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Territoires et identités en Afrique

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Academic year: 2022

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Texte intégral

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Appel à contribution d’ouvrage

TERRITOIRES ET IDENTITES EN AFRIQUE

Imaginaires de l’espace, dynamiques de développement et tensions socio spatiales

Cadrage conceptuel et théorique

En engageant une réflexion sur la spatialisation des représentations ou encore en évaluant leur rapport à la réalité, on sort des sentiers battus et ce faisant le territoire s’arroge tout une autre portée. En tant que donnée de recherche en procès, le territoire, loin d’être un objet fixe et figé par des certitudes devient du fait de sa complexité, de son attractivité et de l’engouement de la pensée scientifique qu’il suscite, un véritable objet de recherche dont la désuétude n’est pas pour demain.

Riche de sa malléabilité et de son instabilité, fécond aussi par l’ubiquité de sa dimension disciplinaire, au-delà de sa portée spatiale, le territoire féconde l’imaginaire populaire, enregistre et conserve l’histoire collective, représente le socle de l’identité, l’arène où se mettent en scène les acteurs et leurs logiques. Le territoire comme principal concept opérationnel où s’expriment les politiques publiques de l’Etat, est lui-même sous l’influence de tensions maîtrisées ou non déclenchées par la décentralisation et la gouvernance.

D’autres territoires, d’autres échelles spatiales plus ou moins articulées avec d’autres niveaux de prise de décision apparaissent alors, instrumentalisés ou non par des identités jadis muselées, proéminentes et impétueuses d’une part et d’autre part, par celles en quête d’affirmation, récemment bricolées aux fins des revendications de divers acabits. La problématique de l’appropriation disciplinaire a peu d’importance à ce stade.

Cette perspective invite aussi à réfléchir au statut des représentations scientifiques par rapport aux représentations sociales ou institutionnelles du territoire. Les discours scientifiques sur le territoire rares sous nos latitudes confessons-le subissent-ils les influences des représentations sociales et politiques contemporaines. Avec M-C. Robic et B. Debarbieux, il convient aussi d’interroger l’influence des discours scientifiques sur les représentations sociales. Ces auteurs questionnent le clivage radical entre représentations savantes et représentations sociales et, par conséquent, une profonde différence de nature entre le territoire des scientifiques et le territoire au sens commun.

La question de l’identité, dans sa rencontre avec le territoire, peut être considérée comme une des questions centrales de la construction intellectuelle et sociopolitique du monde contemporain, et ce à plusieurs titres. En réalité, si l’inéluctabilité de la rencontre de ces deux concepts s’impose dans la réalité, en revanche, au plan du maniement conceptuel et méthodologique, réticence et frilosité limitent encore l’expression du fort potentiel réflexif lié à ce binôme. Les identités s’expriment-elles toujours par l’entremise du lieu ? Le territoire peut–il avoir du contenu sans la cristallisation d’un sentiment d’appartenance à référence spatiale ? La composante espace social qui relève de l’idéel semble être en rupture l’espace géographique plutôt d’essence matérielle. La rencontre de l’idéel et du matériel, à travers la formation socio spatiale et ses instances géographique, économique, politique et idéologique constitue une opportunité conceptuelle et théorique mal ou peu mis à l’épreuve du concret par les géographes. Certes des travaux fondateurs existent (Lévy, 1984, Berdoulay, 1985, Lefebvre, 1986, Di Méo, 1991), mais la mutation paradigmatique envisagée passe par le recours à la dialectique socio-spatiale que préconise E. Soja (1993) l’un des précurseurs de la géographie postmoderne.

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Le constat d’échec du modernisme confirmé par l’incapacité des métadiscours à influencer et légitimer significativement les représentations en tant qu’apport à la construction identitaire même s’il ne fait pas l’unanimité, est assez largement partagé. En rupture avec le modernisme, le courant postmoderniste instrumentalisent les mutations socio politiques et économiques récents intervenus tout en ambitionnant d’enrichir les réajustements épistémologiques qui tentent de les accompagner. Le doute, le refus des certitudes et dans une certaine mesure la déconstruction sont au cœur de cette mutation paradigmatique. Les deux thèmes le plus souvent mis à l’épreuve ne sont pas étrangers à la problématique territoriale. Il s’agit de l’identité et des représentations et dans une certaine mesure la déréalisation progressive du réel au profit de la virtualisation (J.M Besse, 2004)

La démarche dialectique ne crée pas ex-nihilo, elle reprend le matériau de la logique formelle et pour reprendre Marcuse (1968), les réorganise autrement en procédant à une libération consciente de ce qui avait été refoulé : « la logique dialectique est une logique critique : elle révèle des modes et des contenus de pensée qui transcendent le modèle codifié de l’usage et de la validation ».

ARGUMENTAIRE

Depuis près de trois décennies, le succès du concept de territorialisation est aussi lié à l’évolution des modes de gestion de l’action publique. La territorialisation est une approche des politiques publiques qui s’inscrit au sein des territoires selon leurs spécificités avec une prise en charge plus localisée des besoins des populations (Douillet, 2005). Une logique d’approche qui permet de cibler le meilleur échelon d’exercice des compétences transférées pour une délivrance optimale des services rendus aux citoyens. Elle apparaît également comme un instrument pour assurer un développement équilibré des territoires en tenant compte des spécificités et des besoins particuliers de chaque territoire. Le territoire construit résulte des interactions entre les différents acteurs impliqués dans une démarche collective.

« Parler d’un territoire comme d’un système signifie que les éléments territoriaux dont il se compose ne se contentent pas de se juxtaposer : ils entrent en relation les uns avec les autres au point de se modifier réciproquement ». Y. Barel (1986)

Cette démarche accorde plus de place aux logiques d’acteurs, à l’expérimentation de nouveaux modes de gouvernance territoriale multi-niveaux. Jean Marie Miossec (2008) le traduit comme «...une aire de développement, d’aménagement et de gestion, de taille variable, un échelon et un cadre de vie, où la responsabilisation des acteurs locaux est susceptible de fournir, en articulation avec les autres protagonistes, une réponse aux besoins et aux aspirations de leurs concitoyens». Aussi, au-delà des préoccupations théoriques et conceptuelles sur l’identité territoriale, l’un des objectifs du présent ouvrage est-il de comprendre dans quelle mesure le couple identité et territoire peut être envisagé comme ressource et levier du développement en Afrique.

Mais c’est toujours dans ses affinités avec le territoire que l’identité prend son tournant le plus controversé. Après avoir été au cœur des préoccupations des tenants de la négritude, l’identité s’est invitée dans les débats politique ayant précédé les indépendances et pendant les années de la construction des jeunes Etats africains. La résurgence de la question de l’identité correspond en Afrique aux années de contestation des régimes en place et de généralisation de l’apprentissage du multipartisme.

Au plan économique, on a pu la voir mobilisée dans des notions plus ou moins claires telles que l’endogénisation de l’économie, la nationalisation des cadres ; au plan culturel, c’est à son propos que les notions suspectes à certains égards (Authenticité chez Mobotu

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dans l’ex-Zaïre, Institutionnalisation du Yondo avec Tombalbaye au Tchad, etc.), ont pu être proposées à défaut d’être élaborées.

L’attelage identité et territoire a constitué un terreau fertile aux notions controversées (autochtonie, allochtonie, ivoirité, anglophonie, francophonie, etc.). C’est le rapport entre territoire et identité qui est au cœur de la problématique du tribalisme et de l’ethnisme, dont on peut dire en particulier pour ce qui est du Cameroun, qu’il constitue la toile de fond des luttes pour le pouvoir et les monopoles, que ces derniers prennent la forme économique, foncière, intellectuelle, politique, idéologique, etc.). C’est aussi et surtout dans ce registre que peuvent être mieux décrypter la recrudescence des tensions plus ou moins ethnocentrées que vit le Cameroun depuis le dernier trimestre 2016 avec l’exacerbation de la crise anglophone, la querelle autour de l’implantation du monument dédié à Ruben Um Nyobé, la forte communautarisation des revendications sociales partout dans les régions, etc..

Sont plus nombreuses, les analyses portant sur la seule identité (Constructions identitaires en Afrique, sous la direction du Prof. David Simo) ou sur le territoire, depuis une perspective géographique. Sans être inédite, l’initiative actuelle se révèle assez inhabituelle en raison de la nécessaire interdisciplinarité qu’elle suppose dans une tradition universitaire où les cloisonnements disciplinaires et les querelles de clocher sont encore hélas fréquents.

La rencontre identité et territoire apparaît donc ici comme étant aussi un facteur dérangeant, qui contribue au renforcement des conflits entre les hommes, dans un contexte de régionalisation et de mondialisation : les questions rwandaise, kenyane, les conflits ivoirien et kenyan, la crise centrafricaine, la crise anglophone au Cameroun, les revendications du mouvement de l’AZAWAD ou le phénomène Boko Haram l’illustrent à souhait. Mais la même rencontre ouvre à des élaborations parfois surprenantes qu’on pourrait rapidement à défaut de mieux, qualifier de construction d’une identité nouvelle, réelle ou factice. Des utopies peuvent à cette occasion apparaître ou réapparaître, comme celle des combattants idéalistes pour l’indépendance africaine à l’exemple de Ruben Um Nyobe, Patrice Lumumba, Ahmed Sékou Touré, Gamal Abdel Nasser, Ahmed Ben Bella de même que des tentatives de pratiques peuvent voir le jour à travers ce qui a pu être fait , ci et là pour que se construise localement ou régionalement la « nation ».

Cette perspective involontairement ambivalente fait coexister des expériences de consensus territorial et de développement solidaire ou alors d’oppositions de logiques et d’intérêts, sources de tensions socio territoriaux avec leurs cortèges de conflits et de crises.

Chose plus enrichissante, ces fissures ou fractures sociales laissent ouvrent souvent la porte aux alliances, négociations et compromis y compris territoriaux.

Dans une Afrique saisie de convulsions que d’aucuns prétend endémiques, l’on constate aussi une panoplie réconfortante d’adaptations spontanées, la plupart dans le cadre de qu’il est convenu de désigner « secteur informel »

.

L’investissement sur leur territoire de référence des acteurs muent par la force du sentiment d’appartenance est peu étudié, en dépit de sa portée. Pour les économistes, cette innovation paradigmatique procède d’une démarche certes marginale mais dans le contexte africain, elle revêt toute une autre portée au plan heuristique mais encore plus opérationnelle et pragmatique.

Le présent ouvrage, qui se veut pluriel et même contradictoire entend rassembler deux catégories d’études : les approches théoriques et analytiques embrassent l’un ou l’autre des aspects de la rencontre de l’identité et du

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territoire, en vue d’en proposer une compréhension globale, qu’elle soit factuelle ou prospectiviste.

L’on n’entend pas écarter à priori des analyses ou des approches choquantes, car il se veut engager dans la réalité du débat camerounais ou africain contemporain, dont on peut observer qu’il donne lieu à des prises de position opposées et contradictoires. C’est aussi en cela que s’affiche sa perspective postmoderniste, loin des certitudes, méfiante des métadiscours dominants. Il vise à éprouver la fécondité interdisciplinaire des concepts de territoire et d’identité et des problématiques que leurs relations peuvent induire. Au-delà du travail proprement conceptuel que ces relations suscitent dans l'ensemble des disciplines des sciences humaines et sociales, ils peuvent être mis en rapport avec des notions voisines comme celles d’espace, de patrimoine et de ressources, en croisant divers regards disciplinaires. Elles peuvent enfin faire l'objet d'une réflexion sur leur construction, leur devenir et les enjeux que leurs relations peuvent révéler. La rapidité des changements, les tendances lourdes qui caractérisent les mutations, leur diversité et leur complexité sont sans commune mesure avec les réajustements méthodologiques et conceptuels à même de les rendre intelligibles. Qu’elles soient d’essence naturelle ou sociale, ces mutations marquent incontestablement l’orée d’une autre époque. Ce qui appelle logiquement le réexamen des orthodoxies théoriques dans les sciences sociales.

AXES PRIORITAIRES DES CONTRIBUTIONS

A titre indicatif et sans être exhaustif, les contributions pourraient utilement s’orienter vers les deux grands axes suivants :

AXE 1 : IMAGINAIRES DE L’ESPACE ET DYNAMIQUES DE DEVELOPPEMENT Apres un cadrage conceptuel et épistémologique sur la thématique, ce premier axe met en exergue l’exploitation idoine des rapports identité et territoire comme tremplin du développement avec, entre autres, comme corollaire la culture citoyenne.

Une autre déclinaison de cet axe est en lien avec les arrangements organisationnels plus ou moins territorialisés ou les offres de services et de savoir-faire spécifiques

territorialisés susceptibles à terme de s’inscrire dans un processus d’emblématisation.

Les expériences de valorisation des éléments de connaissance liées à la concentration géographique donnent lieu

à l’inscription territoriale (ou l’ancrage) de

trajectoires technologiques spécifiques.

Les contributeurs s’orienteront vers les problématiques suivantes : - Identités et territoires : approches théoriques et disciplinarité ; - Ressources -territoriales, politiques publiques et gouvernance ; - Capital social et recompositions territoriales ;

- Multiculturalisme et développement urbain ;

- Initiatives locales et développement rural en Afrique ; - Diaspora, identité et développement territorial ; - Tourisme durable et valorisation touristique ;

- Entreprises et territoires : quels leviers d’attractivité et de compétitivité ; - Territoire, savoirs locaux et changements climatiques ;

- Spécificités des nouveaux médias ;

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- Etc…

AXE 2 : IDENTITÉS ET TERRITOIRES À L’ÉPREUVE DU VIVRE-ENSEMBLE Une réflexion sur le rapport territoire, pluralité et vivre-ensemble est l’une des piste qu’il convient d’envisager pour transcender les perspectives identitaires et leurs dérives communautaristes, d’une part, et d’autre part, celles des critiques convenues vers les sociétés contemporaines, post-modernes, à la fois fragmentées et globalisées. Les métadiscours qui font l’apologie du vivre-ensemble sont-ils dénués de sous-entendus ? Dans quelles conditions participent-ils effectivement à la coexistence pacifique ? Quelles expériences historiques ou contemporaines, locales, nationales ou transfrontalières peuvent irriguer et féconder la conceptualisation, qu’il s’agisse des dynamiques sociopolitiques divergentes ou convergentes ? Les contributions devraient être dirigées vers les champs ci- après :

- Multiculturalisme et vivre-ensemble : opportunités et paradoxes ; - Identité spatiale et mobilité ;

- Dynamiques foncières et construction de nouveaux monopoles ; - Identités urbaines en reconstruction ;

- Espace, ressources et cristallisation identitaire ;

- Communautarisation et nouvelles compétitions politiques ; - Identités politiques et religieuses ;

- Imaginaires de la terre et conflits de rationalité ; - L’espace saisi par le droit et la coutume ;

- L’espace, lieu, parfois conflictuel, d’appropriation et de construction identitaire ; - Conflits d'identité et territoires ;

- Territoire(s), identité(s) en crise ;

- Espaces représentés, nouveaux espaces de communication ; - Etc….

MODALITÉS ET CALENDRIER

Les propositions d’articles, rédigés en français ou en anglais ne doivent pas excéder 1000 mots et devront mettre explicitement en exergue le titre, une problématique originale et l’hypothèse que l’auteur compte argumenter. Les auteurs feront également mention de leur adresse complète ainsi que de leur affiliation institutionnelle et disciplinaire. Ces propositions d’articles devront parvenir aux éditeurs au plus tard le 15 septembre 2018. Les auteurs des propositions retenues seront informés au plus tard le 30 septembre 2018 et seront invités à soumettre leur texte définitif au plus tard le 20 décembre 2018. L’ouvrage paraitra en Avril 2019 aux Editions Karthala.

Les propositions doivent être adressées par courrier électronique aux adresses ci-après des éditeurs scientifiques : pascal_mbaha@yahoo.fr, ptchawa@yahoo.fr, armandleka@yahoo.fr COMITÉ SCIENTIFIQUE

Jean Louis Dongmo (Professeur Emérite, Université de Yaoundé I) ; Achille Mbembé (Professeur, Université de Witwatersrand, Afrique du Sud) ; Guy Di Méo (Professeur Emérite, Université de Bordeaux 3) ; Serge Morin (Professeur Emérite, Université de Bordeaux 3) ; Simo David, (Professeur émérite à l’Université de Yaoundé I) ; Jean Emmanuel Pondi (Professeur, université de Yaoundé II) ; Laurent Charles Boyomo Assala (Professeur, Université de Yaoundé II) Benjamin Steck (Professeur Emérite, Université Le Havre) ; Jacques Philippe Tsala Tsala (Professeur à l’Université de Yaoundé I) ; Mbonji Edjenguele (Professeur, Université de Yaoundé I) ; Daniel Abwa (Professeur,

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Université de Yaoundé I) ; Paul Tchawa (Professeur, Université de Yaoundé I) ; Athanase Bopda (Professeur, Université Le Havre), Eric Mathias Owona Nguini (Maître de Conférences, Université de Yaoundé II) ; René Joly Assako Assako (Professeur, Université de Yaoundé I) ; Joseph-Marie Zambo Belinga (Professeur, Université de Yaoundé I) ; Jean Nzhie Engono (Professeur, Université de Yaoundé I) ; Saibou Issa (Professeur, Université de Maroua) ; Janvier Onana (Professeur, Université de Douala) ; Joseph Gabriel Elong (Professeur, Université de Douala) ; Michel Tchotsoua, (Professeur Université de Ngaoundéré) ; Roger Ngoufo (Professeur, Université de Yaoundé I) ; Moïse Moupou (Professeur, Université de Yaoundé I) ; Daniel Dickens Priso (Maître de Conférences, Université de Yaoundé I) ; Aurore Sarah Ngo Balepa (Maître de Conférences, Université de Douala) ; Mesmin Tchindjang (Maître de Conférences, Université de Yaoundé I) ; Joseph Pascal Mbaha (Maître de Conférences, Université de Douala) ; Armand Leka Essomba (Maître de Conférences, Université de Yaoundé I) ; (Maître de Conférences, Université de Buea) ; Thomas Irenée Atenga (Maître de Conférences, Université de Douala) ; Honoré Mimché (Maître de Conférences, Université de Yaoundé II) ; Georges Madiba Oloko (Maître de Conférences, Université de Douala).

CONTACTS

Les propositions de résumés ou d’articles doivent être soumises via l’une des adresses suivantes :

Joseph Pascal Mbaha: Maître de Conférences; Département de Géographie;

Université de Douala; pascal_mbaha@yahoo.fr ;

Armand Leka Essomba: Maître de Conférences, Département de Sociologie, Université de Yaoundé I, armandleka@yahoo.fr ;

Paul Tchawa: Professeur, Département de Géographie, Université de Yaoundé I ; ptchawa@yahoo.fr

Références

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