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(1)

PWI

■■■=■■■■

NATIONS UNIES

CONSEIL ECONOMIQUE ET SOCIAL

Distr.: GENERALE E/ECA/CM. 16/30 26 mars 1990 FRANCAIS

Original : ANGLAIS

COMMISSION ECONOMIQUE POUR L'AFRIQUE Onzieme reunion du Comite technique

pr^paratoire plenier

Tripoli (Jamahiriya arabe libyenne) 5-12 mai 1990

COMMISSIONECONOMIQUEPOURL'AFRIQUE Vingt-cinquieme session de la Commission/

seizieme reunion de la Conference des ministres

15-19 mai 1990

-■'*''- .:;'.:.

i:yA:

AUTO-EVALUATION DES PROGRAMMES DE LA CEA

(2)
(3)

E/ECA/CM.16/30

I. INTRODUCTION

Le present rapport d'auto-evaluation des programmes de la CEA qui est

es mimstres de la CEA,

rapport presente un examen et une evaluation critiques de la mise en oeuvre des

tkfTte^r* leri>gane£ ««M~^ de 2 Pertinence du p^aTo'en

£? ^^ d i

tkfTte^r r ^ Pence du p^aToen

£n?i pi ^nc^ence dee activity du secretariat sur les problems traites dans le Plan a moyen terme (1984-1989) qui a ete maintenaat prolong* jusqu'en

rf.tfj*£. JTI?!! £« °nt e/alement ** entreprisee ccnformement aux

^^ V * ^Be™bke gen^rale relatives a la plamfication et a la

programmation et plus recemment aux recommandations du Comite" du programme

et de la coordination (CPC) t^ii** «,.»««*{./! i>* ,_,, ., K flrtmmt-

sa resolution 43/219 concernant la pleine integra1

processUB de planification, de budgetisation et de suivi du programme. Dans cette.meme resolution l'Assemblee generale enterinait la recommandation du CPC des evaluations, des rapports sur la planification et; l'execution des

^VZT5''\deJell^Orte qUe leUrS ^^toto- •«««>* de nature a permettre programme?' ^Wr la «*W^ l'execution et les resulUts des

3. II convient en outre de noter que, contrairement au premier rapport, le

Present rapport tient son mandat du programme de travail du secretariat adopte

par ia Conference des mimstres dans sa resolution 675 (XXIV) du 7 avril 1989

Les r^\2VPTS f^te~6val.natiOn SOnt r<Ssuffi«s ^ns le present document.

L,es cinq rapports trait^nt.. rHonm s t>a »,a-ii«« !„ .

terme, b) budgets-programmes, cj rapports sui les resultats des prograi

fit. ri) ^T,-r,orts devaluation. T.'nhi^Hf ^Q™ ~u ..i j. x,_ F , s , h

^lence en vue d amehorer la conception, l'execution et les resultats des

5. Le present rapport se compose de quatre sections. La premiere section

fr^^i l"trOdUC"°nLla deUXidme -ction e-mi- 1- Principals constatattns

rapports

rapports

t

Clf-Vi(«a4'i.i

! !* ^ qUftri&me secti°" Pr-ente les resumes des

acheves, a savoir A : Politiques, institutions et

la scl

tourisme

fisti«ue du Programme rel«tiiauT statistiques;

du Programme relatif aux transports, communications et

mm

(4)

./ECA/CM.16/30 Page 2

II. PRINCIPALS C0NSTATATI0N5 ET CONCLUSIONS

6 X)Wes les auto-evaluations, les objectifs de la piupart des sous-

programmes decoulant du Flan d'acticn et de l'Acte final de Lagos deineurent coaformee aux beaoins des Etats membres. Ceci ctait vra> poUr I ensemble des sous-programmes examines. Dependant, la traduction de ces objects en programmes de travail btennaux ont ietenu Inattention el on a remarque que :

a) Pour le s<3us-programme 4 : politiques, institutions et assistance

technique en jnatierc de cooperation econonuque, le programme de travail des

MULPOC ne ■?■■> rapportait pas tou jours &ux programmes fle travail de,

orian^L inter^vernen*ntales et on a fait *ut d'un besoin

d' harmo ni s atio n;

b) Four le sous-programme 3 : Transports terrestres, les produits avaient ete revises a plusieure reprises avant Vexecution; cependant lee effets

ont ete faibles sur les objectifs du sous-programme.

Tous les institutions

organes deliberants. De plus, d'apres les resultats des enquetes, les pxoduits du secretariat ^taient pertinents, tres utiles et hautement apprecies pai les

Etats membres.

8. L'execution des diverses activites a permis au secretariat de realiser, dans une large mesure, les objectifs du Plan a moyen terme En fait certaines des

Plan a moyen terme 1984-1989 (maintenant prolonge jusqu en lyai).

9 Des realisations importantes ont ete enregistrees dont notamment la

coordination entre producteurs et. utilisateurs grace a la Conference commune

des planificateurs, statisticiens et demographes africains dans le ca.. dusouB programme Rur la coordination statistique et la contribution des publications techniques a l'amelioration de la capacite d'analyse des pays. Les Etats HdnM ott aussi exprime leur grande appreciation pour la base de donnees statastiques

et ont prie le secretariat de les aider a mettre au point leurs propres bases d.

donnees nationals et ont egalemcnt annonce une preference pour Vetabhssement de liens de communications avec la base de donnees statastiques de la CEA. L sous-programme sur la science et la technologic a egalement, ouUe 1 sensibilisation aux questions de science et de technptogie, permis ^venlorc^

les capacity technologiques des Etats membres grace a ses ta P ojets operationnels, a savoir le Centre regional africam ae technologic (oRAT) et

l'Organisation regional africaine de normalisation (ORA.N).

10:. On ne saurait trop insister sur la contribution du sous-programme sur

les politiques, les institutions et ^assistance technique en matiere de cooperation

economique aux efforts des Etats membres dans la creation et te ™£~£

australe, en Afrique du Centre, on Afnque do 1'Ouest et en Afnque du Noid.

U, L^s exceptions provenaient principalement du fait que des hypotheses

reposant sur des facteurs externes n'etaient pas toujouvs venfiees..La crise

financiere des Nations Unies de 1986-1987 combinee a la secheresse, a la

(5)

E/ECA/CM. 16/30 Page 3

desertification et aux graves crises economiques et sociales en Afrique durant les exercices 1984-1985 et 1986-1987 ont considerablement affecte 1'efficacite du secretariat. Ainsi, pour le sous-programme sur l'elaboration de politiques et le 1 enthousiasme des gouvernements a ete contrarie par la deterioration des conditions economiques qui a raienti le rythme des changements escomptes. La meme observation est valable pour le sous-programme 1 : Developpement statistique du programme statistique pour lequel Tamelioration constatee au debut de la periode ne s'est pas poursuivie ou, dans certains cas, a disparu en raison des contraintes financieres resultant de la crise economique.

12, Pour le sous-programme sur les etablissements humains -'Elaboration de

politiques et creation d'institutions" -, bien que toutes les activites aient ete amelioration effective des conditions de vie dans les etablissements humains dans ces pays qu'on pourrait affirmer que les objectifs ont £te atteints".

13. Au nombre des facteurs ayant compromis 1'efficacite des sous-programmes

on peut citer notamment les retards dans la preparation et la distribution des rapports aux reunions intergouvernementales et, dans certains cas, l'absence de suivi des recommandations. Les resultats des etudes pour les trois sous- programmes concernant d'abord les etablissements humains, ensuite la science et la technoiogie et enfin les statistiques montrent que le probleme du niveau technique des participants des pays aux reunions a ete un sujet de

preoccupation et merite d'etre traite.

III. RECOMMANDATIONS

14. Les recommandations sont presentees en deux categories - celles adressees au:; Etats membres et celles adress£es au secretariat (administrateurs de programme) et sont ainsi identifiers. Les recommandations adressees aux

Etats membres requierent des decisions d'ordre politique pour renforcer ou reorienter les objectifs et les activites de sous-programmes particuliers. Les recommandations adressees au secretariat relevent des administrateurs de programme des sous-programmes respectifs ou d'autres organes du secretariat et devraient etre traitees a ce niveau.

15. Les deux recommandations ci-apres qui ont ete faites au titre de deux

sous-programmes devraient etre mises en relief :

^a) Des mesures devraient etre prises pour assurer que les participants aux reunions intergouvernementales connaissent bien les questions examinees (recommandation a appliquer par les Etats membres);

o) II faudrait veiller a assurer le suivi des recommandations des

reunions et des autres activites du secretariat (a appliquer aussi bien par les Etats membres que par le secretariat).

D'autres recommandations s'adressent plus particulierement a certains sous-

programmes et sont presentees dans les paragraphes suivants :

(6)

E/ECA/CM. 16/30 Page 4

Politiques, institutions et assistance technique en matiere de cooperation

economique

Elaboration de politiques et creation d'institutions (Etablissements humains) Elaboration de politiques et renforcement des mecanismes dans le domaine de la science et de la technologie (Science et technique)

Developpement atatistique (Statistiques)

Transports terrestres (Transports, communications et tourisrae).

16. 11 convient de mentionner que le sous-programme 4 : Po.itiques, institutions et assistance technique en matiere de cooperation econom1^ *^

fait 1'objel dTm examen demande par VAssemblee generaie dans sa resolution 43/216 par laquelle l'Assemblee enterinait la recommandation du Comite deb

commissaires aux comptes demandant que ;

-tea resultats des centres soient evalues d'une maniere approfondie, en vue de determiner si cette experience doit etre poursuivie ou si le mandat,

le nombre et la structure des centres doivent etre completement revus .

Une equipe devaluation a ete par la suite designee afin d'examiner les ac

des MULPOC, Le rapport de 1'Equipe devaluation et les observations

secretariat v relatives seront presents a la Conference (document

E/ECA/CM.16/13), Toutes les recommandations relatives a ce sous-programme

devra\ent done etre examinees conjointement. avec celles contenues dans le

document precite.

IV. RESUMES DES RAPPORTS ACHEVES

D 'AUTO- EVALUATION

istions j.^ ^^,r^i^> African -

1. Introduction

17. La raison principale de l'auto-evaluation du sous-programme 4 : ^^8, institutions eT assistance technique en matiere de cooperation fc«°^»««M executp par le Service de la cooperation economique est d evaluer la peitmence,

iVf^cacitfe Fimpact du sous-programme et de ses activites dans la promo ion

de la cooperation et de ^integration economiques en Afrique. %«ti**£to*icn

est egalement entreprise en reponse aux initiatives du Secretaire general de

(7)

E/ECA/CM, 16/30 Page 5

1'ONU visant a etablir un systeme d'auto-evaluation en tant que moyen pour assurer une gestion efficace des activity du programme des Nations Un"es

18. Lea conclusions de 1'auto-evaluation serviront a i\£M3S3£M&m£3£5B

^ a la COnception du ^us-programme, au problem*

du sous-programme, aux strategies du Plan a moyen terme

^cutLTefH^ T ^ °°UoA ^W>i5SStt?S

leaecution et a 1 impact du sous-programme, Les legons tirees de l'auto-

evaluatzon serviront a faire des reccmmandations pour amdliore " ltf«carS et

1 impact du sous-programme.

EiES5?Ma

IM&MM

== gash; jis

Kgirq-BSBB

20. A cause de 1'ampleur des taches a executer, la methodologie pour l'auto-

evaluataon a ete fondee sur la con.ideration deE prodults, partteuli^ement sur 1 examen attentif des activites et. des produits du Service de la coopTration economzque et de ceuX des MULPOC et sur une monographie des MULpSfde

ai^l'Si:.^!? ?U,LP0C «* « «W2 surtout a cau" d

Ce sont :

Le MULPOC de Gisenyi : Burundi, Rwanda et Zaire.

6 MJ?LP0C de mam°y

Benin, Bnrkina Faso, Cap-Vert, Cote

-* ^^' ** MaurLnie, Niger!

(8)

E/BCA/CM.16/30 Page 6

Service responsable du

sous-programme

Service de la coopera tion economique

(gestion de la coope ration et de l'inte-

gration e"conomique

MULPOC MULPOC MULPOC MULPOC MULPOC

Total

de Gisenyi de Lusaka de Niamey de Yaounde de Tanger

Nombre de pays converts

Total des ressourcea du budget ordinaire (milliers de

dollars)

1984-1985

1 338,1 338,1 765,2 780,7 454,7 497,8

4 174,6

Source : CEA, Rapport biennal du Secretaire executif, 1986-1987

1986-1987

1 494,5

406,0 546,5 937,3 567,5 624,2

4 576,0

21. Etant donn, ,ue

/ i,, #.» mvtznrt aue l'auto-evaluation n'avait

.. Les contraintes de temps (du fait■ firtout_q^i l ooncernant les

Pa?. PerIMS ,.d_e, ZX, aTJI participants engages

.-programme afin de recueilhr

^^r^rl'efficacite et Piropact f -^pS^l""S ^

presente auto-evaluation accpi;de ^f^^d. infrastructure sous

budget-programme et au lapport enue

regionale et la structure de production.

rel

2 Le Plan a moyen terme pour la

dement no.6 (A/37/6), New York, 19.

35/64 de l'Assemblee generale).

1984-1989 (Assembiee generate,

(9)

E/ECA/CM. 16/30

Page 7

2. Conclusions Pertinence

fganisations

domain* de la accorde une i

s diverses

-onomique et sur la coordination et la

economiques efficaces.q

complenientaritesl2e ^urfs ructurPr/ US^gional e" etabIiSEant des souS-programme doit dtnc c S e Sd TeZfr ^ionales. Le present

strategique. Le=i MUr pop h lu"uel ae mettre 1 accent sur cet objectif

economique; ilS^S/j consequence assi.ter les coramunautes

sous-regionale. J Ctlf de Promotl°n <le Integration economique aU. fS MULP°C n'ont pas toujours ete lies aux

» intergouvernementales (OIG) et n'ont eu en

activites

[ouvernementales et certains ) Efficacite

25. L'execution du ssous-programme n'a

necessaires aux objectifs du sous-programme,

"onoiuique.

financiere des t d'autres raisons dont certains etaient

des MULPOC dans

i * * , , - . . «~«« en faveur

450 f;

renforcer les MULPOC la part du PNUD.

1977 la Conference 55 (XIV), 418 (XVI),

^ ^ i aient a

"" 3PPU1 continu en leur faveur, surtout de

27. II convient de noter que le

(10)

E/ECA/CM.16/30 Page 8

developpement de l'Afrique, 1986-1990 et de la seconde session extraordinaire de la Commission/deuxieme reunion extraordinaire de la Conference des mimstres de la CEA. Des ressources extrabudgetaires supplementaires ont ete fournies pour lfexecution de ces activites et, dans certains cas, leur execution a constitue

une derogation aux engagements programmes.

o) Impact

28. L'incapacite du sous-programme a realiser la plupart de ses produits et des activites d'assistance technique menees jusqu'a present i

caractere general et, a ce titre, n'etaient pas de nature a aider les groupements dans le processus d'integration economique. Merae si le sous-programme a ete tres efficace dans son assistance en vue de la creation de groupements

... . __ . - ^ .— , 4m-.,^rt4- *vm**> I'oiHo q f&c cJrrwinpmpni K flflttP 1^

processus d'integration economique n'a pas ete tout a fait comparable.

et engendrer des solutions efficaces aux problemes recenses. L'impact a ete tres faible voire nul concernant la rationalisation et la coordination des activites des OIG et l'adoption de programmes d'integration economique.

29. Le sous-pro gramme a cependant beaucoup contribue a la creation de la Zone d'echanges preferentiels pour les pays d'Afrique de 1'Est et d'Afrique australe en 1981 et de la Communaute economique des Etats de l'Afrique centrale

ces organisations a adopter et a appliq programmes

dernieres annees dans la preparation de programmes d'integration pour d_.

communautes economiques et des organisations d'amenagement de bassins fluviaux et lacustres en vue d'un financement du PNUD au titre de son quatrieme cycle de programmation regionale.

3. Recommandations

30. Les recommandations ci-apres decoulent de l'operation d'auto-evaluation:

a) La structure du sous-programme devrait insister davantage sur la cooperation et ^integration economiques, surtout sur la cooperation economique et done sur la cooperation economique entre pays en developpement (CEPD);

recommandation a appliquer par les Etats membres;

b) Evaluer et reviser plus frequemment les objectifs a moyen terme, les problemes traites et la strategie en vue de refleter les preoccupations actuelles des Etats membres: action a entreprendre par 1'Administrateur de

programme;

c) Les activites de la CEPD au niveau sous-regional seront un element

d

formuler d'abord des programmes d'integration sous-regionale coherents et de recenser les projets utiles. Une fois que ces projets auront atteint le stade de

prefaisabilite, alors la cooperation avec les nouveaux pays industrialises (Inde,

Bresil, Coree) sera essentielle. Action a entreprendre par les Etats membres et

par le secretariat de la CEA;

(11)

E/EC A/CM. 16/30

Page 9

1988-

^ IT U S Pr™tion du budget-pr

programme

et des programmes

nforcer ]e proce

muitisectoriels appropries afin de realis definition d'emploi du personnel des MUL

procedent periodiquement a des enc regions et ]es produits qui en r, enquetes economiques et socialea

CEA. Cependant, rien n'indique

te dans les ons organi

de oouts. fc^ u^ m ^&A pourrait se

Par ctxemplo les MULPOC rt aociales dans les soUe- tucun doute utiles aux

■s par les divisions , de la sent en fait les unites ierement recommande que:

htL.PrO?rammeS de travail des WW-POC soient mieux

harmomses avec ceux des divisions organiques de la CEA En conSultat,on avec les divisions organiques de laCFA le"

directeurs des MULPOC devraient fiabowr des ^ de

travaal pour la mise en oeuvr d ! ^!L£z!LB

detaillant la contribution c- organiques et le role quc le

jouer pour aider ces divisions a executor leurs programmes dans fe. SOUE-regionS respectives. II va sans dire quHes

avec la participation active du Service de la cooperation

economic do la CEA et en consultation avec dC

(12)

E/ECA/CM.16/30 Page 10

divisions organiques de ia CEA. Action a mettre en oeuvre par les administrateurs de programme;

Le verseraent aux MULPOC des ressources qui leur ont ete specifiquement allouees par les Etats membres dans le cadre

du Fonds d'affectation spcciale des Nations Umes pour le

deveioppement de l'Afrique (FASNUDA) devrait se faire au moment opportun. Action a mener par les Etats membres;

Le soutien financier des Etats membres devrait etre accru.

Les contributions des Etats membres devraient etre accrues

et ces Etats devraient detacher dans les MULPOC du

personnel competent pour des projets particuhers. * mettre en oeuvre par les Etats membres;

On devrait assurer une bonne harmonisation des programmes d^s MULPOC avec ceus des OIG de la sous-region afm de mieux utiliser les ressources allouees a la sous-region. Action a mettre en oeuvre par I'Administrateur de programme.

1. Inlroduction

31. devaluation de. activates du systeme des Hfltfou Unto.JM^ ^« « place -n application des resolutions 32/197, 36/228, 37/234, 38/2*1, 39/2M et

taMo de ^Assemblee generale. Dans ces resolutions, 1'Assemblee generate

demandant SSTSS fe^renfo.cement de la capacity *™^^f&

Unies pour permettre aux organismes intergouvernementaux et aux Etat

membrel de pLndre les mesures necessaires pour ameliorer leurs gestions am

que leurs methodes de formulation de politique de deveioppement.

humains en Afrique. Elle perroettrait egalemf-nt de juger de )a quaiite, de

rnSSS\ le Vl feacite des produits delivres par ce sous-programme L'auto- SvSuation a done xm double interet en ce qu'.lto permet non seulement de jugei

de la nature des produits du programme, mais egalement de mieux connaitre le,

besoins des Etats membres.

33. L'auto-evaluation qui couvre ia periode 1986-1987 a ete &

d'informaUons collects par voie de questionnaires selon les modele

i d Nti Uis elabore en octobre

a partir I..M.UIJI rawrEsa i35Wgnfg ataa S3 f»!^/.l»WJ

concernaient d'une part, les reunions et conferences e recherche et t'analyse de politique ; rapports/publ..cations.

(13)

E/ECA/CM. 16/30 Page 11

34. L'objectif global du secretariat est la formulation et la promotion d'une approche integree des politiques et programmes en matiere d'etablissements des activites economiques et 1'adoption par les gouvernements de plans nationaux d'amenagement du territoire.

1 identification de mesures qui permettraient d'assister a 1'mtegration des problemes d'etablissements humains dans les politiques globales de developpement economique, la promotion de la recherche sur les methodologies et les techniques en matiere de planification des etablissements humains, et

l'assistance en matiere de formation du personnel au niveau national.

36. Le probleme majeur auquel la region est confrontee dans le dcmaine des etablissements humains est celui de methodologies d'approche et de mecanismes appropries. Certains pays Africains pensent egnlement que les difficultea qu'ils rencontrent dans la mise en oeuvre de leurs politiques de logements sociaux viennent du fait d'une inadequation de leurs codes et reglements en matiere de construction qui ne leur permettent pas de mobiliser efficacement les ressources

locales disponibies et une participation populaire. L'insuffisance de main- d oeuvre qualified a tous ies niveaux est a 1'origine de ces problemes ainsi que les difficultes rencontrees par les pays pour cre"er des institutions de formation

dans le domaine des etablissements humains.

37, ^Les questionnaires concernant les reunions et conferences ont ete envoyes

aux 27 Etats membres de la Commission presents a la quatrieme reunion du ainsi qu'aux 14 organisations intergouvernementales, non representees a cette reunion en qualite d*observateurs. Les questionnaires concernant les rapports et publications ont ete par contre envoyes aux 50 Etats membres de la Commission. Malgre ce nombre important de questionnaires qui ont ete envoyes pour les besoins de 1'auto-evaluation, seuls neuf pays ainsi qu une organisation intergouvernementale ont repondu, en remplissant les questionnaires et en les retournant au secretariat. A defaut de recevoir

davantage de reponses, cette auto-evaluation a ete faite sur la base des elements

disponibies.

38. II faudrait egalement souligner que deux des activites prevues dans le

I questionnaires, elles n'avaient pas encore ete executees.

Lea elements de programme concernes par la presente evaluation concerne :

v) Formulation des politiques en matiere d'etablissements humains;

-) Planification et programmation des Etablissements humains.

39. Comme indique dans i'introduction, ce rapport d'evaluation a e"te redige

sur la base des reponses aux questionnaires qui ont ete envoyes aux Etats

recevoir d'autres reponses a ete vaine. Meme parmi les reponses recues,

certames ont ete incompletes, ce qui a rendu difficile leur exploitation.

(14)

E/ECA/CM.16/30 Page 12

africains.

41. Par contre, d l'on s'en tient aux neuf Etats membres qui ont rePondu_aux estionnaires il serait possible d'affirmer que les objectrfsfe

ces pays qu'on pourrait affirmer que les objectifs ont ete attaints.

42 Le rapport et la publication technique ont ete exploited de maniere globale, meme si lea objectifs respectifs ne sont pas tout a fait les memes.

43 Certaines difficult^ ont ete rencontrees au moment d'executer les

effectuee sur des pays appartenant a des et de niveaux de developpement deferents.

abordes.

3. Recommandations

4<S Compte tenu des difficult^ rencontrees aussi bien dans l'execution du sous-programme de travail que de Sexploitation des questioning ,1 sWre

necessaire de suggerer les recommandations suivantes :

- j^ T^™ir,;e+votwir Hp nrofirarame

46. L'Administrateur de px-ogramme doit :

a) Presenter un maximum de tvois rapports -x^reunions^du^Comite

mixte pour permettre aux participants de les an

b) Envover les documents concernant les etablissements humalns et ceux de IWironnement sous pile separes parce que les deux secteurs relevant

souvent de ministers different dans les pays afncams;

c) Faire en sorte que les documents soient envoyes aux Etats membres

au raoins deux mois avant la date prevue pour la reumon;

d) Envoyer les lettres d'invitation aux reunions du Comite mixte, quatre

. ^ ■-„ ~~,,,.. n^mW- 7c tpmns d envoyei

directement aux membres de delegations designes pal 1

e) Envoyer les projets des publications techniques aux Etats membres pour commentaires et contributions avant de les finahser;

f) ' Envoyer le projet de programme de travail aux Etats membres suffisamment a temps pour recueillir leurs avis avant de le fmalisei,

g) S'assurer aupres du chef de I'administration que le service

d'interpretation est adequat pour les sessions du Comite mixte.

(15)

E/ECA/CM. 16/30 Page 13

47., Une fois les questionnaires relatifs a 1'evaluation envoyes aux Etats merabres et les reponses exploited, il faudrait choisir deux ou trois pays, y effectuer une mission devaluation et y etudier de maniere 'approfondie tous les aspects lies a une evaluation objective pour me surer 1'impact du sous- programme, voire dn programme dans ces pays.

Au niveau des Etats membres 48. Les Etats membres devraient veiller a :

a) Augmenter la participation des techmciens aux reunions du Comite mixte;

b) Une distribution efficace des documents aux departements concernes par les questions, relatives aux etablissements humains.

Elaboration de polltiaues et r enforce merit des raecanismes dans le domaine de ia science

I. Introduction

) Obiectif et justification de l'auto-evaluation

L'auto-evaluation du present sous-programme est entreprise afin devaluer sa pertinence, i'efficacite de son execution et son impact dans la solution des problemes mentionnes dans le Plan a moyen terme des Nations Unies, 1984-1989 (prolonge jusqu'en 1991). L'auto-Evaluation apipreciera egalement dans quelle mesure les Etats membres ont tire profit de l'execution du sous-programme.

L'auto-evaluation est egalement entreprise en reponse aux deinandes des Etats membres afin de leur permettre de prendre les mesures necessaires pour

ameliorer la gestion et la formulation de politiques.

50. Les resultats de l'auto-evaluation serviront a ameliorer la conception de futurs plans a moyen terme, les liaisons entre le plan et les budgets-programmes biennaux, I'efficacite dans Texecution des budgets-programmes et permettront ainsi de renforcer 1'impact des sous-programmes,

) Methodoloeie et couverture de rauto-evaluation

51. L'auto-evaluation coiivre les periodes biennales 1984-1985 et 1986-1987 et met l'accent sur une evaluation des principaux instruments devant permettre de realiser les objectifs du sous-programme, a savoir :

. ..

a) Le Comite intergouvernemental d'experts pour le developpement de la science et de la technique; /!

b) Les groupes de travail sur la science et la technique;

c) La creation et le renforcement des centres nationaux et sous- ivegionaux de technologies

(16)

E/ECA/CM.16/30 Page 14

52. Pour les deux premiers, l'auto-evaluation a ete effectuee a

a tous les 135 participants (representants

points

programme par rapportaux preoccupations des

Etats membres.

. L'auto-evaluation determine egalement dans quelle mesure le secretariat

contribution au renforceraent des capacites technologiques tie

TefregTstres administratifs et les rapports de ces deux institutions ont servi

a etablir dans quelle mesure elles ont ete renforcees.

54 D'apres le Plan a moyen terme approuve 1984-1989 (prolong* jusqu'en 1991), les objectifs du sous-programme sur la science et la techmque sont :

o) Au i\*™** ^tm^nvernemental : adoption de mesure a en vue

{■application appropriee de la science et de la technique pour promouvoir les

differents secteurs de Teconomie;

technique dans le developpement de I Afrique el

Etats membres a appliquer la science et la technique au developpement,

^experimentation et qui doivent etre acheves

985 et d'un nouveau manuel similaire de technologie pour le tjaitement et le stockage des produits aiimentaires durant le dernier tnmestre de 1986.

55. La strategie a adopter pour atteindre ces objectifs consisterait selon le

plan a moyen terme, en :

a) Services consultatifs (publications techniques, rapports, visites

etc,) pour la creation et le renforcement de centre* UU«W^^^f*^

CMEn polltiquea et de plans en matiere de science et de techmque;

b) Services techniques aux institutions intergouvernementales

africaines dans le domaine de la science et de la techmque;

c) Services consultatifs (publications techniques, rapports, etc.) pour

la mise au point et la diffusion de technologies adaptees aux problemes et aux

(17)

E/ECA/CM. 16/30 Page 15

besoins de la population rurale. En particulier le manuel de technologie iSTt P™£ Je baUment «t les materiaux de construction sera actualist en iy»4 et en 1985 et on commences en 1985 la preparation d'un manuel similaire hL/u -Tlogle P°,u5 ie traitement et le stockage des produits alimentaires qui

devait etre publie durant le dernier trimestre de 1986;

#«MJJiL Encourager ^mobilisation des ressources, notamment les ressources

lincincieres.

categories des produits et des services executes au titre'du sous-p

et constituent done l'element central pour Iteration d'auto-evaluaLon

2. Conclusions a) Pertinence

L'I^H*ri W*Cm~

le developpement de l'Afrique, 1986-1990.

b) Efficacite

activates peuvent deja apparattre danVfa ^

par les gouvernements deS Etats membres

h ^

besoins des Etats

economique et

^^S grand

la science etde la

5

d'elaborer et d'executer des projetV'sous-regionaux qui renforceront

cooperation technique entre les pays de la region.

programme a atteint les objectifs du

60» On a rencontre un certain nnm

services du

necessaire en matiere d'equipement et de services de secretariat."

(18)

E/EC A/CM. 16/30 Page 16

Impact

61. On peut dire avec conKance^^ecution du ^-P

developpement national et on s'est resolument 'infrastructure politique et institutionnelle et a et

L^S'^enti^ueset technique,«}**±^"

ro les cteurs

a une <

changements esperes.

3. Re commendations

62 A la lumiere des conclusions tirees de la presente Ration ^Wo- Ivaluation, les questions suivantes devraient etre traxtees dans 1 avenu pai

1'Administrateur de programme :

a) Etudes rt Evaluation futures

i) Continuer a evaluer la pertinence *. objectify

1'orientation du Plan a moyen terme et des budgets

Programmes biennaux, surtout en ce qm concerne le,

questions prioritaires dans la region;

ii) Determiner 1'impact de 1'ensemble du F»ff">» «"J«

lL' ZZ , --x -4. iK.j.Ji^-t-t^T, Hp Is scrience et de la technique

mstitutions

mfl^la1'pertinence de " la recherche-developpement aux programmes et aux questions de developpement;

Determiner dans quelle mesure le programme et les ^ctivites ont conduit a l'adoption, par les Etats membres et teurs institutions et les autres entites economiques cles l) de

science et de la technique, et ii) de nouvelles connmssances et techniques;

1>Stues1des're"uniJns^seminaires, ateliers et conferee le domaine de la science et de la technique.

63. Afin d'obtenir des reponses claires grace a des

et envoy6s aux gouvernements et aux mstotutions

devraient etre demandees

(19)

E/ECA/CM. 16/30 Page 17

fit En outre, U e»t propose que les questionnaires soient distribues et remplis

du'rant les sIpc^ finales des reunions des groupes de travail, des semmaires

et des ateltrs. Les questionnaires devraient egaiement etre mcorpores dans

toies ^publications seientifiques et techniques -ant leur distribution au*

Etats membres.

65. Les evaluations future, devraient egalement s'efforcer de determiner^les

avances, les pays en voie d*in*

66. Dans le but de favoriser une preparation adequate des seminaires^ateliers

i i_ > 1o «ha1U^ rlbi

reunions :

a) L'Administrateur de programme devrait mettre en place un mecanisme pour ^'assurer que les Etats membres resolvent la documentation a

temps;

b) Les Etats membres devraient veiller a ce que leurs delegations

soient au courant des questions a I'ordre du jour de ces reunions,

introduction

1'Assemblle Sale des Natxons Unies demandant au secretariat de reahser une

evaluation de ses propree activites.

68. L^operation d'auto-evaluaticn poursuit les six objeetifs suivants

-) Evaluer le degre d'execution du sous-programme;

ensemble

b) Evaluer la pertinence et 1'efficacite du sous-programme dans son

Identifier ies problemes rencontres et leur origine;

Realiser 1'aspect iegislatif suite a une decision de 1'Assemblee

gSnerale demandant que les activites du secretariat soient evaluees;

Determiner si les problemes traites dans le Plan a moyen terme sont

toujours pertinents ou s'il convient de les reformuler; et

t) Evaluer 1'impact du sous-programme sur les problemes traites.

(20)

E/ECA/CM. 16/30 Page 18

c) Choix du sous-programme et irethodologie

69, Sous-programme 1 : be developpement statistique a ete choisi dans le cadre de l'operation d'auto-evaluation pares qu'il est considere par la Division comme son sous-programme le plus important. Les elements du sous-programme couvrent des dom&inea qui continuent de recevoir une attention marquee dans le domaine des statistiques en Afrlque. Des questions telles que la constitution d'une base de donnees statistiques et la formation statistique sont des domaines necessitant un developpement plus important au profit de la region Afrique. Des questions speciales appartenant a ces domaines devraient ainsi etre etudiees dans le cadre de l*ope ration d'auto-evaluation,

70, Dans ce sous-programme une question importante de coordination et de developpement est egalexnent traitee. Cette coordination entre producteurs et utilisateurs a ete realisee grace a la Conference commune des planifieateurs, Btatisticiens et demographies africains qui se reunit tous les deux ans. Le resultat important dans ce domaine doit etre evalue afin de perroettre une amelioration dans 1'avenir.

71, La periode de couverture a ete choisie pour corresponds aux periodes biennales 1384-1985 et 1988-1987. On a decide de couvrir deux periodes afin de pouvoir comparer les progres accomplis concernant l'impact des produits realises durant la p£riode consideree. Une autre raison etait que la plupart des produits bien qu'officiellement distincts faisaient en realite partie d'un processus continu.

La troisieme raison etait que ie i^ersonnel engage dans ce sous-programme etait reste dans la Division pendant des annees et pouvait ainsi aider a revaluation

des resultats de 1'auto-evaluation.

72. Les donnees administratives et les rapports d'execution du programme ont

^te utilises a grande eehelle pour l'operation d'auto-evaluation. En outre, des donnees relatives a la qualite, a i'efficacite et a l'utilite des produits ont ete obtenues moyennant une enquete au niveau des utilisateurs et des questionnaires ont ete utilises a cet effet. Aux fins de 1'enquete, les fcrola elements de programme du sous-programme ont ete considered comme des ensembles sous lesquels les produits selectionnos ont ete classes en quatre

troupes, a savoir ;

Groupe A ; Rapports et publications techniques

Groupe B : Reunions (ateliers, seminaires et conferences) Groupe C : Sorties d'imprimantes

Groupe D : Services consultatifs

2. Conclusions

a) Execution des activites programmees

73. Compte tenu do la situation financiere precaire de l'ONU dux-ant la periode consideree, le taux d'execution du sous-programme 1 a ete tout a fait eleve pour chacun des exercices bienn&ux, soit de 91,4 % en 1984-198S et de 93,3 % en 1986- 1987. Ce resultat a ete obtenu grace au redeploiement du personnel disponible au niveau des sous-programmes 2 (Statistiques ecoiiomiques) et 3 (Recensements et enquetes) qui beneficiaient d'un degre de priorite moins eleve.

74. S*agissant de 1'execution da sous-programme, il faudrait signaler que certaines des questions soulevees durant les reunions de consultation avec le

(21)

E/ECA/CM.16/30 Page 19 Secretaire executif durant ces periodes portaient sur les serieux retards lies a l'obtention du materiel par le groupe de production aux fins de publication et a la traduction des documents.

75. On a rencontre deux principaux problemes dans le processus d'execution.

Ce sont : ■ :=-".■■■,,....■-.=■"■ -.::.vt ;...

a) Les vacances de postes dues principalement au gel des recrutements, et

b) L'insuffisance des fonds destines aux missions et aux reunions.

76. Concernant les postes vacants, la solution adoptee a consiste" a redeployer le personnel disx>onible dans la Division de la statistique pour veiller a ce qu'aucune activite prioritaire et qu'aucun service essentiel ne soient gravement affectes.

77. S'agissant de l'insuffisance des fonds destines aux missions, certaines missions prevues au titre du budget ordinaire ont ete parfois rattachees a des missions financees sur des ressourceiS extrabudgetaires. Des ressources extrabudgetaires ont egalement servi a financer certaines missions.

78. Enfin lorsqu'il n'a pas ete prevu de ressources pour 1'Interpretation lors des seminaires, ateliers de formation et groupes de travail, des reunions bilingues, ont ete parfois transformers en reunions monolingues. II convient cependant de noter que l'adoption d'une telle solution a impose une surcharge de travail au personnel.

Imr>aet

79. L'execution du sous-programme devait permettre de trouver des solutions aux problemes traites dans le Plan a moyen terme, a savoir : a) le developpement d'une infrastructure statistique et la constitution d'une base de donnees fiables, actualisees et detaillees dans les pays africains; b) la formation d'un personnel statistique; et c) retablissement d'un cadre regional pour 1'evaluation et le suivi de programmes de developpement dans la region.

80. S'agissant du point a), 1'amelioration constatee au debut de la periode a soit 4te interrompue, soit a cede la place a une deterioration de la situation due aux contraintes financieres decoulant de la crise economique en Afrique. La garame de donnees a ete elargie mais peu de progres ont ete" idealises dans la production de donnee-s statistiques actualisees et appropriees. Le traitement de donnees a ete ameliore et le sous-programme a contribue a cette amelioration.

Les organisations statistiques de certains pays ont ete evaluees et developpees afin de tenir compte des nouveaux developpements. Concernant le point b), les centres PFSA (programmes de formation statistique pour 1'Afrique) ont forme davantage de statisticiens qualifies tandis que la demande etait en baxsse au niveau du secteur public. En outre, de nombreux statisticiens occupent de hautes responsabilites dans les gouvernements africains.

81. Concernant le developpement d'un cadre regional aux fins d'analyse, un document intitule "Sortie d'imprimante sur les statistiques economiques, demographiques et sociales integrees" a ete etabli dans les delais et une annexe

, • ■ . i*■»-.. ■> i _ _ _i -i. ■ £ _a ^_l^« ~>^ \-C-^i ~,,^ ^ At-A

publiee. Des publications techniques telles que le Bulletin d'information

(22)

E/ECA/CM, 16/30 Page 20

statistiqup pour V>

Les pi-oduits susm de comparer leurs

pays et ii) a aid

1'evaZuation de j n'utilise nt pas le institutions de rec

Element du pr

82. Des efforts

rapports produits a exemplaires direc

en utiusant en outi

rendant en mission bons ou excellents c

06. La propositio chaque anne

devrait rece1 normale me nt travail de la

5 soiei incorp CEA nt par exemple dans le cette raison qu*une de travail de la CFA

reponses au qu-jsi

d'inforrnafvion Qt^i-i^f exactement le nombi

on a tenu conipte de

84. S'agissant de visant a ameliorer la 85. On a note qur assez les information contienne des

d'experience t

pays membres

publication es statist] que dar

artic irees c 11 t de is la r<

demande aux servic<

nationales et interi d'envoyer des cont

statistic ues. SphIc;

susceptibles d'etre p

86. Concernant la demographies africain

entionnes vi performance

&v les serv eurs plans icains qui s donnees c herehe etabl 3.

ogvamrne 1.1

gaiement iavorise la caj

sent : i) a permettre ai is dans differents doma ices publics dans la

de developpement.

sont censes etre les iisponibles : le trava Les en dehors de la reg

Recommandation r : Activites Senerales d

developpemenl.

devraient etre deployes pour am<

par la Division de la statistics*.

te merit aux s e les bureau

■t comme rea]

n visant a c it regroupes Di*es dans Je . sont pas cc

Bulletin d'in proposition ^

feconsideree ique pour ]*/!

e de repond certaines d s Informatio

diffusion d<

-50 % dt-s r s pertinente egalement ] es sur les es activates convient dc fournir des igion Afriqut

5s nationaux lationales ir ributions qi des article, ublies en ph Conference s, des mesuj

ervices nationaux de st k locaux du PNUD ou les

ts ont ete generalemen

e que les divert rnnrin par sujet et publies luisc Dans le passe,

cnapitre sur les statisi

nsideres comme des pr<

formation statistique do

~isant a enlever cette pi les statistiques a parti a la suite des obser

la presente evaluat

>acite d'analyse des pays, ix pays d'etre en mesure ines avec celles d'autres preparation, le suivi et Malheureusement, les principaux utilisateurs tl est exploits par des

ion.

aiorer la diffusion des atistique de la region et conseillevs de la CEA se t considered comme tres

;urs objectifs immediats.

its produits par la CEA sous forme de manuels ces rapports qui sont

-iques du programme de ur i'Afrique. CVst nnur iblication du programme P de 1990 a ete faite. Si nations faites dans les ion, alors le Bulletin -aoii. on ne connait pas tin dans le nassp. m>no

9 leurs observations dans cette publication.

is rapports s'y appliqu epondants ont indique a continues dans les In propose que cette pub

questions techniques des conseillers/consult<

- signaler que 1'objec informations et des a i* Pour cette raison, or africain s de statist.iq tteressees au develop xl seraient publiecs c

> brefs sur des ques is des informations stat commune des planifica

■es ont ete prises pour

position susmentionnee 2 egalement.

qu'ils n'utilisaient pas formations statistiaues.

tication soit elargie et

couviant les donnees

ints de la CEA dans les tif principal de cette onnees relatives a la Lie et aux institutions pement de la region lans les Informations tions techniques sont

istiques.

teurs, statisticiens et reduire aussi bien le

(23)

E/ECA/CM.16/30 Page 21

imbre de questions a 1'ordre du jour one la duree de la reunion. La sis"

session de la Conference devait se tenir a Addis-Abeba du 15 au 20 janvier . 87 On a fait observer que le niveau technique des participants laissait a de'sir-v parce que certains n'avaient pas la qualification requise pour assister a Ja reunion. Cette observation s'applique principalement au personnel des ambassades designe par lea pays pour les representer a la Conference. On a

regulierement demande aux Btats membres, dans la lettre d invitation, de

designer de hauts fonctionnaires qualifies dans les domaines de la plamfication, des statistiques, de la demographic et des sciences de 1 'information, Cependant, certains Etats membres continuent a se faire representer par le personnel de leur ambass&de du fait probableraent de la crise economique actuelle. On

poursuivra les efforts pour ameliorer le niveau de la participation a la

Conference.

83 La question de la distribution tardive des documents de travail est generate a la CEA et devrait etre examinee principalement en termes d'amelioration des services de traduction et de reproduction.

87. II no fait aucun doute quo la Conference est deja Men connue dans la region et qu'elle s'est rev&ee utile pour la coordination et le developperaent des

statistiques en Afrique.

90 En general, les produits de eel element du programme ont ete grandement

ap*reci£s par les Etats membres. Cependant, quelques preoccupations doivent

etre traitees. Bien que la- base de donnees statistiques de la CEA prodmse,

dans le cadre d'un systeme d'information regional, des donnees qui sont ensuite transferees aux Etats membres pour des comparisons interpays limitees, il semble que les Etats membres prefereraient une assistance de la CEA pour constituer des bases de donnees nationales qui pourraient fctre utihsees pour aiimenter la base de donnees statistiques de la CEA. Us prefereraient egalement pouvoir communiquer avec la base de donnees statistiques de la CEA et avoir

^assistance de la CSA ou de bailleurs de fonds pour leur permettre d utihser ces

liens selon les necessites,

91. Les recommandations suivantes sont done soumises aux ministres pour

approbation :

a) La CEA devrait aider les Etats membres a constituer des bases de

donnees nationales -sur une banque de donnees, sur une sous-banque de

donnees ou sur micro-ordinateurs. On devrait accorder un degre de pnonte eleve a la constitution de bases de donnees nationales sur micro-ordinateurs;

b) La formation aux niveaus regional et .sous-regional <

constitution de bases de donnees statistiques devrait etre pourouivte «t meme intensifiee pour permettre a autant de statisticians et de plamficateurs gouvernementaux que possible de se familiariser avec les problemes et ies techniques dans ce domaine;

C) La CEA devrait explorer Jes liaisons lea plus adaptees entre elle-

meme et les Etats membres et prendre des mesures pour mobiliser le soutien des

bailleurs de fonds afin de facilitcr les echanges de donnees.

(24)

E/ECA/CM, 16/30 Page 22

92. Les conclusions de 1'auto-evaluation sent tree importantes pour

^amelioration future dea produits. Le nombre de repondants bien que faible pour un produit particulier a &onn& une indication concernant les domaines devant etre examines pour ameliorer les produits. Le present element de programme a porte sur des services consultatifs (deux produits), de&

rapports/publications techniques (un produit) et des reunions/conferences (an

produit).

93. Les recommandations suivantee devant etre executees par les administrateurs de programme, sauf indication contraire, re suite nt des conclusions de l'etude d'auto-evaluation.

a) Reunions

i) Les documents destines aux reunions devraient etre etablis et etre prets a temps. Des esemplsires des documents devraient etre envoyes aux participants six semaines avant le debut de chaque reunion;

i£) Les informations donnees dans ies documents destines aux reunions devraient etre verifiees pour ^'assurer qtt'elles sont exactes et conformes aux donnees disponibles au secretariat;

iii) On dfevrait assuror le suivi des recommandations faites lors des reunions dans le but de trouvor les raisons d'une eventuolle non-execution raais egalement de rassembler des donnees relatives a la miso en oeuvre de recommandations specifiques (aussi bien par les Stats merabres que par le secretarial);

iv) Les observateurs/bailleurs de fonds devraient disposer de suffisamment de temps durant les reunions pour donner des details sur le role qu'ils pourraient jouer dans le cadre de leure programmes d'assistance (a executer par les Etats membres).

b) Documents

i) Les documents devi-aient contenir des donnees actualisees et exactes;

ii) Les documents devraient etre attractifs pour le lecteur. D'ou la necessite d'accorder suffisamment d'attention a leur presentation (couverture etc.);

iii) On devrait veiller a ce que les documents soient prets dans les delais afin que les destinataires disposent des informations Iorsqu'ils en ont le plus besoin.

(25)

E/ECA/CM. 16/30 Page 23

Services consultatifs

Pour reduire les missions aupres des institutions d'enseignement, on

devrait disposer de formateurs permanents qui seront etroitement associes

aux enseignements dispenses.

1. Introduction ay Historjque

94. L'auto-evaluation du present sous-programme relatif aux routes et aux transports routiers a ete entreprise pour determiner si le developpement des routes Internationales en Afrique en vue d'ameliorer les liaisons interpays a 6te

la realisation des objectifs fixes.

95. devaluation des transports terrestres aidera egalement a determiner dans quelle mesure la formulation de politiques, la planification et la preparation de

programmes et de projets au niveau gouvernemental dans le domaine des

transports terrestres ont beneficie des efforts de la CEA, l'efficacite des systemes des transports terrestres s'est amelioree et les activites relatives au developpement des transports terrestres en Afrique se poursuivent comme

prevu, en particuher pour ce qui est de ^amelioration des liaisons interpays axees sur les pays africains sans littoral durant l'exercice biennal 1986-1987.

96. devaluation du sous-programme sur les transports terrestres de la Division des transports, des communications et du tourisme n'a pas porte sur le transport ferroviaire parce que durant l'exercice biennal considere, le poste P3

evaluation de l'element ferroviaire est ainsi prevu pour 1995.

mauvais entretien du reseau routier existent) et l'analyse de la clarte et'de la

possibihte de realiser les objectifs, c'est-a-dire le developpement de routes mternationales en vue d'assurer des liaisons interpays, une attention

particuhere etant accordee aux pays sans littoral. On a egalement evalue

1 assistance fournie aux gouvernements dans les domaines des politiques, de la planification et de la preparation de programmes et de projets pour le developpement des routes et du transport routier et de ^amelioration de

i eiricacite de 1 utilisation de leurs systemes de transport routier. Les progres enregistres ou les difficultes rencontrees dans la creation de l'Autorite de la route trans-Afrique de 1'Est (TEAHA) et de l'Autorite de la route trans-Afrique

du Centre (TGAHA) et la publication de 1'African Highway Code (Code routier

africain) ont egalement ete examines.

98. Les donnees pour I'operation devaluation ont 6te collectees principalement

a partir des documents de reference de la Division et du service de reference

de la Decenme des Nations Unies pour les transports et les communications en

Afrique ainsi que d'autres documents de la CEA. Les informations collecteea et

anaiysees comprenaient des donnees sur Finsuffisance de 1'infrastructure

(26)

E/ECA/CM. 16/30 Page 24

routiere, le mauvais entretien des reseaux existants et 1'efficacite" de l'assistance fournie aux pays membres et aux organisations intergouvernementales en vue

d'ameliorer les* routes et les moyens et services de transport routier dans la

region.

99. Outre les etudes et les documents deja disponibles a la CEA, les deux questionnaires susmentionnes ont ete" reproduits et distribues aux participants au troisieme seminaire sous-regional sur 1'entretien des routes et les reponses recueillies ont ete analysees afin de tester respectivement I'utilite et l'efficacite continue du Manuel d'entretien routier de la CEA et egalement la pertinence, l'efficacite et 1'impact des conferences, seminaires et ateliers des Nations Unies sur l'entretien des routes en Afrique.

100. Une approche selective a ete suivie dans revaluation de ] 'element portant sur les routes et les transports routiers du sous-programme, principalement sur 3a base de la verifiabilite et de la continuity des elements du programme du sous-secteur. L'operation devaluation s'est done concentree sur les trois

elements du programme ci-apres :

3.1 Assistance technique aux pays et aux organisations

inter gouvernementales;

3.2 Deveioppement des routes transafricaines; et

3.3 Organisation de la quatrieme Conference sur l'entretien des routes en Afrique.

2. Conclusions

101. L'objectif du sous-programme est le deveioppement de liaisons terrestres Internationales en vue d'ameliorer les liaisons entre Etats. C'est une entreprise a long terme et il nJy a pas eu de percee decisive durant la periode consideree (1986-1987). Aucun changement fondamental n'est intervenu dans les conditions sociales, economiques et politiques de la region meme si les activitds entreprises dans l'execution du sous-programme ont ete relativement efficaces. Aucune action menee dans le court terme et dans un avenir previsible ne^ pourra resoudre le problerae ou ameliorer la situation concernant l'etat de rinfrastructure ou la deterioration et la destruction des reseaux routiers en raison d'un entretien defectueux. be maintien du niveau actuel de financement et de la programmation plutot qu'une modification radicale de la conception du sous-programme est necessaire dans les annees a venir. Le faible niveau de prise de conscience des responsables et decideurs des avantages des liaisons routieres interpays et l'absence d'entretien approprie et efficace constituent la cause fondamentale de la mediocrite permanente des moyens et services du

transport terrestre en Afrique.

a) Pertinence

102. Compte tenu de i'insuffisance chronique des moyens et services de transports et de communications en Afrique (comme souligne par TAssemblee generale des Nations Unies dans sa resolution 43/179 de decembre 1988 sur la Decennie pour les transports et les communications en Afrique), la pour suite des efforts pour le deveioppement des transports terrestres dans la region se justifie amplement, en particulier pour ce qui concerne les liaisons interpays tout en continuant d'aecorder une attention particuiiere aux besoins des Etats

(27)

E/ECA/CM. 16/30 Page 25

sans littoral. Le maintien du sous-programme (transports terrestres) dans le

budget-programme a son niveau actuel ou, mieux encore, aun niveau superieur,

apparait done tres indique a court, a moyen et a meme a long terme.

Efficacite

■■■"- ■

plusieurs reprises en raison principalement de la crise financiere de I'ONU, cela n'a eu que des effets tres limites sur les objectifs fixes.

En termes specifiques, tandis que les objectifs du secretariat a delai determine visent a assister les gouvernements dans 1'etablissement de la TEAHA Le Caire - Gaberones et de la TCAHA Tripoli-Windhoek, la version definitive du sous- programme est en fait differente en ce sens que le sous-programme traite du developpement du reseau des routes transafricaines dans son ensemble et pas seulement de la TEAHA et de la TCAHA.

104. L'etablissement de la TEAHA a eu lieu beaucoup plus tot (1981). Quant a la TCAHA, son etablissement n'a pu etre, pour diverses raisons, etre materialise

COmme Dr^vn Hurnnt In r,om'rt^o ^.^■^^^AA^.A^ Mnoe inoix _x _ £*.' . - /

document E/ECA/TRANS/42, "Report of the Combined Meeting of Trans-African

Highways).

105. Le fait est que dans le premier cas (TEAHA) "l'objectif du secretariat a

delai determine" avait ete rendu sans objet tandis que dans le second cas (TCAHA) l'objectif n'avait pas e"te atteint definitivement.

106. L'etat d'execution du sous-programme examine a partir du niveau des

produits, par rapport au niveau des objectifs du sous-programme peut-etre

resume comme suit :

a) Au niveau des produits, les sept produits programmes ci-apres :

*) Produit 3.1 (i) ; Services consultatifs en faveur d'une societe

nationale de transport routier, relatifs au probleme de capacite critique aiiquel fait face la societe publique,

ji) Produit 3.1 (ii) : Une mission dans un Etat membre pour

determiner Vetat de 1'infrastructure et des services de transports et de communications avec un accent particulier sur les itineraires de transit vers la mer,

Produit 3,2 (i) : "Report to the Combined Meeting of Trans- African Highway on the current status of roads and road transport in Africa" prepare pour la premiere reunion regroupant toutes les autorites des routes transafricaines/ccmites de coordination,

Produit 3.2 (ii) : Un rapport sur le cadre institutionnel requis pour fournir des services de secretariat et des services techniques a toutes les autorites des routes transafricaines, ce qui revient beaucoup moins cher que le fait pour chaque autorite de disposer de son propre secretariat,

(28)

E/ECA/CM. 16/30

Page 26

v) Produit 3.2 fiii) ; Services fonctionnels de la reunion conjoinie au cours de laquelle les deux rapports decrits aux points iii) et iv) ci-dessus ont ete examines et adoptes,

vi) Produit 3.3 fi) : Rapport a la quatrieme Conference sur l'entretien dss routes en Afrique, un docuraent fondamental examinant l'etat des routes en cours d'entretien et le degre de deterioration du reseau, et

vii) Produit 3.2 (ii) : Assurer effectivement le service de la quatrieme Conference sur l'entretien des routes en Afrique, ont ete tous executes dans les delais prescrits et ont contribue dans une certaine raesure, a titre individuel et/ou collectif a la realisation des objectifs du sous-programme. Chacun des produits a contribue au developpement des routes Internationales et aux systemes des transports terrestres en vue

d'ameJiorer les liaisons interpays et/ou a fourni une assistance technique aux

gouvernements africains dans la pUnification, Amelioration, le developpement et le fonctionnement de systemes de transports terrestres efficaces et la creation ot le renforcement de l'Autorite de la route trans-Afrique de l'Est Le

Gaire-Gaberones.

107. Les objectifs a deiai determine du secretariat concernant I'etablissement

de 1'Autorite de la route trans-Afrique du Centre Tripoli-Windhoek et. la

publication du Code routier africain n'ont pas ete realises.

3. Recommandations

108. Le sous-programme 3 sur les transports routiers est un sous-programme tres important dont le succes contribuera a une cooperation et une integration economiques regionales plus grandes et son maintien continu dans le pi*ogramme general de la CEA est crucial et indispensable.

A. Recommandations pratiaues

109. Les recommandations pratiques ci-dessous indiquees une fois pleinement mises en oeuvre pourraient avoir des incidences concretes et positives a court, a moyen et a long terme sur les efforts de developpement des transports terresti'es en Afrique, II est done recommande que le secretariat maintienne le sous-programme sur les transports terrestres avec au moms le meme niveau de ressources en mettant davantage 1'accent sur les activites suivantes :

a) Retablir, sous les auspices de la CEA, le Bureau des routes transafricaines afin de fournir des services de secretariat et des services techniques a toutes les autorites des routes transafricaines;

b) S'efforcer de creer des "autorites" individuelies,

mtergouvernementales pour les autorites des routes transafricaines restantes;

c) Achever l'etude du Plan directeur des routes africaines afin de

determiner avec une certaine precision les ressources requises pour rendre praticables pendant toute 1'annee les tron^ons de routes du reseau et faciliter la^ mobilisation de fonds tant au plan interieur qu'exterieur, en vue de leur

refection;

(29)

E/ECA/CM. 16/30 Page 27

Continuer d'organiser des conferences, seminaires et ateliers dans i Internationales afin d'enrayer la deterioration des reseaux existants; cette deterioration accroit en effet les couts d'exploitation des vehicules en Afrique qui se repercutent en fin de compte sur les usagers sous

torme de charges accrues dans le domaine du transport;

e) Organiser avec les institutions Internationales de cooperation des

seminaires et des ateliers de formation sur la securite routiere, pour ameliorer

ia prise de conscience du DiihKc Hn *-»^mK™o <*««i«,. + ^) ;j__. .,__ , ■,

dommages corporels et materiels dus aux accidents de la circulation sur les

routes et les rues africaines; et

1991). cours (1988-1989) et l'exercice suivant (1990-

B. Propositions

110. Si les recommandations ci-dessus peuvent etre facilement executees par 1 Admmistrateur de programme, les propositions ci-apres sont cependant

soum1Ses a 1'examen de Tautorite superieure et peuvent necesslfer des

ajustements au mveau de la programmation et de la planification.

f^^m-il a ^AUJnitU? de ressou^es extra-budg^taires supplementaires pour

permettre a Admimstrateur de programme d'executer plus efficacement les

propositions enumer^es plus haut; ««w« ^es

Revision des procedures d'approbation des missions afin de permettre au Personnel d'entreprendre toutes lea missions consultatives a temps,

en evitant tout retard ou annulation;

-J Pays les moms avances, a assister aux reunions su

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