CONSOMMATION ALIMENTAIRE CHEZ DES PONDEUSES DE GÉNOTYPE Cc ET
ccISSUES DE PLUSIEURS FAMILLES
Jacqueline
PROD’HOMMEP. MÉRAT
A. BORDAS
Station de Recheyches
avicoles,
Centre national de Recherches
zoatechniques, Jouy-eu-Josas (Seine-et-Oise)
SOMMAIRE
Des
pondeuses âgées
d’un an, àplumage
coloré(Cc)
ou blanc(cc),
au nombre total de 53 etréparties
dans 4familles,
ont été contrôlées en cagesindividuelles,
pour leurpoids,
leurgain
depoids,
le nombre et lepoids
de leursceufs,
parpériodes
de 28jours.
La consommation alimentaire étaitégalement
notée.La
période expérimentale comprenait
deuxparties.
Dans lapremière,
allant de mai àjuillet inclus,
un même aliment était distribué sous forme de farine à la moitié despoules,
sous formede
granulés
à l’autre moitié. Dans la deuxièmesérie,
d’août à octobreinclus,
la forme d’aliment reçue par ces deux mêmes lots était intervertie.Le
gaspillage
de farine tombée dans l’eau de boisson n’étant pasnégligeable,
une correctionindividuelle était faite pour en tenir compte.
Il
n’y
a pas de différencesignificative,
soit entregénotypes
au locusC,
soit entrefamilles,
pour la consommation brute d’aliment par 28
jours,
nonplus
que pour les autres critèresenregistrés.
Seul
apparaît,
durant la 2esérie,
ungain
depoids
un peusupérieur
despoules colorées,
attribuablepeut-être
à unengraissement plus
facile. D’autre part, aucune interaction n’a été observée entregénotype
et forme de l’aliment.En outre, nous avons établi des
équations
derégression multiple
estimant une consommationthéorique,
en fonction dupoids corporel,
dugain
depoids
et dupoids
total d’œufspondus
par 28
jours.
Ceséquations
sontprésentées
dans unpapier séparé.
La différence entre consommation observée etestimée,
pourchaque individu, représente
une cosommation « résiduelle » que nousdésignerons
par « facteur individuel ".Une
analyse
de variance sur ces « facteurs individuels » aétéfaite,
avec les causes contrôlées« familles » et «
génotype
au locus C ", engroupant
les animaux recevant l’une ou l’autre forme d’aliment. Nous n’avons passéparé
ici l’influence de ce dernierfacteur,
étant donné que son effetprincipal
étaitsupprimé,
etaprès
avoir constatéqu’il
ne donnait naissance à aucune interactionappréciable.
Des différences hautement
significatives apparaissent
entre familles(P
<o,oor)
et entregéno- types
au locus C(P
<o,or),
lespoules
blanches ayant une cosommation a résiduelle » inférieure de q p. ioo environ à celle des colorées. Iln’y
a pas d’interactionsignificative
entre familles etgénotypes.
Ces
différences,
associées d’une part à un facteurmendélien,
de l’autre à desorigines
fami-liales
différentes, suggèrent qu’une
sélection sur ce critère seraitpossible.
INTRODUCTION
Le
locus C decoloration
duplumage,
chez lapoule, comporte
deuxallèles : C (présence de mélanines),
c(absence
depigmentation).
Un effet
dépressif
sur lacroissance, accontpagnant
legène
c, a étéplusieurs
fois observé : Jt‘ko!!
et cal.( H )56, 1959 ), MÉR AT ( 19 6 2 , io6 5 ), S MYTH
etal. (ig6i, io6
3
). Cet
effet ne se manifeste pas chez leshétérozygotes.
JÉ
RÔME
et al.( 195 0)
ont noté que, chez lejeune,
les indices de consommationdes animaux colorés (CC
etCc) étaient plus
faibles quecelui des animaux blancs (cc).
Ce fait pourrait
être en relation avec lavitesse
decroissance, plus grande
chezles premiers ;
il ne traduirait pas alors uneefficacité
alimentaire différente pour les deux groupes.Plusieurs chercheurs
ontremarqué
que cesrésultats étaient variables suivant les conditions d’élevage des jeunes : S MYTII
et cal.( 19 6 3 )
observent une interaction entregénotype
et lotd’éclosion.
Dans notretroupeau,
avec unlot d’éclosion
surdeux
recevant un aliment «normal
» etl’autre
unaliment
ccspécial
», riche enénergie
et
protéines,
lespoulets colorés étaient plus
lourds à 8 semaines queleurs frères
etsoeurs à
pluntage
blancquand
ilsétaient
nourris avecl’aliment normal ;
cette diffé-rence
n’était plus apparente
avec l’alimentspécial (résultats
nonpubliés).
Quant
auxpondeuses adultes,
à notreconnaissance,
aucunerecherche n’:. été faite
surl’utilisation
de l’alimentcomparée
suivantleur génotype
aulocus C.Aussi
le but de cette étude est-il de mettre enparallèle
la consommation et l’efficacité alimentaires depoules
Cc et cc, issues deplusieurs familles,
et recevant l’alimentsous
forme de farine
ou degranulé.
I. --
MATÉRIEL
Le
présent
travailporte
sur 53pondeuses âgées
de i mois provenant de notretroupeau
et installées en cages individuelles. Ces bêtesappartenaient a famines n’ayant
pas d’ancêtres com- munsdepuis
4générations
et dont lesparents
réalisaient soit le croisement Ce X cc, soit cc XCc ;
à l’intérieur de
chaque famille,
nous avionsgardé
le même nombre depoules
Cc et ce.Après
unepériode d’adaptation
de rmois,
lespoules
étaientréparties
en 2 lotshomogènes.
Chacun étaitcomposé
du même nombre d’animaux issus dechaque
famille etrépartis équitablement d’après
leur
génotype.
Le lot I recevait le même aliment sous forme de farine durant la
première partie
del’expéiience (que
nousdésignerons
par« première
série>e)
et sous forme degranulés pendant
la deuxièmepartie
«(
deuxième série»).
Le lot II était soumis aurégime
inverse.Les bêtes étaient
pesées
tous les 28jours,
ainsi que leurs oeufs et l’alimentingéré.
Une correction individuelle était faite pour legaspillage
de farine tombée dans l’eau deboisson,
celui-ci étant beau- coupplus important
que legaspillage
pardispersion,
L’estimation étaitfaite,
pourchaque poule, d’après
laquantité
de farinedéposée
dans son abreuvoirpendant
une durée déterminée. Cette quan- tité s’est révélée assez constante pourchaque
individu(données
nonpubliées).
L’expérience
a durépendant
6périodes
de 28jours,
lapremière
série s’étendant de mai àjuillet
et la deuxième d’août à octobre.
II. -
RÉSULTATS
’I,a consommation
alimentairede
lapondeuse dépend
de sonpoids corporel,
desa
production d’oeufs
etéventuellement de
sa variationde poids.
Deplus,
un facteurindividuel (inherent factor) intervient, de
sortequ’à poids
etproduction égaux,
la consommation peut différer.
Aussi,
nosrésultats sont-ils présentés
en deuxparties :
Nous comparerons d’abord les familles
d’une part,
lesgénotypes Cc
et cc del’autre,
pour laquantité
d’alimentingéré,
lepoids,
legain
depoids
et lepoids
d’oeufspondus
parpériode de 2 8 jours.
Dans la
seconde partie, les
mêmescomparaisons porteront
sur le « facteur indi-viduel
»,estimé
aupréalable.
1
0
Étude des
mesuresbrutes
Les résultats
sontrassemblés dans le tableau
i pourles mois d’avril
àjuillet
et
dans le tableau
2 pourles mois d’août
àoctobre. Ils portent
surla
moyennedes
mesures
des différentes périodes
pourchaque facteur.
Les effectifs des différentes familles
étantinégaux, l’analyse de
variance aété
faite
suivant la
méthodedécrite
parS N E D EC OR (r 95 6).
Au début de la deuxième série (août-octobre),
lespoules
ontété choquées par
le changement de forme de leur aliment ;
laplupart d’entre elles
ontmué, celles qui passaient du régime granulé
aurégime farine
ontmaigri, de
sorte quela ponte
a
été
trèsperturbée ; aussi traitons-nous séparément les séries
I et II.Dans le
tableau
3, nous avonsrassemblé les valeurs des
moyennesbrutes ob-
tenues pourchaque génotype durant les première
etdeuxième séries.
L’examen de
cestableaux permet plusieurs constatations.
Pour
les quatre facteurs étudiés,
lesfamilles
nediffèrent
passignificativement.
Durant la
première série, les génotypes Cc
et cc ont eu uncomportement iden- tique ;
parcontre, durant
ladeuxième,
unedifférence de poids corporel
se mani-feste. Les poules Cc pesaient
en moyenne 27 6fi
g contre 2527
g pourleurs
soeurs cc. Bien que les
gains
depoids
ne soient passignificativement différents,
iln’est
pas exclu que les
poules
Cc en cagesindividuelles puissent s’engraisser plus
faci-lement que
leurs
soeurs cc. Pour tenterde
levérifier,
nous avonsprélevé
unéchan-
tillon
de 20poules ( 10 de chaque génotype)
et avonsévalué l’état d’engraissement
par le
poids
degraisse
abdominale. Cepoids
moyen estrespectivement,
pour lespoules C:c, de c!3
g., etde
bi g. pour lespoules
cc.Les variations individuelles
étant trèsgrandes,
nousn’avons
pu mettre enévidence
dedifférence significative.
La
forme del’aliment n’agit
pas différemment sur les familles ou surles géno- types
que nous avonsétudiés.
Dans tous les cas, nous avonsremarqué
que la consom-mation de granulé
étaitde
20 p. 100supérieure
à celle de lafarine,
cequi
entraînaitune
augmentation significative
dupoids des pondeuses ;
parcontre,
laponte n’était
pasmodifiée.
2
0
Étude
des mesuyescorrigées
Dans
chacune des
2séries,
et pourchaque forme
del’aliment,
nous avons éta- bli leséquations de régression multiple ( 1 ) permettant d’estimer la consommation
théorique
d’unepoule
sur une durée de 28jours
enfonction de
sonpoids, de
songain
depoids,
etdu
nombred’oeufs pondus. Ces équations
sontestimées d’après la
méthode
deBvER!Y,
1941(leur
moded’obtention
estprésenté
àpart
avecplus
de détails: P ROD ’HommE, io6 5 ).
( 1
) Les
mesures d’un autre troupeau, élevé dans les mêmesconditions,
ont étéjointes
à celles despoules
étudiées
ici,
pour une meilleure estimation des coefficients derégression.
Un «
facteur individuel
»d a été estimé
comme ladifférence
entre consomma-tion
réelle
etconsommation théorique.
Les résultats
del’analyse
devariance
sur ce «facteur
individuel », parfamilles
et pargénotypes,
sontrassemblés dans
letableau
4. Nous avonslimité
cette ana-lyse
àla
«première série
», étantdonné
lesperturbations déjà signalées dans le
pas- sage à ladeuxième période. I,es
données obtenues avec l’aliment « farine » etl’aliment
«
granulé
»ont,
enfin de compte, été groupées. Ceci
nesemble
pasprésenter d’in-
convénients
majeurs ;
eneffet,
leséquations
derégression
pour les deuxformes d’aliment
nediffèrent
passignificativement (PROI)’Homi!iF, I g 6 j),
lesécarts
dusà
la forme de
l’aliment sontsoustraits
du « facteurindividuel
)) ; enoutre,
nous avonsvérifié qu’il n’y
a pasd’interaction,
pour cettevariable,
entregénotype
oufamille
et forme
de l’aliment. Enfin,
la variance résiduelle du facteur individuel nediffé- rait
pasconsidérablement
suivant laforme
del’aliment.
Nous remarquons que le facteur
« d » subit
une influencegénétique complexe
mise en
évidence
par lesdifférences
familiales et cellesliées
augène Ce.
Différences familiales.
Nous pouvons
classer les 4 familles
en 3 groupes.La
familleA, qui
sesitue
sous lacourbe théorique
derégression ( d = - S I , 7 g),
et
qui
est la meilleureutilisatrice.
Les familles C
etD, avec les
moyennesrespectives d = -
2d, o g --et
il = -5 7 ,o
g.La famille B, qui
est la moinsbonne utilisatrice.
A
production
etpoids égaux,
il est intéressant de noter que lespoules
de lafamille
B consomment 10p. ioode plus
que celles de lafamille A.
Onpeut
remarquer que,dans l’étude des
mesuresbrutes,
lavariance résiduelle
était trèsimportante,
et
qu’il n’est
pas apparude différence familiale. Ainsi,
lefacteur
« d» pourrait
êtreutilisé
commecritère de sélection, le seul
obstacle étant son calcul un peulaborieux.
Différence
entregénotype Ce et
cc.Les poules
Cc sont moins bonnes utilisatrices que leurs soeurs cc,quelle
quesoit
la famille : iln’y
a pasd’interaction significative
famille Xgénotype.
Les
valeurs moyennes de d sont les suivantes(régime
«farine
» etrégime
« gra- nulé »groupés) :
Cette différence
est assezimportante ;
ellereprésente 6, 3
g parjour, soit 4 p.
100 de la consommation totale.Nous avons
d’autre part calculé
leséquations d’estimation de
la consomma-tion alimentaire A en
fonction
dupoids P,
dugain
depoids
DP et dupoids d’oeufs
pondus 0, séparément
pour lesgénotypes Cc
et cc.Ces équations
ne sont passtatistiquement différentes, d’après la comparaison
des coefficients (tabl. 5 ).
Il ne
semble donc
pas que ladifférence observée
entreles génotypes Cc
et ccconcerne
plus spécialement
lebesoin d’entretien
oule besoin de production.
DISCUSSION ET
CONCI,USIONS
Pour comparer la
consommation
alimentaire despondeuses,
les mesures brutesn’ont
paspermis de
mettre enévidence
des différences entrefamilles
et entregéno- types
aulocus C,
quel’aliment
soitdistribué
sous forme defarine
oude granulé.
Tout
auplus, semble-t-il
queles poules colorées Cc
aienttendance
àengraisser plus
que
leurs
soeursblanches
en recevantl’aliment granulé.
Par
contre,
àl’aide d’une
mesurede la consommation alimentaire corrigée
pour le
poids,
legain
depoids
et lepoids
d’oeufspondus, (facteur d),
nous avonsobservé des différences
trèssignificatives (au seuil
de i p.100 )
entregénotypes
etentre
familles.
Les poules de génotype
ce(blanches)
consommentmoins d’aliment,
àproduction, gain de poids
etpoids égaux,
queleurs
scxurs Cc.Elles paraissent donc mieux uti-
liserl’aliment
que cesdernières.
Qu’il s’agisse
ou nond’un effet pléiotropique du gène C,
unedifférence appréciable
se
révèle liée ici
à unfacteur mendélien unique. D’un point de
vuepratique, il pour- raît donc être légitime de tenir compte du standard extérieur
-plus précisément,
de la
pigmentation
- pourla création de
souches depondeuses
àbonne rentabilité.
Il faut noter, toutefois,
quececi n’est qu’un des aspects associés
augène
«blanc
récessif
».Pendant la période de croissance,
nous avonsrappelé
audébut de
cetarticle
qu’un léger avantage paraît
revenir à l’allèle de colorationC ;
parailleurs, dans
notrepopulation, le
tauxd’éclosion des
mères cc estinférieur
àcelui des
mèresCc (!W RnT, i 9 6 5 ). Peut-être aussi la mortalité des poulettes blanches est-elle légè-
rement
supérieure
àcelle des colorées (I!T!R.!T, 19 6 2 ). En
finde compte,
tous ceséléments
seraient àconsidérer
pour uneappréciation de l’intérêt respectif des divers
génotypes
aulocus C, ainsi qu’une comparaison
entrehomozygotes CC
ethétérozygotes.
Par
ailleurs,
lesdifférences
del’ordre de 10 !. 100 de
laconsommation globale
observées
entrefamilles,
laissentprévoir
que le« facteur
individuel » dpourrait
être uti-lisé comme
critère de sélection.
A notreconnaissance,
cettepossibilité
nesemble
pasavoir
étéétudiée systématiquement ; il n’est
même que rarement faitallusion
àl’éventualité de différences familiales
ou entrelignées
de cepoint
de vue, commecelles suggérées
pardes résultats de Bor,TO! ( 1958 , ig6o).
Reçu
pourpublication
enseptembre j96,!.
SUMMARY
INTAKE OF FEED 13Y LAYING HENS OF Cc
AND CC
GENOTYPES FROM DIFFERENT FAMILIES
A total of 53
laying
hens a yearold,
with colouredplumage, Ct,
orwhite,
cc,from families,
werc studied.
They
werekept
in individual cages and forperiods
of 28days bodyweight, gain
inweight,
number andweight
of eggs and intake of feed were recorded.The
experiment
was in twoperiods. During
thefirst, from May
toJuly inclusive,
half the birdswere
given
their feed as a mash and the other half aspellets.
For the secondperiod,
fromAugust
to October inclusive the form of the feed was reversed.
An considerable amount of the mash was lost
by falling
into thedrinking
water and individual correction was made to allow for this.There was no
significant
difference betweengenotypes
at the C locus or between families in total intake of feedduring periods
of 28days
or in any of the other criteria studied.During
thesecond
period only,
the coloured hensgained
moreweight,
attributableperhaps
to their greaterability
tolay
down fat. There was no interaction betweengenotype
and form of feed.Multiple regression equations
were derived forestimating
theoretical intake of feed frombody- weight, weight gain
andweight
of eggs laidduring
28days.
Theseequations
arepresented
in aseparate paper. The difference between actual and estimated intake for each individual
represents
a rr residual n intake which we have called the individual factor.
Analysis
of variance of these individual factors was made withfamily
and genotype at the C locus as controlled sources ofvariation ;
birds weregrouped irrespective
of the form of feedthey
were
given.
This last factor was notseparated
since its main effect wassuppressed,
and it had been shown that it did notgive
rise to any considerable interaction.There were
highly significant
differences between families(P
<0 . 001 )
and betweengenotypes
at the C locus
(P
<0 . 01 ) ;
residual intake was about 4p. 100less for white than for coloured hens.There was no
significant
interaction betweenfamily
andgenotype.
These
differences,
associated on the one hand with asingle
Mendelian factor and on the other withfamily,
snggest that it would bepossible
to select for this criterion.RÉFÉRENCES BIBLIOGRAPHIQUES
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