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Briser les tabous, pour renoncer aux illusions sur l’enseignement du polonais, langue prétendument « facile »

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Academic year: 2021

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CENTRE DE CIVILISATION POLONAISE UNIVERSITÉ PARIS-SORBONNE

POLONICUM, CENTRE D’ENSEIGNEMENT DE POLONAIS LANGUE ÉTRANGÈRE UNIVERSITÉ DE VARSOVIE

LE

POLONAIS

LANGUE ÉTRANGÈRE

ENSEIGNER ET APPRENDRE

SOUS LA DIRECTION DE Leszek Kolankiewicz ETD’Andrzej Zieniewicz

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aPPrenants

formations

cursus

aPPrenanTs -FormaTions -cursus

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AnnA deMAdre-synorAdzkA

Briser les taBous, Pour

renoncer aux illusions sur

l’enseignement du Polonais,

langue Prétendument « facile »

Je voudrais d’abord délimiter le champ auquel s’appliquent les thèses que je vais présenter, car si nous sommes tous spécialistes dans le domaine de l’enseignement du polonais­langue étrangère, nous travaillons dans des conditions qui peuvent varier de façon très sensible et, par là même, nous n’exerçons pas vraiment le même métier.

C’est une chose d’enseigner à de vrais débutants, c’en est une autre d’enseigner à des personnes d’origine polonaise, aux racines familiales encore proches ; d’enseigner à des étudiants slaves et à des non­slaves, d’avoir affaire à un public mixte, composé d’étrangers d’origines diverses et d’enseigner à un public linguis­ ti quement homogène. C’est une chose d’enseigner le polonais à des étrangers installés en Pologne, et de ce fait non seulement plongés en permanence dans le bain linguistique, mais ayant aussi un besoin urgent de communiquer dans la vie de tous les jours ; c’en est une autre d’enseigner cette langue à l’étranger. Enfin, c’est une chose d’enseigner dans une école privée qui peut se permettre d’assurer plusieurs cours de langue par jour, c’en est une autre de travailler dans un établissement public qui n’est à même de pro­ poser que quelques heures de cours de langue hebdomadaires. Je vais parler de mon expérience de l’enseignement du polonais à de « vrais débutants » francophones dans une université française « ordinaire », c’est­à­dire autre que l’INALCO, qui dispose, dans ce domaine, de ressources humaines et de moyens matériels net­ tement supérieurs à ceux des autres universités.

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Ayant travaillé dans six sections différentes de polonais en France (Toulouse, Nancy, Caen, Paris IV, INALCO et Lille), j’ai constaté alors (il y a peut­être eu depuis, ici ou là, quelques changements) que dans chacune de ces sections dominait, pour l’essentiel, la même approche de l’enseignement de la langue : si étonnant que cela puisse paraître, les objectifs de la formation n’étaient pas réellement définis. Partout, les débutants étaient admis en première année de Licence, mais nulle part on ne se prononçait avec précision sur la question de savoir à quel niveau de connaissance de la langue les enseignants étaient censés amener ce public, compte tenu des moyens concrets dont disposait la section. Il était, en quelque sorte, sous­entendu que l’idéal serait que les francophones rattrapent le plus vite possible leurs camarades polonophones dans la connaissance de la langue, mais personne n’indiquait comment ils pourraient y parvenir, ni même ne s’interrogeait sur la faisabilité d’un tel projet. Pourtant, il suffit de faire quelques calculs pour se rendre compte de ce qui est possible dans ce domaine, et de ce qui ne l’est pas.

Le Foreign Service Institute (FSI), agence gouvernementale amé ricaine dont l’objectif principal est d’enseigner les langues étrangères aux diplomates et autres professionnels américains, a établi un classement des langues, en les divisant en cinq catégories, selon le nombre d’heures qu’il faut consacrer à leur étude pour atteindre le 3e niveau (c’est­à­dire le niveau le plus élevé) de

connaissance dans chacune de ces langues. D’après ce classement dans un ordre de difficulté croissante, le polonais (avec les autres langues slaves) se trouve dans la quatrième catégorie, la cinquième et dernière catégorie étant celle des langues dont la maîtrise est la plus coûteuse en temps. Selon cette étude, pour atteindre un excellent niveau de connaissance du polonais, un anglophone a besoin de 1100 heures de cours, c’est­à­dire deux fois plus qu’il ne lui en faut pour apprendre, par exemple, le français ou l’espagnol (langues considérées comme proches de l’anglais), et deux fois moins qu’il ne lui en faut pour maîtriser le japonais ou l’arabe

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(langues considérées comme encore plus difficiles que les langues slaves) 1.

I 575-600heures afrikaans, danois, espagnol, français, italien, néerlandais, norvégien, portugais, roumain, suédois

II heures750 allemand

III heures900 indonésien, malais, swahili

IV heures1100

albanais, arménien, azéri, bengali, birman, bosniaque, bulgare, croate, estonien, finnois, géorgien, grec, hébreu, hindi, hongrois, islandais, khmer, laotien, letton, lituanien, macédonien, mongol, népali, ourdou, ouzbek, pashto, persan, polonais, russe, serbe, slovaque, slovène, tagal, tchèque, thaï,

turc, ukrainien, vietnamien, zoulou

V heures2200 arabe, cantonais, coréen, japonais, mandarin

J’ignore si une telle étude a été effectuée pour les étudiants francophones (je présume qu’elle l’a été), mais je peux imaginer que les résultats seraient comparables en ce qui concerne le temps nécessaire à un Français pour parvenir à maîtriser une langue slave. Pour ménager l’amour­propre de nos étudiants francophones, et surtout pour adopter l’approche la plus optimiste possible, nous admettrons toutefois que notre public pourra atteindre le même objectif qu’un public anglophone, avec un volume horaire inférieur d’une centaine d’heures (c’est­à­dire de près de 10 %).

Prenant ainsi pour référence le chiffre de 1000 heures néces­ saires à l’apprentissage du polonais, je vous propose de nous pencher de plus près sur les moyens dont nous disposons dans une université française « ordinaire ». Pour plus de précision, je

1 http://www.effectivelanguagelearning.com/language­guide/language­difficulty.

Remarquons que ce classement est sans doute, sur plusieurs points, discutable, par exemple lorsque toutes les langues slaves y sont indifféremment rangées dans la quatrième catégorie, le polonais ou le russe étant ainsi mis sur le même plan que le bulgare, qui n’a presque plus de déclinaisons nominales.

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vais me servir de l’exemple de la section de polonais à Lille, où je travaille depuis maintenant deux ans.

Dans la maquette actuelle de nos études, nous avons en mo­ yenne 4 heures et demie de cours de langue proprement dite (c’est­ à­dire de grammaire, d’expression écrite, d’expression orale, de compréhension écrite et orale) par semaine. L’année universitaire étant composée de 24 semaines, dont deux sont consacrées à des examens partiels 2, cela donne à peine 100 heures de cours de

langue par an. En multipliant ce chiffre par trois, c’est­à­dire par le nombre d’années du cursus de Licence, nous arrivons à un total de 300 heures de cours de langue − autrement dit pas même un tiers du volume horaire censé assurer aux étudiants la maîtrise du polonais.

Ce bref calcul montre que nous n’avons absolument pas les moyens de permettre à nos étudiants francophones débutants de devenir des « utilisateurs autonomes » du polonais (selon la terminologie du CECRL – Cadre européen commun de référence pour les langues).

Mon propos n’est pas de revendiquer une augmentation du nombre d’heures consacrées à l’enseignement de la langue, car nous savons tous que l’Université française procède actuellement, pour des raisons budgétaires, à une réduction drastique des volumes horaires d’enseignement. Toutefois, je souhaiterais que nous cherchions à répondre avec lucidité à la question suivante : comment utiliser les moyens dont nous disposons pour concevoir, malgré tout, une formation attractive, c’est­à­dire cohérente, et surtout une formation dont les objectifs soient clairs, aussi bien pour les enseignants que pour les étudiants ?

J’envisage deux possibilités. La première serait de renoncer à enseigner la langue aux débutants, ce qui permettrait de récupérer un volume de 300 heures annuelles pour renforcer l’enseignement

2 Dans le cadre du contrôle continu, deux examens partiels se font en cours (un par

semestre), deux autres ont lieu pendant la session des examens semestriels.

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d’autres matières, et ainsi mieux encadrer nos étudiants polono­ phones. La seconde solution serait de maintenir les cours de polonais destinés aux étudiants francophones durant les trois années de Licence, mais en indiquant clairement dès le départ à quel niveau de connaissance de la langue nous serons capables de les amener, compte tenu des moyens dont nous disposons.

Étant une fervente adepte de l’enseignement du polonais aux débutants francophones, je ne vous cacherai pas ma préférence pour la seconde solution. Je vais donc faire des calculs, en consi­ dérant, d’une part, les questions qui doivent être traitées en cours de grammaire (matière, selon moi, fondamentale dans l’appren­ tissage d’une langue aussi difficile que le polonais) et, d’autre part, les moyens qui me sont attribués par mon université.

Il faut bien commencer, c’est inévitable, par l’étude des 7 cas des déclinaisons. Étant donné la lourdeur de la morphologie nominale polonaise, pour qu’un étudiant puisse vraiment s’approprier la déclinaison des substantifs, celle des adjectifs et celle des pronoms, il faut consacrer deux séances de grammaire à l’étude de chaque cas. Faisons le compte : 7 cas multipliés par 2, et cela au singulier et au pluriel. Le résultat de ce calcul est simple : pour couvrir le seul apprentissage des déclinaisons, j’ai besoin de la totalité du volume horaire prévu pour la grammaire en première année de Licence (puisque je dispose seulement de 22 semaines pour effectuer un programme qui devrait, dans l’absolu, en compter 28). Qu’à cela ne tienne ! Il est fondamental qu’à la fin de la première année les étudiants maîtrisent les automatismes de la morphologie nomi­ nale. On ne peut faire, ne fût­ce que partiellement, l’éco nomie de cette étape, car si on laisse les étudiants accéder à la deuxième ou à la troisième année de Licence sans qu’ils soient capables de manier les déclinaisons avec une grande aisance et une profonde com­ préhension de ces mécanismes, il faudra de toute façon combler plus tard ces lacunes, en y consacrant une part non négligeable des cours de L2. Mais ce ne serait pas là une bonne solution, car si l’on revient sur le programme de la première année, on frustre

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les étudiants, qui ont alors, à juste titre, l’impression de piétiner. Il est beaucoup plus stimulant de faire en sorte qu’à chacun des trois niveaux de Licence, les étudiants aient la sensation d’acquérir de nouvelles compétences.

Ainsi, compte tenu du programme de la première année de Licence que je viens de définir, et en considérant qu’il est éga­ lement possible d’enseigner en L1, parallèlement à la morpho­ logie nominale, les bases de la morphologie verbale, les 22 séances de grammaire en deuxième année de Licence peuvent être essentiellement consacrées à l’étude de l’aspect des verbes à l’infinitif, au futur, au passé, à l’impératif et au conditionnel. Ce programme est­il trop limité ? Je ne le pense pas, à condition que les étudiants en assimilent vraiment le contenu. D’ailleurs, il me paraît tout à fait faisable de le compléter par l’étude d’une problématique, fondamentale mais relativement réduite : la syntaxe de la phrase simple. De cette façon, à l’issue de la deuxième année, les étudiants auront acquis ce que l’on peut considérer comme les bases de la grammaire polonaise.

S’appuyant sur ces solides fondations, le programme de la troi­ sième année de Licence se composera de l’étude des participes, des gérondifs, des phrases impersonnelles, de la syntaxe de la phrase complexe, des substantifs déverbatifs et de la déclinaison des numéraux. Ainsi, le titulaire d’une Licence de polonais couvrant la totalité du programme que je viens d’énoncer aura vu, quoi qu’il en soit, l’ensemble des questions essentielles de la grammaire polonaise. Par ailleurs, si l’enseignement des cours d’expression et de compréhension écrites et orales se déroule de façon aussi systématique et conséquente, et – c’est crucial − en étroite liaison avec le programme du cours de grammaire, ce parcours assurera finalement à nos étudiants une formation solide et de qualité.

Est­ce à dire pour autant qu’à l’issue de la troisième année de Licence un étudiant francophone pourra s’exprimer couramment sur la littérature, l’histoire ou la philosophie ? Évidemment non !

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Car, répétons­le, au bout de 300 heures de polonais, un étudiant ne peut acquérir les mêmes compétences linguistiques qu’après 1000 heures de cours. En revanche, ayant découvert et appris, pendant les trois années de Licence, l’ensemble du système lin­ guistique polonais, l’étudiant sera désormais réellement à même (mais seulement maintenant) de faire face à des exercices tels que le thème et la version littéraire ou économique. Il sera également capable de suivre des cours d’histoire ou de littérature assurés exclusivement en polonais, étant entendu que sa connaissance de la langue ne pouvait jusqu’alors lui permettre de suivre, à la rigueur en 3e année de Licence, que des cours d’ « initiation » à la

littérature ou à l’histoire, en polonais « édulcoré ». Ce sera donc le moment approprié pour plonger cet étudiant « dans le bain », c’est­à­dire l’envoyer dans une université en Pologne, où il fera un séjour d’un an, ce qui lui permettra de progresser considérable­ ment dans le domaine de la compréhension et de l’expression, car il sera alors suffisamment armé pour tirer le plus grand profit de son séjour. Ce serait également le moment de lui proposer, comme alternative, de poursuivre une étude systématique du polonais dans une université française au niveau du master, s’il y existait des cours permettant d’approfondir la formation que je viens de décrire. Malheureusement, à ma connaissance, de tels cours ne sont en place nulle part, en tout cas pas à Lille, où la langue n’est plus enseignée au niveau des études du master.

Pour revenir à la question que j’ai posée, au début de mon intervention, de savoir s’il est possible de concevoir, dans une université française « ordinaire », un enseignement du polonais à la fois attractif et réellement efficace, je pense être parvenue à une conclusion plutôt positive. Certes, nous n’avons pas les moyens de former dans notre cursus de Licence des étudiants que l’on pourrait qualifier dans la nomenclature du CECRL d’« utilisateurs expérimentés, autonomes ». Mais, même en enseignant une langue aussi difficile que le polonais, dont l’apprentissage est très coûteux en temps et en énergie, nous pouvons assurer à nos

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étudiants l’acquisition de bases solides, ce qui ne manquera pas de procurer à notre public francophone de grandes satisfactions, car il ne trouvera nulle part ailleurs en France ce type de formation.

Je dois néanmoins souligner que la réalisation de ce qui constitue un véritable défi ne sera possible que si nous observons les règles suivantes :

Même si l’acquisition de compétences grammaticales n’est pas une fin en soi, l’enseignement de la grammaire doit occuper la place principale parmi les cours de langue, et cela durant les trois années du cursus de Licence.

Tous les cours de langue doivent être confiés à des enseignants ayant une réelle formation dans cette spécialité. Il ne suffit pas d’être un « native speaker » diplômé dans un autre domaine, pour pouvoir assurer des cours de polonais de qualité. Et comme tout se joue, en fait, dès la première année d’apprentissage, il faut veiller à ce que les meilleurs spécialistes interviennent à ce niveau de la Licence.

Toutes les personnes qui interviennent dans l’enseignement de la langue au même niveau de la Licence doivent étroitement collaborer, et il est également souhaitable que l’une d’entre elles supervise le travail de l’ensemble de l’équipe pédagogique. Ce rôle devrait être tenu par un enseignant spécialiste titulaire, de façon à assurer une continuité et à éviter les incidences que peuvent avoir les fréquents changements d’enseignants contractuels.

Pour certains d’entre vous, ce que je viens de dire n’est proba­ blement qu’une suite d’évidences. Pour d’autres, je le sais, ce que je prêche relève d’une vision « passéiste », surtout à l’époque où l’on veut encore faire croire qu’il est possible d’apprendre une langue étrangère sans grand effort, de façon « communicative », ou même « ludique ». Vous avez compris que je ne suis pas de cet avis. Si l’on veut acquérir les bases du polonais, il faut être prêt à fournir pendant les trois années de Licence un travail assidu, voire acharné. D’ailleurs, je constate que nos étudiants n’attendent

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pas de nous que nous les distrayions. Ils n’ont pas non plus besoin que nous les bercions d’illusions, en leur faisant croire qu’avec une Licence de polonais, ils pourront aisément obtenir des postes de traducteurs dans le cadre de l’Union Européenne. Nos étudiants viennent à nous pour chercher une formation solide et structurée, basée sur des objectifs bien définis. C’est cela que nous devons leur assurer.

En conclusion de cette communication à usage externe, mais aussi, vous l’aurez compris, à usage interne, je voudrais affirmer que l’étude de la grammaire, telle que je la préconise, est loin d’en­ nuyer ou d’effrayer les étudiants. Ils sont parfaitement conscients que la maîtrise des mécanismes morphologiques et des règles syntaxiques est indispensable pour s’exprimer correctement en polonais, ou tout simplement pour comprendre cette langue. Si le dosage des questions à assimiler est adapté aux capacités de nos étudiants, si l’on ne brûle pas les étapes et si l’on prend le temps de réviser de façon régulière, le cours de grammaire n’est pas une torture, mais, bien au contraire, un moment d’exercice intellectuel qui procure d’intenses satisfactions, car il permet de franchir de façon tangible les paliers donnant accès à une langue ardue, mais magnifique, et à une culture européenne d’une grande richesse.

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