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JE NE VAIS PAS ME GÊNER

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Academic year: 2022

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JE NE VAIS PAS ME GÊNER

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Du MÊME AUTEUR

Rien à cirer, Calmann-Lévy, 1992.

Le Tout Bon de Laurent Ruquier, Michel Lafon, 1995.

Rien à cirer les 5 ans, Michel Lafon, 1996.

Le Mois par moi, Michel Lafon, 1997.

Le Mois par moi 98, Michel Lafon, 1998.

Gueules d'euro, L'Archipel, 1998.

Il faut savoir changer de certitudes, Plon, 1999.

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LAURENT RUQUIER

JE NE VAIS PAS ME GÊNER

PLON

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© Plon, 2000.

ISBN : 2-259-19063-4

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Préface

DIEU N'AIME PAS LA CONCURRENCE Paris, janvier 2000

En tant que survivant du 11 août dernier, jour où la station Mir devait nous tomber sur la tête, je suis heureux de vous retrouver en cet an 2000, année de la réincarnation de Paco Rabanne en homme invisible.

Puisque vous semblez fidèle à notre rendez-vous annuel, vous voilà donc avec dans vos mains (ou celles greffées par le Pr Dubernard) le nouveau recueil des diffé- rents textes que j'ai pu écrire pour la scène ou la radio, tout au long de feu cette année 1999, que nous considérerons comme la dernière du siècle, ne serait-ce que pour emmerder les astronomes et historiens qui s'époumonent à m'expliquer que le

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XXI siècle ne commencera que le 1 janvier prochain, comme dans tous les pays qui ont adopté le calendrier grégorien et chez tous les cons qui, comme moi, ont ouvert leur porte au calendrier des Postes.

Si le précédent florilège, que m'sieur et m'dame Plon avaient déjà bien voulu publier, s'intitulait Il faut savoir changer de certitudes, les auditeurs de France-Inter qui ont eu la gentillesse de savoir changer de fréquence pour me suivre sur Europe 1 auront compris que Je ne vais pas me gêner, titre de ce livre, s'inspire plus directement de l'émission que j'ai la chance d'animer depuis septembre chaque après-midi entre 16 h 30 et 18 heures.

Pourtant, la majeure partie des commen- taires que m'a inspirés l'actualité ont été écrits plutôt (et même plus tôt) pour mon intervention matinale de 8 h 45.

A ce propos, ayant, la saison passée, changé non seulement de certitudes, de radio, de chaîne TV, mais aussi d'adresse, il m'arrive souvent, à l'heure à laquelle je pars pour aller découvrir les journaux qui m'attendent dès 5 h 30, rue François-I de croiser, sortant de chez Castel ou du Queen, ceux qui, respectueux des horaires du show

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biz, vont se coucher au moment où, moi, je commence à travailler !

Même si c'est amusant de les voir sortir de discothèque juste avant que j'arrive à Europe 1 pour les mettre en boîte, je dois avouer que je me surprends à rêver pouvoir faire comme eux, et je me dis que je ne serai sûrement un artiste que le jour où je ferai moi aussi une grasse matinée journa- lière, n'acceptant aucun job avant 14 h 30.

La lecture quotidienne et matinale des journaux, tout comme la phase d'écri- ture qui suit, sont deux exercices que je m'impose depuis maintenant une décennie, discipline et contrainte sans lesquelles je n'aurais certainement pas pu alimenter spectacles ou rubriques radiophoniques avec un renouvellement qui, immodeste- ment, m'épate parfois moi-même.

J'ai longtemps pensé que l'information était un éternel recommencement, mais je m'aperçois que, au contraire, chaque année, les événements, la conjoncture ou les circonstances m'offrent sans cesse une source inépuisable et inattendue de sujets propices à la satire, voire à la révolte.

De la naissance de l'euro à la marée noire de l'Erika, en passant par l'effondrement du FN, les 35 heures, la valse chinoise de Bernadette, le vote du Pacs, l'éclipse du

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11 août, la médiatisation de José Bové ou la démission de Boris Eltsine... je n'ai qu'à me baisser pour remplir mon filet à dérision.

L'obligation de faire rire ou sourire les auditeurs au quotidien implique forcément que certains jours soient moins fructueux que d'autres, et je suis bien conscient qu'écrire « en Angleterre, il n'y a plus qu'en football que Lebœuf est bon » en pleine guerre de la vache folle, ou même surnommer Phi- lippe de Villiers « Le Puits du fuel » en pleine marée noire ne me fera pas passer à la pos- térité.

« C'est pas grand-chose, mais ça détend », ai-je même coutume de dire pour ce genre de blagues à deux francs qu'il faut être le premier à dire avant que les autres n'aient la même idée.

Je suis évidemment plus fier de moi quand (même si je suis favorable à la déci- sion de Mme Ségolène Royal) la distribu- tion de la pilule du lendemain dans les lycées me fait imaginer ce dialogue entre deux adolescents :

« On fait l'amour, ce soir ?

— Impossible, je n' ai pas école demain... » La plus belle des récompenses, c'est quand vous entendez dans un restaurant,

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dans un taxi ou dans la bouche du député André Santini (qui pompe souvent les humoristes sans jamais les citer) la vanne, la formule ou l'aphorisme que vous avez inventés le matin même.

« Les footballeurs de l'OM jouent tellement mal en ce moment que le patron d'Adidas est prêt à les payer pour qu 'ils portent des Nike » fera ainsi le tour de quelques stades ;

« Sarkozy, c'est le leader de la liste Pêche, Nature et Trahison » aura fait le tour des bancs de l'Assemblée nationale ; « J'ai fait un cauchemar, j'étais enfermé dans la même cellule que Jacques Crozemarie, l'abbé Cottard et Maurice Pap on... et moi, j'étais juif, scout et je fumais trois paquets de cigarettes par jour » aura fait jubiler les amateurs d'humour noir.

Je ne doute pas que des phrases comme

« Le seul mot de japonais que je connaisse, c'est autocar» ou « La fête de la Musique, c'est une fête pour ceux qui ne foutent rien le lende- main matin » résisteront mieux au temps que « Chevènement ne veut pas faire la conver- sion en euros parce qu'il a peur de ne pas se réveiller après l'opération ». Mais ma préfé- rence va nettement à l'humour provoc, quitte à me fâcher avec une partie des abonnés du Figaro quand, le matin de

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l'enterrement d'Alain Peyrefitte, j'an- nonce au micro que « ses deux grandes oreilles qui dépassaient toujours auront permis de ne pas dépenser d'argent en poignées pour le cercueil ». J'avais alors sûrement le senti- ment de venger toute une génération de journalistes brimée par celui qui fut le ministre de l'Information du général de Gaulle.

On me demande régulièrement d'où me vient ce goût pour l'humour noir ou méchant ; je réponds alors souvent en pro- nonçant le nom de quelqu'un que je consi- dère comme un de mes maîtres, le peu reconnu Pierre Doris. Quand d'autres amu- seurs de ma génération citent plus volon- tiers Coluche, Pierre Desprosges ou Les Nuls, je déstabilise souvent mon interlocu- teur qui me regarde alors avec des yeux ronds, me classant d'emblée dans la catégo- rie des ringards. Voilà donc qui mérite une explication.

Je devais avoir quatorze ans quand, au Havre, à la faveur d'un déménagement familial (nous quittions l'HLM de ma nais- sance pour une maison de la ville haute), je découvris entreposé dans la nouvelle cave un vieux bouquin imprimé en 1961 (deux ans avant ma naissance !) : Pierre Doris,

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histoires méchantes, éditions Raoul Solar, illus- tré par un certain Eden.

J'ignore encore qui dans ma famille avait bien pu acheter un jour ce livre et le refer- mer aussi vite au point qu'il dorme dans un carton, mais ces deux cents pages-là allaient transformer mon existence.

J'avais déjà compris depuis le CM2 (époque à laquelle je tentais de repro- duire les imitations de Thierry Le Luron dans la cour de récréation) que, n'étant ni riche, ni beau, ni costaud, le pouvoir de faire rire les autres pouvait me faire accep- ter dans le camp des plus forts. J'améliorai alors mes performances quand, au lycée, profitant des interclasses, je m'attri- buais les histoires de Pierre Doris en adap- tant à ma propre famille les histoires que celui-ci avait inventées à propos de la sienne.

Grâce à lui, j'avais alors un certain succès auprès des quelques copains d'école qui voulaient bien m'écouter raconter :

« À la maison, on mange à la carte. C'est celui qui tire l'as de trèfle qui mange ! »

« Maman, j'aime pas mon petit frère.

— Mange ce qu 'on te donne ! »

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« L'année dernière, pour son Noël, j'ai offert une chaise à ma grand-mère. Cette année, je la fais électrifier ! »

« Laurent, ne mets pas tes doigts dans les yeux de ta petite sœur, sinon je ferme le cercueil. »

Inutile de vous dire que je n'avais pas de petite sœur (la mienne est mon aînée et toujours vivante !), que j'adorais ma grand- mère et que mes parents nourrissaient très bien leurs cinq enfants ; mais, avec ces blagues-là, je faisais rire !

Cela n'a hélas pas toujours été le cas de Pierre Doris, réputé dans le milieu des caba- rets parisiens (c'était déjà raconté dans la préface du fameux bouquin et il me l'a confirmé lui-même depuis) pour se taper des bides mémorables devant des assem- blées qui le traitaient d'« ordure », « fauteur de troubles » ou « suppôt de Satan ».

Celui que la presse de l'époque appelait

« le Frankenstein du rire » ou « le Dracula de l'humour » expliquait déjà très bien que

« ce n'est pas en caressant la société qu'on l'aide à grandir, qu'on lui permet de s'éle- ver. C'est plutôt en dénonçant ses travers ; en lui mettant le nez dans ses saletés... La flatterie est corruptrice ! ».

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Lors d'un passage à l'Olympia, retransmis sur Europe 1, Doris raconta une histoire dont un aveugle était la victime. Dès le len- demain il reçut une lettre de la présidence de la Ligue des aveugles de France qui lui annonçait : « Monsieur, vous êtes un abomi- nable personnage. Tous les aveugles dont je m'occupe viendront désormais vous huer à chaque représentation. » Doris, très embêté, prit sa plume et expédia la lettre suivante

« Si vous venez avec vos aveugles, je ferai un numéro visuel ! »

Aujourd'hui, quand, à la fin de mes spec- tacles ou d'une émission, je vois un aveugle ou une personne dans un fauteuil roulant quitter la salle, heureux d'avoir ri pendant deux heures, malgré les conneries que je peux dire sur certains handicaps, j'ai tou- jours une pensée pour Pierrot Doris qui fut un précurseur, bien avant Coluche et les autres.

Il y a peu de temps, j'eus même la sur- prise de lire dans des textes de Pierre Desprosges publiés par sa veuve sous le titre Fonds de tiroir que celui-ci, encore étudiant, allait claquer tout son argent de poche à

« entraîner nuitamment des connes lettrées à " L'Échelle de Jacob " ou au " Port du Salut " ou à la " Galerie 55 " pour se subju-

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guer les neurones à sarcasmes sous l'éclat ravageur des horreurs salubres que Pierre Doris rugissait en rafales »...

Hommage soit donc rendu à ce papa commun qui, heureusement, vit encore et que j'ose à peine déranger, une fois par an, pour la nouvelle année, de peur d'entendre trop de gentillesses, à l'autre bout du combiné...

Allez, une dernière de celui que mon ami Dadzu appelait « Dodo » :

« Coluche est mort ; c 'était les restos du cœur.

« Balavoine est mort ; c 'était les pompes au Sahel.

« ... Dieu n'aime pas la concurrence ! » PS : après avoir refermé ce livre, laissez-le dans un carton ou une cave ; s'il pouvait encourager une seule vocation, j'en serais déjà très heureux.

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Janvier

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Pourquoi Jean-Pierre Chevènement ne veut-il pas convertir les prix en euro ? Il a peur de ne pas se réveiller après l'opération.

Après les élections régionales en Rhône- Alpes :

« Papa, c'est quoi un milloniste ?

— C'est Charles Millon. »

Le seul intérêt du procès Clinton, c'est que c'est un procès où on ne verra pas M Collard...

En ce moment, on a d'un côté la gauche plurielle et de l'autre la droite qui s'accorde avec le complément d'objet direct à condi- tion qu'il soit placé avant, sauf s'il est du féminin singulier à la troisième personne du premier groupe à moins qu'il soit irrégu- lier...

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La promo pour Clavier-Depardieu dans Astérix, on se demande s'il y a un seul village français qui va pouvoir y résister !

Il y a trois ans seulement, disparaissait François Mitterrand... Attention, on peut encore trouver des petits !

Roland Dumas en pèlerinage à Jarnac : ça va le changer, de voir des charentaises...

Une coupe du Monde de foot tous les deux ans : c'est un truc à nous tuer Thierry Roland pour surmenage intellectuel !

Une femme en tête du Dakar, pendant quelques jours : ça y est, elles vont devenir aussi cons que les hommes !

Dans la notice de la pilule du lendemain, à « effets secondaires », « risques de gros- sesse » est écrit en tout petit...

Dominique Strauss-Kahn a invité à déjeuner tous ceux qui ont contribué à faire l'euro... Bizarre, j'ai voté oui pour Maastricht et je n'ai pas reçu de carton...

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Johnny Hallyday en toréro dans un film homo : « C'était pour montrer que je suis au taureau sexuel... »

Il paraît que si on paye tous nos PV pour mauvais stationnement, il y aura moins de morts sur les routes... C'est bien une théorie de ministre communiste, ça...

Quand on pense que, pour lutter contre la délinquance, la révolution mentale de la gauche est passée par le coma de Jean- Pierre Chevènement !

Pour se faire pardonner, Patrick Timsitt a demandé au P-DG de Virgin d'organiser un tour du monde de Mongols-Fiers...

Après la révélation d'un fils caché, Clinton aurait déclaré : «Je ne vais quand même pas me laisser emmerder par un enfant d'putain ! »

Tu y crois, toi, à cette histoire de Mazarin Clinton ?

Plamondon et Cocciante auraient fait preuve de plus d'imagination s'ils avaient écrit une comédie musicale intitulée

« Palais des Congrès » qui se jouerait à Notre-Dame de Paris !

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Pour qu'on comprenne l'euro, ils ont bien fait de voter le Pacs : on peut toujours essayer d'épouser Jean-Pierre Gaillard...

Trois ans pour passer à l'euro ! Soit ça veut dire que ça va être très compliqué, soit ils nous prennent pour des cons...

Les filles de Jean-Marie Le Pen sont comme la prunelle de ses yeux : il y en a une qui s'est barrée...

Si le Front national se sépare en deux, il va falloir deux fois plus d'étrangers en France pour pouvoir satisfaire les deux partis.

« La ville de Poiris est candidate à l'orga- nisationnement des JO olympiques en deux milles huîtres »... C'est Xavière Tiberi qui gère le dossier.

Valentin Montand à la une de Paris Match : c'est dingue ce qu'il ressemble à sa sœur !

Une photographie publiée dans Le Monde, montrant Lionel Jospin assis dans un fauteuil de l'Elysée, fait scandale... Et encore, quand on va apprendre que c'est Chirac qui a fait cette photo !

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Avec sa plume acide, ses petites phrases assassines, ses réactions à chaud sur l'actualité et ses portraits vachards ou tendres, Laurent Ruquier nous est devenu indispensable.

Ce livre n'est pas uniquement un recueil des reparties qui surgissent spontanément au cours d'une émission. Il rassemble pour l'essentiel des aphorismes tantôt naïfs, tantôt cyniques, écrits bien souvent avant la prise d'antenne, textes et chroniques sur l'air du temps. Si vous n'avez pas le loisir de l'écouter tous les matins sur Europe 1 ni de le retrouver sur les écrans de Canal +, son dernier livre vous sera d'un précieux secours.

- J'ai fait un cauchemar atroce : j'étais enfermé dans la même pièce que Maurice Papon, Jacques Crozemarie et l'abbé Cottard... Et moi, j'étais juif, scout et je fumais trois paquets de cigarettes par jour.

- Si Chirac était le premier sur le lieu des inondations, c'est parce qu'il confond vitesse et précipitations. Lionel Jospin y est allé plus tard pour faire quelques déclarations de sinistre.

- Jospin, c'est Fort-de-France et Chirac, c'est plutôt Pointe-à-Pitre.

- L'arrivée de la pilule du lendemain dans les infirmeries scolaires va donner ce genre de dialogue entre les jeunes : « Dis donc, on fait l'amour ? - Impossible, j'ai pas école demain. »

- Quand les pétroliers se plient en deux, les Bretons se tiennent les côtes.

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