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Sur les électromètres de thomson

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Academic year: 2021

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Texte intégral

(1)

HAL Id: jpa-00237090

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00237090

Submitted on 1 Jan 1875

HAL

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Alfred Angot

To cite this version:

Alfred Angot. Sur les électromètres de thomson. J. Phys. Theor. Appl., 1875, 4 (1), pp.297-304.

�10.1051/jphystap:018750040029700�. �jpa-00237090�

(2)

297

SUR LES ÉLECTROMÈTRES DE THOMSON;

PAR M. ALFRED ANGOT.

Les instruments de mesure que sir William Thomson a intro- duits en électricité ont réalisé un tel

progrès

sur tout ce

qui

avait

précédé,

que leur

emploi

est bientôt devenu universel. Bien que les

principes

sur

lesquels

ils reposent soient

aujourd’hui parfaitement

connus de tous, les détails

particuliers qui

les rendent si

précis

et si

commodes sont souvent encore

ignorés.

L’auteur a donné une des-

cription complète

de ses instruments

(1) ;

mais elle est

quelquefois

un peu

pénible

à

comprendre,

car il

s’y

est attaché à suivre l’ordre

même des idées par

lesquelles

il a

passé

lors de leur

Invention,

donnant à leur date les dii~érentes additions

qu’il

leur a faites suc-

cessivement. Il peut donc être de

quelque

utilité de revenir sur cette

question.

Les instruments définitifs

proposés

par sir lvilliam Thomson pour satisfaire aux différents besoins de l’électricité

statique

sont

au nombre de

six,

mais se ramènent à deux classes

principales :

les

électromètres de

torsion,

dérivant des balances de Coulomb et de

Hankel,

et les électromètres

absolus,

l’on

pèse

réellement l’élec- tricité en déterminant directement en unités de forces, gramme et

milligramme,

la valeur de l’attraction ou de la

répulsion électrique.

Les types de ces deux

catégories

d’instruments sont, pour la pre-

mière,

l’électromètre it

~zcccclnnnts,

pour la

seconde,

le nouvel

électromètre absolu. C’est par ce dernier que nous commence-

rons, certaines de ses

particularités

étant utiles à connaître pour l’étude de l’électromètre à

quadrants.

I. -

Électromètre

absolu.

Le modèle

primitif

de l’électromètre absolu était une

simple

ba-

lance : à la

place

d’un des

plateaux

était

suspendu

un

disque

métal-

lique communiquant

avec une des sources d’électricité dont on

e) Report of Papers on Electrostatics and Jlagnetism, p. 26o à 310.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018750040029700

(3)

potentiel ;

relation avec un second

disque placé

en dessous du

premier.

En

mettant des

poids

dans le second

plateau

de la

balance,

on

pouvait équilibrer

l’attraction des deux

disques

et les ramener à une dis-

tance fixe connue. Si les dimensions des

plateaux

sont

grandes

par rapport à leur

distance,

on peut leur

appliquer

les formules de l’at- traction de deux

plans infinis ;

en

appelant

V leur différence de

potentiel,

D leur

distance, S

leur surface et F l’action

électrique qui

s’exerce entre eux, le calcul conduit à la formule

Le

procédé

était assez délicat pour que, dans les

expériences

de

M.

T11o111SOI1,

l’attraction

produite

à une distance de i millimètre

entre les deux

plateaux

pour une diliércncc de

potentiel égale

à

celle de mille élément Danicll fùt de

5gr,

7o pour

chaque

décimètre

carré de surface.

Cet instrument était

incommode,

car il fonctionnait dans une

position d’équilibre instable ;

de

plus

il n’était pas

permis

de lui

appliquer rigoureusement

les formules des

plans infinis,

car cellcs-ci

supposent une densité

électrique

constante sur le

plateau,

ce

qui

est

loin d’avoir lieu

quand

on

approche

des bords. Aussi l’un des per- fectionnements les

plus remarquables

que lui ait

apportés

31. Thom-

son a été l’invention du

plateau

de

garde (guard plate) qui

ramène

l’appareil

aux conditions

théoriques.

Le

disque supérieur

mobile

sur

lequel

s’exerce l’action est

petit,

mais peut se mouvoir sans frot-

tement dans une ouverture circulaire

pratiquée

au centre d’un

grand plateau

avec

lequel

il est en communication

métallique,

et

qui

constitue le

plateau de 8’arde .; quand

le

pctit disque

se trouve

dans le

plan

du

plateau

de

garde,

il en forme l’élément

central,

et

sur cet élément les formules des

plans

indéfinis deviennent

appli-

cables en toute

rigueur, puisque

la densité

électrique

dans les par- ties centrales d’un

disque

est constante et ne varie que

très-près

des bords.

Au lieu de conserv er pour lc

disque

mobile la

suspension

de la ba-

lance, :B1.

Thomson y a substitué une

disposition plus commode, qui

consiste à le porter par des ressorts

d’acier,

attachés eux-mèmes à

l’extrémité inférieure d’une vis

micrométrique

à tête divisée.

Quand

(4)

299 le

disque

est

attiré,

les ressorts fléchissent et, au moyen de la

vis,

on ramène le

disque

dans le

plan

du

plateau

de

garde ;

on lit alors

non pas la valeur de la

furcc,

mais la flexion des ressorts, en tours de vis et fractions de tour. Pour

graduer l’appareil

et elle déduire

des mesures

absolues,

il

suffira,

tout étant à l’état neutre, de

charger

le

disque

mobile de

poids variables

et de lire à

chaque

fois la valeur

de la flexion.

Dans la

fig.

1,

qui représente

l’ellsclnble de

l’appareil,

on aper-

çoit,

au centre du

plateau

de

garde B,

le

petit disque

mobile

porté

Hg. 1 .

par les

ressorts S ; la vis,

dont la tète divisée C se trouve à la

partie supérieure

de

1 instrument,

donne les fractions de tour, les tours entiers étant

indiqués

par une échelle que le couvercle

empêche

de

voir. De

plus,

pour éviter toute influence des corps extérieurs sur

(5)

partie supérieure disque

portions

de boites

métalliques D,

en communication avec le

plateau

de

garde,

et dont l’une des deux a été

rejetée

sur le côté pour laisser v oir le

disque

mobile.

Le

plateau attractif A,

un peu

plus petit

que le

plateau

de

garde B,

est

porté

par un

pied

isolant terminé par une vis

micrométrique

dont le bouton se voit en

C~,

à la

partie

inférieure de

l’appareil.

En m se trouve une échelle avec vernier

qui

donnera la distance des deux

plateaux.

Comme il serait difficile d’obtenir ex actement cette

quantité

en valeur

absolue,

on ne déterminera que les difl’é-

rences des distances de la manière suivante. Le

plateau

de

garde

B

et le

disque

mobile sont mis en communication permanente avec

une source d’électricité à

potentiel

constant, tandis que le

plateau

A

est réuni nécessairement par l’intermédiaire d’un fil r et d’une

tige métallique

ou électrode

E,

avec les deux corps dont on veut mesu-

rer la dnierence de

potentiel.

La vis

supérieure

C étant

placée

à

une

position convenable,

on ramène le

disque

mobile dans le

plan

du

plateau

de

garde

en

déplaçant

convenablement le

plateau

at-

tractif A.

Soient D, la distance des deux

plateaux quand

cette condition

est

réalisée, V, le potentiel

commun au corps étudié et à

A, V

le

potentiel

constant du

plateau

de

garde

et F la force

qui

s’exerce

alors,

et dont la valeur est donnée par l’échelle

supérieure

et les

divisions de la tête de vis

C ;

on a entre ces

quantités

la relation

Dans la seconde

expérience, quand

on fait

communiquer

A avec le

second corps, on a de même

de ces deux

équations

on déduit

La différence cherchée

V~

- V 2 est ainsi déterminée au moyen de

quantités qui

peuvent être mesurées très-exactement.

(6)

301

Telle est la marche

générale

des

expériences,

mais on voit que, pour

appliquer

ce

procédé,

le seul

rigoureux

et

commode,

il faudra

ajouter

à l’instrument un certain nombre de

pièces accessoires ;

ce

sont :

1 ° Un

appareil

pour

indiquer quand

le

disque

mobile se trouve

exactement dans le

plan

du

plateau

de

garde ;

Une bouteille de

Leyde qui

donne au

plateau

de

garde

et au

disque

le

potentiel

constant

V ;

3° Une

jauge

ou

rnescLneun ~ it~iostatie gauge),

sorte d’électro-

scope

qui indique

si le

potentiel

V

supposé

constant ne varie pas ; 4° Enfin un

j~e~~j~odzccteicr

de

clz~cJ~~, e ~ replcnishen ~,

servant à

augmenter ou à diminuer la

charge

du

plateau

de

garde,

de

façon

à

le ramener

toujours

au

potentiel

V.

Pour vérifier que le

plan

du

plateau

de

garde

contient exacte-

ment le

disque mobile,

celui-ci porte à sa

partie supérieure

un che-

vell tendu liorizontalement. Au moyen d’une

loupe, figurée

en

l,

ce cheveu vient donner une

image

réelle dans le

voisinage

des pa- rois de la cage, entre deux

repères

verticaux V

portés

par le

pla-

teau de

garde

et très-voisins l’un de l’autre. On peut observer cette

image

avec une

loupe 1’ placée

en dehors de la cage, et les

repères

ont été

réglés

de

façon

que

l’image

du cheveu soit

juste comprise

entre eux

quand

le

plateau

de

garde

et le

disque

mobile forment

un même

plan.

La bouteille de

Leyde qui

maintient le

plateau

de

garde

et le

disque

au

potentiel

V est formée par la cage elle-mêrne. Celle-ci

est

cylindrique

et faite d’un flint blanc

particulier, fabriqué exprès

à

Glasgow, très-peu hygrométrique,

et

possédant

des

propriétés

isolantes

remarquables.

Les deux surfaces de ce

cylindre

de verre

sont couvertes à une certaine hauteur de deux bandes d’étain : l’une intérieure forme l’armature interne de la bouteille et

communique

avec le

plateau

de

garde ;

l’autre extéricure

communique

avec le

sol. Les feuilles d’étain sont, du reste,

percées

d’oun ertures

qui

laissent passer la lumière et perlnettent d’observer les

pièces

inté-

rieures. On

charge

cette

bouteille,

soit avec un

électrophore,

soit

avec une lame de caoutchouc durcie et frottée avec de la peau de chat. L’intérieur de la cage

conticnt,

en outre, de la

pierre

ponce

imprégnée

d’acide

sulfurique

pour dessécher

l’air,

et,

gràce

à ces

précautions,

et surtout à la nature du verre, la perte de la bouteille

(7)

très-faible,

peut pas

dépasser vingtième charge

huit

jours.

La

qualité

du verre

joue

donc un rôle

prépondérant

sur

lequel

il est utile d’insister, bien des insuccès,

quand

on a voulu

imiter les

appareils

de

31. Thomson,

étant dus

simplement

à cette

cause..

La

jrzl~bP qui

permet de vérifier si la

charge

de la bouteille a

changé

est une véritable balance

électrique, représentée

en J sur la

figure générale,

et dont les détails sont donnés dans la

fig.

2.

Fig. 2. Fiv. 3.

Elle se compose d’une

petite plaque

carrée d’aluminium p, dis-

posée

horizontalement au-dessus d’un

disque

en relation perma-

nente avec le

plateau

de

garde

B. Ce

disque

est

caché,

dans la

figure générale,

par le couvercle de la cage, mais on

aperçoit

sur la droite

la

tige qui

le relie au

plateau

B. La

plaque

p est 111unie d’une

longue

queue

lz, également

en

aluminium,

et portant à son extrémité un cheveu horizontal. Le tout est

suspendu

sur un fil de

platine f qui

passe par deux

petits

trous

percés

dans la

plaque,

et entre

lesquels

celle-ci est

repliée

en forme de

gaufrage,

de

façon

que le fil reste

toujours

tendu et ramène la

plaque

dans une

position

déterminée.

Quand

le

disque

inférieur

F, qui communique

avec le

plateau

de

garde B,

est

électrisé,

il attire la

plaque

1)

qui communique toujours

avec le sol. Pour que dans les dinerentes

expériences

le

potentiel

V

soit le même, il faut que l’attraction exercée sur p amène le

cheveu, porté

par la queue

h,

entre deux

repères,

ce que l’on observe avec la

loupe

1.

L’appareil

porte en outre deux butoirs

qui empêchent

la

jauge d’éprouver

de trop

grands déplacements

et le cheveu de

(8)

303 sortir du

champ

de la vision. Enfin le tout est recouvert d’une

plaque métallique

formant

couvercle,

et

communiquant

av-ec le sol

pour

prévenir

toute influence des corps électrisés extérieurs sur la

jauge.

La dernière

pièce

est le

reproducteur

de

charge ~re>>lenis7zeo),

’)

petite

machine

électrique

à influence

qui

amène le

plateau

de

garde

à la valeur constante que doit marquer la

jauge ;

la

place

en est

indiquée

en R

(fig. 1 ~

et les détails se trouvent dans

la . fi~ .

3.

Il se compose de deux conducteurs courbes A et

B, coupés

dans

un même

cylindre ;

l’un A

communique

avec l’armature interne de la bouteille de

Leyde

et le

plateau

de

garde,

l’autre B est relié au

sol. En leur centre ces deux

cylindres

portent deux ressorts métal-

liques

a,

b, commurliduant respectivement

avec chacun d’eux et

qui

" débordent à l’intérieur. Deux autres ressorts C et D sont

comprise

entre les deux conducteurs A et

B ;

mais C est très-voisin de

B,

et

D de

A ;

de

plus

ces deux derniers ressorts sont reliés entre eux par

un fil

métallique,

mais sont isolés du reste de

l’appareil.

Enfin deux

plaques

de métal

P, Q

sont

portées

au centre de tout le

système

par

un axe isolant T de caoutchouc

durci,

terminé par un bouton

E, qui

sort de la cage, et permet de faire tourner les deux

plaques P, Q qui,

dans leur mouvement de

rotation,

viennent toucher les quatre

ressorts a,

b, C,

D.

Supposons

que le conducteur

A, qui communique

avec le

plateau

de

garde

et l’armature interne de la

bouteille,

soit

chargé

d’électricité

positive ;

le ressort D

qui

en est le

plus

v oisin se

charge négative-

ment par influence et C devient

positif.

Faisons tourner le bouton E de

façon

que les

palettes P, Q

viennent toucher successivement

D, b,

C

puis

cc. En touchant

b, qui communique

avec le

sol,

les

palettes

sont ramenées à l’état neutre ; au contact de C elles se char-

gent

positivement

et arrivent ainsi au ressort 7;

là,

comme elles se

trouvent dans l’intérieur du conducteur

A,

elles

perdent

leur élec-

tricité, qui

va se porter sur la face extérieure, et, par

suite,

sur le

plateau

de

garde

dont elle augmente la

charge.

En

D,

elles prennent de l’électricité

négative,

mais la

perdent

sur b pour recommencer

de nouveau.

Ainsi,

à

chaque

tour de

bouton,

on a

augmenté

la

charge

de

l’appareil

de la

quantité

d’électricité

qu’ont prise

les deux

palettes

P et

Q.

Si l’on faisait tourner le bouton E en sens inverse, il est bien clair

(9)

qu’on

par suite on diminuerait la

charge

de l’instrument.

Malgré

les

petites

dimensions de ce

reproducteur,

il donne assez

d’électricité pour permettre de rattraper en

quelques

tours les pertes de la

bouteille,

très-faibles du reste, comme nous l’avons vu,

quand

le verre de la bouteille est de bonne

qualité.

Tel est, dans tous ses

détails,

l’électromètre absolu de )1. Tllonlson.

Pour déterminer avec lui la différence de

potentiel

de deux sources,

la marche serait alorsla suivante : on commence par

charger

l’arma-

ture interne avec un

électrophore

ou une lame de caoutchouc

frotté;

puis,

au moyen du

reproducteur

et de

I a ~ auge ~

on

amène,cette charge

à la valeur constante

qu’elle

doit

toujours

avoir. On se donne ensuite

une

position

arbitraire de la vis

qui

porte le

disque mobile,

cette

position

étant choisie seulement de

façon

telle que la distance des deux

plateaux,

lors de

l’équilibre,

ne soit ni trop

grande,

ni trop

petite; puis

on fait

communiquer

le

plateau

inférieur avec l’une des

sources en faisant varier sa

position jusqu’à

ce que le

disque

mobile

ne forme bien

qu’un plan

avec le

plateau

de

garde. On»obtient

ainsi

la force F

qui

s’exerce entre les deux

plateaux

et leur distance D~ .

On recommencera de même avec la seconde source, et, au moyen de la formule donnée

plus

haut, on en déduira immédiatement la dif- férence de

potentiel

en unités absolues.

Cet instrument servira surtout à comparer entre eux tous les électromètres à échelle arbitraire et permettra de tirer

d’eux,

par

exemple

de l’électromètre à

quadrants,

des indications

comparables

les unes aux autres et

exprimées également

en unités absolues.

Les

dispositions générales

de l’électromètre absolu se retrouvent

dans un

grand

nombre d’autres instruments

proposés

par sir W. Thomson. Citons par

exemple

l’électromètre

portatif (portable e/?c/7~7~?tey’),

convenable pour les recherches d’électricité atmo-

sphérique

en voyage ; l’électJ~on~ètJ~e il

grande

course

(long

range

electronteten ~ , qui

permet de mesurer le

potentiel

des

plus puis-

santes machines

électriques,

etc.

~~ suivre.)

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