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Effets de viscosité en régime dynamique pour les liquides newtoniens et non newtoniens

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Academic year: 2021

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(1)

HAL Id: jpa-00206433

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Submitted on 1 Jan 1966

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Effets de viscosité en régime dynamique pour les liquides newtoniens et non newtoniens

U. Bernini, A. Carrelli, F. Porreca

To cite this version:

U. Bernini, A. Carrelli, F. Porreca. Effets de viscosité en régime dynamique pour les liq- uides newtoniens et non newtoniens. Journal de Physique, 1966, 27 (7-8), pp.489-494.

�10.1051/jphys:01966002707-8048900�. �jpa-00206433�

(2)

EFFETS DE

VISCOSITÉ

EN

RÉGIME DYNAMIQUE

POUR LES

LIQUIDES

NEWTONIENS ET NON NEWTONIENS Par U.

BERNINI,

A. CARRELLI et F.

PORRECA,

Istituto di Fisica

Sperimentale

dell’Università di

Napoli

Résumé. 2014 Dans cet article nous avons calculé

l’impédance mécanique

d’un

système

mobile dans un

liquide

en condition de

résonance,

et nous avons trouvé d’utiles relations pour mesurer les

grandeurs viscoélastiques

des

liquides

newtoniens ou non.

Nous décrivons en

plus

le

dispositif expérimental

réalisé pour le contrôle des différentes conclusions

qui dépendent

du comportement newtonien ou non des

liquides

examinés.

L’accord raisonnable entre nos

prévisions

et

l’expérience

nous donne confiance dans ce

dispo-

sitif

simple

et sensible de mesure des coefficients

viscoélastiques,

en

régime dynamique,

pour différentes

fréquences,

pour différentes

températures

et pour différents

gradients

de vitesse.

Abstract. 2014 In this paper we détermine the mechanical

impedance

of a device

moving

in

a

liquid

at résonance, and the relations

by

which we are able to measure the viscoelastic parameters of newtonian and non newtonian

liquids

at different kinetic conditions.

The mechanical device used in order to

verify

some

particular

conclusions

depending

on the

newtonian or non-behaviour of the

liquids

is described.

On the

ground

of the

good

agreement found we think we have at our

disposal

a

simple

and

sensitive device for

measuring

viscoelastic coefficients in

dynamic

conditions versus the

frequency

and the

velocity gradient

as well as

temperature.

PHYSIQUE 27,

Introduction.

- Dans cet

article,

on donne les

premiers

résultats d’une étude du

comportement

viscoélastique

de substances

liquides,

en

régime dynamique,

au moyen d’un viscosimètre à lame

vibrante, perfectionné

par

rapport

à celui utilisé dans des

précédents

travaux

[1]

et

[2] :

on

peut

faire

des mesures à différentes

fréquences

en

plus

de

mesures à différentes

températures

et à différents

gradients

de vitesse. Ce

dispositif

fonctionne à la résonance avec une amélioration notable de la sensibilité et

peut permettre

la détermination des

composantes

réelles et

imaginaires

du coefficient de viscosité.

Le raisonnement suivant est fondé essentiellement

sur les conclusions

qui

se

dégagent

de

l’application

de

l’équation

de Navier-Stokes aux

liquides

incom-

pressibles,

à la

place

d’une

description plus

diffuse

donnée par

l’équation

des vibrations

élastiques

transversales.

A la

plus grande simplicité

de notre

façon

de pro-

céder, s’ajoute

l’accord entre les

prévisions

et les

résultats

expérimentaux

obtenus avec des subs-

tances de

comportement viscoélastique déjà

connu.

1.

Description

du

dispositif expérimental

et

méthode de mesure. - Le

système oscillant,

consis-

tant

1)

en une lame

cylindrique (a)

montée

rigidement

au milieu d’un

support

tubulaire

(b)

de

cuivre

jaune,

est fixé au centre d’une

petite

barre

parallélépipédique (c)

d’aluminium ou autre maté- riau

élastique qui,

excité de

façon convenable, peut

être mis en vibration forcée car il est fixé

rigidement

aux deux extrémités de deux barres verticales

qui

font

partie

du

dispositif

de soutien de l’ensemble du

montage.

FIG. 1.

La

fréquence

de résonance

dépend

essentiellement des dimensions de la

petite

barre : dans notre cas,

elle

peut

avoir des valeurs

comprises

entre 30 et

150 Hz. A chacune des deux extrémités du

support

tubulaire

(b)

est fixé une bobine coaxiale soumise à

un

champ

d’induction

magnétique radial,

constant

et

uniforme, perpendiculaire

aux

spires

et à l’axe x

de la bobine.

Dans l’une d’elles on fait circuler un courant

d’intensité variable et de

fréquence

connue

qui

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphys:01966002707-8048900

(3)

490

imprime

au

système

une force

périodique

suivant

l’axe des x et de la forme :

m étant la

pulsation.

Par suite le mouvement du

système produit

dans l’autre bobine une force élec- tromotrice mesurable en intensité et

phase

sur

l’écran d’un

oscilloscope

et avec un voltmètre élec-

tronique.

L’effet d’induction mutuelle entre les deux bobines est

négligeable,

d’une

part

à cause de la distance

qui

les

sépare,

d’autre

part

à cause de leur faible coefficients d’induction.

Le

liquide

est contenu dans deux

cylindres

de

hauteur h = 5 cm situés à une distance radiale 21 = 2 cm : la lame

cylindrique vibrante,

dont

l’épaisseur

est de l’ordre de 10-2 cm, met en vibra- tion la couche

cylindrique liquide

médiane à une

distance 1 == 1 cm des

parois

du

récipient.

Dans les conditions de résonance du

système, quand

la lame est mise en vibration par une force extérieure

périodique,

il faut aussi tenir

compte

du fait que, sur le

système vibrant, agit

une force

amortie

.F’L dépendant

des

propriétés

de viscosité du

milieu dans

lequel

la lame est

immergée.

Si on

appelle

S la surface de la lame et si on suppose

qu’elle

vibre dans une direction x,

parallèle

à son

axe, avec une

pulsation

lù, au centre d’une couronne

cylindrique

et

coaxiale, d’épaisseur

21 contenant un

liquide

de densité p, la force F est donnée par

(3) :

où i est la vitesse du

système rigide

oscillant à

l’instant t considéré et

ZL l’impédance mécanique

par unité de surface de la lame en contact direct

avec le

liquide ;

elle sera

généralement complexe

et

de la forme :

Pour décrire le

comportement physique

du

liquide

en

expérience

avec la

plus grande généralité,

on con-

sidère que le coefficient de

viscosité y

est

complexe, soit y

=

(LI - i(L2

avec (L2 =

G’Icü [4],

G’ étant la

rigidité

du milieu. On

rappelle

que, en

posant

@

l’expression complexe

de

ZL,

trouvée dans un travail

précédent [1]

comme

appli-

cation de

l’équation

de Navier-Stokes est donnée par :

Par

conséquent

on trouve, avec les conditions

posées,

à

partir

de

l’équation caractéristique

des

oscillations forcées du

système

soumis à une force

extérieure

périodique,

que la vitesse x du

système vibrant,

avec la lame

immergée

dans le

liquide,

est

donné par :

m étant la masse, oei la

pulsation

propre et

Z l’impédance

du

système quand

il oscille à l’air. La

relation

(3)

est valable dans

l’hypothèse

de couches

très minces et de forces

faibles,

on

peut négliger

ainsi les effets de turbulence du

liquide

dus aux

mouvements de bord.

La relation

(3)

montre que : 1° x est

déphasé

par

rapport

à la force

appliquée

et

l’amplitude xo

est

donnée par :

De

l’équation (4),

on tire que

l’amplitude

maxi-

mum

possède

une valeur Mr de 6) pour

laquelle

et son

expression

est la suivante :

Par

suite,

la détermination

expérimentale

de

(xo)

et

des

pulsations

de résonance mi

(lame

dans

l’air)

et CÜr

(lame

dans le

liquide)

et la connaissance des autres

paramètres

du

système,

c’est-à-dire

Zo,

S

et

,F’o, permet

de calculer

Z~

et

Z~

à

partir desquels

on

peut tirer,

au moyen de la relation

(2),

les deux

quantités

~,1 et fL2.

En

posant

_

l’amplitude

de la

vitesse

qu’acquiert

la lame

lorsqu’elle

vibre dans

l’air,

dans les conditions de

résonance,

on obtient

facilement les

expressions

suivantes pour

Z~

et

Z~

1/k

étant le coefficient de

proportionnalité

entre

l’amplitude

de la vitesse et celle de la f. e. m.,

d Vo

induite dans la bobine

réceptrice.

En tenant

compte

maintenant de

l’expression (2)

de

ZL,

il est

intéressant de considérer deux cas

particuliers :

(4)

Dans le cas

a),

on a coth

(1 + i) 1,

d’où

ZL

=

(1 + 1)>p,

ce

qui

donne facilement les relations suivantes

qui expriment

{LI et fonction de

Z[

et de Z"L :

Dans le cas d’un

liquide

newtonien

(~2

=

0),

la

relation

(7)

permet d’obtenir :

et le coefficients

dynamique

de viscosité ~,1 est donné

par : O O

En outre, des

équations (8)

et

(6),

il doit résulter tô, > c’est-à-dire que l’on

peut prévoir

pour les

liquides

newtoniens : 14 une diminution de

l’ampli-

tude de la

vitesse ;

2~ une diminution de la fré- quence de résonance d’autant

plus

forte que le

liquide

est

plus visqueux.

En ce

qui

concerne les

liquides viscoélastiques (~,2 0)

il doit résulter

(pour

la

signification phy- sique

de et en conservant

ZL

>

0)

de la pre- mière des

équations (7) : ZI

> 0. Ce résultat entraîne deux

conséquences :

la variation

de la

fréquence

du

système

doit être

négative,

voir

(6),

et, en outre, si l’on considère

l’expression

de

Z~ :

Z"L sera

fonction croissante de

fkl et

décroissante de tL2.

En d’autres termes, la variation de

fréquence (en

valeur

absolue)

doit

augmenter

avec la viscosité

dynamique

et diminuer

lorsque

fk2 croît.

Dans le cas

b),

de

pl)

«

1,

il résulte :

et

(5’)

et

(6)

donneront :

c’est-à-dire que ~1 et ~2 sont directement propor- tionnels aux

parties

réelles et

imaginaires

de

l’impé-

dance du

système

oscillant.

En outre, pour un

liquide

newtonien

(f.L2

=

0), on

doit

avoir,

y dans ces

conditions,

une

variation

nulle

de la

fréquence

de résonance.

Dans le cas d’un milieu

viscoélastique (~,~ ~ 0),

il résulte de

(13)

une variation

positive

Du de la

fréquence

de

résonance, dépendant exclusivement

de la valeur ou, si V’ 2 = d’autant

plus

élevée que la

rigidité

du milieu en

expérience

est

plus

élevée.

L’ensemble des résultats obtenus est en accord

avec ceux obtenus par d’autres

[5]

attribuant au

milieu les

propriétés

d’un solide sollicité par des vibrations transversales et caractérisé par un module de

rigidité complexe :

En leur

appliquant l’équation générale

des ondes :

selon les valeurs de G* on a des variations corres-

pondantes

de la

fréquence

de résonance du

système.

2. Résultats

expérimentaux

et conclusions. - Dans ce

paragraphe

on

présente

les

principaux

résultats

expérimentaux qui

vérifient la théorie

pré-

cédente. Ils se

rapportent

à une

fréquence

d’environ

50 Hz et à une seule valeur de la force extérieure donc de

l’amplitude

de la vitesse. On se réserve d’étendre les résultats actuels en fonction de la fré- quence et du

gradient

de vitesse dans des articles ultérieurs.

Pour la vérification

expérimentale

dans le cas des

liquides newtoniens,

nous donnons les résultats obte-

nus avec une solution aqueuse de saccharose

(C. Erba), quasi

saturée : c = 65

%

à 20

’OC,

subs-

tance de

comportement

newtonien connu et

généra-

lement utilisée pour

l’étalonnage

des viscosimètres.

Pour l’étude du

comportement viscoélastique,

nous avons

pris

une solution de

polystyrène

de

poids

FIG. 2.

(5)

492

moléculaire = 520 000 dans la

diméthylf ormamide,

solution

déjà

très utilisée par

beaucoup

de cher-

cheurs,

ainsi que des

dispersion

en solution aqueuse

de saccharose de fibres

élastiques

de cellulose de conifères dans du bisulfite

(de

l’Ente Natio-

nal

Cellulose,

transmise par le pr

Segre)

dont la lon- gueur est du même ordre de

grandeur

que les dimen- sions transversales du

récipient (cliché

au

microscope

de la

figure 2, agrandissement 50) .

Nos recherches ont

porté

essentiellement sur la validité de la relation

(5)

et donc de la relation

(1),

c’est-à-dire sur la non

dépendance

de

ZL

avec

Fo,

nous avons trouvé que

(1)

est valable pour des valeurs suffisamment

petites

de

Fo.

L’amplitude

de la f. e. m.

induite AV0 (ocxo),

mesurée dans des conditions de

résonance,

en fonc- tion de l’intensité du

courant io (oaFo)

circulant

dans la bobine

primaire,

est montrée

( fig. 3 ;

FIG. 3.

courbe

a)

l’allure linéaire dans le cas du mouvement

de la lame dans l’air et courbes

b)

et

c) respecti-

vement celles relatives au mouvement dans l’eau et dans la solution de saccharose pour une même super- ficie de la lame

immergée.

Pour les solutions de

saccharose,

la condition

pl)

» 1 est bien vérifiée dans nos

conditions,

pour

un

large

intervalle

thermique (10

- 30

OC)

comme

on peut le calculer sur la base des valeurs du coeffi- cient de viscosité connu. En mesurant les

impé-

dances dans de telles conditions nous avons obtenu les valeurs

reportées

dans le tableau

I,

elles vérifient

assez bien la relation

ZL

=

Z~ (8)

du

précédent paragraphe).

En outre, les variations de

fréquence

de résonance en fonction du coefficient de viscosité

( fig. 4)

s’accordent avec la diminution

prévue

et les

valeurs de obtenues à

partir

de la relation

(9)

FIG. 4.

coïncident,

aux erreurs

près,

avec celles du coeffi- cient de

viscosité -1

mesuré au viscosimètre d’Ostwald

(tableau 1).

TABLEAU 1

Pour satisfaire à la condition «

1,

sans

changer l,

nous avons abaissé la

température jusqu’à

- 10

OC, température

pour

laquelle

elle est

large-

ment satisfaite et, dans ces

conditions,

on vérifie

parfaitement

la relation Lw = 0 comme cela est

montré

(fig. 5)

l’on

porte

les valeurs de Av en

FIG. 5. - La courbe

supérieure

est la courbe e.

(6)

fonction de la

fréquence

aux environs de 52 Hz. La

courbe

e)

est relative au

système

oscillant dans l’air

pt les courbes

f )

et

g)

à une lame oscillant dans le

liquide

à une

profondeur

de 5 et 20 mm

respecti-

vement.

Il faut remarquer, en ce

qui

concerne la vérifi-

cation des effets

prévus

pour les

liquides

viscoélas-

tiques, qu’il

n’est pas

possible

de

calculer,

a

priori,

la valeur de

~l,

la valeur de [J.2 n’étant pas connue, à la différence des

liquides

newtoniens pour

lesquels

[J.2 = 0 et p., coïncide avec le

coefficient 1)

de visco-

sité mesurable au viscosimètre d’Ostwald. Ainsi donc il n’est pas

possible

de connaître exactement les limites de validité des cas

a)

et

b)

du

paragraphe précédent.

Toutefois pour des valeurs élevées de la compo-

sante

complexe

[J.2 de la

viscosité,

ou de la

rigidité G’,

il est à

prévoir

une variation

positive caractéristique

de la

fréquence

de résonance en fonction de celle du

système

libre mais pour des valeurs suffisamment

petites

de 03BC2, des variations

négatives

de

Av

telles

que

ZL

>

Z~.

Ce

comportement caractéristique

de substance

viscoélastiques

pour des variations de leurs condi- tions

physiques

a été trouvé aussi bien pour une

solution de

polystyrène

dans la

diméthylformamide

à 20 °C à diverses concentrations

( fig. 6)

que pour

FIG. 6.

une

dispersion

de cellulose de conifère en solution acqueuse de

saccharose,

à diverses

concentrations,

à 10 oC et 24 OC

( fig. 7).

Un

comportement analogue

a lieu aussi pour la

glycérine (produit Merk) qui,

à très basse

tempé-

~

F i c.. 7.

rature, a un

comportement viscoélastique

net

8).

Il faut noter que, si elle obéissait à un com-

portement newtonien,

la courbe devrait passer par les

points marqués

de croix

( X

X

X ) qui

ont été

calculés sur la base des valeurs des

coefficients Y)

de

viscosité mesurés au viscosimètre d’Ostwald.

FIG. 8.

(7)

494

En

conclusion,

il semble

qu’un

accord raisonnable existe entre l’ensemble des résultats déduits de l’étude des

propriétés

de viscosité des fluides en

régime dynamique

et ceux vérifiés

expérimenta-

lement avec

quelques liquides qui

peuvent être considérés comme

liquides types.

Cet accord autorise

l’application

de notre méthode

expérimentale

à la détermination du coefficient de

viscosité en

régime dynamique

et les recherches ulté- rieures tendront à établir la

dépendance

des coef-

ficients de viscosité ~1 et ~2 avec la

fréquence,

la

température

et le

gradient

de vitesse dans le but de

comprendre

les facteurs structuraux

qui

influent

sur le

comportement

newtonien ou non des

systèmes

naturels fluides.

Manuscrit reçu le 24 Février 1966.

BIBLIOGRAPHIE

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