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R, G. M. MAIRIE DU GROS MORE

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BRGM

(2)

R, G. M. MAIRIE DU GROS MORE v i ce Géolog i que

Anti1 les

ETUDE GEOLOGIQUE ET HYDROGEOLOGIQUE REGLEMENTAIRE EN VUE DE L'OUVERTURE D'UN NOUVEAU CIMETIERE AU LIEU-DIT HABITATION COUVIRLLE - COMMUNE DU GROS MORNE - MARTINIQUE

Par P. LACHASSAGE, D. CHASSAGNEUX ot Ch. PAULIN : llydroq^o I oqquf .'icirtfrt pour If (.l(?;|Jci rt.tMiifnil de I.i la Martinique

RAPPORT R 30527 ANT 4S 90

FEVRIER I()(i0

(3)

ETUDE GEOLOGIQUE ET HYDROGEOLOGIQUE REGLEMENTAIRE EN VUE DE L'OUVERTURE D'UN NOUVEAU CIMETIERE AU LIEU-DIT

HABITATION COURVILLE - COMMUNE DU GROS MORNE MARTINIQUE

R 30527 ANT 4S 90 FEVRIER 1990 R E S U M E

Le Service Géologique des Antilles du Bureau de Recher- ches Géologiques et Minières a procédé, à la demande de la Muni- cipalité du Gros Morne, à l'expertise géologique et hydrogéologi- que réglementaire du site de l'habitation Courville, pressenti pour l'implantation d'un nouveau cimetière communal.

La parcelle étudiée, d'une surface de 3 hectares environ, présente une pente dirigée vers le Sud et qui peut dé- passer 50 %. 13 fouilles réalisées à la pelle mécanique, d'une profondeur variant entre 2,30 m et 3,35 m, montrent que le sous- sol du futur cimetière est constitué de lave argilisée surmontée d'un niveau de tuf pyroclastique lui aussi très argilisé. Aucune venue d'eau n'a été rencontrée et la présence d'une nappe à moins de 10 m de profondeur est très peu probable.

Etant donné la pente élevée du terrain naturel et la faible perméabilité des formations rencontrées, nous recommandons de réaliser un système de collecte et d'évacuation efficace des eaux de ruissellement, afin d'éviter que celles-ci puissent per- coler à travers les sépultures, éroder le terrain naturel ett sa- turer les sols sous-jacents.

Sous réserve du suivi des prescriptions, nous donnons un avis favorable à la construction du nouveau cimetière du gros Morne sur la parcelle qui a fait l'objet de la reconnaissance.

Par P. LACHASSAGNE et D. CHASSAGNEUX

et Ch. PAULIN ; Hydrogéologique agréé pour le département de

1 ,\ M . T il i n i i | i m

(4)

TABLE DES MATIERES

1. INTRODUCTION

2. LOCALISATION GEOGRAPHIQUE 3. MORPHOLOGIE DU SITE

4. RECONNAISSANCE GEOLOGIQUE ET HYDROGEOLOGIQUE 5. EXAMEN DES CONTRAINTES

6. CONCLUSION.

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FIGURES DANS LE TEXTE

Figure 1 - Localisation géoçjraph i quo du Lorrain otu<.l i <"•

échelle 1/25.000'

Figure 2 - Plan d'Occupation des sols échelle 1/5,000

ANNEXES JOINTES AU RAPPORT

Annexe 1 - Localisation des fouilles et des

affleurements observés S.G.ANT. 5887 Annexe 2 - Description des fouilles à la pelle

mécanique.

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1. I N T R O D U C T I 0 N

La Municipalité du Gros Morne envisage la construction d'un nouveau cimetière au lieu-dit "Habitation Courville". La lo- calisation prévue a été indiquée par les services techniques de la Mairie sur un plan topographique au l/500e (cf. annexe 1 ) .

Elle a demandé au Service Géologique des Antilles du Bureau de Recherches Géologiques et Minières de procéder à l'ex- pertise géologique et hydrogéologique préalable afin d'apprécier la faisabilité du projet.

Cette étude fait suite au rapport BRGM du mois de mars 1986 qui étudiait la parcelle voisine.

1

(7)

2. LOCALISATION GEOGRAPHIQUE

La limite nord du terrain étudié se situe à environ 100 m au Sud des dernières maisons du bourg du Gros Morne (figure 1 ) . La parcelle est actuellement plantée en bananiers et est parcou- rue de traces en terre ou empierrées.

2

(8)

FIGURE 1 Localisation géographique du terrain étudié Echelle 1/25.ÔOOt

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R 30527 ANT AS 90

(9)

3. MORPHOLOGIE DU SITE

Le terrain retenu couvre une superficie d'environ 3 ha.

Il a la forme d'une bande d'une centaine de mètres de large et orientée Ouest-Est puis Nord Ouest - Sud est.

Il est étage entre 216 et 188 m d'altitude et domine la vallée de la rivière Petite Lézarde. Celle-ci coule à la cote 145 m NGM à 350 m environ au Sud Sud Ouest de la parcelle.

La pente moyenne du terrain est de 25 %, mais peut dé- passer localement les 50 %. Sa surface est marquée par la nais- sance de petits thalwegs aménagés en petits canaux par l'exploi- tant de la bananeraie. Ils constituent la partie amont de ravines alimentant en rive gauche la rivière Petite Lézarde.

3

(10)

4. RECONNAISSANCE GEOLOGIQUE ET HYDROGEOLOGIQUE

L'examen de la carte géologique au 1/50.000 d<? la Mar- tinique montre que le site étudié est situé sur une coulée massi- ve de basalte peu porphyrique issue du volcan bouclier du Morne Jacob pendant sa deuxième phase effusive. Cette roche de couleur sombre et au grain fin lorsqu'elle n'est pas altérée gît sous la forme d'un empilement de coulées plurimétriques, emboîtées. Eli OH recouvrent, a la faveur d'une ancienne vallée les empi 1 einrnl H très puissants de coulées de basalte porphyrique à très porphyri- que à olivine et augite issues, lors de sa première phase effusi- ve généralisée, de la chaîne volcanique sous-marine du Vaut: 1 in - Pitault.

Nous avons effectué le 23 Janvier 1990, une série de 13 fouilles à la pelle mécanique, profondes de 2,80 m en moyenne.

Les sondages recoupent tous les termes du complexe d'altération pédogénétique des coulées de lave qui ont été recou- vertes beaucoup plus récemment (activité de la Montagne Pelée) de tufs pyroclastiques d'épaisseur décimétrique. Toutes ces forma- tions sont profondément argilisées.

On trouve donc la succession suivante, du haut vers le bas :

- terme 1 : argile brune à ocre jaune, peu plastique, enrichie près de la surface en matière organique. Aucun horizon de terre végétale franche n'a été observé.

Elle passe en général progressivement à une

~ terme 2 : argile sableuse, ocre jaune, assez pulvérulente, à blocs centimétriques à décimétriques friables de tuf pyroclasti- que jaunâtre très altéré eh poreux. Tl est pauvre en minéraux ar- gileux et présente des grains de taille inférieure au mil 1imèl. re

(lapilli ponceux, minéraux libres de plagioclase, quartz...et cendrée).

Les deux termes consistent en 1'argilisation par altération d'un tuf pyroclastique qui s'est déposé sur les trois termes suivants.

Il a été émis par la Montagne Pelée et couvre de façon plus ou moins continue toute la partie centrale de la Martinique.

4

(11)

~ terme 3 : argile plastique brune légèrement enrichie en matière organique, passant en général progressivement à une

~ terme 4 : argile bariolée très plastique rouge et jaune, avec apparition vers le bas, d'éléments argileux noduleux centimétri- ques blancs.

Certaines mottes recellent, vers le bas de l'horizon, des restes de la structure de la lave initiale (filonnets, phéno- cristaux millimétriques de feldspath).

terme 5 : andésite argilisée raide et très plastique avec structure totalement conservée : phénocristaux millimétriques de feldpath blancs, minéraux ferro-magnésiens altérés en argile ri- che en hydroxydes de fer (couleur rouille) dans une matrice de verre grise à bleue avec zones violettes. On ne note pas la pré- sence de quartz. Dans certaines zones, les phénocristaux de feld- path peuvent atteindre le centimètre et des filonnets blanc» sont visibles.

Cette succesion s'interprète donc comme le recouvrement relativement récent par des tufs pyroclastiques d'une lave beau- coup plus ancienne transformée en argile et en sol sous les ef- fets de l'altération et de la pédogénèse.

Le terme 2 suit en effet grossièrement l'allure de la topographie actuelle dans les zones de forte pente. Ces tufs sont eux mêmes altérés et enrichis en matière organique près de la surface.

Tous les sondages, à l'exception du n° 3, recoupent cette même succession de faciès, tous très facilement extrayables à la pelle mécanique. Certains des termes superficiels, soit du fait de l'érosion, soit plus vraisemblement à la suite des tra- vaux agricoles ( "applanissement" du terrain) manquent souvent:.. La

lave argilisée affleure même parfois, au niveau de talus escarpés où même dans certaines zones, au pied des bananiers (cf. annexe 1 ) .

En d'autres points, sondage n" 6 par exemple, l'épais- seur importante de remblai argileux issu des termes 1 et 2 permet toril', juste d ' ai toi rulrr In lormn 2 tin 1.» nério.

Lafouille n" 3 se distingue des autres sondages, en ce sens que la succession lithologique observée ne s'insère pas dans

le cadre défini plus haut :

0 à 0,40 m : argile brune à légèrement orangée, assez plastique, légèrement enrichie en matière organique près de la surface.

5

(12)

0,4 à 0,9 m : argile ocre jaune peu plastique moins sableuse que le terme 2 et sans les blocs et graviers.

- 0,9 à 2,3 m : argile orangée plastique à blocs centimétriques à décimétriques de lave saine, les plus gros étant assez difficiles à extraire à la pelle mécanique.

Les blocs les plus petits, altérés, mais ni friables ni argilisés, ont un débit en plaquettes et proviennent de la zone de desquamation, en pelure d'oignons, des blocs arrondis décimétriques, trèH réHi Htanl. H .

Ceux-ci ont la même composition minéralogique que l'an- désite argilisée (terme 5 ) . Des conditions d'altération différen- tes (porosité moindre par exemple) liées à une position différen- te au sein de la coulée peuvent expliquer cette variation.

D'une façon générale les parois des fouilles effectuées étaient stables.

Aucune venue d'eau, ni trace d'humidité n'a été obser- vée lors du creusement des fouilles, bien que des précipitations se soient produites le jour des travaux et ceux qui l'ont; précédé

(fin de période humide) et que l'on note la présence de larges plaques d'eau le long des traces en terre.

Aucun indice de la présence temporaire d'une nappe n'a été rencontré, même au sein de l'horizon a priori le moins imper- méable (terme 2 ) .

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(13)

5. EXAMEN DES CONTRAINTES

• Les horizons rencontrés .lors de 1 et réalisation des fouilU-H sont donc essentiellement argileux. Le creusement des sépultures ne nécessitera pas, en règle générale, de moyens importants. Les fouilles pourront être réalisées à la pelle mécanique ou de ma- nière traditionnelle (pelle et pioche) en respectant les condi- tions de sécurité d'usage. Cependant la fouille n° 3 a révélé la.

présence de blocs de lave saine allant jusqu'à 0,50 m de coté. La présence de tels blocs en d'autres endroits du site n'est donc pas à exclure. Elle pourait nécessiter ponctuellement l'emploi d'engins plus lourds.

• Aucune venue d'eau n'a été observée au sein de ces terrains très peu perméables. De ce fait et compte tenu de la pente impor- tante (25 % en moyenne), les eaux non reprises par évapotranspi- ration s'écoulent principalement en surface, puis elles sont col- lectées par les petits canaux qui les amènent vers les ravines.

La présence d'une nappe à moins de 10 mètres de profondeur est très peu probable.

• Nous recommandons cependant lors de l'aménagement du cimetière, de construire un réseau efficace de collecte et d'évacuation ra- pide des eaux de ruissellement vers les ravines à l'aval et ce, pour interdire toute percolation d'eaux de ruissellement à tra- vers les sépultures. Elles risqueraient de polluer, à l'aval, la rivière Petite Lézarde. Il sera nécessaire d'une part de bien di- mensionner ce réseau, et d'autre part de s'assurer d'une pente minimale qui exclut tout risque de stagnation des eaux.

• Enfin aucun signe de mouvement de terrain ancien ou actuel (niches d'arrachement, moutonnement, ,..etc) n'est visible nu droit du alto. Copenidunl , les pentes «ont lor-a I ein<"nl Torl «>H (r»()

%) et il est difficile d'exclure une telle occurence dans des ma- tériaux argileux en cas de pluviosité importante.

7

(14)

L'évacuation des eaux de ruissellement évoquée précédemment prend donc toute son importance. On limitera au maximum les possibili- tés d'érosion de surface, on collectera les eaux venant de l'amont, on les évacuera. Les excavations ne resteront pas ouver- tes plus que nécessaire de façon à ne pas constituer des alimen- tations artificielles.

• Aucune habitation n'a été recensée à moins de 35 m du périmètre de la parcelle étudiée, située (figura 2) en zone NA «elon le Plan d'Occupation des Sols.

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FIGURE 2 - ÉTUDE GÉOLOGIQUE ET HYDROGÉOLOGIQUE POUR LA CRÉATION D'UN NOUVEAU CIMETIÈRE AU GROS-MORNE (Martinique)

Plan d'occupation des sols

ECHELLE 1 / 5000

•\ v^y*

tv:

R 3052 7 ANT AS 90

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6. C O N C L U S I O N

D'un point de vue géologique et, hydrogéologique la par- celle pressentie convient pour la réalisation d'un cimetière : terrains meubles, peu perméables sans nappe d'eau rencontrée aux profondeurs atteintes. La présence d'une telle nappe à moins de 10 m de profondeur est peu probable.

Aucune construction n'a été recensée à moins de 35 m du périmètre de la parcelle considérée. La saisie du Conseil Dépar- temental d'Hygiène n'est donc pas nécessaire.

Nous préconisons cependant, lors de l'aménagement du cimetière, la construction d'un réseau efficace de collecte, no- tamment à l'amont, et d'évacuation des eaux de ruissellement, d'une part pour interdire la percolation de ces eaux à travers

les sépultures et d'autre part pour limiter l'action érosive des eaux de ruissellement et réduire les risques de glissement dans les zones fortement pentues.

Sous réserve du suivi des prescriptions, nous donnons un avis favorable à l'ouverture d'un cimetière sur la parcelle

retenue.

9

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ANNEXES

(18)

Annexa, 1 Localisation des fouilles et des affleurements observés

^- * '

LEGENDE

Fouilles 1 à 13

Affleurement de lave argilisée (terme 5) Affleurement de tuf pyroclastique (terme 2)

Echelle ^

10 20 20

—' ' =*-

S G A N T 5 687

(19)

ANNEXE DESCRIPTION DES FOUILLES ET DES AFFLEUREMENTS OBSERVES"

La succession lithologique composant les sites de sondage est dé- crite en fonction des termes définis dans le texte. Des préci- sions seront apportées lorsque la description s'écarte des carac- téristiques généralement observées.

Un pWin de localisation des fouilles est. fourni en annexe 1.

FOUTT.T.E N° 1

0 a 0,40 m 0,4 à 2,90 m

terme 1 avec couleur lie de vin près de la surface

terme 2

FOUILLE N" 2 :

- 0 à 0,20 m : terme 1 - 0 , 2 à 2,90 m : terme 2

FOUILLE N* 4

0 0,1 m 0,1 à 1,2 m 1,2 à 2 , 4 5 rn

terme 4 (1) légèrement enrichi en matière organique

terme 4 (2) ss terme 5.

FOUILLE Ne 5

- 0 à 0,45 m 0,45 à 0,85 m 0,85 à 1,6 m 1,6 à 2,35 m

terme 1 terme 2 terme 3 terme 4.

A NNEX -. ?. 7 SG ANT SââÔ

(20)

FOUILLE N4 6 : - 0 à 1,0 m

- 1 à 3,0 m

terme 1 mais sans enrichissement net en ma- tière organique. Il est probable qu'il s'a- gisse d'un remblai.

1 m = profondeur du sol originel ??

terme 1 à nouveau puis terme 2 sans transi- tion bien nette entre les deux horizons.

FOUILLE N' 7 :

0 à 1,0 m :

1 à 1,50 m 1,5 à 2,7 m 2,7 à 2,8 m

terme 1 avec cependant quelques rares gra- viers friables et centimétriques de tuf al- téré fit poreux Hemblablfisi a relui que l'on

i >l>Hf! l'Vft <(il H e i n d u l e r i n e 2

terme 2

passage progressif du terme 3 au terme 4 sans qu'aucun des deux faciès ne soit bien net

terme 5.

FOUILLE N° 8

0 à 1,2 m

1,2 à 1,8 m 1.8 à 2,0 m 2,0 à 2,9 m 2.9 à 3,0 m

terme 1 sans enrichissement en matière orga- nique, présence de quelques graviers fria- bles centimétriques semblables à ceux que l'on observe au sein du terme 2.

terme 2 terme 3

terme 4 avec quelques restes de structure de la lave argilisée vers le bas

terme 5.

FOUILLE NT 9

- 0 à 0,6 m : terme 1 avec quelques graviers semblables ceux du terme 2

à 0,6

1,4 1,9 3,0

à à à à

1,4 1,9 3,0 3,15

m m m m

terme terme terme terme

2 3 4 4

(1) argile rouge plastique devenant légèrement bariolée vers le bas (2) argile rouge plastique avec

quelques restes de la structure de la lave argilisée.

ANNEXE : 2.2

(21)

FOUILLE N* 10 :

- 0 à 0,25 m 0,25 à 0,7 m 0,7 à 1,90 m

1,90 à 2,90 m

terme 3 enrichi en matière organique terme 4 s.s

terme 4 t apparition au sein de mottes plus plastiques, de reliques de la structure de la lave argilisée

terme 5.

L'OUÏLLE N° 11

(J

(1, '1 1 , 2

1,8 à .1 A à

0,4

1 ,2

i , n 2,4

m m m m

: ternie

1 1 fM'IllH

: Lerme : terme 1 2 3 4

2,4 à 2,70 m

(1) argile bariolée au sein de la- quelle la couleur rouge domine sur le jaune

terme 4 (2) apparition des premiers nodules argileux blancs centimétriques.

FOUILLE N° 12

- 0 1,3 1,7

à à à

1,30 m 1,7 m 2,75 m

terme terme terme

1 2 3.

FOUILLE N* 13

- 0 à 3,35 m : zone assez homogène au sein de laquelle l'ar gile brune du terme 3 domine et masque une ancienne structure bariolée (terme 4) visi- ble sous forme de reliques au sein des mot-

tes les plus grosses.

On note la présence de quelques niveaux d'épaisseur millimé- triques et d'extension centimétriques d'argile noire (reliques de matière organique).

ANNEXE : 2.3

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