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Quelques commentaires sur la liste des plantes protégées en France

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Academic year: 2022

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HAL Id: hal-03423693

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Submitted on 10 Nov 2021

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Quelques commentaires sur la liste des plantes protégées en France

Jean Timbal

To cite this version:

Jean Timbal. Quelques commentaires sur la liste des plantes protégées en France. Revue forestière

française, AgroParisTech, 1983, 35 (2), pp.153-157. �10.4267/2042/21643�. �hal-03423693�

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QUELQUES COMMENTAIRES SUR LA LISTE DES PLANTES PROTÉGÉES DE FRANCE

Le Journal Officiel du 13 mai 1982 publie un arrêté du ministère de l'Environnement donnant une liste de 425 espèces végétales désormais protégées sur l'ensemble du territoire national (1) (2) . C'est là un événement qu'il convient de saluer, puisque c'est la première fois en France que des plantes jouissent d'une protection légale sur l'ensemble du pays ; jusqu'à présent, seule la flore des parcs nationaux était protégée, ainsi qu'une petite liste de plantes ayant fait l'objet d'une protection régionale ou départementale.

Il est cependant à noter que la France était un des derniers pays d'Europe à ne pas avoir ses plantes protégées » et que, ce faisant, elle ne fait que suivre les recommandations du Conseil de l'Europe.

En fait, ce sont deux listes distinctes que le Journal Officiel du 13 mai 1982 publie : la première, la plus longue (390 espèces), est celle des plantes jouissant désormais d'une protection totale ; la deuxième, beaucoup plus courte (35 espèces), concerne les espèces dont la récolte est désormais soumise à une autorisation préalable du ministère de l'Environnement.

Dans ces listes, les espèces sont désignées par leur nom latin avec, en général, référence à Flora europaea ,>(3) et leur nom français, ce dernier n'étant le plus souvent que la traduction du nom latin.

(1) Aucune espèce ne concerne les départements et territoires d'Outre-Mer.

(2) Le Journal Officiel du 14 décembre 1982 a publié un arrêté faisant office d'errata pour la liste publiée le 13 mai 1982.

Il lève la confusion qu'il y avait entre l'Astragale de Montpellier et celle de Marseille (les deux sont désormais protégées) et retire le Pin mugho de la liste des dicotylédones (où il avait été placé bien évidemment à tort) pour le placer dans celle.

des gymnospermes.

(3) La seule flore européenne moderne (juste achevée) éditée en Angleterre et faisant autorité.

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Législation et jurisprudence

A cause des révisions de statut taxonomique, certains binômes latins adoptés par «Flora europaea sont inhabituels, aussi nous avons donné les synonymies les plus usuelles.

Le botaniste averti sera certainement étonné du contenu de ces listes : pourquoi telles espèces y figurent qui ne paraissent pas excessivement rares ou en danger, et pourquoi pas telles autres qui le sont au moins autant, sinon plus ? Cette liste est évidemment critiquable, mais elle a le mérite d'exister . Espérons qu'il s'agit d'une première liste car, en réalité, sur environ 4 200 espèces de la flore de France, un bon millier mériterait protection.

Examinons maintenant cette liste à différents points de vue( 4 )

— Phytogéographie et écologie

Ces deux aspects sont très liés et c'est pourquoi nous les traitons ensemble . En effet, quand on examine l'écologie, la répartition en France des espèces et le cortège floristique phytogéo- graphique auquel elles appartiennent, on est frappé par le fait que la plus grande partie des espèces protégées vit dans les stations à écologie contrastée : milieux humides (voire semi-aquatiques à aquatiques) ou très secs, très chauds ou très froids, etc.

Aussi, n'est-il pas étonnant qu'une majorité de ces espèces soit des espèces méditerranéennes au sens large (40 %) ; 9 % d'entre elles concernant la seule Corse . De même, 30,5 % des espèces sont montagnardes, dont un certain nombre oroméditerranéennes.

Les espèces littorales au sens large (dunes, zones salées, rochers maritimes . . .) sont aussi nombreuses, puisqu'elles représentent 17 % du total avec, ici aussi, un grand nombre d'espèces méditerranéennes.

Dans le même ordre d'idée, les espèces liées à des habitats très humides sont très nombreuses (27 %), ce qui n'étonne pas, car ces types d'habitats (tourbières, marécages, bords des cours d'eau . . .) ont été victimes d'une forte réduction ou d'« aménagements » destructeurs . A l'opposé, les milieux très secs (garrigues, coteaux exposés au sud, rochers, éboulis . . .), lieux connus pour leur taux élevé d'endémisme, possèdent 34 % des espèces de cette liste, ce qui est également considérable ( 5 ).

— Dendrologie

Si les espèces herbacées sont majoritaires, et largement, le nombre des espèces ligneuses ou semi-ligneuses n'est pas négligeable pour autant, puisqu'il représente 15 % du total . Cependant, sur ces 15 %, il y a une majorité d'arbrisseaux et de sous-arbrisseaux.

On ne trouve dans cette liste que trois arbres véritables (et encore pas de première grandeur).

Deux d'entre eux ne sont d'ailleurs pas de véritables espèces, mais des hybrides fixés, fertiles, à savoir

— D'une part, le Faux Chêne-liège (Quercus crenata Lam . = Q . pseudo suber Santi, hybride fixé entre le Chêne-liège (Q . suber L .) et le Chêne chevelu (Q . cerris L .), que l'on ne rencontre que sur les confins nord de l'Estérel (Tanneron, Vallée de la Siagne) ;

— d'autre part, l'Alisier de Fontainebleau (Sorbus latifolia Pers .), qui n'est qu'un des multiples hybrides fixés entre l'Alisier blanc (Sorbus aria (L .) Crantz) ( 6 ) et l'Alisier torminal (Sorbus

(4) Nous n'aborderons pas ici l'aspect réglementaire de cet arrêté, ses conséquences éventuelles dans la gestion forestière, ses possibilités réelles d'application, pour nous en tenir au seul aspect biologique des choses.

(5) Les pourcentages indiqués sonta rapporter aux catégories phytogéographiques et/ou écologiques correspondantes . car il est évident qu'une plante, du fait des différentes facettes de son écologie, peut entrer dans plusieurs catégories : elle peut être

ala fois méditerranéenne et montagnarde, littorale et des rochers . ..

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Législation et jurisprudence

torminalis (L .) Crantz), que l'on rencontre dans les stations thermoxérophiles de la forêt de Fontainebleau et dans quelques autres stations de même écologie du Bassin Parisien.

La troisième espèce arborescente est le Caroubier (Ceratonia siliqua L .), probablement seulement subspontanée, des parties les plus chaudes du littoral méditerranéen du Var et des Alpes-Maritimes.

Parmi les grands arbrisseaux, citons le Laurier du Portugal (Prunus lusitanica L .) qui est une espèce ibérique dont on ne connaît qu'une seule station spontanée en France : la vallée d'Hayra dans le Pays basque . Par contre, il a été largement planté dans les parcs à des fins ornementales car ses feuilles sont persistantes.

Il y a aussi le Pin mugho (Pinus mugho Turra), petit pin prostré, vicariant oriental du bien connu Pin à crochets, vivant comme lui à l'étage subalpin, mais rarissime en France où il se trouve à l'extrémité occidentale de son aire (stations disjointes).

Comme autres arbrisseaux, citons les espèces atlantiques suivantes : la Bruyère de Saint-Daboec (Daboecia cantabrica (Huds .) C . Koch) des landes silicicoles du Pays basque où elle n'est cependant pas rare ; la Bruyère d'Irlande (Erica erigena R . Ross . = E . mediterranea L .) des landes humides du Médoc ; la Bruyère du Portugal (Erica lusitanica Rudolphi) des zones marécageuses des Landes ; le Saule des dunes (Salix repens L . ssp . arenaria L . = S . dunensis Ry .) des arrières-dunes du littoral atlantique ; le Ciste hérissé (Cistus psilocephalus Sweet = C . hirsutus Lmk .) des landes du Finistère où il n'est probablement que subspontané.

Comme espèces méditerranéennes, citons : la Barbe de Jupiter (Anthyllis barbajovis L .) des rochers littoraux ; le Ciste à feuilles de Peuplier (Cistus populifolius L .) de quelques maquis du Languedoc ; le Ciste variable (Cistus varius Pourret = C. pouzolzi Delile) des Cévennes ; le Tamaris d'Afrique (Tamarix africana Poiret) de Corse ; le Genêt à feuilles de lin (Teline linifolia (L .) Webb . et Berth . = Cytisus linifolius (L .) Lmk . = Genista linifolia L .) des suberaies thermophiles littorales du Var ; la Germandrée arbustive (Teucrium fruticans L .) des rochers littoraux ; le Palmier nain (Chamaerops humilis L .), (littoral du Var) que l'on croyait disparu à l'état spontané ; le Laurier rose (Nerium oleander L .), rarissime à l'état spontané en France, mais si largement cultivé ; le Gattilier (Vitez agnus castus L .), également rarissime.

Comme espèces montagnardes, on peut citer la Clématite des Alpes (Atragene alpina L . = Clematis a/pina (L .) Miller) qui est en réalité une liane ; le Camélée strié (Daphne striata Tratt .) ; le Rhodo- dendron poilu (Rhodedendron hirsutum L .), espèce des Alpes orientales ne possédant en France qu'une station isolée ; des Saules (Salix crataegifolia Bertol ., S. daphnoides Vill, S. lapponum L ., S. myrsiites L .) ; et des espèces oroméditerranéennes : le Genêt très épineux (Echinospartum horridum (Vahl .) Rothm . = Cytisanthus horridus (Vahl .) Gams = Genista horrida DC) ; le Cytise hérisson (Erinacea anthyllis Lmk . = E . pungens Boiss .) ; et les deux espèces de Pivoine sauvage (Paeonia corallina Retz et P . officinales (L .) Gouan . = P . peregrina Ry et F . non Mill).

Regrettons que cette liste d'espèces protégées ne comprenne pas le Pin de Salzmann (Pinus nigra Arn . ssp . clusiana Clem . = P . laricio var cebennensis Gren . et Godr. = P . salzmanni Dunal), le Genévrier thurifère (Juniperus thurifera L . = J. galleca Ry), les genévriers littoraux (J. phoenecea L . ssp . lycia L . = J. oxycedrus L . ssp . macrocarpa Sibth et Sm), l'Aliboufier (Styrax officinales L .), l'Euphorbe arbrisseau (Euphorbia dendroïdes L .), le Ciste odorant ou Lédon (Cistus ladaniferus L .), le Buisson-ardent (Pyracantha coccinea Roemer) et le Staphylier (Staphylea pinnata L .), qui sont toutes des espèces rares ou très rares à l'état spontané, sans parler de certaines races locales d'espèces plus banales, ou mieux de certaines espèces globalement abondantes mais régionalement très rares, comme c'est le cas pour le Chêne-liège dans le bassin de la Garonne.

(6) Ecrire Sorbus aria (L .) Crantz, veut dire que Linné, le premier, avait donné le nom d'espèce aria, mais en classant la plante dans un autre genre' Crataegus aria L . ; et c'est Crantz qui la plaça dans le genre Sorbus.

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Législation et jurisprudence

LES ESPÈCES FORESTIÈRES

Dans cette liste d'espèces protégées, il y a peu d'espèces susceptibles de pousser dans les bois et encore moins d'espèces forestières strictes . La plupart sont des espèces des bois clairs, des forêts dégradées ou des lisières, soit dans des milieux très humides, soit, au contraire, très chauds et secs.

En voici la liste, divisée par grands types de milieu.

• Espèces méditerranéennes des stations sèches et/ou chaudes:

Anemone palmata L.

Helianthemum mariifolium (L .) Miller Teucrium pseudochamaepitys L.

Vicia altissima Desf. : littoral Corse Viola arborescens L.

Ambrosinia basil L . : Corse

Barlia robertiana (Loisel) W . Greuter = Aceras longi- bracteata Rchl . : Corse

Bellevalia pouzolzi Gay. (=Hyacinthus p.) Corse Carex michelii Host.

Nectaroscordum siculum Lindley ( = Allium siculum Ucria)

Orchis spitzelli Sauter ex Koch.

Piptatherum virescens (Trin .) Boiss . (= Oryzopsis virescens (Trin .) Beck.)

Veratrum nigrum L.

Ruscus hypophyllum L.

• Espèces méditerranéennes mésohygrophiles : Myosotis pusilla Loisel

Myosotis soleirolii Godr.

Serapias neglects De Not

• Espèces non méditerranéennes des lisières et des bois clairs, sur sols chauds et secs (stations arides) :

Gentiane/la amarella Borner

Laser trilobum Borkh ( = Siler trilobum (L .) Borkh) : Côtes de Moselle

Carex fristschii Waisbeck : « heuschines » et lisières de la Harth-sud (68)

Cypripedium calceolus L . (le Sabot de Vénus) : hêtraies calcicoles

Pyrola rotundifolia L . (espèce disséminée mais ne nous paraissant pas spécialement rare)

Rosa gallica L.

Cytisus ardoini E . Fournier

• Espèces des lisières et des bois humides de plaine :

Campanula cervicaria L.

Gentianella uliginosa Borner

Polemonium coeruleum L.

Trientalis europaea L . : Ardennes (7 ) Viola elatior L.

Dryopteris aemula O . Kuntze (= Polypodium aemulum Duterte = P. toenisecii (Lowe) P .F .)

Dryopteris cristata A . Gray (= Polystichum cristatum (L.) Roth .)

Gagea lutea (L .) Ker Gawl.

Gagea spathacea (Hayne) Salisb.

Erica erigena R . Ross.

Erica lusitanica Rudolphe pinèdes landaises Carex pseudobrizoïdes Hausm . (= C . reichenbachii Bonnet = C . pseudo-arenaria Rchb .)

Ligularia sibirica L . : forêt de Chatillon (21).

• Espèces des bois humides de montagne : Anemone trifolia L . : hêtraies dans les Alpes Maritimes Cerinthe glabra tenuifolia (Bertol.) Dannac : Corse Cirsium montanum (Waldst . et Kit ex Willd) Sprengel Linnaea borealis L . : Alpes internes

Soldanella villosa Darracq : Pyrénées occidentales Epipogon aphyllum Swartz

Lycopodium annotinum L.

Polystichum braunii Fée Trientalis europaea L . (7) Allium victorialis L.

LES ESPÈCES DE TOURBIÈRES

Nous les citons, car les tourbières sont souvent incluses dans des forêts :

Betula nana L . : Jura, Massif Central Andromeda polifolia L.

Minuartia stricts (Swatz) Hiern.

Saxifraga hirculus L.

Carex chordorrhiza L . fil.

Carex heleonastes L . fil . : Jura Eriophorum gracile Koch . ex Roth.

Hammarbya paludosa (L .) O . Kuntze (= Malaxis paludosa)

Scheuchzeria palustris L.

Drosera : toutes les espèces D . rotundifolia L.

D . corsica Maire : Corse D . intermedia Hayne D . longifolia L.

Salix helvetica Vill.

(7) Trientalis europaea, espèce circumborèale, est normalement une espèce de plaine dans le nord de l'Europe, c'est le cas des stations ardennaises, mais elle peut se retrouver plus au sud en montagne (Vosges, par exemple).

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Législation et jurisprudence

LES ESPÈCESDES DUNES ET DES SABLES LITTORAUX Enfin, il convient de citer les nombreuses espèces des dunes littorales, beaucoup de celles-ci étant ., soumises » à l'action du forestier :

Alyssum arenarium Loisel (= A . loiseuleuri P .F .) : Sud Gascogne

Anchusa crispa Viv. ( = A . littorea Moris) : Corse Armeria pungens (Link.) Hoffm . et Link. (= Statice fasciculata Vent.) : Corse

Astragalus bayonnensis Loisel : Sud Gascogne, Calvados Centaurium chloodes (Brot.) Sempaio (= C . vulgare Rafin ssp . chloodes (Brot .) P .F .) : Corse

Crambe maritima L . : Manche et Sud Bretagne Daucus gadeceaui Ry et Camus (= D . carotta ssp.

maritimus var Gadeceaui) : Bretagne Dianthus gallicus L.

Evax rotundata Moris : Corse

Hieracium eriophorum Saint Amans : Sud Gascogne (espèce non citée dans la flore de P . Fournier) Lathyrus maritimus Big . : Manche

Limonium diffusum O . Kuntze : Aude Limonium girardianum Fourr : Méditerranée

Limonium humile Miller ( = L. vulgaris Miller ssp . humile Miller = Statice bahusiensis Fries) : Bretagne, Hérault Limonium minutum Fourr. : Méditerranée

Limonium ramosissimum (Poiret) Maire ssp . provinciale Pignatti = Statice con fusa G .G . = S. globulariifolia Desf.

ssp . provinciale : Méditerranée Linaria commutata Bernh . ex Reich .

Linaria cirrosa (L .) Cay.

Linaria thymifolia (Wahl .) DC : Charentes, Gascogne Linaria reflexa (L .) Desf . : Méditerranée

Matthiola oyensis Men . (= M. sinuata var . oyennis) : Ile d'Yeu

Matthiola tricuspidata R . Br . : Corse

Morisia monanthos (V .V .) Ascher. (= M . hypogaea) : Corse

Myosotis ruscinonensis Rouy : Catalogne Nananthea perpusilla DC : Corse Omphalodes littoralis Lehm

Polygonum rayi Bab . (= P. roberti Lois . p .p .) Pseudorlaya pumila (L .) Grande ( = Orlaya maritima Koch .) : Corse

Pyrola maritima Worburg (= P. rotundifolia L. var.

arenaria Koch .)

Rouya polyganna Coincy (= Thapsia polygama Desf .) : Corse

Salix repens L . ssp . arenaria L . ( = S . repens L . var.

dunensis Ry)

Stachys ocymastrum (L .) Briq . : Méditerranée, Bayonne Tamarix africana Poiret : Corse

Elymus arenarius Hochst . : Manche

Lolium parabolicae Sennen ex Sampaio : Finistère Centaurium capitatum Melderis (= C . umbellatum ssp.

capitatum) : Manche, Finistère Euphorbia peplis L.

Viola curtisii E . Forst . ( = V. tricolor L . ssp . curtisii (Forst .) Syme) : Manche

J . TIMBAL

Laboratoire de Sylviculture et d'Écologie de la Pinède landaise.

CENTRE DE RECHERCHES FORESTIÈRES (INRA) Domaine de l'Hermitage

FIERAOTON 33610CESTAS

BIBLIOGRAPHIE

BARBERO (M .) et al . — Répartition et écologie de Quercus cerris et de Q . crenata (= Q . pseudosuber) dans les Alpes maritimes et ligures . Bulletin de la Société botanique de France, n° 119, 1972, pp. 121-126.

CAMEL (J .P .) . — Note brève sur une station spontanée de Pin mugho (Pinus mughus Scop) ou de Pin pumilio (Pinus pumilio Haenke) en forêt de Tende (Alpes maritimes) . Revue forestière française, t . XIX, n° 6, 1967, pp . 409-412.

CLAUSTRES (G .), LEMOINE (C .) . — Connaître et reconnaître la flore et la végétation des côtes Manche-atlantique.

Rennes : Ouest-France Ed ., 1980.

LAVERNE (X .) . — La station de Pinus mughus Scop . ou de Pinus pumilio Haenke de Saint-Martin de Vésubie (Alpes maritimes) . Revue forestière française, t . XIX, n° 6, 1967, pp . 413-415.

TUTIN (T .G .), HEYWOOD (V .H .) et al . — Flora europaea . — Cambridge, 1964 à 1980 . — 5 volumes.

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