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La «sécurité» est une situation dans laquelle

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Texte intégral

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Michel POUJADE Kinésithérapeute Cadre de Santé Master 2 en défense et sécurité

Toulon (83)

L'auteur déclare ne pas avoir un intérêt avec un organisme privé industriel ou commercial en relation avec le sujet présenté

RÉSUMÉ I SUMMARY

La « sécurité physique du combattant »est une des composantes de la mise en condition opérationnelle du militaire.

Entre le risque de déconditionnement et le maintien d’une bonne condition physique, le physiothérapeute vecteur de gain trouve sa place dans les forces armées.

Physical fi tness is part of the training program for active compo- nent soldiers.

A Physical Therapist's role in the army is crucial to avoid service men suff ering from injuries in the course of training which may hinder their performance and eventually put the future mission at stake.

MOTS CLÉS I KEYWORDS

X Condition physique X Entraînement X Force X Gain

X Physiothérapeute X Sécurité physique X Combattant

X Physical condition X Training X Power gain X Physiotherapist

X Physical fi tness X Warrior

Kinésithér Scient 2012;530:27-32

L

a « sécurité » est une situation dans laquelle un homme n’est exposé à aucun danger, aucun risque et aucune agression physique.

Le combat inhérent au métier de militaire donne lieu à des situations d’insécurité. Une bonne condi- tion physique est une garantie sur sa vie ainsi que sur celle de son binôme. En eff et, un soldat blessé au sol doit avoir la certitude que son compagnon d’arme à l’aptitude physique et le potentiel muscu- laire pour le porter ou le traîner sur plusieurs mètres afi n de l’éloigner de la zone de combat (fi g. 1).

Le concept de sécurité physique versus potentiel humain est innovant. Il mérite d’être exploré dans les métiers à risques physiques ; militaires et civils.

Dans les forces armées, il est de la responsabilité de chaque militaire de maintenir une condition physique optimale durant l’ensemble de sa car- rière. La sécurité physique fait partie intégrante du facteur humain. C’est une ressource essentielle pour la pérennité des armées, une véritable assu- rance-vie pour le militaire.

Les multiples théâtres d’opérations rappellent que l’engagement des forces s’intensifi e en durée en intensité et en projection. Le suivi physique du militaire s’impose comme un élément majeur de l’effi cience du soldat sur le terrain. Dans ce contexte, il semble, chez certains militaires, que le manque d’activité physique, les déviances alimen- taires, la méconnaissance des limites de leur corps

XFigure 1

« Pick and run »

Mise en sécurité physique du combattant

© Fotosearch Enhanced

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« Army physical fi tness » et mise en condition opérationnelle du combattant : emploi du physiothérapeute

Kinésithér Scient 2012;530:27-32

entraînent surpoids, lombalgie et accidents mus- culo-squelettiques. Pour d’autres, le surentraîne- ment prolongé de l’organisme peut conduire à un état « d’over reaching » ou surmenage physique [1].

Dans le cadre du maintien de la condition phy- sique des métiers à risques des armes, le physio- thérapeute militaire [2] semble trouver sa place au sein du soutien santé des unités de combat, du maintien physique opérationnel, de l’évalua- tion musculaire du militaire. De par son statut, ses compétences et son caractère projetable, le phy- siothérapeute est une personne ressource dans le processus de mise en condition physique opéra- tionnelle du militaire.

LE FACTEUR PHYSIQUE ET LES LIMITES DU CORPS : maintien

du conditionnement

Au cours des dernières années, la prise en compte du facteur humain s’est considérablement déve- loppée dans les forces armées. À titre d’exemple, les contraintes physiques auxquelles sont soumis les pilotes d’aéronefs donnent lieu à des troubles fonctionnels musculo-squelettiques à type de rachialgies. Le rachis cervical est en permanence sollicité, de même que le rachis dorsal lors de mis- sions longues de 5/6 points (5/6 heures de vols

avec ravitaillements). Dans cette perspective et pour répondre aux besoins des pilotes, la Royal Air Force, qui n’avait que 2 physiothérapeutes en 2009, en a recruté 32 sur 3 ans pour traiter et prévenir les blessures musculaires des pilotes de chasse du nouveau Eurofi ghter Typhoon (fi g. 2) [3].

À l’instar des pilotes, le fantassin est confronté à une autre problématique : il doit porter une charge de 40 kg sur le terrain et, le cas échéant, déplacer cette charge sous le feu. La réduire implique dimi- nuer la puissance de feu et l’augmenter entraîne surcharge et diffi culté pour le soldat à se mouvoir dans un environnement critique.

Le port de charge répété sur une longue distance n’est pas sans incidences pour le rachis. En outre, les vecteurs de déplacement en opération s’eff ec- tuent souvent en véhicules blindés. Le militaire est soumis à des vibrations pendant plusieurs heures sans repères visuels en position assise et, par voie de conséquence, passive pour le rachis. Il s’expose ainsi à un risque accru de pathologies musculo- squelettiques de type lombalgie [4].

Plus largement, l’évolution de la société a une répercussion évidente sur la population militaire.

Dans les unités, les déviances physiques liées au surpoids touchent l’ensemble des forces armées.

En février 2011, le Washington Post s’est penché sur les problèmes croissants de surpoids au sein des forces US ; il semble que 35 % des personnels masculins n’entrent pas dans les critères de poids, d’après un rapport publié en 2009 dans la revue Military Medicine.

Plus récemment, selon le Health and Lifestyle Infor- mation Survey en janvier 2011, 23,5 % des militaires canadiens sont obèses et 48 % sont en surpoids.

Le même phénomène se reproduit en Belgique où 40  % des militaires sont dans la même situa- tion. «  La moitié des soldats britanniques sont en surpoids. ». C’est sous ce titre que la revue Defense Management précise que 44,9 % des militaires ont une IMC (indice de masse corporelle) les clas- sant en surpoids. Ce phénomène représente un problème de santé pour les forces de Sa Majesté réduisant l’effi cacité opérationnelle. Force est de constater une dégradation de l’aptitude physique chez certains militaires.

La surcharge pondérale est préoccupante pour les forces compte tenu des troubles fonctionnels XFigure 2

L'Eurofi ghter Typhoon

© Marshall Bruce/iStockphoto

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Kinésithér Scient 2012;530:27-32 compétences du physiothérapeute en termes de

prévention, d’évaluation et de formation sont de plus en plus recherchées. Elles visent à prendre en charge sur base et sur le terrain les pathologies d’hypersollicitations, liées aux risques trauma- tiques du militaire, dans un but de récupération, de remise en condition et d’optimisation du potentiel physique.

CAS CLINIQUE

DE DÉCONDITIONNEMENT PHYSIQUE ET DE

PRÉVENTION

Le déconditionnement physique du militaire est une réalité qui peut être illustrée par ce cas cli- nique. Le patient est un jeune militaire de 25 ans, sous contrat depuis 7 ans avec les forces armées, dans la spécialité de fantassin. Il est marié, sans enfant. Il souffre de lombalgie chronique depuis 4 ans, accompagné d’une prise de poids de 15 kg.

Il est incapable, à ce jour, de satisfaire à l’évalua- tion physique et sportive du militaire. Il réalisait en début d’engagement 20 tractions, plus de 100 abdominaux, plus de 100 appuis faciaux, une course à pieds de 8 km avec paquetage en moins de 50 minutes, deux grimper de corde. Son bilan physique montre une distance doigt-sol de 22 cm en faveur d’une forte raideur du plan postérieur, une douleur permanente dans le dos à 3 au repos et à 7 lors d’un mouvement.

Le score de Waddell dont la finalité est de témoi- gner d’une incapacité dans les activités du quotidien est de 4 (9 étant le score d’incapacité maximale). Le test sur machine isocinétique du rachis est impossible. Les indicateurs montrent un déconditionnement physique avec prise de poids.

Un test statique de Sorensen (évaluation des spi- naux) à 25 secondes associé à un test statique d’endurance des abdominaux d’une minute. Une incapacité à effectuer des activités physiques du quotidien de 40 %. Les indicateurs psychiques mettent en évidence que le patient ainsi que son

entourage n’acceptent pas la prise de poids. Il a perdu sa spécialité, il est inapte en opération. Il se trouve obèse et a du mal à se projeter dans l’avenir.

Son contrat arrive à terme en 2015. Il est motivé pour reprendre une activité physique et retrouver son aptitude.

Dans ce contexte et faisant suite à une consulta- tion médicale spécialisée, ce soldat est adressé au physiothérapeute. Celui-ci détermine les causes responsables de ce déconditionnement et pro- pose un programme spécifique et adapté de reprise de sport en collaboration avec le diététi- cien des forces ainsi que les instructeurs sport de l’unité. À ce stade, il semble important que chaque militaire intègre la compréhension du risque de déconditionnement et des conséquences que cela implique.

L’unité est la référence pour les soldats qui évo- luent ensemble sur base, à l’entraînement et en opération (unité d’action, de lieu et de temps).

Lorsqu’un élément est blessé, il se retrouve dans une situation de  mise à l’écart du groupe. Ceci risque d’entraîner à terme un désengagement physique et psychique. Le militaire est ainsi en rupture avec le processus de production d’effort physique visant à maintenir un niveau de forme physique, en accord avec les normes définies par chaque armée et les besoins opérationnels.

XFigure 3 L'entraînement du militaire

© N. Amour, 2011

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« Army physical fi tness » et mise en condition opérationnelle du combattant : emploi du physiothérapeute

Kinésithér Scient 2012;530:27-32

Une armée professionnelle nécessite un niveau de condition physique optimal afi n d’améliorer la tolérance au stress opérationnel. Ceci repose sur un entraînement assidu, une adaptation aux contraintes environnementales (fi g. 3), une éva- luation physique régulière préventive et curative.

En réponse à cette dégradation, certaines unités comme la Royal Air Force proposent aux militaires des livrets intitulés « Fit for life » (« En forme pour la vie ») [5], à l’image des back book [6] pour la pré- vention des lombalgies. Ces documents visent à informer et éduquer le combattant en termes de prévention physique, d’entraînement, de prise de poids.

Dans le même esprit, les forces canadiennes éditent un guide d'entraînement ou Army fi tness manual [7] dont l’objet est de permettre aux mili- taires d’atteindre un niveau de condition physique exigé par les normes de la condition physique.

Dans cette perspective, le physiothérapeute se positionne en tant que professionnel de la pré- vention dans un rôle spécifi que de maintien phy- sique opérationnel. Au demeurant, cette prise en charge n’est possible que si les diff érents acteurs concernés travaillent dans le concept anglo- saxon du who safe community ou approche santé pluridisciplinaire.

PRINCIPALES CAUSES DE DÉCONDITIONNEMENT ET D'ÉVALUATION

L’aptitude physique est une nécessité profession- nelle pour le militaire. Elle doit être maintenue tout au long de sa carrière, en tenant compte des impé- ratifs opérationnels ainsi que des diffi cultés récur- rentes au maintien d’un entraînement régulier.

Sur les théâtres d’opérations, les soldats doivent s’adapter en permanence à l’environnement, aux conditions climatiques ainsi qu’à la fatigue. Le stress opérationnel, l’éloignement, la charge de travail ne favorisent pas le maintien d’un entraîne- ment physique. Sa mise en œuvre est aléatoire et repose sur la volonté de chacun.

Le manque d’hygiène de vie est une des causes probable du déconditionnement. Parmi les facteurs retenus : une alimentation trop riche agrémentée de sodas, une sédentarisation infor-

matique, des vecteurs de déplacements motorisés un manque de pratiques sportives en dehors et au sein des unités.

Par ailleurs, la mise en place de nouveaux équi- pements et procédures dans les armées impose une adaptation permanente de l’entraînement et, par conséquent, des capacités physiques accrues du militaire. À titre d’exemple, la modifi cation du système d’armes chez le fantassin, l’évolution du siège éjectable chez le pilote (fi g. 4), les sauts opé- rationnels avec charge lourde chez le commando.

De nouveaux besoins apparaissent : la durée et la répétitivité des missions fatiguent les organismes, que ce soit pour le pilote de chasse, le fantassin ou l’infi rmier et, de fait, pose la question de la remise en condition physique pendant et après la mission. La musculation préparatoire au port de charges lourdes, la reprise d’activité après trauma- tismes, la prise de poids, ainsi que la récupération opérationnelle nécessitent une prise en charge adaptée par des professionnels de santé spécia- listes du corps, connaissant les sollicitations des métiers des armes.

Il incombe au physiothérapeute de soutenir les unités de combat par un suivi physique régulier.

Ce suivi est basé sur des évaluations musculaires XFigure 4

Cockpit de l'Eurofi ghter Typhoon

© Stephen Meese/iStockphoto

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Kinésithér Scient 2012;530:27-32 adaptées (appareil iscocinétique, plateforme de

stabilométrie, tapis de Bosco®) ainsi que des pro- grammes de renforcement musculaire spécifiques utilisant, entre autres, la gestuelle des techniques de combat répétitives, inspirées du travail en chaîne musculaire de type Kabat [8].

À partir de l’analyse de postures physiques du combattant dans des situations proches des acti- vités de terrain, le physiothérapeute évalue les déplacements avec charge, seul ou en binôme, la course avec charge, le relever de charge, le maintien d’une position, la réception de saut. Il intègre des exercices de renforcement musculaire avec charge non maximale, basés sur la vitesse du geste, l’endurance, l’épuisement, la force explosive.

Il cherche à améliorer ainsi le conditionnement physique du soldat par un gain de puissance et de force musculaire nécessaire à son type d’emploi.

SOLDAT « ATHLÈTE » : développer les capacités et se former

Les forces armées ont des objectifs propres en matière de préparation physique du militaire. À

de haut niveau ? Si c’est le cas, alors disposent-ils d’une préparation physique optimum pour mener à bien les missions ? Le physiothérapeute ou reme- dial instructor doit posséder les aptitudes requises pour suivre physiquement des sportifs à travers la prévention des gestes sportifs ainsi que la mise en place de programmes d’entraînement physique adaptés.

En termes de capacités physiques, le soldat doit être capable de se déplacer sur une longue dis- tance, de courir rapidement avec charge, de pas- ser de la position debout à la position allongée, de ne pas bouger, de sauter des obstacles, de grim- per, de creuser, de porter, de nager, de s’équilibrer.

L’analyse des activités « socles » du militaire font apparaître que la course avec charge active la pro- pulsion, la triple flexion, l’extension ainsi que les abdominaux et les spinaux.

Le passage de la position debout à la position couchée nécessite un travail excentrique des fléchisseurs de hanche et des fixateurs des omo- plates. La position statique demande un contrôle de type gainage des abdominaux et des spinaux.

Le grimper demande une traction des membres supérieurs, un maintien statique des fixateurs de la scapula.

L’appareil locomoteur est donc en permanence sollicité lors des activités  ; en aérobie et anaéro- bie, ainsi qu’en force musculaire, en capacité de gainage, en puissance musculaire et en souplesse.

Sur le plan fonctionnel, le militaire doit améliorer sa résistance physique face à des situations d’insé- curité par la répétitivité d’exercices en condition opérationnelle. Sur cette base, les forces cana- diennes ont établi comme norme 5 activités mili- taires :

– évacuer des naufragés  : l’objet est de simuler l’évacuation d’un blessé pendant un incendie à bord d’un navire ;

– évacuer des blessés : le but est de simuler l’éva- cuation d’un blessé à terre sur une civière ou en le portant sur le dos (fig. 5) ;

XFigure 5

Portage d'un blessé hors zone de combat

© Rubberball/Fotosearch

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« Army physical fi tness » et mise en condition opérationnelle du combattant : emploi du physiothérapeute

Kinésithér Scient 2012;530:27-32

– ramper à plat ventre ou à l’aide des mains et des genoux afi n de simuler des conditions d’autopro- tection en se déplaçant face au tir de l’ennemi ; – creuser des tranchées dans le but de simuler des

mesures d’autoprotection ;

– enfi n, transporter des sacs de sable pour simuler des mesures de protection d’autrui contre des éléments naturels.

En défi nitive, entre la norme opérationnelle et l’emploi occupé le suivi physique du militaire peut répondre aux questions suivantes : quel entraîne- ment, pour quelles capacités, pour quel emploi, encadré par qui ?

Le physiothérapeute s’inscrit dans une démarche d’instruction, d’enseignement et de formation des militaires. Il transmet son savoir, ses tech- niques, ses compétences, en harmonie avec les instructeurs sports de l’unité.

Dans le concept du Warrior athlete® [9], le physio- thérapeute intervient précocement dans le cadre de la prise en charge des pathologies d’hypersolli- citations liées aux entraînements et aux missions.

Il a pour rôle de sensibiliser les cadres de contact par une information documentée sur la prépara- tion physique, l’entraînement et le renforcement musculaire, la prévention des accidents sportifs, les techniques de contentions, les programmes de récupération, lors d’exercices physiques soutenus.

CONCLUSION

Les missions du physiothérapeute des forces sont multiples. Au-delà du  cœur de métier (prise en charge des accidents sportifs et sollicitations phy- siques du militaire), le physiothérapeute doit pro- mouvoir son emploi au sein des forces à travers la prévention, l’évaluation et la formation.

C’est un acteur de choix répondant à un métier spécifi que s’adressant à une population militaire exigeante. Son référentiel métier lui permet d’être, en premier lieu, projetable, déployé sur un théâtre d’opération. Il est spécialisé afi n de soutenir phy- siquement les unités de combat et assurer le suivi des équipes sportives militaires.

C’est aussi un coordinateur de soins dont le but est d’établir des programmes de rééducation hands- off visant à prévenir les accidents sportifs.

Dans les forces armées, le militaire athlète requiert un niveau élevé de performance physique, le phy- siothérapeute, de par son emploi, se positionne en tant que facilitateur de « gain ». Le milieu du sport est un milieu contraignant, le gain est toujours associé à l’eff ort.  Les anglo-saxons utilisent l’ex- pression no pain, no gain pour défi nir ce concept.

Pour le Lieutenant-Colonel Minden, coordinateur de la physiothérapie pour les forces armées de Sa Majesté, « Les physiothérapeutes sont généralement des individus robustes qui ont l'habitude de relever des défi s. C'est une période cruciale et un temps abso- lument fascinant d'un point de vue professionnel. ».

Il nous appartient d’optimiser le conditionnement physique du combattant et le suivi du sportif militaire en utilisant nos connaissances dans le domaine du sport, de la rééducation et de l'entraî- nement. La préparation physique du combattant ne doit pas être un « leurre ». À terme, le Warrior athlete® sera-t-il conditionné par le warrior gain fi tness® ? ✖

À la mémoire du MC Trousset

BIBLIOGRAPHIE

[1] Jouanin JC. Le surmenage physique dans l’entraînement militaire.

NATO/OTAN, RTO-MP-HFM-151 2009;7:1, 7-5.

[2] Poujade M. Kinésithérapeute, physiothérapeute ou physical therapist des forces armées. Kinésithér Scient 2010;510:45-9.

[3] Limb M. La trajectoire de vol. RAF, 2009.

[4] Poujade M. Lombalgie du militaire et éducation thérapeutique : une arme dissuasive ? Kinésithér Scient 2011;518:5-12.

[5] Ministry of Defence RU. Fit for life, 2008 : 1-11.

[6] Coudeyre E, Givron P, Gremeaux V, Lavit P, Hérisson Ch, Combe B et coll. Traduction française et adaptation culturelle du « back book ». 2003;vol.46;n°8:553-7.

[7] Army fitness manual FC. Commandement de la force terrestre, 2005.

[8] Knott M, Voss D. Facilitation neuromusculaire proprioceptive, shé- mas et technique de Kabat. Paris : Éditions Maloine, 1977 : 1-237.

[9] Ord R. Guide to the warrior athlete, 2009.

Références

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