LES ENFANTS ET LA PROBLÉMATIQUE HOMOSEXUELLE AU CANADA

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Requête pour une session informative spéciale avec la participation des experts sur le lobby homosexuel trompeur et sur les risques à la santé des enfants reliés au mode de vie homosexuel

Septembre 2003

Présenté au

Comité des droits de l’enfant de l’ONU

Par

Pierre Pariseau

En collaboration avec REAL Women of Canada Box 8813, Station “T”

Ottawa, Ontario K1G 3J1 Canada

(613) 236-4001

LES ENFANTS ET LA PROBLÉMATIQUE HOMOSEXUELLE AU CANADA

Réponses aux questions soulevées lors de la présession des ONG

canadiennes le 10 juin 2003

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Table des matières

Q1 Quel niveau d’influence ont les opposants du lobby homosexuel

Au Canada?………... 1

La Convention devant les tribunaux du Canada ………..…….. 2

Q2 L’homosexualité est-elle enseignée comme étant une condition irréversible dans les écoles? ………..………… 2

Q3 La fidélité est-elle aussi importante pour les homosexuels qu’elle l’est pour les hétérosexuels? ………. 2

Q4 Les recherches ont-elles démontré que l’homoparentalité peut être nuisible au bien-être des enfants? ………. 3

Q5 Les parents de même sexe sont-ils plus enclins à influencer l’orientation sexuelle de leurs enfants? ………. 3

Q6 Les hommes homosexuels sont-ils plus enclins à abuser sexuellement des enfants que les hommes hétérosexuels? ………. ……… 4

Autres questions et réponses. ………. ………… 5

Le Canada et la Convention ……….………. 6

Précisions à la Convention ……… 6

Notes et références ……….. 7

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CDEONU

LES ENFANTS ET LA PROBLÉMATIQUE HOMOSEXUELLE AU CANADA

La problématique homosexuelle qui concerne les enfants au Canada est complexe. À cause d’un manque de temps manifeste, elle ne fut pas expliquée adéquatement par l’auteur lors de la présession des ONG canadiennes du 10 juin 2003.

Le présent document est un complément au document Protéger les enfants des campagnes homosexuelles trompeuses au Canada reçu par le Comité à la fin avril. L’objectif est de fournir des réponses aux questions soulevées lors de la discussion de présession. Pour une compréhension complète de ces questions, les membres du Comité sont à nouveau priés de consulter les grands experts internationaux capables d’expliquer en profondeur les études qui contredisent les prétentions douteuses du lobby homosexuel auxquelles les enfants et leurs parents sont incités à croire et à défendre.

Q1 Quel niveau d’influence ont les opposants du lobby homosexuel au Canada?

Dans les médias

Jusqu'à tout récemment très peu en comparaison de celui du puissant lobby lui-même. Bien qu’une vaste majorité de Canadiens veuillent vivre dans une société qui accepte les homosexuels, la plupart des Canadiens s’opposent à l’adoption d’enfants par les homosexuels et à la récente redéfinition du mariage imposé par quelques juges de cours provinciales. De même, la plupart des Canadiens sont en désaccord avec la présence d’activistes homosexuels dans les écoles. Cependant, la crainte d’être traités d’homophobes ou de rétrogrades hétérosexistes réduit au silence les ens eignants, les parents, les politiciens et à peu près tous ceux qui questionnent les hypothèses des leaders homosexuels et les études invalides utilisées pour convaincre les enfants.

La voix des opposants est rarement entendue car les médias sont généralement en accord avec le progamme du lobby homosexuel. Une proportion élevée des professionnels médias sont eux - mêmes homosexuels. Alors que des événements relativement banaux de la communauté homosexuelle sont couverts avec détails, le communiqué de presse informant de la discussion à la présession du 10 juin et du manque de respect de la Convention par les gouvernements du Québec et du Canada a été ignoré par tous les journaux et réseaux de radios et télévisons.

De plus, les homosexuels qui dénoncent ou sont en désaccord avec le lobby homosexuel sont très peu connus. Ceux de l’organisation HOPE (Homosexuals Opposed to Pride Extremism) sont souvent ignorés des médias.

Un débat honnête ne peut être tenu au Canada parce que les Canadiens ne reçoivent pas une information équilibrée sur la réalité homosexuelle. Les graves problèmes de santé associés au mode vie homosexuel reconnus dans les revues et journaux homosexuels tels que TO BE ou Capital Xtra et plusieurs autres demeurent largement inconnus de la population, la plupart des politiciens et aussi malheureusement de la jeunesse.¹

Les écoliers se font encore dire que l’homosexualité est une alternative saine avec aucune conséquence négative. Ils ne sont pas informés de l’espérance de vie sérieusement écourtée reliée mode de vie gaie. Les adolescents ignorent que les relations de pénétrations anales répétées sont reliées à des cancers spécifiques et à de nombreuses maladies parasitiques et bactériennes transmises sexuellement. Ils ne sont pas au courant de la forte recrudescence du taux de transmission du VIH et récemment de la syphilis chez les hommes homosexuels. On ne leur dit pas que les homosexuels mâles comptent pour 80% des victimes du Sida au Canada et que leur risque d’un cancer anal est énormément plus élevé.

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Les enfants et la problém atique homosexuelle au Canada

Par Pierre Pariseau en Collaboration avec REAL Women of Canada

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La Convention devant les tribunaux du Canada

Le Barreau du Québec fut, en vain, à maintes reprises demandé de recommander un avocat capable, devant les tribunaux, de s’appuyer sur la Convention pour contester l’activisme homosexuel dans les écoles primaires. L’auteur de ce document fut informé par des avocats, non impressionnés par le lobby, que de demander plus de respect pour la Convention devant les tribunaux serait excessivement laborieux et coûteux. Un plaignant devrait faire entendre les experts internationaux qui peuvent contredire le mythe du gène homosexuel. Ainsi une telle tentative de forcer les gouvernements du Québec et du Canada à respecter la Convention a été reportée.

Q2 L’homosexualité est-elle enseignée comme étant une conditi on irréversible dans les écoles?

Oui. Des copies du dépliant distribué aux écoliers du Québec ont été laissées pour consultation au Secretariat du CDE le 10 juin. Il est énoncé que l’homosexualité est comme la couleur de la peau. Elle ne peut être changée pour 10% des enfants.²

Les activistes homosexuels sont autorisés à donner des témoignages de leur style de vie dans les écoles primaires. La Commission scolaire de Montréal, en collaboration avec le Ministère de la santé du Québec et divers groupes gais, distribue un ‘’Coffret d’intervention’’ pour les activistes homosexuels et autres intervenants auprès des jeunes.³ Cette boîte à outils contient un guide pédagogique, des vidéos, du matériel de lecture et une liste de ressources sur l’orientation sexuelle pour utilisation dans les écoles primaires, secondaires et autres organisations en rapport avec la jeunesse. (L’une de ces boîtes sera probablement disponible bientôt au Secrétariat).

Aucune information n’est donnée à propos des ex -homosexuels ou des risques à la santé spécifiques de l’orientation sexuelle. Rien n’est offert sur les opinions d’experts capables d’aider les homosexuels ou bisexuels qui souhaitent éviter ou quitter le mode de vie homosexuel.

Q3 La fidélité est-elle aussi importante pour le s homosexuels qu’elle l’est pour les hétérosexuels?

Malheureusement non. Même un bref aperçu de l‘opinion des auteurs et chroniqueurs gais sur le sujet suffit.⁴ La proportion des homosexuels qui estime que la fidélité est une valeur importante est plus ou moins à l’opposé de la proportion des hétérosexuels sur la question. Des études de divers pays démontrent qu’il est courant pour l’homosexuel mâle d’avoir plusieurs centaines de partenaires sexuels dans sa vie.⁵ Étonnamment, une étude australienne récente démontre que les femmes qui se considèrent lesbiennes ont un nombre médian de partenaires mâles double de celui des femmes exclusivement hétérosexuelles.⁶

Nombre de clubs et saunas gais au Canada sont reconnus pour leur niveau alarmant de promiscuité sexuelle illégale. Rien de semblable n’existe pour les hétérosexuels. Presque tous les couples homosexuels mâles sont ouverts aux relations hors couples. ⁷

Q4 Les recherches ont-elles démontré que l’homoparentalité peut être nuisible au bien-être des enfants?

Oui. Même si le phénomène est relativement nouveau, des études sont disponibles sur ce point critique.

Selon un document du Professeur Bradley P.Hayton il y a de serieuses inquiétudes à propos du mode de vie homosexuel sur les enfants. Hayton note que :

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Les homosexuels… offrent un pauvre modèle du mariage aux enfants. Ceux-ci apprennent par l’exemple et par la conviction que les relations conjugales sont transitoires et surtout de nature sexuelles. Elles sont premièrement pour le plaisir au lieu d’être pour la procréation. Les enfants apprennent que la monogamie dans le mariage n’est pas la norme et qu’elle devrait être découragée si de bonnes relations conjugales sont souhaitées. ⁸

La raison pour laquelle l’homoparentalité est nuisible au bien-être des enfants repose sur plusieurs facteurs:

• Un taux de violence plus élevé dans les relations de couples homosexuels et de lesbiennes - Une étude publiée dans le Journal of Interpersonnal Violence examine les conflits et la violence dans les relations de lesbiennes. Les chercheurs ont trouvé que 90% des lesbiennes sondées ont été la cible d’au moins un acte d’agression verbale par leur partenaire durant l’année précédant cette étude alors que 31% ont indiqué au moins un incident d’agression physique⁹. Ceci est confirmé par plusieurs autres études.¹⁰ Selon les auteurs homosexuels de Men Who Beat The Men Who Love Them la violence conjugale accable la moitié de tous les couples gais. ¹¹ Les crimes violents contre les homosexuels sont, à très grande majorité, commis par des homosexuels eux - mêmes et ne sont donc pas des crimes haineux. Selon la première revue gaie américaine The Advocate, 75% de ses lecteurs s’adonnent à des pratiques sexuelles violentes, 20% au sadisme et 55% à l’utilisation d’objets douloureux.¹²

• Une plus grande fréquence de problèmes de santé mentale chez les homosexuels et lesbiennes.¹³ Ceci inclut les problèmes d’abus de stupéfiants, ¹⁴et un plus grand risque de suicide.¹⁵ L’homophobie, souvent dénoncée comme étant le facteur principal relié au taux élevé de suicide des jeunes gais, reste secondaire à la prostitution, la famille désunie, l'agression sexuelle en bas âge, les peines d'amour et l'étiquetage prématuré de l'orientation. ¹⁶

• Une espérance de vie sérieusement écourtée pour les hommes homosexuels – une étude publiée dans l’International Journal of Epidemology sur le taux de mortalité des homosexuels énonce que:

Dans une grande ville Canadienne, l’espérance de vie pour un bisexuel ou homosexuel à l’age de 20 ans est réduite de 8 à 20 ans comparée à celles de tous les hommes. Si la tendance se maintient, nous estimons que près de la moitié des gais et bisexuels n’atteindront pas l’âge de soixante-cinq ans. Même selon les hypothèses les plus larges, les hommes gais et bisexuels de ce grand centre ont une espérance de vie semblable à celle des hommes vivant en l’année 1871 au Canada.¹⁷

Q5 Les parents de même sexe sont-ils plus enclins à influencer l’orientation sexuelle de leurs enfants?

Oui. Les enfants élevés dans des familles homoparentales sont plus portés à devenir homosexuels. Une étude publiée dans Archives of Sexual Behavior, affirme que:

…Des différences statistiquement importantes existent entre les enfants élevés par des parents homosexuels et ceux de parents hétérosexuels. Par exemple, les enfants d’homosexuels sont plus encouragés par leurs parents à adopter un comportement du sexe opposé et à se vêtir ou à jouer le rôle de l’autre sexe.¹⁸

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D’autres problèmes sont reliés à l’homoparentalité :

• Un plus grand risque de relations sexuelles avec les parents.¹⁹

À ce sujet, les résultats de diverses études furent confirmés dans une étude publiée dans l’American Sociological Review.²⁰

De même, selon le Dr Judith Reisman – conférencière, en demande de par le monde, spécialiste sur les études scientifiques sexuelles frauduleuses et sur le pouvoir des médias de modifier les comportements humains – le mouvement homosexuel est intentionnellement engagé dans des campagnes pour influencer les enfants et

‘’concevoir’’ de nouveaux homosexuels.²¹ Des activistes homosexuels américains en encouragent d’autres à courtiser et souhaiter la bienvenue aux adolescents dans la culture et le monde homosexuel. Au début des années 80, Reiseman fut l’une des premières scientifiques à démontrer que l’étude de Kinsey (1948), reconnues internationalement, était une supercherie et son estimation que 10% des hommes sont homosexuels était grossièrement exagérée. Bien qu’acclamé par beaucoup d’activistes homosexuels comme leur héros et le libérateur sexuel des Etats-Unis, Reiseman a démontré que l’homme, était un agresseur d’enfants.

• Un plus grand risque de problèmes psychologiques.²²

Aussi, la grande majorité des études américaines, constamment évoquées par les activistes homosexuels, qui énoncent que les parents de même sexe sont équivalents aux parents de sexe opposé sont statistiquement invalides.²³ Certains parents de même sexe peuvent sans aucun doute offrir une famille davantage chaleureuse que certains couples hétérosexuels négligents mais évi demment, les parents homosexuels ne sont pas tous aussi compétents que le prétendent les activistes.

Q6 Les hommes homosexuels sont-ils plus enclins à abuser sexuellement des enfants que les hommes hétérosexuels?

En nombre absolu non. En proportion oui, beaucoup plus.

Selon des études américaines, les faits démontrent que les hommes homosexuels agressent les garçons et les adolescents à des taux complètement disproportionnés aux taux d’agressions de filles par les hommes hétérosexuels.²⁴ Selon une étude, l’agresseur homosexuel compte environ 7 fois plus de victimes que l’agresseur hétérosexuel.²⁵ Lorsqu’il y a agression sexuelle d’enfants les hommes sont presque toujours les auteurs. Près du tiers ou plus des cas d’abus sexuels sont commis sur des garçons mais moins de 3% de la population est homosexuelle. De même, selon une étude publiée dans Adolescence 29% des enfants adultes de parents homosexuels furent l’objet d’abus sexuel par un parent comparé à 0,6% des enfants adultes de parents hétérosexuels.²⁶

Selon l’American Journal of Diseases of Children et The Advocate près de 60 % des adolescents souffrant du Sida ont été infectés par des adultes bisexuels ou homosexuels.²⁷ Des milliers de ces garçons américains sont maintenant morts. Il en est probablement de même pour les autres pays occidentaux comme le Canada où beaucoup de garçons en fugue se prostituent auprès des hommes.

Même si la pédophilie est condamnée par la plupart des homosexuels elle est défendue par de nombreux leaders activistes homosexuels en Amérique du Nord. Ceux-ci font pression pour une diminution de l’âge de consentement pour les relations sexuelles. NAMBLA (North American Man

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Boy Love Association) qui se proclame être un groupe d’homosexuels prétend que la pédophilie est bénéfique pour les garçons impliqués. Le sexe inter -génération (euphémisme pour pédérastie) demeure un fait omniprésent de la littérature homosexuelle, du cinéma homosexuel, du voyage homosexuel ainsi que de la prostitution homosexuelle.²⁸ Dans les années 70, The Advocate publiait régulièrement une annonce pleine page d’une ‘’Poupée garçon pénétrable’’.

Dans les années 90, 21% de ses lecteurs affirmaient avoir été victimes d’agression sexuelle avant l’âge de 15 ans.²⁹

Autres questions et réponses

Plusieurs autres études existent sur la problématique expliquée ci-dessus et sur d’autres aspects qui lui sont reliés.³⁰ Bien que rarement entendus dans les grands médias occidentaux, plusieurs experts peuvent expliquer la réalité du mode de vie homosexuel, les conséquences sur la santé de la minorité sexuelle et les véritables objectifs du lobby homosexuel.

Le Comité est de nouveau prié de voir à une session spéciale sur ces questions et d’inviter certains de ces experts comme le Dr Satinover ou le Dr Dean Byrd de NARTH, le Dr Judith Reiseman Directrice de Institute for Media Education, et le Dr Charles W. Socarides professeur de psychiatrie à l’ Albert Einstein School of Medicine. NARTH, une association internationale de psychiatres et psychologues s’est vivement opposée au récent symposium de l’American Psychiatric Association (APA) et aux publications dans lesquelles était discuté le retrait de la pédophilie de la liste des désordres mentaux. Certains activistes homosexuels qui insistent sur ce retrait à l’APA et opinent dans l’Archive of Sexual Behavior, utilisent le même raisonnement qu’ils ont utilisé pour retirer l’homosexualité de la même liste il y a 30 ans.³¹ À cet égard, le Dr Sptizer avait joué un rôle décisif à l’APA pour retirer l’homosexualité de la liste des désordres ayant besoin de traitement. Actuel Directeur de Biometrics Research et Professeur de psychiatrie l’Université Columbia à New York il affimait à l’APA lors de sa récente étude (2001) que:

Contrairement à l’opinion communément admise, des individus hautement motivés

…peuvent, selon plusieurs indicateurs d’orientation sexuelle, changer substantiellement et en arriver à bon fonctionnemment hétérosexuel.

L’objectif d’un débat informatif n’est pas de dénigrer d’une façon ou d’une autre les homosexuels comme individus. Ils ont un droit absolu au respect, à l’intimité et à la liberté d’un style de vie.

Cependant, plusieurs, lorsque encore enfants, se sont vus renier le droit à une information juste à propos des conséquences sur l’adhésion au mode de vie homosexuel. Le bien-être de ceux prématurément ou de façon érronée étiquetés d’homosexuels fut donc gravement, voire criminellement, négligé.

Un débat demeure pour nous tous une occasion d’être mieux informés pour s’assurer que les enfants et adolescents actuels se voient offrir une vision équilibrée de l’homosexualité et que les nourrissons se voient garantir la meilleure des chances aux parents les mieux capables d’adhérer à l’esprit et aux articles de la Convention relative aux droits de l’enfance et de la Déclaration de droits de l’homme. En écoutant les experts en marketing tels que Rondeau l’auteur de Selling Homosexuality to America, nous pouvons mieux comprendre pourquoi les perceptions de l’occident sur l’homosexualité ont radicalement changé depuis une décennie ou deux.³² Des programmes, élaborés et exécutés avec soin, utilisant les meilleurs outils de marketing, de relations publiques et de lobbying ont été, avec brio, utilisés par les activistes afin de masquer les côtés désagréables et malsains de l’homosexualité. Les opposants au lobby homosexuel sont encore vilipendés et perçus comme des ignorants dépassés. Un lien est même établi entre les chercheurs concernés par les problèmes de santé et les pires racistes. Leurs conclusions politically incorrect sont méconnues et la poursuite des recherches dans le domaine est entravée.

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Les générations plus jeunes sont incitées à croire à une belle image d’un style de vie branché et désirable. La réalité est totalement différente. Les enfants ont un droit fondamental d’en être protégés.

Le Canada et la Convention

Comme il le fut dans une lettre du 13 mai 2002, le Comité est à nouveau incité de convaincre le Canada de respecter les articles de 2, 3, 17, 18, 20, 21, et 29 de la Convention sur ces questions spécifiques. En encourageant les activistes homosexuels à témoigner dans les écoles en utilisant des études invalides ou des dépliants, posters et vidéos biaisés et en n’enseignant pas aux enfants des faits primordiaux sur l’homosexualité, le Canada met leur vie en grave danger.³³ En n’assurant pas aux enfants la meilleure chance au type de famille que nous avions ou que nous préférerions, le gouvernement est injuste et négligent envers eux.

Précisions à la Convention

L’homoparentalité n’était pas une question à débattre lors de la rédaction de la Convention.

Rappelons -nous que ce document primordial de l’ONU n’existerait pas si la question y avait été incluse; la plupart des pays auraient refusé de le ratifier.

Suite à un débat ouvert et honnête sur l’homosexualité lors d’une session spéciale, la Convention devrait être modifiée et énoncer clairement que les enfants ont droit à un père et une mère et qu’ils ont aussi le droit indéniable de ne pas être influencés par les adultes de diverses minorités sexuelles qui agissent en fonction de leurs objectifs personnels au lieu de voir à l’intérêt supérieur des enfants.

Pierre Pariseau en collaboration avec REAL Women of Canada.

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7 Notes et références :

1 Capital Xtra, September 27 2002-- TO BE, March 2003-- The American Public Health Association magazine, June 2003, Vol.93, No 6: Health Risks http://corporateresourcecouncil.org/white_papers/Health_Risks.pdf

2 Ça ne s’attrape pas,Gai Écoute. http:// www gai-écoute.qc.ca

3 Coffret pour une nouvelle vision de l’homosexualité://www.santepub-mtl.qc.ca/jeunesse/intervention/pdf/coffretvision.pdf

4 Gay City News, New -York, Jan 31, 2003: “The founder of Q Syndicate David Bianco bids goodbye to sex with men,’’

http:// www.gaycitynews.com McWhirter, David Dr. and Mattison, Andrew Dr., The Male Couple, Prentice-Hall, 1984 Poppert, Ken, President and Director, Pink Triangle Press, Editor, Capital Xtra Nov. 9, 2001 and Globe and Mail, June 27, 1992; Kirby, Gareth, Managing Editor Xtra West, Sept. 6, 2001

5 Bell, A.P., Weinberg, M.S. and Hammersmith, S.K., (1981) Sexual Preference, Indiana University Press, Bloomington, Indiana, pp. 308-309; Bell, A.P. Weinberg, and M.S., Homosexuality: A Study of Diversity Among Men and Women, (1978), Simon and Schuster, New York, pp. 308-309; Stewart, Sally Ann, “AIDS Aftermath: Fewer Sex Partners Among Gay Men,” USA Today, November 21, 1984; Van de Ven, Paul et al., “A Comparative Demographic and Sexual Profile of Older Homosexually Active Men,” Journal of Sex Research 34 (1997): 354; Pollack, M.,”Male Homosexuality,” Western Sexuality: Practice and Precept in Past and Present Times, ed. P. Aries and A. Bejin, translated by Anthony Forster (New York, NY: B. Blackwell, 1985), pp.40-61, cited by Joseph Nicolosi in Reparative Therapy of Male Homosexuality (Northvale, New Jersey: Jason Aronson Inc., (1991), pp.124, 125: “Sex Survey Results,” Genre, (October 1996), quoted in “Survey Finds 40 percent of Gay Men Have Had More Than 40 Sex Partners,” Lambda Report, January 1998, P. 20;

6 Feathers, Katherine and Marks, Caron, et al., (October 2000) ‘’Sexual transmitted infections and risk behaviours in women who have sex with women,’’ Sexually Transmitted Infections, 76(5): 345-349,p 347

7 Kirk, Marshall and Madsen, Hunter, (1990); After the Ball - How America will conquer it’s fear and Hatred of Gays in the 90s McWhirter, David Dr., Mattison, Andrew Dr. (supra.)

8 Hayton, Bradley P., “To Marry or Not: The Legalization of Marriage and Adoption of Homosexual Couples,” (Newport Beach: The Pacific Policy Institutes, 1993), p.9

9 Lockhart, Lettie L. at al., (1994) “Letting out the Secret: Violence in Lesbian Relationships,” Journal of Interpersonal Violence 9: 469-492

10 Lie Gwat Yong and Gentlewarrier, Sabrina, (1991) “Intimate Violence in Lesbian Relationships: Discussion of Survey Findings and Practice Implications,” Journal of Social Service Research 15: 41-59;

11 Island, D. and Letellier, P., (1991), Men Who Beat the Men Who Love Them: Battered Gay Men and Domestic Violence, (New York: Haworth Press, p.14; Insults, Hitting, Shouting, Fear; Add printed in Gay City News, New York, Jan. 31 2003, Anti Violence Project, New York 24 Hour Hotline 212-714-1141

12 Lever, Janet, “The 1994 Advocate Survey of Sexuality and Relationships: The Men Sexual Revelations,” The Advocate, Aug. 23 1994 at 21

13 Bradford, J. et al., “National Lesbian Health Care Survey: Implications for Mental Health Care,” Journal of Consulting and Clinical Psychology 62 (1994): 239, cited in Health Implications Associated with Homosexuality, p.81

14 Hall, Joanne, (1994) “Lesbians Recovering from Alcoholic Problems: An Ethnographic Study of Health Care Expectations,” Nursing Research 43: 238-244

15 Herrell R. et al., “A Co-twin Study in Adult Men,” Archives of General Psychiatry 56 (1999): 867-874; Fergusson, D. et al., “Is Sexual Orientation Related to Mental Health Problems and Suicidality in Young People?” Archives of General Psychiatry 56 (October 1999)

16 G. Remafedi, “Sexual Orientation and Youth suicide”, Journal of American Medial Association, Vol. 282, N^o 13, (Oct.

6, 1999): 1291

17 Hogg, Robert S. et al., (1997) “Modeling the Impact of HIV Disease on Mortality in Gay and Bisexual Men,”

International Journal of Epidemiology 26: 657

18 Green, Richard et al., (1986) “Lesbian Mothers and Their Children: A Comparison with Solo Parent Heterosexual Mothers and Their Children,” Archives of Sexual Behaviour 15: 167-184; Tasker and Golombok. S., Adults Raised as Children in Lesbian Families, p.213; Bailey, J.M. et al., Sexual Orientation of Adult Sons of Gay Fathers,

position.127, 128; Tasker and Golombok S., Do Parents Influence the Sexual Orientation?, p.7

19 Cameron, Paul Dr. and Cameron, Kirk Dr., “Homosexual Parents,” Adolescence 31 (1996): 772; Wyers, Norman L.,

“Homosexuality in the Family: Lesbian and Gay Spouses,” Social Work 32 (1987): 144

20 Stacey, Judith and Biblarz, Timothy J., “(How) Does the Sexual Orientation of Parents Matter,” American Sociological Review 66 (2001): 174, 179

21 Reisman, Judith Ph.D. (2002) “Crafting Bi/Homosexual,” Regent University Law Review, http://www.regent.edu/acad/schlaw/lawreview/articles/14_2Reisman.pdf

22 Hayton, Bradley P. Dr., (supra.); Stacey, Judith and Biblarz, Timothy J, (supra.)

23 Belcastro, Philip A. et al, "A Review of Data Based Studies Addressing the Affects of Homosexual Parenting on Children’s Sexual and Social Functioning," (1993) 20 Journal Divorce and Remarriage 105; Nick, Lowell Steven, Professor of Sociology, University of Virginia, in an affidavit submitted in evidence by the Attorney General of Canada in the same-sex marriage challenge, Halpern v. Canada (Attorney General) et al, (2002), O.R. (3d) (S.C.J.,Div.Crt.);

Rekers, George and Kilgus, Mark, ”Studies of Homosexual Parenting: A Critical Review,” Regent University Law Review Vol. 14:343; http://www.regent.edu/acad/schlaw/lawrev iew/articles/14_2Rekers.pdf

“No Basis: (2001),What the studies don’t tell us on same sex parenting, Marriage and Law,” Project, Ethics and Public Policy Center, [Washington], http://marriagelaw.cua.edu

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8

David Cramer, "Gay Parents and Their Children: A Review of Research and Practical Implications," Journal of Counseling and Development 64 (April 1986): 506;

24 Baldwin, Steve, “Child Molestation and the Homosexual Movement,”

http://www.regent.edu/acad/schlaw/lawreview/articles/14_2Baldwin.pdf

25 150 homosexual victims for 20 heterosexual victims per molester, Gene Abel et al., (1987). Self-reported Sex Crimes of Non incarcerated Paraphiliacs, 2 J. Interpersonnal Violence 3,5-25

26 Cameron, P. and Cameron, K., (supra.)

27 “AIDS Amongst Adolescent”, America’s Journal of Diseases of Children, October 1990; “America’s Worst Kept Secret: Aids is devastating the Nation’s Children and Gay Kids are dying by the Thousands,” The Advocate, March 4 1992, at 40-41

28 The Alyson Almanac: The Fact Book Of The Gay and Lesbian Community ( 23 rd edition); Spartagus international Gay Guide (Bruno Gmunder ed.,2001

29 The Men Sexual Revelations The Advocate Aug 23 1994

30 Site web de NARTH. http://www.narth.com; Site d’ex-homosexuels http://www .peoplecanchange.com

31Special Section: Pedophilia: Concepts and Controversy in Archives of Sexual Behaviour, vol 31 No 6, December 2002 p.465-510; APA Symposium Debates “Whether Pedophilia Gender Disorder and Sexual Sadism Should Remain Mental Illness”, NARTH Bulletin, August 2003,http://www.Narth.com

32 Rondeau, E., “Selling Homosexuality to America,” Regent University Law Review Vol. 14:442, http://www.regent.edu/acad/schlaw/lawreview/articles/14_2Rondeau.pdf

33 Santé Canada : Faire les premiers pas; http ://www.hc-sc.ca/hppb/vih_sida/jeune/premiers/index.htlm

Un site internet du ministère où l'on rappelle aux adolescents d'utiliser les lubrifiants en quantité avant une sodomie.mais pas de s’abstenir.