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Date de parution : Le 11 Mai 2009

Cursus : Peu de formations spécialisées

Créé en 2006, le Centre de formation de la profession d’assurances (CFPA) prépare des agents de maîtrise et cadres opérationnels aux métiers de l’assurance.

«C’est le seul organisme privé de formation au Maroc qui dispense des formations diplômantes dans le domaine des assurances», assure un conseiller pédagogique.

Il fait savoir que «ce centre a été fondé pour répondre à la volonté de la Fédération marocaine des sociétés d’assurance et de réassurance (FMSAR) et des opérateurs du secteur d’accompagner leurs ressources humaines».

D’ailleurs, il est indiqué que 10 % des effectifs des compagnies y sont inscrits chaque année.

Deux types de formations diplômantes sont proposés.

Le premier est le Brevet professionnel assurances (BPA) qui permet d’acquérir en deux ans les connaissances techniques approfondies de l’assurance.

Il s’adresse principalement à des candidats diplômés ou non ou qui justifient d’une expérience notable dans le domaine des assurances.

Le second, le Brevet de technicien supérieur en assurance (BTSA), est destiné à des titulaires d’un diplôme équivalent au Bac+2.

La formation est également d’une durée de deux ans. Un cursus de trois ans est en préparation.

En dehors des cursus du CFPA, le mastère en droit des assurances de l’Université Hassan II de Casablanca est l’une des rares formations spécialisées offertes sur la place alors que les besoins en ressources compétentes sont significatifs.

Brahim Habriche

Lien du site : http://www.lavieeco.com/la-vie-eco-carrieres/13717-comment-axa-assurance- maroc-gere-sa-politique-de-recrutement.html

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La vie Eco

Assurances, un secteur en manque de compétences malgré les opportunités

Le secteur souffre d’un déficit d’image par rapport aux autres professions de la finance.

Pour le recrutement, les compagnies privilégient l’approche directe.

Les besoins en chargés de clientèle s’accroissent en raison de la multiplication des plateformes téléphoniques.

Avis aux jeunes lauréats de l’enseignement supérieur ! Entre les opérations de rajeunissement des effectifs et l’émergence de nouveaux métiers, les chances de trouver un emploi dans le secteur des assurances et d’y faire carrière se sont multipliées ces dernières années. Ceci parce que le secteur est en pleine mutation et le champ de croissance est encore très vaste -à peine 20 milliards de DH de primes en 2008. Des professionnels du secteur indiquent que 30% de l’encadrement devraient partir en retraite dans les toutes prochaines années. C’est dire que les opportunités ne manqueront pas.

Seulement voilà, le secteur, qui emploie actuellement moins de 10 000 personnes, entre salariés et intermédiaires d’assurances (courtiers et agents d’assurances), souffre de plusieurs maux.Tout d’abord, il n’est pas suffisamment attractif auprès des jeunes. Contrairement au secteur bancaire, par exemple, l’assurance souffre encore d’un déficit d’image par certains aspects tels que les salaires qui sont souvent moins élevés. Mais ce n’est pas tout. «A l’inverse des banques, qui jouent la proximité auprès des lauréats, les compagnies d’assurances se montrent trop discrètes», explique un expert du secteur. Elles sont moins présentes dans les salons de recrutement, font peu d’opérations de proximité dans les écoles et universités... Pour cet expert, la raison de ce désintérêt est aussi d’ordre culturel. «De façon générale, l’assurance est perçue de manière négative. Comment voulez-vous alors les sensibiliser aux métiers de l’assurance et des opportunités d’emploi ?», s’interroge-t-il.

Mais là où le bât blesse, c’est que le secteur manque cruellement de filières de formation. Et la suppression, à la fin des années 90, de l’Ecole marocaine des assurances, qui relevait de la Fédération marocaine des sociétés d’assurance et de réassurance (FMSAR), n’a guère arrangé les choses. Actuellement, seule la Faculté de droit de l’Université Hassan II de Casablanca propose un master en droit des assurances. Le nombre de lauréats étant limité, il est difficile de satisfaire les besoins du marché. Face à ce déficit, la fédération a conclu en 2007 un partenariat avec une école privée spécialisée, le Centre de formation de la profession d’assurances (CFPA) qui organise deux types de formations diplômantes: un Brevet professionnel en assurance et un Brevet de technicien supérieur en assurance

Brahim Habriche 11-05-2009

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FMSAR. Formations Diplômantes

Le Centre de Formation de la Profession d'Assurances (CFPA) lancera à Casablanca, deux formations diplômantes.

Il s'agit du "Brevet Professionnel Assurances" et du "Brevet Technicien Supérieur Assurances", deux diplômes créés en partenariat exclusif avec la Fédération Marocaine des Sociétés d'Assurances et de Réassurances (FMSAR) et l'école française nationale d'Assurances (Groupe ENAS). Les objectifs pédagogiques, le cursus et les compétences visées par ces deux diplômes ont fait l'objet de conventions signées par Mohamed Hassan Bensalah, président de la FMSAR, Tayeb Rhafes, président fondateur du CFPA et Michel Vallette, président du Groupe ENAS. Ces nouveaux diplômes doivent permettre d'acquérir, en deux ans de formation, des connaissances fondamentales en techniques, droit, économies et communication nécessaires à l'exercice des métiers de l'assurance.

CGM INFOS.

La tribune des entreprises au MAROC 21/09/2007

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Sur 44 Fédérations, la moitié est «assurée»

Lematin, le vendredi 15 mai 2009

"En tous les cas, c'est ce qui ressort de la conférence organisée, au Centre de formation de la profession d'assurance (CFPA), par l'Association «Sport et Amitié », présidée par Saïd Benmansour, dont le thème est «La couverture d'assurance des accidents du sport et l'amélioration des conditions de prévoyance».

Assurances, nouvelles formations diplômantes

Une première au Maroc. Le Centre de Formation à la Profession d’Assurances (CFPA) vient d’annoncer récemment le lancement de deux formations diplômantes, en l’occurrence le Brevet professionnel Assurances et le Brevet technicien supérieur Assurances.

Ces deux diplômes, créés en partenariat avec la Fédération marocaine des société d’Assurances et de Réassurances (FMSAR) et l’école française nationale d’Assurances (Groupe ENAS),visent ・faire acquérir aux candidats, en deux ans de formation, des

connaissances fondamentales en techniques, droit, économie et communication nécessaires à l’exercice des métiers de l’assurance. La mise en place de ces deux nouvelles formations intervient au moment où le Marché marocain de l’assurance, le deuxième d’Afrique, connais un essor important. Un marché normalement en pleine mutation, notamment avec le processus de concentration des compagnies d’assurances, la modernisation de la législation avec le Code des Assurances et la libéralisation des tarifs de certaines garanties.

Maroc Hebdo International N° 759 du 21 au 27 Septembre 2007

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La vie Eco

Assurances, un secteur en manque de compétences malgré les opportunités

Le secteur souffre d’un déficit d’image par rapport aux autres professions de la finance.

Pour le recrutement, les compagnies privilégient l’approche directe.

Les besoins en chargés de clientèle s’accroissent en raison de la multiplication des plateformes téléphoniques.

Avis aux jeunes lauréats de l’enseignement supérieur ! Entre les opérations de rajeunissement des effectifs et l’émergence de nouveaux métiers, les chances de trouver un emploi dans le secteur des assurances et d’y faire carrière se sont multipliées ces dernières années. Ceci parce que le secteur est en pleine mutation et le champ de croissance est encore très vaste -à peine 20 milliards de DH de primes en 2008. Des professionnels du secteur indiquent que 30% de l’encadrement devraient partir en retraite dans les toutes prochaines années. C’est dire que les opportunités ne manqueront pas.

Seulement voilà, le secteur, qui emploie actuellement moins de 10 000 personnes, entre salariés et intermédiaires d’assurances (courtiers et agents d’assurances), souffre de plusieurs maux.Tout d’abord, il n’est pas suffisamment attractif auprès des jeunes. Contrairement au secteur bancaire, par exemple, l’assurance souffre encore d’un déficit d’image par certains aspects tels que les salaires qui sont souvent moins élevés. Mais ce n’est pas tout. «A l’inverse des banques, qui jouent la proximité auprès des lauréats, les compagnies d’assurances se montrent trop discrètes», explique un expert du secteur. Elles sont moins présentes dans les salons de recrutement, font peu d’opérations de proximité dans les écoles et universités... Pour cet expert, la raison de ce désintérêt est aussi d’ordre culturel. «De façon générale, l’assurance est perçue de manière négative. Comment voulez-vous alors les sensibiliser aux métiers de l’assurance et des opportunités d’emploi ?», s’interroge-t-il.

Mais là où le bât blesse, c’est que le secteur manque cruellement de filières de formation. Et la suppression, à la fin des années 90, de l’Ecole marocaine des assurances, qui relevait de la Fédération marocaine des sociétés d’assurance et de réassurance (FMSAR), n’a guère arrangé les choses. Actuellement, seule la Faculté de droit de l’Université Hassan II de Casablanca propose un master en droit des assurances. Le nombre de lauréats étant limité, il est difficile de satisfaire les besoins du marché. Face à ce déficit, la fédération a conclu en 2007 un partenariat avec une école privée spécialisée, le Centre de formation de la profession d’assurances (CFPA) qui organise deux types de formations diplômantes: un Brevet

professionnel en assurance et un Brevet de technicien supérieur en assurance (voir pageIV).

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L’Institut national des statistiques et d’économie appliquée, principal fournisseur d’actuaires

Selon Jamal Maatouk, conseiller juridique et DG du cabinet Juris Land, «le challenge est double pour les compagnies : trouver les bons profils mais aussi les former au métier

d’assureur qui est très spécifique. Malheureusement, les compagnies recrutent à bras ouverts des candidats sans pouvoir les accompagner». Et de poursuivre que «le métier demande beaucoup de technicité qui s’acquiert sur le terrain».

Le premier constat qu’on peut dresser est que l’éventail des profils recherchés dans le secteur est très large. A commencer par les métiers spécifiques à l’assurance. «Bien évidemment, de par notre métier d’assureur, nous sommes particulièrement attentifs à certains profils pointus et parfois polyvalents comme les actuaires», souligne Saâdia Nouri, directrice recrutement chez Axa Maroc.

Les actuaires sont très demandés. Généralement, ils sont issus d’écoles locales comme l’Institut national des statistiques et d’économie appliquée (Insea) ou d’écoles étrangères. Ce ne sont pas seulement les assurances qui les sollicitent. Banques, sociétés de financement et caisses de retraites en ont aussi grand besoin. D’où l’aggravation du déficit.

Autre profil demandé, le rédacteur production. Il intervient généralement pour l’établissement des contrats, mais également en aval, en cas de sinistre, pour vérifier les garanties, apprécier les responsabilités, calculer le montant des dommages et règler les sommes dues à la victime ou à l’assuré.

En cas de litige, il peut également être amené à entamer des procédures judiciaires, préparer l’argumentation et les instructions pour les avocats, exercer les recours prévus par la loi et faire exécuter les décisions de justice. Le rédacteur est souvent spécialisé dans un domaine : responsabilité civile, automobile, maladie...

Un bon assureur est avant tout un commercial aguerri

Les souscripteurs, con-seillers en assurance et autres sont également sollicités.

«Malheureusement, ces profils sont parfois débauchés chez la concurrence. Il se peut qu’un même profil change d’entreprise tous les deux ou trois ans», souligne M. Maatouk.

A côté de ces profils pointus, les profils classiques sont aussi sollicités, notamment les

commerciaux. Les assureurs veulent avant tout conforter leurs relations avec la clientèle. Cela passe par une grande proximité avec les attentes des clients. «Nous sommes soucieux de faire émerger chez nos commerciaux une relation de proximité avec les clients. Nous vendons des contrats, et, par conséquent, ils doivent faire preuve d’empathie. Ils doivent rassurer les clients, surtout ceux qui sont déboussolés» , explique un responsable RH d’une compagnie d’assurances.

Avec la multiplication des produits, les compagnies sont à l’affût de professionnels capables d’assimiler rapidement leur métier, mais surtout dotées du sens du service et de la relation client. Par exemple, le rôle du chargé d’accueil est aujourd’hui celui d’un véritable conseiller, capable de vendre les différents produits tout en personnalisant la relation avec le client. Le métier implique un important suivi de clientèle, d’où la multiplication des plateformes téléphoniques destinées à répondre en temps réel aux demandes des clients.

Il convient de noter également que le développement des compagnies se traduit par des besoins au niveau des métiers de support (informatique, marketing, back-office, inspection, finance...). A ce niveau, les profils recherchés sont en majeure partie des nouveaux diplômés de niveau Bac+4 et plus issus principalement des universités et écoles de commerce et d’ingénieurs.

Quant aux critères d’âge et de sexe, ils restent secondaires car ce qui prime, avant tout, ce sont les dispositions professionnelles, la capacité d’intégration et l’éventuelle expérience, font savoir DRH et cabinets de recrutement.

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Les compagnies exploitent aussi bien les circuits classiques que l’internet pour séduire davantage de candidats. Mais la démarche privilégiée reste l’approche directe.

Idmaj Sakan/bidonvilles: 25.000 ménages relogés à Casablanca

La société «Idmaj Sakan», chargée de veiller à la réalisation du programme de lutte contre les bidonvilles au niveau de la région du Grand Casablanca, a permis -à travers des opérations lancés depuis février 2006- le relogement de près de 25.000 ménages et la mise en chantier d’opérations au profit de 27.000 ménages, soit une intervention directe de plus de 50% des bidonvilles de la région du Grand Casablanca. Quelque 450 millions de DH ont été investis pour le relogement de 19.000 ménages. Aujourd’hui, 10.000 ménages ont pu bénéficier de l’opération. Dans la préfecture de Moulay Rachid, près de 680 ménages seront bientôt relogés. D’autres opérations sont en cours en partenariat avec les promoteurs privés et les propriétaires terriens, notamment à Sidi Moumen Lakdim et à Aïn Sebaâ-Hay Mohammadi.

· Nouveau directeur juridique au CDVM

Abdeljalil Hammoumi,36 ans, actuel directeur juridique de la Haute autorité de la

communication audiovisuelle (HACA) rejoindra fin septembre le CDVM pour exercer les mêmes fonctions. Son successeur n’est pas encore désigné. C’est un retour aux sources de ce jeune cadre puisqu’il a fait un passage chez le régulateur du marché boursier de 1999 à 2001.

Titulaire d’un doctorat en droit économique, il était chargé de la direction juridique à la Haca depuis le 1er janvier 2005. Une direction sensible et considérée une des plus importantes de cet organisme dans la mesure où toutes les décisions et les rapports du régulateur audiovisuel transitent par elle. Hammoumi est auteur de plusieurs articles et d’un ouvrage sur les

difficultés d’entreprises.

· Formation: Deux programmes dédiés aux assureurs

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Le Centre de Formation de la profession des assurances (CFPA) et l’Institut de formation de la profession de l’assurance (IFPASS) ont conclu une convention pour la mise en oeuvre de deux formations dédiées aux professionnels: le diplôme professionnel de conseiller en

assurances (DPCA), un cursus de 10 mois (390 heures) axé sur les compétences techniques et commerciales, et le cycle préparatoire à l’assurance (CPA). Ce cycle, qui s’étale sur dix journées, insiste sur les fondamentaux techniques et juridiques de l’assurance.

Le CFPA et l’IFPASS sont déjà liés par une convention tripartite à long terme, conjointement avec la Fédération marocaine des sociétés d’assurances et de réassurance (FMSAR) pour la mise en oeuvre de deux formations diplômantes, le Brevet de technicien supérieur assurances (BTSA) et le brevet professionnel assurances (BPA). Les premiers lauréats de ces

programmes recevront leur diplôme le 6 octobre prochain.

Banques Finance Assurances:Le défi des compétence

Publié par: admin on juil 8th, 2009 est intégré sous Economie. Vous pouvez suivre tous les réponses RSS 2.0. Vous pouvez aller vers la fin pour laisser une réponse.

Le Groupe Formation Banque Finance

Assurances (dont l’institut HBFA) ont organisé le week end dernier à Casablnca le « Forum des métiers et carrières » , en partenariat avec la Fédération marocaine des sociétés

d’assurances et de réassurance (FMSAR), l’Université Hassan II et l’Agence nationale de promotion de l’emploi et des compétences (Anapec).

Un parterre de professionnels souhaitant mieux connaître les opportunités qu’offrent les secteurs de la BFA, tant en termes de métiers que de carrières, CDG Capital et Axa

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Assurances Maroc notamment ont pris part à cette rencontre.

En outre, des invités de «marque» à cette plateforme d’échange ont participé à des séances de

« speed recruiting». L’ouverture officielle du forum a été donnée par Tayeb Rhafes, président du groupe, lequel « accompagne ses lauréats vers de nombreuses opportunités de carrière et encourage les professionnels à dynamiser leurs parcours ». Au demeurant, un soutien qui devrait relayé par la FMSAR qui a réaffirmé son engagement continu de aux côtés des

professionnels, notamment dans les aspects formation et RH. Une première conférence-débat, de « contexte », animée par Christian Lheron, directeur général d’Unifitel, Crédit Agricole France, sur le thème « Les conséquences de la crise économique en Europe sur le crédit à la consommation » a permis d’en amplifier l’impact, au regard d’un comparatif des Résultats marché (cumul janvier-mai 2009) de sociétés de ce secteur : l’ASF (-15,5%), le groupe Sofinco (-6,7%), la société Sofinco (-10,9%), la société Finaref (-12,5%) ainsi que la holding CA CF (-8,5%). Côté assurances, Faraj Benwahoud, directeur général d’Arbea, présente, en deuxième conférence, «Le rôle de l’assureur-conseil dans l’intermédiation d’assurance».

Après une définition réglementaire de l’intermédiaire, il passe en revue ses différents profils : le vendeur, le gestionnaire et le conseil ou assureur-conseil. Des métiers que le groupe

Benwahoud & Associés (au Maroc depuis 1975, présidé par le conférencier) développe à travers une solide structure composée de quatre entités : Arbea, Arbear, 3R et Seguros del Norte. Par ailleurs, la participation de l’Anapec a permis de présenter le rôle stratégique de l’agence en matière de promotion de l’emploi et de la formation, notamment en métiers de la BFA. D’abord, une réflexion de base. Lors troisième conférence, Hind Boubia, conseillère en emploi à l’Anapec, fait constat de l’importance du secteur tertiaire dans le tissu économique marocain, se référant à l’état de l’offre et de la demande des branches BFA, selon la base de l’Anapec : en cumul 2007-2008, le nombre d’insertions a atteint 3.728 alors que celui des offres était de 2.945. Cependant, 1.422 entreprises de la BFA étaient enregistrées à l’Anapec.

Et un système de promotion de l’emploi dans le «Secteur financier».

Dans sa conception, celui-ci intègre, d’abord, la veille (études prospectives), laquelle permet d’anticiper les besoins du secteur en recrutement CT/MT et en formation contractualisée.

Cette démarche inclut aussi les phases « CPS de formation qualifiante » et sensibilisation. En vue d’ensemble, le système de veille a approché 39 entreprises. C’est ainsi que 6 comités sous-sectoriels ont été formés: société de crédits à la consommation, société de gestion d’actifs, société de bourse, compagnie d’assurances, association de microcrédit et banque.

L’enquête, démarrée en novembre 2008, avait pris fin en janvier 2009. La restitution des résultats serait pour fin octobre 2009. Ensuite, le système «sectoriel» de promotion de l’emploi repose sur un dispositif d’aide à la formation, pour adapter l’offre à la demande et améliorer l’employabilité des chercheurs d’emploi en fonction des besoins du secteur. On distinguera alors entre la formation pré-embauche, qualifiante et continue. Pour cette dernière, dans le cas du PBO, est octroyée une «Prime Offshoring », mesure incitative parmi celles données aux entreprises des secteurs «émergents». Sous forme de contribution financière à la formation continue des salariés, elle peut atteindre 40.000 DH/profil et est étalée sur les trois années qui suivent le recrutement.

Enfin, le système de promotion de l’emploi assiste les entreprises dans leur processus de recrutement. Il est aussi incitatif au recrutement de par la mise en relation

employeurs/chercheurs d’emploi (proximité via les agences Anapec, 418 conseillers en emploi et une base de plus de 200.000 candidats), le programme Idmaj et la formation contractualisée pour l’emploi : contribution au financement de la formation pré-embauche spécifique aux besoins de chaque entreprise du secteur. Au bilan des réalisations : 189

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personnes bénéficiaires et 14 entreprises en profitent. Enfin, l’après-midi, un « espace Entreprises » a invité à la découverte des acteurs clés de ces secteurs et de leurs offres de recrutement. Etaient prévus aussi des espaces « Formation » et « Conseils en recrutement ».

En marge de ce dernier, était organisée une table ronde sur « Les Conseils en recrutement et gestion de carrière » animée par Mme El Hafi, directrice d’agence Anapec, avec la

participation de lauréats de l’Institut HBFA. Toute la journée, les équipes du site Rekrute.com ont offert aux participants, professionnels et étudiants, un accompagnement personnalisé.

—————————————————————- Complémentarité public/privé

Les participants ont pu également découvrir une palette complète de formations proposées par le Groupe de formation BFA, présentée par son directeur général Driss Rhafes, regroupement stratégique de trois entités de formation, ayant pour ambition d’accompagner, en termes de formation & RH, les secteurs de la banque, de la finance et de l’assurance dans leurs croissances. Ceci à travers, d’une part, en amont, des formations initiales en 3 et 5 ans (HBFA) et d’autre part, en aval, de la formation continue (HBF Training et CFPA). Dans l’objectif de montrer la complémentarité public/privé, l’Université Hassan II a présenté ses formations en finance et assurance, notamment le master international Banque et marchés financiers, lancé en association avec Attijariwafa bank et Santander, ouvert aux bac+3 et aux diplômés des écoles de commerce et d’ingénieurs.

Le matin

Formation : Nouveaux diplômes pour les assurances Publié par Tahar Abou El Farah le 18-09-2007

Numéro de parution 1501

Le CFPA lance deux formations diplômantes ouvertes au personnel des compagnies d'assurance.

Après une longue carrière en formation aux métiers de la banque, la famille Rhafes, père et fils, se lance

dans les assurances. Le Centre de formation de la profession d'assurances (CFPA), fondé par l'ancien

ministre des Pêches, Tayeb Rhafes, vient de lancer deux formations qualifiantes et diplomantes dans le

domaine d'études des assurances. Il s'agit, pour la première formation, d'un Brevet professionnel

assurances, d'une durée de deux années ouvert aux employés ayant justifié d'au moins six mois

d'ancienneté dans une compagnie d'assurances. La seconde formation, sanctionnée par un Brevet

technicien supérieur assurances, est ouverte aux employés ayant au moins un diplôme Bac+2 ou une

ancienneté de 36 mois dans une compagnie. Les deux diplômes ont été lancés en partenariat exclusif avec

la Fédération marocaine des sociétés d'assurances et de réassurances (FMSAR) et l'École française

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nationale d'assurances (Groupe ENAS). Le coût de la formation sera pris en charge par les compagnies

d'assurances et une partie des frais sera remboursée dans le cadre de contrats spéciaux de formation lancés

par l'OFPPT. La formation lancée par le CFPA s'adresse pour le moment au personnel déjà en activité des

compagnies d'assurances mais, comme le souligne en substance M. Rhafes, le secteur étant en pleine

croissance, le centre ouvrira incessamment ses portes aux jeunes diplômés désirant d'entamer une carrière

dans le domaine. Et pour faire face à cette éventuelle demande, le centre dit disposer outre des locaux de

son siège à Casablanca, de centres de formation dans 9 villes en partenariat avec d'autres organismes de

formation. De plus, pour l'heure, la formation ne s'adresse pas exclusivement au personnel des compagnies

d'assurances, mais aussi à leurs réseaux, les courtiers notamment, et les membres des départements

chargés de la gestion des risques au sein des entreprises. Ces nouveaux diplômes devraient permettre

d'acquérir, en deux ans de formation, des connaissances fondamentales en techniques, droit, économies et

communication nécessaires à l'exercice des métiers de l'assurance. La mise en place de ces deux nouvelles

formations diplômantes de la profession d'assurances répond, fait-on noter, à «une volonté concertée des

opérateurs du secteur d'assurance au Maroc de voir aboutir un projet de formation professionnelle structuré,

basé sur une approche intégrée et adaptée au contexte marocain».

Références

Documents relatifs

Le jardinier devra verser, à la commune, la cotisation annuelle à la signature de la présente convention (pour une période inférieure à 8 mois, le montant sera

Dans cet entretien, Mohamed Hassan Bensalah, Président de la FMSAR, la Fédération Marocaine des Sociétés d’Assurances et de Réassurance, nous donne son point de vue

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Service des forêts et de la nature Section faune, chasse et pêche. Route du Mont Carmel 5, CP 155, 1762 Givisiez

Convention d’adhésion à la fédération d’identités marocaine pour l’éducation et la recherche

En effet nous citons nos propositions qui ont été jugées acceptables par les spécialistes du marché : - Accélération des réformes engagées au niveau du marché financier ; -

6° Le cas échéant, les adaptations dont fait l'objet la couverture des salariés relevant du régime local d'assurance maladie complémentaire des départements du Haut-Rhin, du

Arrêté du ministre de l'économie et des finances n° 2563-10 du 26 ramadan 1431 (6 septembre 2010) fixant la liste des établissements de crédit, organismes et fonds qui