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.es Gfeller

b e r n e

Les consulats suisses à l'étranger-reyurveni' re journal.

Troisième année. — N° 28. *$gm&i Samedi 6 avril 1889.

P r i x d u n u m é r o IO c e n t i m e s _ ^fâ^'/Bffij^iffèk--- y B u r e a u x : R u e d e l ' U n i o n , 2

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O r g a n e «le 1» S o c i é t é i n t e r c a n t o n a l e d e s i n d u s t r i e s d u J u r a , d e s C h a m b r e s d e c o m m e r c e , d e s B u r e a u x d e c o n t r ô l e e t d e s S y n d i c a t s i n d u s t r i e l s .

Nous recevons, d'un fabricant d'hor- logerie, la correspondance suivante :

Monsieur le Rédacteur de la Fédération horlogère, Bienne,

La Fédération horlogère ayant toujours donné accès aux différentes opinions rela- tives aux actes des syndicats industriels, nous venons vous prier d'accorder l'hospi- talité à la présente correspondance ayant trait à l'augmentation intempestive selon moi, faite par les syndicats des fabricants de galonné et des monteurs de boîtes qui, sous prétexte de relèvement de notre industrie, satisfont tout simplement leurs appétits par- ticuliers au détriment des autres parties de l'horlogerie.

Nous applaudissons de tout cœur à l'orga- nisation des syndicats, à la répression des gâcheurs; c'est avec plaisir que nous avons vu l'entente s'établir entre les fournisseurs de pendants et galonné et les monteurs de boîtes pour le travail réciproque entre syn-

diqués. Nous applaudissons encore davan- tage aux mesures prises pour la réglemen- tation du crédit, mais nous considérons l'augmentation de prix faite par les syndicats sus-nommés comme nuisible et injuste.

Comme rien n'est concluant comme les chiffres, nous donnerons un petit exemple de l'augmentation que ces Messieurs appellent insensible : 6 boîtes — l'auteur de la corres- pondance donne une désignation du genre, de la grandeur et du poids, que nous ne

•croyons pas utile de reproduire, envisageant que les prix et tarifs de doivent pas être puliés (rédaction) — coûtaient, ancien tarif, avec les anneaux, fr. 28. 50.

Aujourd'hui, les mêmes boites coulent fr.

31. 65, différence fr. 3. 45. L'augmentation sur les couronnes et pendants, etc., est à l'avenant; on ne peut nier que leur part des fruits du relèvement de l'industrie ne soit un peu forte.

Il est un fait reconnu ; c'est que pendant ces temps de marasme à l'état latent où l'offre dépasse constamment la demande, il est ab- solument impossible de provoquer la plus petite augmentation sur les produits de notre industrie. D'un autre côté, il est notoire que les bénéfices des fabricants sont déjà trop minimes pour qu'ils puissent être encore ré- duits ; qui donc alors payera la diftérence et nous sortira de cette impasse ? Inévitablement

les autres parties qui, n'ayant pas les ressour- ces de MM. les gros syndiqués, supporteront fatalement le contre-coup de cette hausse faite par cette catégorie de producteurs qui ne se portaient pas trop mal auparavant.

Voilà les résultats certains de l'égoïsme de MM. les fabricants de pendants et monteurs de boites; pour la satisfaction de leurs inté- rêts il y aura un surplus d'écrasement des faibles, des déshérités de notre industrie qui ne sont que trop nombreux.

Si les deux syndicats précités avaient fait partie de la Fédération horlogère, et que le cas fût soumis au préalable au comité central, qui est le régulateur des intérêts industriels, il est certain que cette hausse n'aurait pas obtenu de sanction; car si chaque syndicat réclamait une part pareille du gâteau réno- vateur, les montres subiraient une augmen- tation de 300 %, chose impossible.')

Quand on parle de relèvement d'une indus- trie, on entend spécialement procurer des ressources meilleures au plus grand nombre, aux ouvriers, mais non pas procurer un sur- croît de revenus à des gens qui ne se portent que très bien au point de vue financier. Et puis, les ouvriers travaillant sur les pendants, couronnes, etc., auront-ils un sou du produit de cette hausse payée en définitive par toutes les autres parties '?

L'organisation industrielle devrait se bor- ner à maintenir les prix, à les unifier, à régle- menter le crédit, à faire une guerre d'obs- truction aux gâcheurs, mais d'augmentation point, car ceux qui réussissent, arrachent un morceau de pain de la bouche des déshérités.

Plus tard, au sein d'une organisation com- plète, le relèvement des prix pourrait être tenté, mais bien des parties réduites à un

• état misérable passeraient avant MM. les gros vendeurs de métaux précieux. A. D.

Nous laissons aux deux syndicats incriminés, le soin de répondre, en ce qui les concerne, aux critiques de notre correspondant, notamment à ce qui a rapport au taux des augmentations de prix qu'on leur impute. Mais nous croyons devoir, en nous plaçant à un point de

*) Nous ferons remarquer que l'augmentation indiquée

n'est pas même de U<v Réd.

vue général, relever certaines apprécia- tions qui nous paraissent manquer de justesse et qui ont été écrites — cela nous semble du moins ainsi— sous une impression fâcheuse, qu'un peu de ré- flexion dissipera.

Et tout d'abord, la situation des chefs d'atelier monteurs de boîtes argent et des fabricants de galonné est-elle aussi brillante que le dépeint notre corres- pondant? En d'autres termes, ces deux branches d'industrie seraient-elles les seules qui n'aient pas souffert du sys- tème de concurrence à outrance qui a fait, jusqu'ici, règle dans notre industrie, et de la crise que nous subissons depuis plusieurs années?

Nous voudrions le croire, mais les faits sont là qui nous prouvent le con- traire. D'ailleurs, s'il en était ainsi, les chefs de ces deux industries n'auraient nullement éprouvé le besoin de se syn- diquer; ceci nous semble péremptoire.

Ge point étant acquis, nous allons mettre le doigt sur la plaie.

Nous reconnaissons, avec notre cor- respondant, que la position actuelle des fabricants d'horlogerie n'a rien d'enviable.

En effet, les divers syndicats patronaux, constitués à ce jour — fabriques d'ébau- ches, monteurs de boîtes argent, fabri- cants de pendants et galonné, et bientôt, espérons-le, monteurs de boîtes or — ont pris de très sages mesures pour régle- menter le crédit en le réduisant, et pour unifier, sinon pour relever les prix de vente de leurs produits.

D'un autre côté, les ouvriers s'opposent de tout leur pouvoir à de nouvelles baisses et ont inscrit dans leur programme, qu'il fallait plutôt hausser les prix bas au niveau des prix moyens.

Le fabricant d'horlogerie est ainsi placé

entre le marteau et l'enclume, on ne

saurait le contester; et, si l'on ajoute à

(2)

138 LA FEDERATION HORLG3EHE SUISSE ces deux faits, celui de la baisse continue

des prix de vente sur les marchés étran- gers, on reconnaîtra, avec nous, qu'il y a bien de quoi inspirer quelque mauvaise humeur à ceux qu'atteignent les mesures prises par les deux syndicats incriminés.

Mais à qui la faute ?

Il faut avoir le courage et la sincérité de le reconnaître; le faute en est tout entière aux fabricants d'horlogerie, dont la majorité assiste impassible à la for- mation des syndicats, quitte à crier bien fort, lorsque ces syndicats prennent les mesures pour l'application desquelles ils se sont formés.

Le raisonnement qui consiste à dire aux syndicats existants : attendez que nous soyons syndiqués nous-mêmes, pour appliquer votre programme, nous paraît manquer de justesse.

Ceux qui savent combien il faut dé- penser d'efforts pour réaliser le groupe- ment solidaire des intéressés à l'une de nos branches d'industrie, comprendront qu'on ne peut pas raisonnablement de- mander à un syndicat organisé, de rester l'arme au bras jusqu'à ce qu'il ait plu à la catégorie de patrons avec laquelle il est en rapport d'affaires, de se grouper à son tour.

Les syndicats, formés dans un but déterminé, cherchent à réaliser ce but aussitôt qu'ils en ont la force; c'est logi- que et l'inaction serait leur mort.

Reste Ia question de savoir si les me- sures prises ne dépassent jamais le but;

dans le cas particulier, nous laisserons aux deux syndicats en cause le soin de répondre ; mais nous avons de très bon- nes raisons de croire que les mesures prises n'ont rien d'excessif, et qu'un re- lèvement des prix s'impose aussi bien là qu'il ne s'impose ailleurs, tout en re- connaissant qu'il s'impose plus impérieu- sement encore dans d'autres branches de l'horlogerie.

Les nouveaux tarifs comportent — ils réellement une hausse pareille à celle signalée? La réponse sera donnée par qui de droit.

Ortes, ces questions de tarifs et de prix gagneraient beaucoup à être discu- tées par les deux parties, c'est-à-dire par ceux qui produisent et par ceux qui achètent, et le Comité central de la Fédé- ration horlogère, qui sera bientôt formé de représentants des divers syndicats in- dustriels, sera le terrain neutre où toutes ces questions pourront se débattre et être résolues d'un commun accord et sans que l'une des parties puisse se considérer comme étant lésée par l'autre.

Mais, dans l'état actuel des choses, avec qui veut-on que l'on discute, lors- qu'il s'agit de mesures de la nature de celles incriminées

1

?

Par qui les fabricants d'horlogerie sont- ils représentés ?

Où sont leurs organes?

Par quel intermédiaire peuvent-ils faire entendre leur voix?

Ce qui manque aux fabricants d'hor- logerie, c'est le Syndicat des fabricants d'horlogerie, qui, une fois constitué", aura des organes réguliers, avec lesquels les organes des autres syndicats pourront discuter, pour les appliquer d'un commun accord, et non pour les imposer indivi- duellement à chaque fabricant, les me- sures dont notre correspondant se plaint aujourd'hui.

Alors, les fabricants n'en seront plus réduits à chercher à rattraper sur certai- nes parties, et par conséquent sur le gain déjà trop minime de l'ouvrier, les sacrifi- ces qu'on leur impose par le relèvement des tarifs.

Aujourd'hui, placés dans l'alternative de diminuer leurs prix de production ou d'augmenter leurs prix de vente, ils se heurtent, en ce qui concerne le premier point, à la résistance légitime des ou- vriers, et la concurrence qu'ils se font entre eux sur les marchés étrangers les empêche de réaliser le second.

On ne peut être plus complètement entre le marteau et l'enclume ; le seul moyen, pour les fabricants d'horlogerie, de sortir de cette position gênante, est de s'unir dans une vaste organisation syndi- cale, qui leur donnera la force, non pas de résister aux efforts qui sont tentés pour unifier et relever les prix dans une mesure qui ne compromette pas notre suprématie sur les marchés étrangers, mais bien de relever à leur tour les prix de vente des montres, dont la marche descendante est tout à la fois l'une des causes et l'un des résultats de notre malaise.

Et si les mesures prises par les deux syndicats mis en cause par notre corres- pondant pouvaient contribuer à cet heu- reux résultat, il y aurait lieu de les félici- ter de les avoir prises.

NOUVELLFS DIVERSES

IJOÏ f é d é r a l e . — La loi fédérale sur les poursuites pour dettes et la faillite a été adoptée au Conseil national par 91 voix con- tre 39.

K r a c h de» m é t a u x . — La série conti- nue. Diverses maisons de Bâle y ont été prises : l'Union de la Banque baloise y est pour fr. 250,000, Speyr & Cie. pour francs 550,000, Dreyfuss pour fr. 25,000 et la Roche fils pour fr. 20,000.

— La maison de banque Hentsch & Cie. à Genève, fait savoir en réponse à un ren- seignement inexact tiré du V'aterland, qu'elle ne possède aucune action de la société des métaux, ni de la société auxiliaire, ensorte qu'elle n'a aucun intérêt dans toute cette affaire des métaux.

D e l é m o n t . — On dit que la fabrique d'horlogerie sera incessamment mise en vente.

T r a i t é d e c o m m e r c e . — Le Sénat [a approuvé le traité de commerce italo-suisse par assis et levés, après des recommandations du rapporteur, M. Rossi, et du comte de Sambuy, afin qu'il soit stipulé qu'il y aura une entente avec la Suisse pour la répression de la contrebande.

M. Crispi espère qu'on y parviendra malgré les difficultés. Le ministre du commerce dit que la Suisse ne s'y est plus refusée comme autrefois, mais qu'elle a promis de traiter la question.

P é a g e s . — Pendant le mois de mars, les recettes des péages se sont élevées à 2,264,561 fr. (2,361,634 fr. en 1888). Les recettes du 1e r trimestre de 1889 se montent à 5,960,465 fr. (5,963,945 fr. en 1888).

A s s u r a n c e d e s o u v r i è r e . — Le Reiehs- tag, continuant la discussion sur l'assurance de la vieillesse, est arrivé au paragraphe 7, qui contient une des dispositions essentielles du projet. Après un débat assez long, il a adopté la proposition de la commission fixant à 70 ans la limite d'âge à partir de laquelle l'ouvrier a droit à une pension. La propo- sition des conservateurs et des progressistes tendant à abaisser cette limite à 65 ans a été repoussée, ainsi que la proposition des socia- listes de la fixer à 60 ans.

M. de Bôtticher a chaudement défendu les propositions de la commission.

E m i g r a t i o n . Le mouvement d'émigra- tion par le port du Havre a pris en 188S un nouvel élan, spécialement pour La Plata ; le nombre des émigrants s'est élevé à 38,525, dont 692 pour 1 • Brésil; 326 pour le Canada;

12,274 pour la Confédération argentine; 46 pour les Etats-Unis de Colombie; 24,877 pour les Etats-Unis du Nord; 310 pour l'Uruguay. Le commissaire d'émigration n'a pas pu, comme précédemment, me donner la destination des 8285 Suisses compris dans le total ci-dessus. En 1887, nous n'avions eu que 30,220 émigrants, dont 7040 Suisses, ce qui nous donne pour 1888 une augmentation de 8305 émigrants et pour les Suisses de 1245.

(Extrait du rapport de M. Wanner, consul suisse au Havre, sur l'année 1888.)

G r a i s s a g e d e s m a c h i n e s . —On graisse toutes sortes de métaux dans les machines avec toutes les sortes d'huiles connues, mi- nérales, végétales, animales et avec leurs mé- langes, chaque industriel a sa formule et surtout son fournisseur, et la confiance règne dans le résultat à obtenir. Il est pourtant bon, soit que l'on se voue au pétrole, à 1»

graisse ou à l'huile, de le faire en partant de quelques données expérimentales sur les dif- férents effets que produisent ces lubrifiants sur tel ou tel métal. Voici quelques bases :

Le laiton n'est pas attaqué par l'huile de colza ; l'huile de phoque l'attaque légèrement et l'huile d'olive violemment. Les huiles minérales sont sensiblement sans action sur le cuivre, mais l'huile de spermaceti et le suif le détériorent.

Le fer, à peine attaqué par l'huile de phoque, est aussi détérioré par le suif.

Le plomb est très faiblement attaqué par l'huile d'olive, mais le saindoux et l'huile de spermaceti l'attaquent.

L'étain résiste parfaitement à l'huile de colza, mais il résiste mal à l'huile d'olive et encore plus mal à l'huile de coton, avec laquelle on falsifie souvent l'huile d'olive, même pour la consommation.

Aucune huile minérale ne parait attaquer le zinc; mais le saindeux et l'huile de sper- maceti ont une grande action sur lui.

Comme conclusion générale, les huiles minérales ont véritablement peu d'action sur les métaux, dont l'ennemi principal est

l'huile de spermaceti.

(Applic. électriques.)

(3)

LA FÉDÉRATION HORLOGÈRE SUISSE

139

G r t t t l i . — Le comité central de la Fédé- ration du Griitli vaudois a décidé d'envoyer une circulaire aux sections, pour les engager à rejeter les propositions de revision de la Constitution fédérale soumise en ce moment à une votation dans toutes les sections de la Suisse.

Iii» f o r t u n e d e l a F r a n c e : La fortune de la France, immobilière et mobilière, en capital, est de '203 milliards, chiffre de 1886.

Sa fortune immobilière, en capital, 120 milliards ; en revenus, chiffre de 1884, 2 mil-

liards 581,592,203 fr.

Sa fortune mobilière, en capital, 80 mil- liards; en revenus, 6à8milliards. Le revenu total de la France est de 16 milliards 191 millions.

Ii» p o p u l a t i o n d e s Ktatβ-L'nie. — D'après les derniers rapports officiels, la population des Etats-Unis monte actuelle- ment à 61,702,000 aînés.

Le mouvement ascensionnel n'a pas une marche régulière : il dépend dans une forte mesure de la force du courant d'émigration de l'Europe.

C'est entre 1860 et 1870 que la vague d'émigration a commencé à atteindre ses niveaux maxima : sept millions de nouveaux venus s'ajoutèrent pendant cette décade à la population indigène.

Dans les dix années qui suivirent — 1870 à 1880 — au lieu de sept millions d'émigrants, on en compte douze, et dans les dix années qni tirent à leur fin 1880 a 1890, tout fait prévoir qu'on arrivera aux vingt millions.

Voilà donc les étrangers qui arrivent en Amérique deux fois plus nombreux qu'il y a vingt ans, où ils affluaient déjà par million

annuellement. On comprend que dans ces conditions, les Etats-Unis marchent à pas de

géant vers le chiffre de cent millions qui ne sera encore pour eux qu'une étape vers d'autres chiffres autrement gigantesques.

PROCÉDÉS D'ATELIER

Choisir un spiral et régler à la vibration.

Je choisis d'abord un spiral d'un numéro convenant à la grandeur de la montre et, comme diamètre, au cours de la raquette ; puis, pour m'assurer s'il est bien de force, je roule entre mes doigts un peu de cire en torn e de boule, mais un peu plus petite que la virole, je la place au centre du spiral, je la presse un peu pourque les lames pénètrent dans la cire, puis j'enfonce le pivot du balan- cier au centre de la petite boule, — le spiral se lient très plat et semble être placé à la virole — ensuite, je prends le spiral par sa lame extérieure avec des brucelles très fines, et je fais vibrer le balancier à côté de celui d'une montre bien réglée, ou, ce qui est bien plus commode, à côté d'un balancier monté sur une plaque et réglé à 18,000 vibrations.

Si mon balancier va plus vite que celui qui me sert de régulateur, je donne un peu plus de spiral; si, au contraire, il accuse du re- tard, j'en retire un peu, c'est-à-dire je déplace mes brucelles, je le saisis plus en avant ou plus en arrière, suivant le cas, et dès que je suis parvenu à faire vibrer les deux balan- ciers à une égale vitesse, je fais une marque à l'endroit où il est saisi par les brucelles, je le dégarnis au centre et le place à la virole et ensuite au piton ; je le centre avec pré- caution en plaçant une lame dans la clé de la raquette et je le mets en place sur le cylin- dre. Cette opération n'est ni longue ni diffi- cile à faire. Tout horloger un peu habile peut facilement poser un spiral et régler avec

précision la marche de la montre sans être obligé d'enlever plusieurs fois le coq et le spiral du cylindre, ce qui fait perdre du temps, et le temps c'est de l'argent.

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