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INOUBLIABLES VACANCES

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INOUBLIABLES

VACANCES

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JEAN-MARC SÉVIL

ILLUSTRATIONS DE RENÉ PÉRON

I N O U B L I A B L E S VACANCES

BIBLIOTHÈQUE ROUGE ET OR

ÉDITIONS G. P., 80, RUE SAINT-LAZARE, PARIS -ge

Copyrigh 1955 by Editions G. P. Paris

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P R I N T E D IN FRANCE

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PROLOGUE

J E n'avais que dix-sept ans et quelques mois quand se déroula le procès où Françoise et moi étions les principaux témoins à charge. Je croyais donc avoir oublié depuis longtemps le regard que me lança l'homme redoutable que nous venions de faire condamner à vingt ans de réclusion. Et voici qu'aujourd'hui ce regard réapparaît, s'impose à ma mémoire, me poursuit de sa signification impla- cable, pleine de haine, plus éloquente que les paroles les plus menaçantes : « Prends

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garde à toi! Quoi qu'il arrive, je te retrouverai. Tu n'es qu'un petit homme présomptueux. Tu crois cette affaire finie; elle ne fait que commencer. »

Hélas! c était donc vrai, c'est vrai! Mais nous étions si jeunes alors que, notre cauchemar terminé, nous l'avons laissé s'estomper dans les brumes du souvenir pour ne nous rappeler que le côté féerique et irréel de faits pourtant vécus. Le passé renaît, le drame se répète, presque pareil dans ses prémices. Les événements qui ont ensan- glanté le monde pendant six ans, cette guerre qui me sépara si longuement de Françoise, le bonheur retrouvé avec elle et avec la paix, la succession des jours heureux, tout ce qui composa enfin vingt ans de notre existence, tout cela semble aboli.

J'ai peur. Je me retrouve dans l'état d'esprit qui fut le nôtre, lorsque nous avions seize ans et que nous fûmes involontairement entraînés, Françoise et moi, dans l'incroyable aventure qui marqua si fortement notre adolescence. En voici les prolongements, la suite imprévisible, à laquelle nous ne pouvions songer raisonnablement : notre fils — car j'ai épousé Françoise en 1940 — notre fils a disparu il y a trois jours d'une façon qui rappelle étrangement notre propre disparition il y a une vingtaine d'années.

Seulement notre fils n'est qu'un enfant de dix ans, alors que nous en avions l'un et l'autre plus de seize. Nous étions poussés par un esprit d'aventure et une curiosité que, bien entendu, ne manifestait pas encore le petit Qominique. Cette disparition ne peut être qu'un enlèvement. Malgré toutes les raisons que je me donne et que je donne à Françoise pour tenter de nous rassurer et de garder quelque espoir, je suis assailli par les plus sinistres pressentiments. Le regard d'Andréas Semzô brille à mes yeux du même redoutable éclat qu en cette fin d'après-midi de décembre 1936, dans la salle des Assises où nous pensions assister à l'épilogue de l'aventure survenue dix- huit mois plus tôt à deux adolescents trop imaginatifs, trop roma- nesques et surtout trop curieux.

A la lumière des découvertes des dix dernières années, depuis que

le monde est entré dans 1'« ère atomique », certains faits qui parais-

saient incroyables à l'époque se sont dépouillés de leur mystère. Et

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il est bien évident que Françoise et moi n'avions été que les jouets du hasard. Je crains aujourd'hui, et c'est ce qui augmente mon angoisse, que le hasard d'autrefois ne porte un autre nom qui est celui, bien plus affreux, de vengeance.

Pour la troisième fois en moins de quarante-huit heures, le Juge Fédéral Kneidel nous recevait, ma femme et moi. C'était un homme d'une quarantaine d'années, au beau visage ouvert et aux yeux vifs.

Nous sentions en lui non seulement l'intense volonté de mener à bien ce qu'il considérait comme un devoir de sa charge, mais aussi une compassion et une sympathie certaine pour les parents crucifiés que nous étions. Nous avions déjà fait au siège de la police zurichoise et à lui-même un récit minutieux des événements, du moins de ce que nous en connaissions, car un mystère épais en entourait les circonstances principales. M. Kneidel se faisait répéter aujourd'hui certains détails et m'interrogeait encore :

— Vous êtes sûrs de la gouvernante de votre fils?

— Parfaitement sûrs ! Nous connaissons sa famille, qui est anglaise, depuis toujours. Miss Joyce est chez nous depuis un an, à la fois pour enseigner sa langue natale à nos enfants et pour se perfectionner en français. C'est une jeune fille d' une moralité irréprochable, nièce d'un de mes meilleurs amis, John Ballister. En fait, bien plus qu'une gouvernante, elle est pour nous tous une amie et pour ma femme une jeune compagne. Elle aime beaucoup nos deux enfants, et plus particulièrement peut-être Dominique, dont elle appréciait la vivacité d'esprit et le sens déjà éveillé de l'humour.

— A votre avis, votre fils a disparu alors qu'il devait se trouver sur la route qui mène de votre villa de Sommerveig au village de Landsberg, soit à l'aller, soit au retour?

— Je le pense par déduction. Miss Joyce avait été envoyée à Landsberg pour y faire quelques emplettes; Dominique l'apprenant quelques minutes plus tard a voulu la rejoindre. C'est une prome- nade qu'il fait seul quotidiennement, à pied ou à bicyclette. Nous

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l'avons donc laissé aller en toute quiétude. Il faut environ une dizaine de minutes de marche pour se rendre de chez nous au village. Il était six heures quand mon fils est parti ; je travaillais alors dans mon bureau, fenêtres ouvertes sur le jardin, où ma femme lisait. Nous échangions de temps en temps quelques paroles. Vers sept heures un quart, je suis descendu la retrouver. Elle m'a demandé l'heure

et a manifesté sa surprise en apprenant que Dominique n'était pas encore rentré. Miss Joyce, qui ne l'avait pas rencontré à Landsberg, était déjà revenue depuis longtemps. Nous avons encore attendu un moment. Puis, gagné par l'inquiétude, je suis allé jusqu'au village.

J'y ai interrogé deux ou trois commerçants qui pouvaient avoir reçu la visite de mon fils. Ni le libraire- marchand de journaux, ni le pâtis- sier, m notre vieil ami Suter qui vend des articles de sport ne l'avaient vu. Dominique étant féru de photographie depuis qu'on lui a offert un appareil pour son anniversaire, j'ai poussé jusque chez le photo-

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graphe. Mais sa boutique était fermée et il ne semblait y avoir per- sonne dans son chalet, au-dessus du magasin, car j'ai sonné plusieurs fois sans obtenir de réponse.

— Puis vous êtes retourné chez vous?

— Oui, en espérant que Dominique y serait revenu entre temps par un autre chemin, sans doute celui qui longe le lac et qui est particulièrement agréable au soleil couchant. Mais mon fils n'était pas encore là...

— Vous êtes ensuite reparti pour Landsberg avec Mme Dromard et Miss Joyce. Vous avez suivi le chemin de la corniche en criant le nom de votre fils à intervalles rapprochés et en scrutant le bord de l'eau, car l'idée d'un accident vous obsédait. Vous n'avez rien aperçu de suspect et vous êtes arrivé à Landsberg un peu après huit heures. Tout de suite, vous avez prévenu les autorités, la gen- darmerie, le pasteur Hofedl, qui est une vieille connaissance et qui a été particulièrement ému, car il se souvenait de votre aventure personnelle vingt ans plus tôt. Moins d'une heure après, toute la police du canton était au courant et les recherches commençaient.

A Landsberg même, une troupe d'une vingtaine d'hommes, sous votre direction, explorait les bois, la campagne, les rives les plus voisines du lac. Vous avez battu les environs très tard dans la nuit, malgré l'obscurité. Sans résultat! Vous êtes rentré chez vous avec Mme Dromard quand l'aube pointait. C'est alors que vous vous êtes souvenus tous deux de cette affaire Semzô, dans laquelle vous aviez joué autrefois un rôle de premier plan ?

— Exactement.

— Vous n'aviez plus jamais entendu parler de cet homme?

— Non, jamais.

— C'était le seul ennemi que vous vous connaissiez?

— Oui.

— Pensiez-vous quelquefois à lui, à cette attitude de défi qu'il affecta après sa condamnation et que vous aviez remarquée? Vous arrivait-il de parler de lui?

— Très rarement. Près de vingt ans se sont écoulés depuis notre

aventure. Tant d'événements ont secoué le monde et même nos

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existences personnelles, que peu à peu cette histoire de jeunesse, si importante qu'elle eût été pour nous à cette époque, s'est estompée dans notre mémoire. Nous nous étions retrouvés, ma femme et moi, à la fin de 1944, après plusieurs années d'une séparation survenue au lendemain même de notre mariage, en 1940. J'avais fait la guerre en Tunisie, en Italie. J'avais vu beaucoup souffrir et mourir autour de moi, et ce qui s'était passé avant les hostilités s'éloignait de moi pour faire place à des images plus affreuses et plus dramatiques...

Je me tus. En effet, depuis 1945 nous menions une existence calme et familiale. Dominique était né. Cinq ans plus tard, ce devait être Catherine. Mon métier d'architecte m'absorbait beaucoup; mais je pouvais, au moins pendant les mois d'été, organiser ma vie à notre gré. Aussi avions-nous repris l'habitude, comme autrefois, du temps de notre jeunesse, de venir passer cinq ou six semaines à Sommerveig.

J'y avais vendu la maison de ma grand-mère, morte en 1942, mais ma femme y avait conservé la sienne, beaucoup plus vaste, qui est la nôtre aujourd'hui. Il nous arrivait bien quelquefois d'évoquer l'aventure de l'Ile, mais sans inquiétude, comme quelque chose qui se serait passé sur une autre planète et dans un autre temps.

Le Juge regardait fixement ses mains posées à plat sur son bureau et semblait réfléchir profondément. Par les grandes baies qui éclai- raient son bureau, la belle lumière de juillet entrait, adoucie et tamisée par des stores verts. On entendait monter la rumeur de la ville en un murmure assourdi. Tout, alentour, respirait le calme, la paix, la douceur de vivre, et cette joie semblait intolérable à nos cœurs angoissés. Françoise essayait de me sourire, mais je voyais ses traits tirés et ses yeux meurtris pleins de désespoir.

M. Kneidel releva la tête :

— Je ne vous cacherai pas mon opinion, dit-il. T o u t me porte à croire qu'il y a une relation directe, malgré le laps de temps écoulé, entre votre affaire de 1936 et le mystère d'aujourd'hui.

— C'est bien ce qui m'inquiète, murmurai-je.

— L'Interpol est alerté et a déjà entrepris ses recherches, pour- suivit le magistrat. Il s'agit d'abord de retrouver les traces de ce Semzô qui s'est évadé de chez nous en 1943, en pleine guerre, sans

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Vous avez crié le nom de votre fils en suivant la corniche.

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que l'on sache comment. Oui, quel homme mystérieux! Voilà bientôt douze ans de cela. Évidemment, il y a peu de chance qu'il soit resté en Suisse. Y est-il revenu? Sous quelle identité? Autant de questions auxquelles on s'efforce de trouver une réponse. T o u t le désigne logiquement comme l'auteur de ce nouveau forfait. Mais comment s'y est-il pris? A-t-il des complices, et de quels moyens diaboliques ont-ils pu se servir? Pas de traces, pas d'indices à Zoune, à Sommer- veig, à Landsberg, à Zurich! Pas un seul étranger non identifié dans la région, dans aucun des villages voisins et des stations environ- nantes! Pas d'automobile suspecte, inconnue ou disparue le soir, le nuit ou le lendemain de l'enlèvement de votre fils. Le même climat secret qu'autrefois, pour vous-mêmes... J'ai rouvert le dossier de 1936, je l'ai relu, étudié, mais sans beaucoup de profit, car le temps écoulé semble avoir émoussé tout l'intérêt de ces documents. Ce que j'aimerais avoir, c'est un récit de votre séjour dans le souterrain de l'Ile, une analyse du comportement de SemzÕ à votre égard. Mal- heureusement, le temps nous presse et ce serait trop vous demander que d'évoquer ces souvenirs déjà lointains avec toute la précision désirable.

Françoise se redressa soudain.

— Je possède, monsieur le Juge, dit-elle, un manuscrit de 1937 tout entier de la main de mon mari. Nous n'étions alors l'un et l'autre que de jeunes étudiants, et pour revivre la grande aventure des années précédentes, nous avions décidé d'en écrire chacun de notre côté la relation exacte. Mais j'étais paresseuse et je n'ai jamais beaucoup avancé dans ma rédaction. Par contre, Philippe a été jusqu'au bout. Un jour, il m'a donné à lire la sienne. Je ne la lui ai jamais rendue et l'ai conservée comme un souvenir sacré. Ce n'est pas sans un certain serrement de cœur que je communiquerai ce récit à une tierce personne; mais il est à votre disposition. Je vous l'apporterai demain, ce soir même si vous le désirez, en souhaitant du fond du cœur qu'il vous éclaire.

Au tremblement de sa voix, je compris à quel point Françoise était bouleversée : elle avait plus de mémoire et de fidélité de cœur que moi. L 'Ile du Chevalier, l'île où nous avions pourtant failli

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mourir, était demeurée dans son souvenir comme une contrée idéale en marge de l'espace et du temps. L'Ile, le mot magique qui avait enchanté notre jeunesse, restait pour elle l'image la plus parfaite du bonheur; elle représentait l'isolement, la rupture avec l'existence quotidienne.

M. Kneidel avait écouté attentivement ma femme.

— Madame, dit-il avec une grande douceur, apportez-moi dès ce soir le manuscrit dont vous me parlez, et soyez sans crainte : il ne sortira pas de mon bureau. D'ailleurs ce n'est pas l'homme, mais le juge d'instruction qui en prendra connaissance.

Quant à moi, j'avais totalement oublié l'existence de ce manuscrit.

Je ne me souvenais plus très bien de ce que j'avais pu y noter en dehors des faits et des détails de notre aventure.

— Je ne crois pas que vous commettrez d'indiscrétion, dis-je au magistrat. Il est exact que j'avais écrit ce récit pour nous deux seulement. C'était un peu un journal, une espèce de rapport, mais pas le moins du monde un roman.

— Tant mieux! me répondit M. Kneidel. Je veux en effet le lire et l'étudier comme on étudie un rapport, un document impersonnel.

Je tournai la tête vers Françoise : elle semblait déjà regretter son offre. Moi aussi. Mais il fallait tout tenter pour retrouver Dominique.

Cela seul comptait, et non de cacher ces secrets qui nous étaient si chers, le souvenir de l'Ile, tout l'enthousiasme, tout l'enchantement de notre jeunesse.

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PREMIÈRE PARTIE

LE MANUSCRIT DE PHILIPPE

Chapitre 1 LE PARADIS

DE NOS JEUNES ANNÉES

J E m'appelle Philippe Dromard, je suis parisien et j'ai maintenant plus de dix-sept ans. Je suis depuis quelques mois élève de 1 re année, section archi- tecture, à l'École des Beaux-Arts. Mon père est ingénieur et dirige des fabriques • de pâte à papier aux environs de Grenoble.

Plusieurs fois par an, il s'absente longue-

ment pour ses affaires, qui nécessitent sa

présence aux États-Unis et dans les pays

scandinaves. Il ne fait donc que de courts

séjours à Paris, où j'ai toujours habité

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et où j'habite chez ma grand-mère maternelle, Mme Lambresse.

Je n'ai pas connu ma mère, qui est morte en me donnant le jour.

Mon père qui l'adorait en a éprouvé un chagrin qui s'est à peine atténué avec le temps. Il travaille énormément, il est toujours pressé, et, même quand il vient à Paris, je ne le vois que fort peu. Il a pour ma grand-mère une très grande vénération qu'il lui manifeste de façon un peu cérémonieuse. Il est vrai que grand-mère est une dame qui en impose à tous. Elle est veuve d'un diplomate qui a eu son heure de célébrité dans les premières années du siècle. Avec lui, elle a été <( en poste » un peu partout en Europe et à travers le monde. Elle a maintenant les cheveux blancs comme neige, mais elle reste très droite et très élégante.

Je crois que dans son for intérieur elle souhaitait que j'embrasse une autre carrière que celle que je viens de choisir, une carrière plus brillante : la diplomatie, par exemple. Mais, justement parce qu'elle est autoritaire, parce qu'elle n'aime pas qu'on l'ennuie ou qu'on se mêle de ses affaires, elle sait respecter la liberté et les décisions d'autrui.

J'ai eu au collège, au cours de mes études, quelques bons cama- rades, mais à vrai dire jamais d'amis. J'ai été quelquefois chez eux.

Ils sont venus à la maison. Puis ces relations extra-scolaires se sont dénouées d'elles-mêmes, assez vite.

— En somme, me dit parfois grand-mère, tu es encore insociable.

T o n seul ami, c'est Françoise...

— Ma foi, oui! grand-mère.

— Après tout, tu n'as peut-être pas tort. Françoise est un être assez rare.

Françoise, je l'ai toujours connue. Elle n'a que quelques mois de moins que moi. Elle est ma sœur, mon amie, ma confidente. Nous n'avons pas dû avoir l'un pour l'autre beaucoup de pensées cachées depuis que nous sommes nés. Elle vient d'entrer au Conservatoire, dans la classe de piano de Mme Long. Et c'est à cause d 'elle, pour elle, que j'entreprends d'écrire ce récit, de faire revivre dans ses détails la fabuleuse histoire à laquelle nous fûmes mêlés de si près,

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Ce livre, I N O U B L I A B L E S

V A C A N C E S de J . - M . SÉVIL illustré par R. Péron est le quatre-vingt onzième de la

BIBLIOTHÈQUE ROUGE ET OR

Il a été achevé d'imprimer pour les EDITIONS G.P. A PARIS

en Août 1955 sur les presses de

« LA PHOTOLITH » . Photogravure S.T.O.

C.O.L. : 11.0282 Dépôt légal n° 437

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