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Études sur le terrain de maisons des Maritimes détériorées par l'humidité

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Publisher’s version / Version de l'éditeur: Note d'information sur la construction, 1984-09-01

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Études sur le terrain de maisons des Maritimes détériorées par

l'humidité

Scott, D. L.

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(2)

ISSN 0830-8268

ETUDES

SUR LE TERRAIN DE MAISONS DES MARITXNES

a B m k o k e s

PAR L ~ H U M I D I T ~

Par

D.L. S c o t t

D i v t s i o n des recherches en bttiment, Con,seil national de recherches Canada

(3)

A u cours de ces dernisres annges, des i n s p e c t i o n s i n situ ont & t E effectuges pour Etudier l'origine et l'importance des dommages causEs par lthumiditG aux ossatures en b o i s de quelques maisom caaadiennes des Marltimes. Le nombre de cas examLnEs n'a pas permis d'obtenir d e s statistiques significative6 pour p r 6 d i r e les effets de l'humiditg pour l'ensemble des b3timents de la rzgion, Toutefois, il semble qu'un faible

pourcentage seulement des maisons 2 ossature de b o i s souffte de

d6tGrioration localis6e rgsultant de d s t a i l s de conception i n a p p r o p r i g s , d t u n e mauvaise e d c u t i o n des travaux et dtun manque d'enttetien. k s quatte m i s o n s Studi$es dans cette Note sont situGes dans les rggions de Halifax

(en Nouvelle-Ecosse) et de Saint-Jean

(2

Terre-N~uve). Elles ont t o u t e s 6 t E construites au cours des d i x dernisres annges et sont reprgsentatlves des t y p e s d e construction courants pour ces re'gions.

L'gtude a d'abord ports s u r une maison ~ r g f a b r i q u g e de t r o i s chambres comportant une entrse niveaux d g c a l g s , construlte durant l'autome 1982

dans la rggion de Halifax e t occupse p a r deux adultes et un enfant. k s p r o p r i g t a i r e s sP5taient p l a i n t s de f u i r e s dans le t o i t 3 proximitg de l a s a l l e de b a i n s , qui s e produisaient chaque f o i s qutun jour de pluie chaud succgdait B une pihiode relativement f r o i d e .

Une inspection du t o i t en mars 1984 a permis de constater que t o u s les bardeaux dtasphalte Gtaient bien en place et convenablement £ 1 ~ 6 ~ - Les

s o l i n s autour des sorties de ventilation de la salle de bains c t de la cuisine a v a i t 5ti5 convenablement gtanchss par lventrepreneur au cours d'une v i s i t e prgccdente. k s joints de la trappe du comble avaient

6t6

calfeutrgs

e t les matelas isolants en f i b r e de verre avaient

6t6

i n s t a l l &

uniform6ment. L e s panneaux de copeaux du s u p p o r t d e couverture gtaient

cependant noirs de moisissure et comportaicnt une zone saturge d'eau

immsdiatement au-dessus de la salle de b a i n s et une autre au-dessus du m r commun 5 la cuisine dans lequel passait la plomberie (figure 1). Aucune

trace d ' h u m i d i t s ou de d&coloration n'a pu &tre observe'e dans d'autres zones du comble. A u cours de l'inspection, en retirant la g r i l l e du v e n t i l a t e u r

d e la s a l l e de bains, on a mis

2

jour d e s fentes importantes ( jusqutg

12,5 rnm de largeur ou pouce), entre le boftier du v e n t i l a t e u r et la cloison 5 m t s sees adjacente. Des fentes semblables ont ggalement &tg dgcouvertes entre le dessus de lrarrnoire de la cuisiniSre et le conduit du ventilateur d e la hotce. Comrne l e s fuites d'air paraissafent Etre la cause p r i n c i p a l e des problZmes d8humidit6, les f e n t e s o n t st6 colmat~es. Un *Station rggionale de lgAtlantique, D i v i s i o n des recherches e? b z t i m n t ,

(4)

Figure 1. Support de couverture .saturg d 'eau

hygrothermbgraphe a par la s u i t e Q t B i n s t a l l s pour earegistrer la tempgrature et l'humidit~ intrgrieures.

Des v i s i t e s hebdomadaires ont &t& effect&es d i n d'installer de nouveaux graphiques e t de contrdler 1'4volution de l'gtat du support de eouverture. Une semaine aprss le colmatage du b o l t i e r de ventilateur, le support de couverture

6 t a i t

redevenu sec au-dessus de la salle de bains et $1 y avalt rgductian de lFhumid5t& au-dessus du m r intgrieur co-n

contenant la plomberic. la tempikature au cours de lt6tude a GtE maintenue B environ 18'~ ( 6 5 O ~ ) , et l'humiditg relative a vari6 eatre 5 0 et 64 pour

cent. LthumiditG enregistrge peut Ztre attribuge 2 la sgcheuse (qui ne

compartait pas de sortie de ventilation jusqu'a la fin de l'gtude) et 2 la fafble ventilation de la maison qui g t a i t assez g~anche 5 liairm

Au caurs de la seconda s e m a i n ~ , le support de couverture gtait: encore humide au-dessus du mr IntSrieur contenant la plomberie. Un examen p l u s

dnutieux des sources de fuCtes d ' a i r a donc

6t6

entrepris* AprZs avoir reti& la hotte et l'aroloire de cutsine, une f e n t e importante a i5tS

Gcouverte entre le faux plafond et le conduit de la hotte (figure 2). En retirant le conduit, d'antres fuites d'afr

ant St6

d6couvertes, notamment par la colonne de p l o m b e r i e et par plusfeurs trous for& dans la sablie're

(figure 3 ) . Ces trous donnaient dam le comble par la trappe d'acc2s 2 la plombesie, non recouverte, qui etait sit&@ derrisre la fausse armoire de cuisine adjacente 3 la cuisinlZre (figure 4 ) .

(5)

F-re 2. F u f t e ~ d 1 a i r par la conduit de la hatte

Figure

3.

Fuites dlakr par la coldan@ de p l m b e d e e t 1- im callation6 6lect riques

Figure 4. AcGs 2 la plomberie non reeouvert pennettant la p6n4tration de l'humiditg dans le mr

(6)

Une vGrificatioa plus pauss& du comble a permis de constater que l e e conduits n'avaient p a s 6tk 6tancWs S l'aide de ruban e t que de l l e a u se trouvait retenue saus le pare-vapeur en.poly5thylSne ( f i g u r e 5 ) .

Figure 5. mnduit d V a i . r du comble noa Stanch6

Plusieurs passages d'air ont donc 6ti5 dgcouverts entre la cuisine et le comble (figure 6 ) . AprSs avoir pgn6trG dans le comble, l'air humlde

stElevait jusqut8 ce q u t i l vienne en contact avec le support de couverture froid, 03 il se transformait alors en givre, entrafnant 12 le dgbut d'un cycle de f u i t e s d 'eau dans le comble par temps doux. k constructeur a dG sceller les passages d'air et installer un abattant la Erappe d'accss

2

la plomberie. La partie du suppo-rt de couverture qui e'tait rest& humide a

&chi5 en mains dtune sewing aprZs ces interventions. Ie propristaire de la m i s o n a ensuite b t d encourage 2 ne plus f a i r e Gcher le linge

2

l'intgrieur

et

2

u t i l i s e r davantage les ventilateurs pour tenter de rgduire le niveau drhumidit& relative 3 environ 40 pour cent.

(7)

C O N D E N S A T I O N ET G l V R E E N H I V E R C a N D U l T D ' A I R NQN

E ' T A N C H ~

A U C U N C O L M A T A G E A U T O U R DU C O N D U I T D ' A I R OU VERTURE E X C E S S I V E POUR LE P A S S A G E D U

C A B L E

<.LECTAIQUE A C : C ~ S A L A PLOMBERIE N O N RECOUVERT OUVERTURE E X C E S S I V E POUR L E P A S S A G E DE L A COLONNE D E LA

(8)

CAS No 2

Des installateurs rempla~ant le bardage en aluminium dtun d u p l e x out

dscouvert au cours des travaux que de l'eau s'gtait accutml6e entre le

p a p i e r de revgtemst et l e revstement de contre-plaqu6 de 9 , 5 mm C3/8 pa). Lc coatre-plaquE prgsentait d e s taches d t h u d d i t S et des signes prEcurseurs de pourriture dans les espaces e a t t e les poteaux au niveau d e s carreaux de

la

baignoire du deuxisme Gtage, la zone la p l u s i m b l E e se situant i d d i a t e m e n t d e r r i s r e le porte-savon (figures

7

e t 8 ) .

Figure 7. Revgtement i n t e r d d f aire dStGriorG au niveau de la baignoire

Figure 8. ProblSme identique sur

l a maison woisine

La teneut en humiditg du contre-plaqug, d'environ 15 pour cent sur la

plupart des mrs

,

augmentait 2 30 pour cent au centre des taches Eonc6.e~. lk revgtement a Gt6 dgcoupg B l'endroit du por-te-savon, puis l'isolant

retenu en place par friction a 6ti5 retir4. Le pare-vageur en polyEthyl6ne

avait 6 t G d&coup6 pour i n s t a l l e r le p o r t e s a v a n et une quantftE importante d1hunddit8 et de moisissure st&taft accumul&e entre la Eeuille de

(9)

Figure 9. RevCtement inte&dlaire dEcoupG 2 la hauteur du porte-savan

Lz pare-vapeur starre^tait au niveau du bord de la baignof re et l a l s s a i t lmisolanr en f i b r e de verre 2 dgcouverr sous la baignoire. Comme les

occupants de la maison avaient remarquh que le porte-savon nt6tait plus tre's solfde depuis ua certain temps, il e s t d i g f i c i l e de d g t e r d n e t la p a r t du

taux d'humidits attribuable aux fuiees d'eau se produisant: au moment des douches, aux f u i t e s d'air au niveau du porte-savon, et 2 la diffusion et au passage de l'air pas l'isolant non recouvert sit& derrisre la baignoire. L e s effets combings de ces trois facteurs ont empEch8 le mr de sgcher dans les alentours i d d i a t s de La baignoire. k reste du revgtement

(10)

Ces m i s a n s out GtE construites selon les rggles de l'art de lW6poque,

nntamment en ce qui a trait B I'isolant et au pareuapeur. Zes plombiers I n s t a l l e n t ordinalrement la baignoire avant la mise en place de l'isalant,

ce qui rend d i f f i c i l a l'installarion d'isolaat derrisre la baignoire, et

l'ins~allation d'un pare-vapeur impossible. 11 serait b n de songer 2 installer un pare-airlvapeur en fixaat

a

partir du bord de la baignoire an panneau de contre-plaqu6 ou un panneau de copeaux.sur le bas du mr avant d e mettre la baignoire en place. Cette pratique g d u i r a i t l'accunulation

d'hutoiditg dans les rrmrs en limitant la circulation d l a l r et la diffusion de la vapeur d'eau

3

l'int~rieur des mrs.

De p l u s , la migration de

1

'humidit6 par les joints d6t:griorgs des

carreaux de &ramique e t par ceux des accessoires encastreis dans la plaque d e plstre (p. ex. : uti porte-avon) a s t pratfquemnt idvitable si le mr n'est pas s o i g n e u s e e a t entretenu. La pose draccessoices en surface

Gviterait au w i n s d'avair B dgcmper le parevapeur de polyEthylGne et la plaque de platre, ce qui contribuerait

a

maiatenir 11Qtanch6iti5 3 l'air et B

la vapeur (figure 10). - F I X E R L E S A C C E S S O I R E S EN S U R F A C E 5 BlEN ENTRETENIR L E S - JOINTS

DES

C A R R E A U X

D E

C ~ R A M I Q U E M E T T R E E N P L A C E U N E

~ T A N C H ~ I T E I

L ' A I R , T E L L E Q U ' U N P A N N E A U

D E

C O N T R E - P L A Q U ~

o u

U N P A N N E A U DE C O P E A U X 3

FIX^

D E R R I ~ R E

LA BAlGNOlRE

Figure 10, % t a i l s de construction recom668ad6s p w r l t e n c e % n t e de la M g n o i r e

(11)

CAS NOQ 3

Un cas semblable au prgc6dent a causs d e s dommages encore plus

importants sans que le praprigtaire en

a i r

&me coanaissance. L e s Glgments du nour extgrieur de la salle da bains du deuxisme &age S t a i e n t l e s

sufvants : bardage dtaluminium, papier de constructioa d'asphalte,

contre-plaqu& de 9,5 rnm (3/8 po), pateaux de 38 x 4 0 mm (2 x 6 PO), isolant therraique

a

RSI 3 , 5 2 (R20) er pare-vapeur en polyi5thylGne s'ztendant du plafond jusqutZ la bordure de la baignoire.

Un inspection effectuge en octobre a permis de constater que de grandes

zones des panneaux de ewtre-plaqui5 Staient dgtgriorzes, notamment

2

proximite de &a baignoire et jusqu1au4ela du chevgtre du deuxizme Qtage 2

un endrair- A cat6 d e l'extrSmit6 d e la baignoire recevant la robinetterie, le sous-plancher de contre-plaqu5 6 t a i t lui aussi dgte'riofi sous le

revstemnt de vinyle, au point dletre devenu tr2s p e u s o l f d e en raison de la pourriture. Iks taches d ' h u d d i t g gtaienr facilement ohservables sur le plafond de la culsine, i d d i a t e e n t an-dessous de la salle de bairn. Ies occupants ont signal6 q u ' i l E t a i t f g q u e n t que de l'eau soit Spandue sur le plancher lorsque les enfants prenaient une douche au un bain, et que presque

tout l'eau disparalssait par le j o i n t %ant du revetement de v i n y l e e t de la bafgnoire- Des donrmages consid6rables ont

St6

causgs par ce m u i l l a g e

cofitinuel (figure 11). Au moment de Itinspection, le revetement

i n t e d d i a i r e n'avait pratiquement aucune rgsistance et les paaeaux de fibres servant 5 supporter le bardage d'aluininium e'raient satlids d ' h u d d i t g (figure 12).

Figure 1 1, Sous-plancher diEtgrLorC F i g u r e 12. RevEtement i n t e d d f aire dgt brio&

Dans cet exemple, l'air circulant dans la cavit6 entre le plafond et le

planchet du deuxisme gtage absorbait 11humidit6 qui s'y trouvait accumulge. L'air humlde p & & t r a i t ensufte dans le sous-plancher, q u i comportait une large ouverture pour l'accss au siphon de l a baignoire; par cette ouverture,

(12)

l r a f r rraversait toute la longueur de la baignoire pour a l l e r s'infiltrer dans la mr extgtieur.

Les dormnage-s au mur extgrieur et au plancher auraient pu Etre re'duits, v o f r e Q l i d n g s , en l i m i t a n t la quantit6 d'eau rgpandue. Bien que la plupatt des maisow.

Gent

6 ti2 construit es jusqut8 gcemment s.ans pare-air/vapeur au-desaous du bard de l a baignaire, la dgt&i6ratlon aurait st6 grand@ment diminuge si un pare-airlvapeur avait i5t6 i n s t a l l 6

3

lto.riglne.

CAS NO0 4

Un duplex de la ti5gion de Saint-Jean (3 Te.rre-Neuve) a iZt6 inspect6 su mois d e mars. L e s m r s extgrieurs Staient constitu6s dg plagues de p l d t r e , d'un parevapeur de polySthylSne, de matelas isolants 3 RSI 2,l (lZ12)

ins&& entre d e s poteaux de 38 x 89 mm ( 2 x 4 po) espacgs de 400 mm

(16 p o l , et d'une finition extgrieure de panneaux de contre-plaquE de 9,5 mm (318 po) et de lattes verticales et horizontales. 11 n'y a que peu de

d o n d e s de connnes sur la temgrature intgrieute et le coefficient d1humidftZ du Mtinent.

XR

parement de contre-plaqu6 du c o i n sud-st a

6 t d

enlev6 e t a

dgcouvert urre tache d 'hum5ditg s 'gtendant du niveau d'un cof fret aectrique jusqu12 la lisse basse (figures 13 et 16).

Figure 13. Paremat humide

2

cause

d'une Eufte d ' a i r au niveaw d'un coffret Glectrique

Figure 14. S t a i l s de 1 'isolant

2

(13)

L'air char& dlbumiditE s'gtait vcaisemblablement infiltrg dans le mr extgrieur par des trous

sitfigs

S l'intgrieur e t autour du coffret

g l e c t r i q u e , et llhumiditG slBtait condens& au dos du parement. L'eau

forde

a

c e t t e endroit s i 6 e a l t 6couli5e

en

&entail jusqu'g l a l i s s e d'assise

e r au chevstre, qui btaient mintenant saturEa d'hurpiditg. La teneur en humidit6 du parement e t

des

poteaux variait consid6rablement en fonction d e la proximltg

de

la p r i m

de

courant (figure 15).

OSSATURE

DU

COIN SUD-EST

(LES VALEURS INDIQU~ES PAR DES F L ~ C H E S

ONT E'T'

PRISES

75 mrn (3 po) DE LA SURFACE EXT~RIEURE)

F i g u r e 15. Pourcentage d1humidit8 dans les 618mnts du mxr

Une importante quantitg de pourriture a S t 6 Gcouverte au niveau des

lissee drassise et des chevgtres derrisre les coins fnfgrfeur droit et supgrieur gauche du panneau. Ces deux emplacements se trouvent sous une prise de courant (favorisant l'exfiltration d'air) st sous un j o i n t

horizontal du revgtement exgrfeur aaa protggg par un solfn (favorisant la pgastration de la p l u i e ) . L'isolant

en

f i b r e da verre Gtait sec partout sauf autour du coffret Electrique.

(14)

CONCLUSIONS

Les dommages caus6s par l ' h u d d i t g dans les &sons Studibes gtaient 1ocallsGs e t semblaient Ctre attribuables 3 l'un des t r o i s facteurs

suivants :

1. k s renseignements c o n ~ i g d a sur les dessins dte&cution ae fournfssent p a s , dans bien des caa, les dgtails essentiels au contrdle des fuitea d ' a i r et de vapeur dmeau. En g g d r a l , les dessFns d f e G c u t i o n des

conetructions rSsidentielles nmindiquent que l e s dimensions du b3timent et les materiaux u t i l i s g s , les d g t a i l s d'edcution Qtant l a i s s i S s

a

l a pratique courante. Blen qutSconomique et expgditive, c e t t e facon de p r o d d e r entrdne des problsmes de long term. ~ e s ' d e ' t a i l s p l u s precis devraient Gtre fournis aux diffgrente corps de d t - r s .

2. C t s s t fa qualit5 d ' e d c u t i o n qui rend un d E t a i l de construction approprig

2

l'usage prEvu. Si l'on n'inspecte pas les d e t a i l s

correctement e t au bon moment au cours d e la construction, l e s dgfauts

seront vite cachgs, et il faudra stattendre

a

des d i f f i c u l t & lorsqu80n

cherchera la cause des dbfaillafices, et

3

des &parations ou corrections codteuses. Un minimrn de s o i n suppl6mentaire de l a part d e s divers corps de d t l e r s doubl6 dmun contr6le consciencieux canduirait

certainentent B des s o l u t i o n s p l u s Bconomiques et p l u s satisfaisantes pour laentrepreneur et pour le proprfdtaire du batimeat.

3. k s bstiments doivent &re entretenus sur une base rEguliZre pour

demurer en bon h t a t . Les proprigtafres auraiertt avantage B suivre les recommandations des ntanuels d'entretien souvenr remis avec les plans de garantie immobiliers. Afin dlBviter le t y p e de problsmes dgcrits dans la p s s e n t e Note, le proprigtaire d t u n batiment devrait voir 5 dgceler et 3 corriger les dgfauts mineurs avant que des signes d'une

diit8rioration p l u s importante ne se manifestent.

L'auteur dgsire remercier Monsieur D.C. Tibbetts pour les renseignements fournis dans le cadre de l'btude effectuge

3

Terre-Neuve.

Figure

Figure  1.  Support  de couverture  .saturg  d  'eau
Figure  3.  Fuites  dlakr  par  la  coldan@  de p l m b e d e  e t   1-  im  callation6  6lect  riques
Figure  5.  mnduit  d V a i . r   du  comble  noa  Stanch6
Figure  6 .   Cheminement  d e s   f u i t e s   d'air
+6

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