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Le Grutli et la loi fédérale sur le travail dans les fabriques

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Neuvième Année. — N0 82.

P r i x d u n u m é r o I O c e n t i m e s .

Jeudi 10 Octobre 1895.

B u r e a u x : R u e d e l a S e r r e , 2 7 .

ABONNEMENTS Lin an: Six mois:

Suisse . . . Fr. 6»— Fr. 3»—

Union posUUe » 12»— » 6»—

Ou s'abonne a t-Hks les bureaux de nosle.

Paraissant le Jeudi et le Dimanche à la Ghaux-de-Fonds.

ANNON©ES

Provenant de la Suisse 20 et. la ligne

» de l'étranger 23 » » Minimum d'une annonce 30 cent.

Les annonces se paient d'avance.

Oi'K'siiic· «le In Société ^ u t e r c a i i t o i i a l e «ICH EII<!IE*< r i e s ilu .Sur.:. «les Clmiiil>i-Cut «le c o m m e r c e , «leH B u r e a u x «le c o n t r ô l e e t «le» Syndicat*! profeewionneliai·

Le Grutli et la loi fédérale sur le travail dans les fabriques

L'assemblée générale des délégués du Grutli, réunie à Z o u g , a chargé le Comité central de demander au Conseil fédéral, s'il ne serait pas possible de compléter l'inspectorat des fabriques en y adjoignant des inspccteurs-l'einnies : il a été chargé également, d'accord avec les comités des autres associations o u v r i è r e s , de faire des démarches pour Ia revision de la loi fédérale sur le travail dans les fabriqués, spécialement en faveur de l'introduction de la journée maximum de K) heures et l'application entière de la loi sur la responsabilité civile.

Nous avons déjà, en maintes circons- tances, prêché la fixation à dix heures de la j o u r n é e normale de travail et l'application stricte et sans faiblesse de la Loi fédérale sur le travail dans les fabriques; aussi sommes-nous d'accord, en principe, avec la d e m a n d e du Comité central du Grutli. Q u a n t à la création d ' i n s p e c t e u r s - f e m m e s , nous a t t e n d r o n s , pour nous prononcer, et au risque d'être accusés de m a n q u e r de galanterie, q u e son utilité nous soit d é m o n t r é e .

Avec la j o u r n é e normale de dix heures, nos ouvriers p o u r r o n t , en ce qui con- cerne l'industrie horlogèrc du moins, exécuter tout le travail qui leur incombe en temps normal. Dans les périodes de presse, les autorisations de prolongation des heures, prévues par la loi même, permettront de taire le surplus. Mais Ia diminution des heures de travail consa- crée par la législation et applicable aux seuls établissements soumis actuellement à la loi, constitue une inégalité et con- sacre une injustice.

On est généralement d'accord, aujour- d'hui, pour reconnaître que la transfor-

mation des procédés de production et l'organisation en fabriqué d'un non b r e de plus en plus grand de branches d'hor- logerie, correspond à une absolue néces- sité, et que la force des choses finira par triompher de toutes le?, fegîstanccs.

On peut donc s'étonner que 1<<Λί?:φιΠυη favorise ceux qui résistent au progrès in- dustriel, vienne, indirectement il est vrai, en aide à ceux qui ne peuvent exister (pie giàca à l'abu; qu'ils font du prin- cipe de l a j i b e r l é de travail et d'indus- trie inscrit dans la constitution^fédérale, et édicté des prescriptions sévères, à l'usage d'une catégorie d'ateliers ou de fabriques, alors que la grande masse des patrons et u n n o m b r e considérable d'ouvriers d e m e u r e n t : les premiers ab- solument libres d'en agir selon leur bon plaisir, les seconds en dehors de loule protection.

P r e n o n s un exemple :

Une manufacture d'horlogerie, occupe Ί à TiOt) ouvriers ; par cela m ê m e , elle sert d'objectif aux syndicats ouvriers qui l'ont en surveillance constante et peuvent, si besoin est, y organiser des grèves p o u r empêcher la baisse des sa- laires. KlIe est soumise à la loi fédérale et son chef doit veiller à l'éxcution stricte de toutes ses prescriptions, notamment de celles relatives aux heures de travail.

Par contre un termineur, qui entre- prend l'achevage de milliers et de milliers de montres par l'intermédiaire de petits ateliers ou d'ouvriers travaillant à domi- cile, n'est atteint par aucune loi, échappe à l'action des syndicats dans leur lutte nécessaire contre la baisse des salaires et oblige les ouvriers qui travaillent p o u r lui à prolonger au delà de toute limite raisonnable les heures de travail, pour réaliser un salaire dont ils peuvent à peine vivre.

La réduction progressive des heures de travail, édictée par la loi et appliquée

partiellement comme c'esl le cas aujour- d'hui, finira fatalement par consacrer un privilège, — celui de la liberté complète du travail — en faveur de la catégorie la moins intéressante de nos patrons horlogers, celle qui c o m p r e n d les petits fabricants et chefs d'aleliers besogneux et les t e r m i n e u r s .

Il faut donc trouver le moyen de leur appliquer la loi, ou ne pas aller plus loin dans la voie de la diminution légale des heures de travail, si l'on veut se conformer aux règles de la justice et de l'équité.

On objectera q u ' u n certain n o m b r e de fabriques vivent sous le régime d e l à journée de 10 heures et ne s'en p o r t e n t pas plus mal. Nous n'y contredirons pas ; mais, après IO heures, on deman- dera la j o u r n é e de 9 sinon de 8 heures, conformément au p r o g r a m m e socialiste.

Alors les établissements soumis à la loi n'auront plus qu'à fermer leurs portes.

Toute nouvelle réduction légale des heures de travail a donc p o u r corollaire naturel l'application de la loi à tous les patrons.

Information

Les intéressés peuvent d e m a n d e r des renseignements sur H . H e n r i q u e s , M u s é e c o m m e r c i a l , à A t h è n e s , au Secrétariat général de la Chambre can- tonale du c o m m e r c e , à la Chaux-de- F o h d s .

Le Congrès ouvrier de Limoges

Un publiciste français, M. Burdeau, qui a assisté au Congrès ouvrier de Limoges, publie une étude à laquelle nous empruntons la partie suivante, que nos lecteurs !irons avec intérêt.

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463 LA FÉDÉRATION HORLOGERE SUISSE

Dès que les questions de personnes sont entrées en lice, l'assemblée a pris aussitôt une animation e x t r a o r d i n a i r e : les orateurs sont devenus vraiment éloquents, et les débats nous ont captivé comme une pièce de théâtre pleine d'imbroglios et de surprises.

Elargirait-on ou comblerait-on le fossé que la scission du Congrès de Nantes, en 18'Ji-, avait creusé entre les associations syndicales rivales, les unes fidèles à M. Guesde, les au- tres à M. AIlémane !

La politique mise à la porte est aussitôt rentrée par la fenêtre. Les amis de M. A Hé- matie ont, quand il s'est agi de fixer le siège du nouveau conseil n a t i o n a l , obtenu que Paris fut choisi pour une année. Ur. à Paris, les allemanistes régnent sans partage. Leur victoire est devenue complète, quand la dis- cussion s'est engagée sur la grève générale, sujet que la minorité avait tenté d'écarter. Un délégué typographe, de l'école positiviste de M. Keûfer, a voulu prouver combien on pou- vait peu compter, à P a r i s , sur les sydieats, combien on se faisait d'illusions sur leur nombre d'adhésions. 11 a lu une statistique fournie par les syndicats eux-mêmes au Con- seil municipal., d'où il résulte que sur huit cent mille ouvriers parisiens recensés, on ne compte que trente-sept mille s)-ndi(jués' Les habiles n'en ont pas moins fait voter à une forte majorité la grève générale. Elle répond aux instincts et a u x traditions révolu- tionnaires du prolétariat parisien: mais beau- coup paraissaient ignorer que cette grève générale est une êpée de Damoclés suspendue bien moins sur la société bourgeoise que sur la tète de M. Guesde.

Rien n'a donc été changé au Congrès de Limoges, et les armées syndicales en présence conservent leurs positions, Allemane à Paris, au centre et à l'ouest. Guesde dans le Nord, à Roubaix. à LiIIe1 à Lyon, Marseille. Bor- deaux, Monllueon. Les vaincus d'hier annon- çaient une nouvelle scission parmi les pre- miers, entre les grèves-généralistes et les minières, u n verra bien.

Ainsi, malgré la ferme el indéniable volonté des ouvriers militants d'écarter toute politi- que de leurs unions corporatives, la même question renaît toujours. C'est qu'au lieu de mettre, comme les ouvriers anglais, leurs re- vendications économiques aux enchères entre les divers partis politiques, ils préfèrent en- voyer des députés socialistes siéger à la Cham- bre : les rivalités personnelles divisent dès lors les députés et éveillent l'ambition des c a n d i d a t s : et ces discordes se répercuteront toujours, quoi qu'on fasse;, dans les syndicats.

Les ouvriers abhorrent les politiciens radi- c a u x , qui les ont si souvent trompés, ex- ploités, et se défient des députés socialistes.

Mais ils ne savent pas s'en passer.

Plus curieuses encore que ces tendances du Congrès de Limoges, ont été les m a n œ u v r e s employées pour les aboutir. Le deuxième j o u r du Congrès, on a vu arriver Allemane et

le lendemain, son officier d'ordonnance, le député « s y n d i q u é » Fabcrot. Ils ont préconisé, d a n s une réunion publique, la grève générale.

Puis, ils se sont éclipsés, laissant derrière eux leurs lieutenants moins en vue. afin de ne pas donner une odeur de chapelle au vote

«lu Congrès. 11 serait trop long de vous ra- conter par le menu combien, dans cette dis- cussion agitée, il s'est dépensé de ressources d'esprit. Le citoyen Calvignac a déployé des talents stratégiques de premier o r d r e : ses roueries étaient secondées par une voix de s t e n t o r : il imposait à chaque séance sa volon- té)1 au président même. Il y a dans le délégué de C a r m a u x , l'étoffe d'un ministre à poigne, sous l'encolure d'un gendarme. L'assemblée ouvrière, en manches de chemise, s'était ainsi spontanément organisée en un Parlement, avec ses modérés, ses conciliants, ses diplo- mates, ses ministrables et ses forcenés.

Nous avons ainsi pu entrevoir, pendant quelques jours, le petit nombre de militants de la classe ouvrière, plein d'originalité et de relief, qui offrait le spectacle d'une extrême variété, ou les spécialités de métiers, non moins que les différences de provinces, créaient les diversités de tempérament et de caractère.

Il y avait la des Alsaciens flegmatiques et de loustics algériens, des ouvriers de P a r i s dé- lurés, des provinciaux plus tranquilles. En tant qu'individus isolés, ces militants laissent deux· une impression favorable. Ils sont rudes parfois, mais point grossiers, ils ont de la camaraderie et de la franchise, .l'ai pu juger, d'après une expérience personnelle, qu'ils supportent parfaitement qu'on les discute et les contredise. Mais ils ne veulent pas être bafoués. Nous aurions plus intérêt à les con- naître qu'à les honnir. Quand ils se parlent publiquement, ou voit éclater parfois d'impla- cables rancunes : les éclairs d'une ardeur sauvage animent leurs regards. 11 y a parmi eux des fanatiques et des utopistes possédés par une idée rixe. D'autres sont intelligents, bien d o u é s : les persuasifs exercent plus d'in- fluence ((lie les autoritaires. I n vif sentiment de solidarité les anime t o u s : mais, dès que l'un d'eux dépasse les autres en quoi que ce soit, la jalousie, la suspicion, le bas esprit démocratique s'attachent à ses pas et tendent à le faire rentrer dans le rang : c'est pour cette raison qu'ils savent si peu utiliser les gens de valeur de leur propre classe. Nous avons été moins frappé de leur ignorance, résultat né- cessaire de leur condition, que de leur absence étonnante d'esprit pratique. Ils n'ont ni la nature positive des Anglais, ni la discipline des Allemands. Ils sont des Gaulois comme nous, aimant les discours, les querelles de sectes et de partis. Ils se plaisent à faire des constitutions sur le papier, des programmes longs d'une aune. Au Congrès de Limoges, on ne s'est pas occupé d'autre chose. Ils créent des organisations à l'infini, ils négli- gent seulemenl de les développer et de les soutenir. Ils sont susceptibles d'élan, d'en- thousiasme, de sacrifices héroïques. Il leur manque la persévérance. Ils travaillent pour la révolution, pot r 1 > bonheur de l'humanité.

et négligent les intérêts les plus pressants de leur corporation.

Contrôle des ouvrages d'or et d'argent

Le Conseil d'Etat du canton de Berne ayant, par son arrêté du 24 avril 1805, autorisé la commune municipale de Delémont (Jura ber- nois) à créer, dans cette ville, un bureau de contrôle des ouvrages d'or et d'argent, le Dé- partement fédéral des affaires étrangères, di- vision du contrôle des matières d'or et d'ar- gent, informe l<?s intéressés que ce bureau sera ouvert au public à partir du 15 octobre prochain.

Voyage en Suisse

I Λ ' Horloger- /jijoutiei · fia 11 ça is publi e la relation d'un voyage en Suisse, de laquelle nous détachons les passages suivants: Nos lecteurs corrigeront les erreurs commises par un voyageur 1res pressé ou mal informé, qui enlève 0,000 âmes à la population de la Chaux-de- Fonds, place celle ville à la frontière française, ignorant Le Locle cl s'imagine que Daniel Jeanrichard — Richard Bres- sel. comme il l'appelle — est un ignoré qui n'est pas entré dans l'histoire.

N'importe, ce récit. 1res sympathique d'ailleurs à notre pays, ne manque pas de pittoresque.

Donc, après avoir échantillonné en mémoire ces replis des Alpes (dont l'ètymologie vient de cimes blanches), j ' a r r i v e à la Chaux-de- Fonds. 11 y a là, pour le voyageur soucieux des fruits du voyage, un point à contemplation.

Ce gros bourg de la Chnux-de-Fonds, frontière de notre France, n'avait, en 1825, que 5.000 h a b i t a n t s : aujourd'hui, grâce à l'industrie horlogére, il comporte 21,00t.) habitants.

En dehors des ateliers sur place, il reste, dans les environs, des milliers d'ouvriers et ouvrières qui travaillent chez eux, rapportant au jour dit la tache partielle et déterminée, accomplie chez soi, en compagnie de la femme et des enfants, et parfois aussi en compagnie d'un ruban de terre où la fertilité le dispute au souvenir historique.

Car dans ces contrées la légende du souve- nir fleurit également: la mémoire y est fidèle aux récits rappelant le point de départ de la fortune industrielle du p a y s : fortune qui date des premiers ognons, qu'on appelait des œufs de Xuremberg. et le nom de Richard Bressèl, ce grand ignoré du public, n'est point oublié de ses concitoyens. Richard Bressel était de l a - r a c e , aujourd'hui disparue, des artisans tenaces, chercheurs obstinés, pénétrés de l'amour-propre professionnel, et n'abandon- nant aucune difficulté qu'après s'en être ren- dus maîtres, et pour aller au-devant d'une autre. C'est ainsi qu'après avoir constitué de toutes pièces son outillage d'horlogerie, puis- qu'aucun élément n'existait alors d a n s le pays, il trouva moyen d'enseigner à ses frères l'or- fèvrerie vi la g r a v u r e .

C'était un utile, aussi les répertoires con- sacrés aux Grands Hommes \['vn font-ils pas mention.

La ville est magnifique, el malgré les nom- breuses fabriques qui la sillonnent, la pro- preté des rues et des habitations y est remar- q u a b l e : la population présente une certaine recherche d'élégance et dans ses habitudes et dans le c o s t u m e : les Helvètes apportent, d'ailleurs, la même coquetterie (ce dont on ne saurait trop les louer sous l'aspect natio- nal intellectuel, les écoles y a b o n d e n t : pri- maire, secondaire, supplémentaires, écoles de jour, écoles du soir.

On sait qu'en S u i s s ' \ l'école s'empare du citoyen dès le berceau, et ne le lâche pour ainsi dire qu'à la m o r t : elle le prend et fait de lui ce qu'il lui convient d'être, ou ce qu'il peut-être : un laboureur, un berger, un savant, un boutiquier, un praticien, mais invariable- ment elle s'applique a en faire un homme.

Brevets d'invention

Horlogerie et Bijouterie

LISTE DES BREVETS E N R E G I S T R É S

E l l I O S t r i M t I H H I I t M I t M·

Cl. Oi. η" 10,2SL .'50 août 1895, 2 ' ι h. p. — Montre simplifiée. — Henzi. Théodore.

Ii, Nidaustrasse. Bien ne (Suisse).

Cl. 04, n" 10,332. ! j u i n 1805,8 h. a. — Nou- veau mécanisme de mise à l'heure et de remise, pour montres simples et compli- quées. — Ringier. JJans : et Cantal.

Paul. 4, Boulevard Fontaine, tons deux à La Chaux-de-Fonds (Suisse).

Cl. 04, Brevet additionnel 11'"TlOi 103. 30 août 1805. 5 ' ' : h. p. — Nouvelle boite de montre.

— (rirard-Schild, F., fabricant de boites de montres, Granges ( Soleure. Suisse).

.Mandataires: Hansïin & C"\ C . Berne.

I t i u l I a t l o i i H .

Cl. Oi. n" 3017. Montre perfectionnée.

Cl. 04, n"U585. Montre perfectionnée, système . Agricol Dubois.

Cl. Ul. n" 8010. Nouvelle montre a douze et vingt-quatre heures.

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LA FEDERATION HORLOGERE SUISSE 463

•CI. 04, n" 8611. Remontoir pour montres à deux barillets.

Cl. 64, π" 8612. Montre-réveil perfectionnée.

•Cl. 05, n" 5139. Quantième à , g u i c h e t pour montres et pendules.

LISTIi DES D E S S I N S ET MODELES I "ι-oloi isi a i i o n · · .

N" Glu. 28 août 18D3, S U . a. — (IIe période 1895/1898). — l modèle. — Calibre de montre. — Hœtev it- Co, Aug:, Chaux- de-Fonds (Suisse) : enregistrement du 18 septembre 1895. .

A n n u l a t i o n

K" 301·. 27 avril 1792, 8 h. p. — Calibres de montres à répétition. — Patek, Philippe Λ1- Co, Genève (Suisse). Mandataire: Imcr- Schneider. E., Genève. Annulation pronon- cée par arrêt du 13 juillet 1805 de la Cour de [justice civile du canton de Genève : communiquée et enregistrée le 23 septem- bre 1895.

K i i t l i i i t i o i i H .

JS*" 021. 27 juillet 1893. — 5 modèles — Ca- libres de montres do poche.

Nouvelles diverses

La C h i n e a p r è s la g u e r r e . — S'il faut

•en croire le correspondant spécial du Times, Ia Chine n'aurait rien appris. Nulle part, à P é k i n , il n'a pu découvrir la plus faible indi- cation permettant de conclure qu'on avait le

•désir de profiter des leçons de la récente g u e r r e , voire mémo de comprendre ces le- ç o n s .

Les liants fonctionnaires du Fils du Ciel

admettent que les « nains j a p o n a i s » s'étaient montrés quelque peu désagréables par leurs agressions. Mais Ie Fils du Ciel n'avait eu qu'à lever son doigt et à l'aire signe aux

« v a s s a u x occidentaux de l'Empire du Mi- l i e u » , et ces derniers s'étaient empressés d'obéir et d'écarter les pygméesdes territoires qu'ils avaient maintenant occupés. Gc qui a encore contribué à rétablir la confiance, c'est la compétition qui s'est établie entre les capi- talistes et les gouvernements européens quand il s'est agi de venir au secours des finances chinoises.

L e s C h i n o i s prennent déjà part au com- merce en gros dans du pays, autrefois entière- ment anglais, américain ou a l l e m a n d s . Ils possèdent le commerce intermédiaire et les vapeurs qui font le service des cotes et qui étaient autrefois américains ou européens, appartiennent, aujourd'hui, principalement à des compagnies chinoises. Les Chinois font beaucoup de progrès m a t é r i e l s : c'est seule- ment en politique et en gouvernement qu'ils restent obstinément stalionnaires.

P a r i s p o r t d e m e r devient tous les j o u r s , de plus en plus, une réalité. Il y a environ un an, la compagnie de navigation à vapeur Seine and Mersej- arma le steamer Kenil- worth pour faire un service régulier entre Liverpool et P a r i s . Le succès a été si consi- dérable que la compagnie a placé deux nou- veaux navires sur la l i g n e : le Saint-Denis cl le Saint-George. Le Saint-Denis a fait der- nièrement son premier voyage. Il est en acier et ses machines s o n t à triple expansion. Il est éclairé à la lumière électrique et possède un appareil à projections pour éclairer sa marche, la nuit, en Seine. Sa jauge est de 400 tonnes et il contient une douzaine de cabines pour passagers.

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