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Chaleur latente de fusion de la glace

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Academic year: 2021

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HAL Id: jpa-00241951

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00241951

Submitted on 1 Jan 1914

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Chaleur latente de fusion de la glace

G. Roy

To cite this version:

G. Roy. Chaleur latente de fusion de la glace. J. Phys. Theor. Appl., 1914, 4 (1), pp.796-797.

�10.1051/jphystap:019140040079601�. �jpa-00241951�

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796

On aura évidemment Y en fonction de J par la même formule : r

d’où :

Ces trois coordonnées connues, on marquera sur le corps du

blessé, par un signe conventionnel, le point de coordonnées X et Y.

On inscrira à côté la profondeur Z ou Z’ suivant qu’on partira de

l’un ou de l’autre des deux repères marqués sur le corps et l’on effa- cera, pour éviter toute erreur, le repère origine. Le blessé étant amené devant le chirurgien, celui-ci sait qu’il doit chercher le corps

étranger au-dessous du point marqué par le signe conventionnel, à la profondeur indiquée par le nombre inscrit à côté de lui.

Dans la pratique courante, au lieu d’employer les formules ci-des- sus, on consultera un barème calculé d’après ces formules. On aura

ainsi très rapidement l’emplacement exact du projectile avec l’indi-

cation de la profondeur à laquelle il se trouve.

CHALEUR LATENTE DE FUSION DE LA GLACE.

H.-C. DICKIVSON, D.-IL HARPER et N.-S. OSBORNE. - Chaleur latente due fusion de la glace.

-

Bulletin of BU1’eau of Standa’cZs, ,,"01. X, 2 ;

..

Les déterminations antérieures à 1870 ont donné, pour la chaleur latente Je fusion de la glace, des nombres variant de 79 à 80. Les

mesures les plus récentes et les plus dignes de confiance ont donné

la valeur moyenne 79,6.

Les expérimentateurs du Bureau of Standards ont employé deux

méthodes. La méthode des mélanges qui a l’avantage de donner le résultat directement en calories et une méthode dite électrique dont

le résultat dépend de la valeur admise comme éqnivalent calorique

de l’énerrte electrique. Cette dernière consiste à compenser, par

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:019140040079601

(3)

797

l’ apport d’énergie électrique dans une bobine chauffante, la cha- leur absorbée par la fusion de la glace; elle diminue beaucoup la

correction portant sur les échanges de chaleur entre le calorimètre et l’enceinte pendant une expérience.

La glace employée est obtenue par congélation d’eau pure (véri-

fication faite par une mesure de résistance électrique), dans des

moules qui lui donnent la forme d’un cylindre creux : pour la glace naturelle, on a taillé des cylindres de même forme qui peuvent être insérés dans des supports de cuivre. Ces blocs sont d’abord mainte-

nus plusieurs jours dans un cryostat, puis pesés tout en étant main- tenus dans un cryostat spécial, immédiatement avant d’être intro- duits dans le calorimètre. Les cryostats étaient maintenus soit à

-

OU,72, soit à-3° ,78.

On a tenu compte de toutes les causes d’échanges de chaleur pos- sibles. La conduction calorifique des fils d’amenée du courant, l’écllauffement dû au courant qui passe dans la résistance en platine

des thermomètres, l’évaporation sont négligeables. La quantité de

chaleur apportée électriquement est mesurée par une méthode

potentiométrique, on a admis comme équivalent de la calorie à 15°

la valeur 4, 187 joules internationaux ; le choix d’autres valeurs ad- mises ne changerait d’ailleurs pas le résultat de 1/1000.

Dans les deux méthodes, on devait employer une donnée peu ou mal connue : la chaleur spécifique de la glace au voisinage de 0°. La comparaison des chaleurs totales de fusion obtenues en partant,

soit de

-

0°,72, soit de - 3°,~8, a permis de fixer cette valeur à

0~20.

La moyenne des résultats obtenus par la méthode électrique a été 79,65 calories à 15~. La moyenne des mesures par la méthode des

mélanges a donné 79,61. La moyenne de 2i mesures donne enfin : 79,63 par gramme masse.

Quelques essais avec de la glace contenant un millième de sels

(AzH3, NaCl, a donné des valeurs 1,4 0/0 plus basses que la

glace pure.

G. ROY.

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