 1 dose de vaccin de Johnson & Johnson il y a au moins 14 jours.

Note : Les personnes immunosupprimées sont considérées comme étant non protégées, peu importe leur statut vaccinal et un épisode antérieur de COVID-19.

Il n’existe actuellement aucun levier, ni pour l’école ni pour la DRSP, permettant d’obliger une personne à fournir une preuve de son statut de protection (vaccin ou infection antérieure). Les directives émises pour les contacts à risque modéré tiendront compte des renseignements fournis sur une base volontaire.

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Tableau 1. Niveaux de risque et recommandations de la DRSP

Risque faible Risque

« modéré sans isolement » Risque modéré à élevé

• Contact sans masque à plus de 2 mètres.

• Contact sans masque à moins de 2 mètres pendant moins de 15 minutes.

• Contact à moins de 2 mètres pendant plus de 15 minutes, quand l’exposition a eu lieu avec port du masque de qualité par le cas ET par le contact.

• Contact à moins de 2 mètres pendant plus de 15 minutes à l’occasion des repas. Seuls ces contacts devront être inscrits dans l’onglet

« modéré sans isolement » du gabarit.

• Contact à moins de 2 mètres pendant plus de 15 minutes, si le cas OU le contact ne portait pas de masque.

• Contact à moins de 2 mètres et de moins de 15 min, mais qui implique une interaction physique de proximité (ex.

aide à l’habillage, soins corporels, baisers, contacts avec des sécrétions, etc.).

• Ces contacts devront être inscrits dans l’onglet

« Contacts à risque modéré » du gabarit.

Recommandations de la DRSP

• Pas d’isolement

• Auto-surveillance des symptômes pour 14 jours suivant le dernier contact avec le cas.

Recommandations de la DRSP

• Pas d’isolement

• Faire un test 5 jours après le premier contact avec le cas.

o Aucun test n’est recommandé pour les personnes qui ont eu un test positif dans les 60 derniers jours.

• Auto-surveillance des symptômes pour 14 jours suivant le dernier contact avec le cas.

Recommandations de la DRSP

Si non protégé :

o Isolement pour 10 jours après le dernier contact avec le cas.

o Dépistage : Faire un 1er test 3 jours après le premier contact avec le cas, et un 2e test 8 jours après le dernier contact avec le cas*.

Si protégé : o Aucun isolement.

o Dépistage : Faire un seul test 5 jours après le premier

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Tableau 2. Situations présentant un défi (absence de port du masque – exposition prolongée)

Situations Niveau de risque et exemples

Toute activité extérieure

À priori risque faible, sauf pour les contacts (moins de 2 mètres et plus de 15 minutes) entre les élèves et/ou les membres du personnel faciles à identifier par le milieu, qui seraient alors à risque modéré.

Exemples de contacts à risque modéré :

Deux meilleurs amis qui jouent régulièrement à proximité.

Un membre du personnel qui donne des soins à un élève.

Un couple d’adolescents qui s’embrassent.

Cours d’éducation physique et à la santé (EPS) à l’intérieur

À priori risque faible, sauf si l’activité se déroule à l’intérieur et qu’elle implique des contacts rapprochés et fréquents entre des élèves et/ou des membres du personnel, en l’absence de port du masque. Les contacts seraient alors à risque modéré.

Exemples de contacts à risque modéré :

• Soccer, football, basketball, arts martiaux, etc.

• Si l’école demande le port du masque en éducation physique à l’intérieur, tous les contacts sont, à priori, à risque faible.

Période de repas

À priori risque faible, sauf pour les contacts (moins de 2 mètres et plus de 15 minutes) entre des élèves et/ou des membres du personnel faciles à identifier par le milieu ou par le cas lui-même, qui seraient alors à risque modéré. En conformité avec les directives ministérielles, l’isolement des contacts à risque modéré lors de la période des repas n’est plus requis, mais un dépistage sera recommandé.

Exemples de contacts à risque modéré :

• Élèves et membres du personnel qui ont mangé autour du cas à la même table, en demandant avec qui le cas partage le plus souvent ses repas.

Enfants du préscolaire (pour lesquels le port du masque n’est jamais requis)

À priori risque modéré pour tous les élèves de la classe.

Pour les situations à l’extérieur : à priori risque faible, sauf pour les contacts (moins de 2 mètres et plus de 15 minutes) entre élèves faciles à identifier par le milieu ou par le cas lui-même, qui seraient alors à risque modéré.

Exemples de contacts à risque modéré :

Tous les élèves de la classe de maternelle.

Amis avec lesquels l’enfant de la maternelle a joué au service de garde.

Amis à côté desquels l’enfant de la maternelle s’assoit habituellement dans l’autobus, si le trajet dure 15 minutes ou plus.

* Les élèves du préscolaire qui utilisent le même autobus que des élèves d’autres niveaux doivent porter le masque de procédure pendant toute la durée du trajet.

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Situations Niveau de risque et exemples

Enfants à besoins particuliers ou avec exemption médicale qui ne portent pas le masque

À priori risque modéré pour tous les élèves de la classe et pour les contacts (moins de 2 mètres, plus de 15 minutes), sans masque de procédure porté par le cas ET le contact.

À priori risque modéré lors des interactions physiques directes avec un contact.

Pour les situations à l’extérieur : à priori risque faible, sauf pour les contacts (moins de 2 mètres, plus de 15 minutes) et ceux qui ont eu des interactions physiques directes avec le cas.

Transport scolaire

En présence d’un plan d’autobus :

À priori risque « modéré sans isolement » pour les contacts (moins de 2 mètres et plus de 15 minutes), s’ils portent le masque de procédure, et

À priori risque faible pour les passagers (ou le chauffeur) à plus de 2 mètres.

Lorsque le trajet dure plus de 15 minutes, les contacts à moins de 2 mètres, sans masque de procédure, facilement identifiables sont à risque modéré.

En l’absence d’un plan d’autobus :

À priori « modéré sans isolement » pour tous les passagers de l’autobus (élèves et chauffeur).

* Lorsque le cas est un enfant du préscolaire qui ne porte pas le masque de façon adéquate et que des élèves d’autres niveaux sont présents dans l’autobus, un dépistage sans isolement sera recommandé pour tous les élèves assis à plus de 2 mètres du cas et pour le chauffeur, si le trajet dure 15 minutes ou plus. Les élèves facilement identifiables assis à moins de 2 mètres du cas sont à risque modéré.

* Pour le chauffeur, la protection conférée par un écran de qualité est comparable à celle offerte par le masque de procédure.

Exposition de longue durée (+ de 3 h)

À l’intérieur, à priori risque « modéré sans isolement » pour tous les contacts ayant eu une exposition de plus de 3 heures avec le cas (élève ou employé), avec masque de procédure pour le cas ET le contact, indépendamment du respect ou non de la distanciation physique.

Cours de musique avec instruments à vent

À priori risque modéré (moins de 2 mètres, plus de 15 minutes) pour les élèves du groupe, et risque « modéré sans isolement » pour l’enseignant et les élèves à plus de 2 mètres.

* On recommande aux élèves qui ne jouent pas d'un instrument de musique à vent de remettre leur masque dès qu’ils ont fini de jouer.

Autres situations où le critère du port du masque, par le cas

À priori risque faible, sauf pour les contacts (moins de 2 mètres et plus de 15 minutes) entre élèves et/ou membres du personnel qui seraient faciles à identifier par le milieu ou par le cas lui-même, qui seraient à risque modéré.

Exemples de contacts à risque modéré :

• Enseignant qui enlève son masque pour enseigner et qui se souvient être venu

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Étape 6 : Et si un deuxième cas se présente ?

● Si un 2e cas est déclaré à l’école dans un délai de 14 jours dans un même groupe (ex. : classe, parascolaire dans certaines situations, autobus), l’ensemble du groupe sera considéré comme étant à risque modéré par la DRSP. Les coordonnées des élèves, des enseignants titulaires et des accompagnateurs (préposés, techniciens en éducation spécialisée, surveillants, etc.) de ces groupes seront inscrites dans l’onglet « Contacts à risque modéré » du gabarit.

● À l’exception des personnes immunosupprimées et des personnes qui présentent des symptômes de la COVID, les personnes protégées (adéquatement vaccinées ou épisode de COVID dans les 6 derniers mois) n’ont pas à s’isoler, alors que celles qui ne sont pas adéquatement protégées devront être isolées pour 10 jours.

● Les écoles primaires peuvent envoyer en isolement préventif un groupe avec un 2e cas positif, en attente des consignes de la DRSP dans ces situations, puisque la vaccination n’est pas disponible pour ces élèves.

● La DRSP priorisera ces situations pour appeler rapidement l’école et déterminer s’il y a un lien épidémiologique entre les deux cas. Si l’éclosion est confirmée, les contacts non protégés doivent se mettre en isolement. Si l’éclosion est infirmée (ex. : les deux cas ont une source d’acquisition à leur domicile respectif ou à l’extérieur de l’école), les consignes pour des cas uniques s’appliqueront.

● La DRSP émettra des consignes particulières (ex. : dépistage élargi, fermeture de classes, fermeture d’école) pour chaque éclosion selon les différents éléments de contexte de son évaluation.

Étape 7 : L’école envoie le gabarit à la DRSP et attend les directives

Le gabarit est nommé « Nom_Prénom du cas positif_Nom de l’école »

• Le gabarit est envoyé en pièce jointe à milieux-jeunesse.drsp.ccsmtl@ssss.gouv.qc.ca en indiquant dans le titre du courriel :

o « Cas positif - nom de l’école – numéro du groupe » OU o « Urgent 2e cas positif - nom de l’école – numéro du groupe »

• La DRSP appellera l’école afin de :

o compléter la recherche de contacts et l’évaluation du risque à partir des informations fournies par l’école dans le gabarit;

o émettre des recommandations selon la situation;

et enverra les modèles de lettres selon le niveau de risque.

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Annexe 1

MESURES QUI FACILITENT LA GCC ET QUI PERMETTENT DE RÉDUIRE LES ISOLEMENTS Certaines situations présentent un défi pour l’évaluation du risque des contacts, parce qu’elles impliquent que le critère « masque de procédure porté par le cas ET le contact » ne peut être respecté. Différentes mesures sont proposées aux écoles pour réduire les risques de transmission dans ces situations, faciliter la GCC par la DRSP avec l’aide de l’école, et éventuellement diminuer le nombre de personnes à mettre en isolement :

• Favoriser les cours d’éducation physique à l’extérieur le plus souvent possible.

• Si le cours d’éducation physique se déroule à l’intérieur, privilégier des activités qui n’impliquent que peu de contacts étroits entre les élèves (ex. badminton, course, parcours, etc.), où le masque n’est pas requis.

• Recommander le port du masque chez les élèves si les activités du cours d’éducation physique se déroulent à l’intérieur et impliquent des contacts étroits (ex. basketball, soccer, etc.).

• Encourager fortement les membres du personnel à garder le masque en tout temps, incluant quand ils enseignent à plus de 2 mètres des élèves.

• Recommander le port du masque par les élèves du préscolaire dans l’autobus et dans les endroits clos où ils ont des contacts avec des élèves d’autres niveaux.

• Renforcer le port du masque dès que le repas est terminé et privilégier les activités extérieures durant l’heure du midi.

• Repas à l’école primaire : se doter d’un plan de locaux avec places assignées pour les repas.

• Cours de musique avec instrument à vent : se doter d’un plan de locaux avec places assignées.

Renforcer le port du masque dès que l’élève cesse de jouer de son instrument.

• Mettre en place un registre volontaire de déclaration du statut vaccinal pour les membres du personnel des écoles, et les jeunes du secondaire.

• Pour les situations où un rassemblement avec des parents a lieu (ex. : rencontres de début d’année avec les enseignants, assemblée générale, sortie aux pommes, comité de parents), renforcer le port du masque en tout temps, la distanciation de 2 mètres et tenir un registre des présences.

Privilégier le mode virtuel quand c’est possible.

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