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Ecoles supérieures sous-régionales de gestion en Afrique

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Academic year: 2022

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(1)

Projet des Gouvernements de tous les Etats africains membres de la CEA

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,

P~~/MAN/PRODOC.1

DESCRIPTIF DE PROJET DE COOPERATION TECHNIQUE

Titre du projet :

ECOLES SUPERIEURES SOUS-REGIONALES DE GESTION EN AFRIQUE

presente 'par :

CO~~ISSION ECONOMIQUE DES NATIONS UNIES POUR L'AFRIQUE

Document de be~" :

Rapport d'une mission sur Ie terraiL sur la possibilite de creer des ecoles superieures sous-regionales de

gestion ~n Afrique

Redige par

S.O. Odede, E.O. Okafor et W. Henson

(2)

'.,

, PAMM/MAN/PROOOC.1

.'

ECOLES SUPERIEURES SOU5-REGIONALES DE GESTION EN AFRIQUE (Activites d'appui au programme de 1978/79

a

1980/81)

1. Introduction

II est generalement reCOlillU qu'une des principales contraintes due au facteur humain qui entrave les efforts de developpement des pays africains est l'insuffisance de capacites adequates pour planifier, organiser , et executer desprojets de developpement et pour contrBler l'utilisation efficace des maigres ressources disponibles. L'absence de

competences requises dans les services publics, les organismes para-stataux et les entreprises privees se manifeste trop

frequemment sous des formes telles que la repartition et

l'utilisation non-rationnelle de ressources rares, une mauvaise gestion financiere, une formation excessive de stocks, l'inca- pacite d'entretenir et de.faire fonctionner des installations conteuses et Ie peu de gont pour les entreprises industrielles autres que commerciales. Une grande partie des competences requi'Ses en fait de gestion peuvent ~tre acquises en cours d'emploi et dans Ie cadre d'une formation academique. Nombre d'institutions ont ete creees dans les Etats africains pour fournir une formation

a

la gestion, maisles efforts ,realises sont insuffisants au regard de Ia demande croissante de

competenc<! degestion dans IE ,; differents se- teurs.

De nombreux pays africains ne disposent pas d'installations de formation aux niveaux universitaire et superieur en'matiere de gestion des entreprises ou d'enseign0ment de la gestion en general, tandis que l'infrastructure'et les ressources en personnel local pour la recherche etla formation dans des domaines tres specialises de la gestion sont tout simplement inexistants. Pendant une longue peri ode encore, ces installa~

tions continueront

a'

faire defaut dans certains pays,

a

moins que cEfux-ci ne pUissent mettre en commun leurs res sources en vue de constituter des etablissements et des programmes

(3)

. :";:' .J'.

multinationaux de formation et de recherche dans le domaine de la gestion. CIest

a

cette fin et"i~n vue d' aider les

Etats africains

a

developper au moyen d'une action concertee les capacites locales de contrale et de gestion de leurs

activites economiques, notamment dans le cadre de la restruc- turation qu'impliqueront forcement les possibilites et les occasions lu nouvel ordre eco: ::>mique interna~~onal, que la Commission economique pour l'Afrique a organise au debut de cette annee une mission consultative sur Ie terrain pour determiner s'il est possible de creer des ecoles superieures sous-regionales de gestion en Afrique. Le rapport de la

mission est dispon{ble et decrit les details, les strategies, les priori tes et l"es merures

a

prendre pour creer des ecoles superieures sous-regionales de gestion en Afrique.

But du Pro,jet

Le present descriptif de projet a pour objet de decrire

les activites principales que la CEA a l'intention d'entreprendre au coursdes annees academiques 1978/79, 1979/80 et 1980/81

pour appuyer un certain nombre d'etablissements africains qui sont ou qui seront charges de creer ou de mettre sur pied des ecoles superieures sous-regionales de gestion, de propo- ser une formation

a

l'intention des etudiants, des enseignants et des professionnels, d'entreprendre ~es recherches relatives et de fournir des services consultatifs. Le projet a d'autre part pour but de preciser Ie genre du soutien financier que

la CEA de', rai t obtenir de gou.2rnements et d . Jrganismes africains et non africians afin d'~tre

a

m~me de fournir

l'appui necessaire au programme en vue de la formation et de la recherche en matiere de gestion.

Le present descriptif de projet sera (a ete) presente

a

(et approuve par) certains descolloquessous-regionaux

qui ont considere (qui considereront) le rapport de la mission d'etude consultative susmentionnee et qui sont arrives

a

un accord quant aux institutions qui collaboreraient avec l'ecolesuperieure sous-regionale de gestion dans leur zone et lui fourniraient des locaux. Il sera egalement presente

a

, •

(4)

• •

, PAIVIM/r1AN/PRODOC.1 Pa,!";t"e ~7,)

"

d'autres colloques sous-regionaux prevus pour le debut de 1979.

,.~... --." .' ... " .. , .. , ,.~ " ~.. ... . ..

La demande d'appui financier a ete adresse~ ~ plusieurs organi-

.. '-' +-' ., - " )-~ -- -,. ,:

sations :et fondations., La CEA apprecierait vivement tout ce qui pourra ~tre fait, dans le cadre de ce projet, en vue de promou- voir le developpement des competences de gestion en Afrique.

2. Le programme:, nature et objet

Corrune il, est recc:ml'.2.nde dans le rapport de la mission d'etude consultative sur le developpement de l'education

en matiere de gestion en Afrique, la CEA aidera les Etats, les universites et les auttes institutions africaines

a

mettre sur

p~~d des ecoles superieures sous-regionales de gestion, qui serviront de "centre d'e'XcellenceR multinationaux pour:la

formation, la recherche et la fourniture de services consultatifs en matiere de gestion et qui repondront aux besoins des pays

situes dans chacune des sous~regions respectives. Ces ecoles

organiseront des cours academiques de niveau superieur comportant une combinaison judicieuse d'orientationspratiques

a

l'intention' des etudiants et des ens'oignants en matiere de ~stion et de cours consacres par des diplomes, ainsi que de seminaires

a

" ,

l'intention des professionnels. On recommande pour l'avenir imme- diat la creation de quatre ecoles de ce genre, une pour chacune des q\.latres sbus-'regions dans lesquelles l'Afrique est divisee, aux fins de cooperation pour le developpementet d'integration ecohomique. Toutefois, il convient de prendre des mesures

immediates pour que trois de ces ecoles soient ouvertes des 1978 si pos:- i ble, en utilisant :' es locaux d' uni versi tes, d' ins- tituts polytechniques et d'autres etablissements appropries de formation

a

la gestion existant actuellement en Afrique.

En consequence, la formation et les programmes de

recherche lTIultinationaux en matiere de formation

a

la gestion des ecoles superieures $ous-regionales de gestion seront mis sur

pied en utilisant les possibilites offertes par les etablissements suivants

1/ :

1/

Cette section sera modifiee selonles decisions qui seront' pris¢s lors des colloques d' etuder, sous-regionaux qui

exmnineront le rapport de la mission d'etude.

(5)

• •

Premiere selection

PAMM/~~/PRODOC.1 Page 4

i) Universite de Nairobi(Kenya) en collaboration avec lilns- titut polytechnique du Kenya

,

Universite de Yaounoe

(Cameroun), en collaboration avec l'Institut d'administration commerciale

,

,

(Aucune autre solution

n'est formellement proposee).

Autres solutions

Universite de Dar-es-Salam, en collaboration avec l'Ins- titut de gestion pour Ie developpement de nzumbe a) Universite d'Abidjarr

(COte d'Ivoire) en colla- boration avec l'Ecole superieure de commerce d'Abidjan

b) Ecole d'administration de l'Universite du Ghana, en collaboration avec l'Institut de gestion et d'administration publique du Ghana 2/

Universite du Nigeria

a

Nsuka en collaboration avec l'Ins- titut de gestion et de

technologie d'Enugu ii)

iii)

iv) Universite de Tunis (Tunisie), en collaboration avec l'Ins- titut des hautes etudes

commerciales et l'Institut superieur de gestion

Universite de IChartoum (Soudan), en collaboration

~vec le Centre de develop- pement ee la gestion et de la productivite

S'agi3sant des trois ecoJ"s superieures qui seront creees immediatement, les colloques sous-regionaux de representants d'universites, d'instituts et de gouverrrments organises

jusqu'ici pour considerer le rapport de la mission d'etude et decider quels seraient les etablissements hOtes de ces ecoles, sont arrives

a

un accord sur le choix de l'uni~ersitede ...•.•••

. . . • . . . pour l'Ecole

pour

11Afrique de l'Est et l'Afrique australe ; et sur l'universite de •...•.••

••••••.••.•••••••• pour l'Ecole pour l'Afrique de l'Ouest •

----~- .-",..~.." '..~

g/

ilecommandation du secre-tariat'de Ie C:C:"c

(6)

PAIITl/MAN/PRODOC.1

?agc 5

II

Des ateliers sous-regl.onaux chargesd"arriver

a

un accord sur les etablissements hates desautres ecoles seront organises en mars et avril 1979.

Par consequent, de 1978

a

1981, les activites de la CEA dans Ie cadre du programme pour le developpement

concerneront essentiellement les trois ecoles superieures sous-regiO!lales pour l'l'.frique de l' Zst. de l' Ouest et du Nord, ainsi que le rendorcement des programmes universitaires pour l'Afrique centrale, l'Afrique de l'Ouest francophone et de l'Universite du Botswana et du Souaziland.

La CEA compte que chaque 'etablissement hate prendra toutes les mesures necessaires pour l'organisation de cours et de prDjets de recherche aux differents niveaux, y compris des cours de niveau academique superieur, des cours aboutissant

a

un diplame, et des cours d'orientationpour les professionnels, tenant dOment compte des caracteristiques socio-economiques et politiques et des besoins en matiere de gestion des Etats, des entreprises et des organisations

dans les sous-regions respectives. lls seront egalement charges de garantir la qualite academiqueet la pertinence des programmes pour le monde des affaires, ainsi que du

recrutement et de la determination des conditions de service des membres de la faculte et de l'organj5at~onde consultations et d'activites de collaboration avec tous les autres

etablissements de formation

a

la gestion situes dans leur sous-regior••

Les activites de Ia CEA pour le soutien du programme se limiteront donc

a

promouvoir la creation des ecbles'

superieures sous_regionales selectionnees, de renforcer leur corps professoral, et de favoriser Ia cooperation intra-africaine en tirant parti des services de ces ecoles, qui devraient

fournir I'animation requise

a

tous les autres instituts s' occupant de l ' enseignement de la gestion;' alnsi' que de'la formation et de la recherche dans'- ce domaine.'L'appui accorde au prog:r!'amme par la CEA-, dans la rnesure ou il s' adresse

a

I

(7)

PA1'lN/~'fAN/PRODOC,1

~

-

...-ac::;e 0

des ecoles particulieres, doit etre considere comme une

action de catalyse et d'appoint, vu que chaque ecole superieure devrait fonctionner essentiellement au moyen de ressources

locales et des r~cettes provenant des programmes speciaux qU'elle organise. En consequence, les activites de la CEA pour appuyer le programme qui con$itueront la base du present pro jet de ;ooperation techniqL; comporteront les elements principaux suivants :

i) dans le

Journeesd'etude annuelles ou instituts de formation domaine du commerce et des finances internationales.

ii) Fourniture de bourses en vue d'une formation dispensee dans les ecoles superieures sous-regionales.

iii) Fourniture de bourses pour le renforcement du person- nel enseignant des ecoles superieures sous-regionales, en tirant parti des services offerts par d'autres

etablissements africains, et par la formation d'enseignements en dehors de l'Afrique.

iv) Services de professeurs externes invites pour de courtes periodes.

v) Dons pour l'achat d'ouvrages de reference sur la gestion et d'aides pedagogiques.

vi) Organisation d'etudes de cas ~~r la gestion en Afrique.

vii) Assistance

a

l'enseignement dans les domaines r'levant de la compet0nce de la CEA.

Viii) Activites de promotion, de recherche de fonds et d1evaluation des programmes.

Les besoins financiersafferents aux principales . activites susmentionnees du programme sont indiques dans

l'annexe pourchacune des annees acad~liques 1979/80 et 1980/81.

3. Plan de travail et activites

. . .

a) Activites preparatoires, 1978/1979

i) Organisation de colloques sous-regionaux regrou- pant des fonctionnaires nationaux et des repre- sentants d'institutions, en vue d1arriver

a

W1

(8)

PAl'lM/HAN/PRODOC.1

Pa=e 7

accord sur la selection des etablissements hBtes de chaque ecole superieure

Sous-regions Afrique de l'Est et Afrique australe Afrique de l'Ouest Afrique du Nord Afrique centrale

Lieu

Nairobi Accra Tunis Yaounde

Dates

20-22 sept. 1978 25-27 sept. 1978 8-10 mars 1979 5-7 avril 1979

Dollars E.U.

ii) Periode de trois semaines de journees de formati?n au commerce et aux· finances internationales ·(fran,:, cophone)

en novembre,

a

Abidjan dollars E.U.

juin ou

octobre 1979 iii) Bourses d'une duree d'une annee

aboutissant

a

un diplome universitaire, dans Ie dad~e de deux ecoles

a

creer en

Afrique de l'Est et en Ai:rique de l'Ouest,

a

partir d'octobrr 1978 dollars E.U.

iv) Professeurs invites pour des courtes periodes pour renforcer les programmes de formation multinationaux,

a

partir de janvier 1979.

Allocations totales pour les activites pn§paratoires de soutien du programme,

1978/79 dollars E.U.

b) Adtivites du progra~ne dprincipal, 1979/80 - 1980/81 i) Recherche de fonds de sources africaines et

non-africaines,

a

partir de septembre 1978 ii) Recrutement de personnel pour Ie projet, pour

les activites de promotion, d,'evaluation du

programme et de recherche de fonds janvier 1979 iii) I'lise en oeuvre de programmes de bourses

et autres donations

(9)

P~~/~~N/PRODOC.

:t-ab"e [)

iV) rEse en oeuvre du programme des professeurs invites

de conferences par

a

partir-de fin 1979

1

v) ,Rapports sur 1'etat d'avancement

des travaux " , , juin et dec. 1979' vi) Formation d'enseignants africains et

"programme dIechane;es de IE rsonnel

vii) rlise en oeuvre du programme de 1980/81, suivant Ie modele des activites inscrites au programme de 1979/1980 sous les postes b) i) iii)

a

vi) 0

4. Genre de cooperation technique requise

La CEA recherche la cooperation des gouvernements, des fondations privees et des organisations benevoles et de cooperation technique pour obtenir des ressources en vue de l'execution des activites du programme principal decrites ci-dessus pour les periodes biennales de 1979/80

a

1980/81.

Le financement des activJ,tes du programme de l'annee en cours a ete assure gr~ce aux ressources fournies au Fonds

d'affectation speciale des Nations Unies pour Ie developpement africain par Ie Gouvernement feaeral du Nigeria. La CEA

recevrait avec plaisir des contributions se presentant en grande partie sous forme de dons en e~~eces, mais aussi en nature ou sous forme de services d'experts. Plus precisement, la cooperation technique requise dans Ie cadre du programme peut rev~ti n' importe laquelle des formes sui':mtes ;

i) Dons en especes pour l'offre de bourses, y compris

de's bourses p'ourlereD,forcement du personner'ehseignant ii) Dons pour Ie financement d'etudes de cas sur la

gestion en Afrique.

iii) Arrangements de jumelage entre des institutions de formation

a

la gestion situees

a

l'exterieur de l'Afrique et les Ecolessuperieures sous-regionales de gestion en Afrique. Cela permettrait d'assurer la formation du personnel enseignant universitaire

(10)

P~1/~N/PRODOC,1 :28.::;8 :;

d'enseignement.

(•

africain, et de personnel

d'organiser aux fins de

des echanges formation et

directs i .

iv): Services de professeurs invites competents dans diverses specialisations en matierede.~~stion, 01.1

allocations de voyage pour Ie financement de

professeurs invites pour de breves periodes, tant aIricai.ns que non afrlcains.

v) Donsd'ouvrage de reference specialises sur la

gestion et d'aides pedagogique

a

l'usage des Ecoles superieures sous-regionales de gestion en Afrique.

L'on prevoit et l'on compte que les gouvernements

africains soutiendront Ie programme en accordant des bourses d'etudes

a

leurs ressortissants, soit dans Ie cadre de leurs programmes nationaux de bourses, soit sur la base des chiffres indicatifs de la planification du programme d'assistance du PNUD pour leur pays, afin de permettre

a

leurs ressortissants de participer aux progrRmmes de formation dispenses dans les ecoles.

5. Administration du progr~~e

La Division de 1 'administration publique, de la gestion et de la main-d'oeuvre du secretariat de la CEA sera chargee d'administrer les activites de soutien au programme, et

sera assistee par Ie service des operationset de la

coordination de l'assistance technique de la CEA pour la gestion des fonds mis

a

la disposi tio;. du programme.~a Division

assurera une liaison efficace avecles diverses Ecoles superieures en Afrique, ainsi qu'avec les instituts,

organisations et associations professionnelles de gestion participant au programme. Son personnel professionnel

fournira aussi une assistance pedagogique dans les domaines relevant de leur competence.

Un personnel professionnel de projet finance sur les ressources mises

a

la disposition du programme sera affecte

a

la Division pour la promotion du programme, pour suivre l'evolution des operations, evaluer les cours proposes et

(11)

PM<lM!HAN/PRODOC.1

'?3.~? 10

l'utilisation des dons, ainsi que pour la mobilisation de fonds supplementaires et la fourniture d'une assistance pedagogique.

6. Evaluation du programme et rapports

La CEA etablira et soumettra

a

toutes les institutions, associatio:'s et organisations donatrices participantes des rapports "emes·crie:s ;our 1· etat .l'c<,a"cement du programme, ainsi que des rapports d'activite. Les rapports annue1s sur l'etat d'avancement du programme devraientindiquer les resultats effectivement obtenus par chaque Ecole superieure

a

la fin de l'annee academique. lIs devraient egalement comprendre des etats financiers dOment certifies, indiquant la situation des fonds

a

la disposition du programme, ainsi que les postes d~ depenses et de recettes au 31 decembre de l'aru)ee consideree. Chacun des donateurs de fonds au

programme recevraen outre des etats financiers supplementaires detaillant l'~tilisationqui a ete faite des fonds qu'il

a fournis pour des acti"ji tes specifiques, par opposition aux dons accordes pour les objectifs generaux.

Des reunions d' examen triparti tOes se tiehdront tous les·

deux ans

a

partir de 1979 en vue d'examiner les resultats realises dans Ie cadre du programme,rllevaluer les besoins et les priori tes et de considerer les r:,'oposi tions bUdgetaires du programme pour laperiode biennale suivante. Les principaux participants au programme, les Directeurs des Ecoles superieures sous-region8.1es et 1" I:F8 o:rganise:ront cet examen tripartite ; Ie cout de la participation aux travaux d'examen sera

a

la

charge des organisations ou institutions respectives representees.

1

,

-

(12)

,

PAJIlM/~1AN/PRODOC.1

A:1l1e}:e

Ecoles supeti'eures sous-regionales de gestion en Afrique

PROPOSITIONS BUDGETAIRES POUR LE PfWGRAlIIiE, 1979/80- 1980/31 (en dollars des Etats-Unis)

Pastes budgetaires 1979/80 1980/81

1. Colloques sous-regional consacres

au rapport de la missi.on dIetude sur Ie terrain (Afrique centrale : Afrique du Nord)

2. Ateliers de formation sur Ie commerce et les finances internationales

Anglophones 1979

Francophones ou arabophones 1980 4. Bourses pour 30 ett, 'Uants, d' une valeur

de 4 000 dollars chacune (dont 6 bourses par an pour des cours de niveau

universitaire donnes aux universites d'Abidjan, de la Cate d'Ivoire et l'Universite du Botswana et du Souaziland)

5.

Bourses pour Ie renforcement du personnel enseignant universitaire, d'une valeur de 6 000 dollars chacune 6. Appui .i.nstitutionnel pour Ie renforcement du programme

multinational:

a) Professeurs invites

b) Ouvrages de reference sur la gestion et aides

pedagogiques.

c) Etudes de cas sur la gestion en Afrique

dollars 42 000 par an

dollars 10 000 par an

dollars 8 000 par an

(13)

..

PMIH!fIJAN/PRODOC.1

Annc:~<? .~

7. PromQi;iol1 ei; coordination duprogramme. y compris la recherche de fonds :

a) Personnel affecte au projet

(niveau 4) dollars 53 500 par an b) Voyages aux fins de promotion

rt d'evaluation du programme

et d'assistance pedagogique dollars

J

000 par an Total partiel

8. 14 p. 100 de frais gene raux

administratifs

TOTAL GENERAL

, ,

(

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