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Conférence financière internationale à Bruxelles

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Academic year: 2022

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Trente-cinquième Année. — M0 90. Mercredi, 17 novembre 1920 B u r e a u * : Rue de la S e r r e , 5 8 .

M TMMTION HI

S U I S S E

ORQnME DE in ÇHRMBRE SUISSE DE L'HORLOGERIE, DES CHRMBREJ DE COMMERCE, DEJ BURERU* DE COMTROLE, DE5 ASSOCIATIONS PATROMRLES ET DE L'INFORMATION HORLOQÈRE SUISSE

PARAISSANT LE MERCREDI ET LE SAMEDI A LA CHAUX-DE-FONDS Les Consulats suisses à l'étranger r e ç o i v e n t le j o u r n a l ANNONCES: PUBLICITflS, S. R. suisse de Publicité, 22, rue Leopold Robert,

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A propos de l'infiltration économique

Noire article d a mois de septembre sur 1'« In- filtration é c o n o m i q u e » , où nous donnions des précisions, des n o m s et des faits, nous vaut une réplique de la Deutsche Uhrmacher-Zeitung:

L'organe des horlogers allemands ne conteste pas à la Suisse le droit de p r e n d r e des mesu- res pour se défendre de l'infiltration économi- que étrangère. Mais il voit une tracasserie di- rigée contre les seuls Allemands dans le fait que les exemples que nous avons cités con- cernent uniquement des maisons allemandes, ou des sujets allemands. La Deutsche Uhr- macher-Zeitung trouve que nous mettons beau- coup de zèle à dénoncer deux ou trois entre- prises, qui sont du reste en règle avec les prescriptions légales suisses, et à y voir une manœuvre déloyale dont on accuse seulement les Allemands. Les nombreuses « W a t c h Com- panies » qui existent en Suisse sont elles seu- lement un hommage rendu à leurs majestés le dollar et la livre sterling, ou bien n'y aurait-il pas aussi des capitaux anglais ou américains dans ces e n t r e p r i s e s ?

Et cette hostilité systématique témoignée à à l'Allemagne vient-elle du fait que le com- merce allemand ne peut plus, à cause du change, acheter les montres suisses ? Et avec quelque amertume l'article de la Deutsche Uhrmacher- Zeitung- conclut que ces attaques dont le com- merce allemand est l'objet en Suisse doivent rappeler aux Allemands qu'ils ne compteront à l'étranger qu'autant qu'ils seront forts et puissants é c o n o m i q u e m e n t , et qu'ils seront d'autant plus respectés de l'étranger qu'ils se rendront plus indépendants de lui.

Nous r é p o n d r o n s à notre confrère que si nous n'avons signalé que quelques cas de ca- mouflage économique, nous savons qu'il en existe de n o m b r e u x autres et qu'ils constiiuent pour l'industrie suisse un réel danger, contre lequel nous devons lutter avant qu'il soit trop tard. L'étranger suit cette question de l'infil- tration économique allemande en Suisse avec un intérêt tout spécial. Si n o u s ne réagissons pas nous-mêmes énergiquement, c'est tout le commerce suisse qui sera suspecté et discrédité

« l'étranger.

Il n'y a point dans notre action d'hostilité particulière contre l'Allemagne. Les maisons allemandes sont parfaitement en droit d'établir en Suisse, succursales et filiales, en observant les prescriptions légales imposées à tous les étrangers. Mais ce que n o u s ne saurions tolérer c'est que ces maisons établissent en Suisse des filiales sous une raison sociale suisse fictive, destinée à masquer leur nationalité véritable.

Nous voulons éviter que des marchandises allemandes puissent être vendues au dehors comme étant de provenance suisse, et cela non par hostilité contre l'Allemagne, mais dans l'intérêt de notre commerce et de la probité commerciale.

Si nous avons de nombreuses « Watch Companies» en Suisse c'est que les pays de langue anglaise, l'Angleterre et les Etats-Unis sont actuellement les plus gros débouchés pour nos montres. Et cela ne veut pas dire qu'il y ait des capitaux anglais ou américains engagés dans nos entreprises, qui jusqu'ici, ont pu faire face à leurs besoins avec les capi- taux nationaux. Les - Watch Companies » sont suisses et ne s'en cachent pas. Les maisons anglaises, américaines et des autres pays étran- gers, n'ont du reste nul besoin de se trans- former en maisons suisses p o u r vendre leurs produits par le m o n d e entier. Et c'est sans doute parce qu'il n'en est pas de même pour l'Allemagne que certaines maisons allemandes cherchent à couvrir leurs produits du pavillon suisse. Comme nous ne sommes responsables ni de la guerre, ni de son issue désastreuse pour l'Allemagne, si cette recherche de notre égide nous flatte, nous n'en repoussons pas moins le dangereux honneur de faire passer à l'étranger les produits allemands sous le pavil- lon suisse.

On nous reproche de n'avoir porté accusa- tion que contre des Allemands ! Mais il nous aurait été difficile d'agir autrement, parce que à notre connaissance ces tentatives d'infiltra- tion et de camouflage ne se sont pas produites de la part d'autres pays. Si la Deutsche Uhr- macher-Zeitung en connaît, nous lui serions reconnaissants de nous les signaler. Et c'est bien à tort qu'on n o u s accuse d'hostilité sys- tématique contre l'Allemagne. On ne saurait nous en vouloir, de défendre les intérêts de notre industrie et de notre commerce.

Distinction honorifique

Nous a p p r e n o n s avec une réelle satisfaction que le prix Nobel de physique a été décerné à M. Ch.-Ed. Guillaume, Directeur du Bureau international des poids et mesures, à Sèvres, pour ses découvertes sur les anomalies dans les alliages d'acier et de nickel.

Nos sincères félicitations au lauréat.

Conférence financière internationale à Bruxelles

Nous reproduirons dans ce n u m é r o et les suivants les résolutions des quatre com- missions de la Conférence financière inter- nationale, qui a eu lieu à Bruxelles, du 24 sep- tembre au 8 octobre 1920.

Bien que ces résolutions n'aient, pour le moment, pas de portée pratique, nous estimons utile de les publier, vu qu'elles exposent d'une manière assez précise les causes effectives et primordiales du marasme financier de la plu- part des Elats européens, qui pourraient et devraient être éliminées aux fins d'en arriver à l'amélioration de la situation économique actuelle.

I. Résolutions

de la Commission des finances publiques I.

Trente-neuf nations ont présenté successivement à la Conférence financière internationale un expo- sé de leur situation financière. L'étude de ces exposés fait ressortir l'extrême gravité de la situa- tion générale des finances publiques du monde et de l'Europe en particulier. Elle permet de dégager le fait suivant :

Trois sur quatre des pays représentés à la Con- férence, et onze sur douze des pays d'Europe prévoient un déficit budgétaire pour l'année cou- rante. L'opinion publique est largement respon- sable de cette situation; elle est loin d'avoir compris le rapport étroit qui existe entre le déficit des budgets et le coût de la vie, cause de tant de souffrances et d'un tel malaise dans le monde entier. Presque tous les gouvernements sont à l'heure actuelle sollicités d'engager de nouvelles dépenses dont la plupart constituent de simples palliatifs et qui, en définitive, accroissent les maux mêmes auxquels elles sont destinées à remédier.

La première mesure doit être d'amener l'opinion publique, dans chaque pays, à se rendre compte de l'état exact de la situation. Il faut la convaincre en particulier de la nécessité de rétablir des finan- ces saines, si l'on veut réaliser la large politique de réforme sociale que le monde réclame.

II.

Il importe tout particulièrement d'attirer l'atten- tion du public sur le fait que la baisse des prix et le rétablissement de la prospérité dépendent d'un accroissement de la production, et sur le fait que le déficit budgétaire, résultant d'un excès perma- nent des dépenses de l'état sur ses revenus, cons- titue un des plus sérieux obstacles à l'accroissement de la production, car il entraîne tôt ou tard les conséquences suivantes :

a) une inflation nouvelle du crédit et de la cir- culation fiduciaire ;

b) une diminution nouvelle du pouvoir d'achat des monnaies nationales et une instabilité encore plus grande du change sur l'étranger ;

c) une nouvelle hausse des prix et du coût de la vie.

Tout pays qui accepterait dans ses finances le principe du déficit budgétaire s'engagerait sur la pente dangereuse qui mène droit à la ruine. Pour échapper à ce danger, aucun sacrifice n'est trop lourd.

III.

Les premières réformes sociales et financières dont dépendent toutes les autres, doivent donc, de toute nécessité, tendre à :

a) ramener les dépenses annuelles ordinaires, y compris le service de la dette publique, dans les limites où elles peuvent être couvertes par les recettes ordinaires ;

b) réduire strictement toutes les dépenses d'ar- mements pour autant que cette réduction sera compatible avec le maintien de la sécurité natio- nale ;

c) renoncer à toute dépense extraordinaire non productive ;

d) restreindre le plus possible même leurs dé- penses extraordinaires productives.

IV.

Le Conseil Suprême des Puissances Alliées a déclaré le 8 mars dernier : « qu'afin d'atténuer les difficultés économiques de l'Europe, il était dési- rable de remettre partout les armées sur le pied de paix, de limiter les armements au minimum, com- patible avfc la sécurité nationale et d'inviter la Société des Nalions à examiner le plus tôt possible des propositions à cet effet. »

L'examen de la situation exposée par chacun des

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états représentés à la Conférence a permis à celle- ci de constater qu'une moyenne de 20 °/° environ des dépenses nationales est encore consacrée aux armements et aux préparations de guerre.

La Conférence affirme avec force que le monde ne peut pas continuer à supporter des charges sem- blables. C'est seulement par une politique de col- laboration franche et entière que les nations peu- vent espérer retrouver leur ancienne prospérité.

Cette restauratioT exige l'emploi par tous les pays de toutes leurs richesses nationales à des dépenses strictement productives.

En conséquence, la Conférence exprime le vœu formel que le Conseil de la Société des Nations confère au plus tôt avec les différents gouverne- ments intéressés en vue d'obtenir leur agrément à une réduction générale de la charge écrasante que les armements, dans leur état actuel, font peser sur les populations appauvries du monde, englou- tissant leurs ressources et mettant en péril leur restauration après les ravages de la guerre.

La Conference espère que l'Assemblée de la Société des Nations qui doit prochainement se réunir, prendra des mesures énergiques afin d'at- teindre ce résultat.

V.

La Conférence, tout en reconnaissant les diffi- cultés pratiques que pourra rencontrer parfois la mise en vigueur immédiate de ces principes, esti- me néanmoins que les gouvernements doivent renoncer, dans le plus bref délai possible, à toutes les mesures contraires aux lois économiques et d'un effet purement artificiel qui masquent à la population la véritable situation économique d'uu pays. Parmi ces mesures, il faut comprendre:

a) la diminution artificielle du prix du pain et des autres produits d'alimentation, du charbon et des autres matières premières, obtenue en fixant un prix de vente au public inférieur au prix d'a- chat, ainsi que la continuation des subsides de chômage qui démoralisent l'ouvrier au lieu de sti- muler l'esprit du travail ;

b) le maintien des tarifs de chemins de fer, des postes et autres services d'état à un taux insuffisant pour couvrir les frais de ces services, y compris les charges financières qui les grèvent.

VI.

Lorsque, malgré tous les efforts tentés, il est impossible de ramener les dépenses dans les limi- tes où elles peuvent être couvertes par les recettes ordinaires, le déficit doit être comblé par l'impôt.

L'augmentation des impôts devra être poursuivie sans faiblesse jusqu'à ce que les recettes de l'état suffisent au moins à couvrir la totalité des dépen- ses annuelles ordinaires.

La Conférence considère que les avantages res-

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)ectifs des différents moyens destinés à accroître es recettes budgétaires (impôt direct ou indirect, prélèvement sur le capital employé à amortir la dette publique) dépendent des conditions écono- miques particulières à chaque pays, et qu'il appar- tient à chacun d'eux d'établir le système le mieux adapté à son économie propre.

VII.

Toute nation qui accepte et applique les princi- pes exposés dans les paragraphes précédents, n'a pas besoin de recourir à l'emprunt pour faire face à des dépenses annuelles ordinaires et elles doi- vent renoncer à cette façon d'agir. Dans un certain nombre de pays, cependant, alors que les dépenses ordinaires peuvent être couvertes à l'aide du re- venu de la nation, il est impossible de faire face à des dépenses extraordinaires particulièrement lourdes, sans effectuer un prélèvement sur le capi- tal de la nation. C'est le cas, tout particulièrement, des pays dévastés par la guerre, qui ne peuvent mener à bien la reconstitution au moyen de leurs seules recettes ordinaires. La restauration de ces régions est essentielle au rétablissement d'une situation économique normale ; les emprunts faits dans ce but sont donc, non seulement inévitables, mais pleinement justifiés. Toutefois étant données les difficultés rencontrées à se procurer des fonds même pour cet emploi et dans le but d'économiser le capital, seules les dépenses particulièrement ur- gentes devraient être entreprises immédiatement.

VIII.

Le choix des moyens employés pour réaliser les em- prunts n'a pas moins d'importance que les fins aux- quelles ces emprunts sont destinés. Les emprunts futurs, destinés à faire face aux besoins urgents du capital, devront être prélevés sur les économies réelles du public. Mais, ces économies ont été engagées pour de nombreuses années à venir, pour constituer les crédits créés pendant la guerre!

lia première mesure devra donc consister à con- olider les dettes flottantes qui pèsent sur les raar-

« A F É D É R A T I O N H O R L O G È R E SUISSE chés, et c'est là un principe valable pour les em-1 prunts intérieurs, comme pour les emprunts ex- térieurs. En ce qui concerne les emprunts extérieurs en outre, la Conférence estime qu'il serait de l'in- térêt général des pays créanciers d'accorder toutes les facilités possibles aux pays débiteurs pour leur permettre de consolider leurs dettes flottantes dans le plus bref délai possible.

IX.

En vue de stimuler l'attention du public, il est essentiel de donner la plus grande publicité possi- ble à la situation financière de chaque état.

La Conférence estime donc que le travail déjà accompli par le Secrétariat de la Conférence, qui a fait une étude comparative des finances publiques des différents états, doivent être poursuivi, et elle suggère que le Conseil de la Société des Nations demande à ses membres et à chacun des états actuellement représentés à la Conférence de lui communiquer régulièrement, non seulement l'ex- posé des prévisions budgétaires et de l'emploi des crédits ouverts, mais encore un état semestriel des recettes et des dépenses. Ces états seraient priés, en outre, de transmettre des renseignements aussi complets que possible sur les systèmes d'impôts existants et toutes suggestions qui paraîtraient à chaque état utiles à l'éducation financière de l'opi- nion publique mondiale.

A l'aide des informations ainsi recueillies, la Société des Nations pourrait préparer des brochu- res qu'elle publierait périodiquement. Ces brochu- res exposeraient à la situation financière des dif- férents états sous une forme qui les rendraient comparables et feraient connaître lesdiffrents sys- tèmes d'impôts en vigueur.

X.

La Conférence considère que l'observation stricte des principes posés dans les résolutions précéden- tes est indispensable au rétablissement des finances I publiques sur des bases saines. Un état, qui ne fe-

rait pas tous ses eftorfs pour arriver le plus rapi- dement possible à cette observation, serait pro- chainement entraîné à des difficultés financières inextricables.

Pour permettre, toutefois, aux gouvernements d'appliquer ces principes, toutes les classes de la nation doivent apporter leur collaboration. L'in- dustrie doit être organisée de telle sorte que les travailleurs soient encouragés à fournir le rende- ment maximum; c'est de cette façon seulement qu'ils rendront possible l'établissement de ces conditions de vie que chaque nation considère comme un devoir d'assurer au peuple. D'autre part, toutes les classes, les classes riches en parti- culier, doivent être préparées à accepter volontai- rement des charges même anormales pour sortir de la situation actuelle. Pour combler le gouffre, qui pendant quelques années séparera forcément la demande et les disponibilités, c'est un devoir patriotique de tout citoyen de pratiquer la plus stricte économie et de contribuer de tout son effort à accroître le bien-être collectif. L'initiative privée est la base nécessaire des mesures fiscales indis- pensables à la restauration des finances publiques.

Informations

Avis.

Les fabricants qui sont en relations avec MM. David B e n z i m r a S o n s & Co, à Bombay, sont invités à s'annoncer au bureau de L'Infor- mation horlogère suisse, La Chaux-de-Fonds. .

Commerce extérieur

Norvège. — Interdiction d'importation Contrairement à ce qu'on pouvait supposer, l'in- terdiction d'importation des montres en Norvège frappe toutes les sortes de montres et de montres- bracelets et non seulement les « montres soignées » c'est à-dire les montres or et celles ornées de pier- reries, comme le portait l'arrêté de prohibition.

Aujourd'hui, les autorités norvégiennes ne font aucune différence entre les différentes sortes de montres ; l'importateur norvégien, qui veut obtenir une dérogation, doit, dans tous les cas, même s'il s'agit de montres argent et métal, adresser une requête aux autorités compétentes. L'exportateur suisse n'est pas autorisé à formuler lui-même une telle requête.

D'ailleurs, ces licences sont actuellement très rarement accordées, et surtout pas pour des mon- tres achetées après l'entrée en vigueur de l'inter- diction. Ceci en raison des gros stocks de montres existants en Norvège.

Il n'est pas possible de se prononcer sur la durée de l'interdiction. Sur la demande de la Chambre

suisse de l'horlogerie, l'autorité fédérale se propose d'intervenir auprès du gouvernement norvégien pour chercher à obtenir la levée de l'interdiction ou tout au moins de ne pas considérer la montre comme article de luxe, cet article rentrant actuel- lement dans la catégorie des objets de première nécessité. Des démarches seront faites également dans ce sens auprès d'autres gouvernements, ayant fermé leurs frontières aux articles de luxe ou se proposant de le faire.

En ce qui concerne la Suède et le Danemark, nous apprenons de source privée que la question de l'interdiction n'est pas encore en-discussion. ..'

Etats-Unis. — Montres et bijouterie.

La saison d'hiver promet d'être excellente pour le marché de la bijouterie. L'ailïuence sur les pla- ces de New-York et d'Attleboro, a déjà commencé, il y a quelques semaines et la demande est assez forte pour les bagues, les montres, les épingles, les broches, etc. Dans le commerce de gros, la vente d'horloges et de montres de poche, princi- palement pour l'exportation au Canada et en Aus- tralie peut-être considérée comme très favorable.

La demande est forte pour la plupart des pierres précieuses, et c'est pourquoi on en offre de forts prix. Fabricants et grossistes espèrent n'avoir dans ce domaine, au cours de l'année, pas de ré- duction de prix à supporter. On escompte aussi un marché animé du diamant pour Noël.

On remarque dans le commerce américain de l'horlogerie, un grand intérêt pour le marché suisse horloger, en grande partie cependant mo- tivé, par le désir de profiter du haut cours du dollar.

Les conditions de vente dans la bijouterie et le commerce d'horlogerie sont en général très favo- bles Dans le commerce de gros, on accorde 3 8 % à 30 jours, i l % à 60 jours, 11 %% à 90 jours, 23 '/•

à 4 mois, 11 '/a0/0 à 6 mois et 8 /0 pour les achats à plus long terme. Dans le commerce de détail, les délais en usage sont un peu plus courts : 15 /0 de 30 à 90 jours, 8 % à 4 mois, 10% au delà. (Extrait de rapports de la légation de suisse à Washington' de fin octobre 1920).

* *

L'industrie américaine de la bijouterie a pris depuis la guerre un grand dévoloppement. Elle tend maintenant non seulement à satisfaire aux besoins accrus des Etats-Unis, mais à devenir une industrie d'exportation. Elle doit son développe- ment, en partie à l'amélioration des conditions de transport et aux facilités accordées aux Etats-Unis pour les transactions commerciales. Ainsi, il est maintenant possible d'envoyer des Etats-Unis, de la bijouterie par colis postaux à destination de

beaucoup de pays. , Comme nouveautés on trouve chez les grands

bijoutiers de New-York, la montre exposée avec la chaine assortie. Certaines montres ont une boîte triangulaire, la chaine fixée à l'un des angles. La boîte est de platine et les trois angles sont ornés de cabochons de saphirs taillés. D'autres montres sont ovales avec motifs gravés à la main et place libre pour le monogramme.

La mode des toilettes décolletées a entraîné, une forte demande de colliers et parures riches où en- trent de préférence le platine, les diamants et les perles. Actuellement, les boucles d'oreilles revien- nent à la mode sous forme allongée, ainsi que les gourmettes suivies d'une goutte en forme de poire.

Bracelets et bagues sont également très en vogue.

Une bague nouveau genre portée au petit doigt, consiste en une série de petits anneaux étroits.

Les bagues voyantes et ornées de brillants sont toujours demandées. L'anneau ciselé revient à la mode, mais en platine et le motif préféré est la guirlande de fleurs d'oranger.

Ecoles professionnelles.

Eoole d'horlogerie de Soleure.

L'année scolaire 1919-1920, débuta en mai avec 18 élèves. Le nombre des élèves réguliers inscrits at- teignit au cours de l'année, le chiflre de 28. Les cours de perfectionnements pour ouvriers et visiteurs ont été suivis par 21 participants, ce qui donne un total de 46 personnes ayant fréquenté l'école, chif- fre jamais atteint jusqu'ici. L'exiguïté des locaux n'a pas permis de recevoir toutes les personnes inscrites aux cours de perfectionnement qui sont très appréciés.

Le rapport de M. Rosat, inspecteur fédéral a donné à l'école un excellent témoignage pour le sérieux travail qui y est fourni et pour les bons résultats obtenus.

L'école a fêté cette année la 50mc année de ser- vice de l'un de ses maîtres, M. le professeur Brö- nimanu, attaché à l'école d'horlogerie depuis 37 ans.

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L A F É D É R A T I O N H u i ^ o u E K K S U I S S E 7 7 1

Expositions, Foires et Congrès

I I Ie Congrès suisse de l'Industrie et du Commerce.

L e s S e c t i o n s d e l ' U n i o n S u i s s e d u C o m m e r c e e t d e l ' I n d u s t r i e e t d e l ' U n i o n c e n t r a l e d e s A s s o c i a - t i o n s p a t r o n a l e s s u i s s e s , s o n t c o n v o q u é e s a u I I I " * C o n g r è s s u i s s e d e l ' I u d u s t r i e e t d u C o m m e r c e , q u i a u r a l i e u l e 26 n o v e m b r e 1 9 2 0 , d a n s l a S a l l e d u C a s i n o , à B e r n e , a v e c l ' o r d r e d u j o u r s u i v a n t :

1. R è g l e m e n t d u C o n g r è s . 2 . Q u e s t i o n d u R h i n .

3 . R é f o r m e d e s finances f é d é r a l e s .

L e C o m i t é a p u s ' a s s u r e r l a c o l l a b o r a t i o n d e M . E r n e s t S t e i g e r - Z i i s t , p r é s i d e n t d e l ' U n i o n i n d u s - t r i e l l e à S t - G a l l , q u i p r é s e n t e r a u n r a p p o r t s u r l a q u e s t i o n d u R h i n , e t d e M . M . W a l t e r B o v e r i , d e l a m a i s o n B r o w n , B o v e r i & C o , S . A . , à B a d e n , e t A l f r e d G e o r g , p r é s i d e n t d e l a C h a m b r e d e C o m - m e r c e d e G e n è v e , q u i p r é s e n t e r o n t d e s r a p p o r t s , e n f r a n ç a i s e t e n a l l e m a n d , s u r l a r é f o r m e d e s fi- n a n c e s f é d é r a l e s .

P o u r a s s u r e r l a b o n n e r é u s s i t e d u C o n g r è s , l e C o m i t é i n v i t e t o u s l e s p a r t i c i p a n t s à p r e n d r e n o t e d e s p o i n t s s u i v a n t s :

1° O u v e r t u r e d u C o n g r è s , l e v e n d r e d i 26 n o v e m - b r e , à 8 h . 30 p r é c i s e s d u m a t i n , d a n s l a g r a n d e s a l l e d u C a s i n o d e B e r n e .

S i c e l a e s t n é c e s s a i r e , l e s d é b a t s p o u r r o n t ê t r e c o n t i n u é s l e 27 n o v e m b r e . U s s e r o n t c e p e n d a n t i n t e r r o m p u s a s s e z t ô t p o u r q u e t o u s l e s p a r t i c i p a n t s p u i s s e n t ê t r e r e n t r é s l e s a m e d i s o i r à l e u r d o m i c i l e . 2° T o u s l e s m e m b r e s d e s s e c t i o n s d e l ' U n i o n s u i s s e d u C o m m e r c e e t d e l ' I n d u s t r i e e t d e l ' U n i o n c e n t r a l e p e u v e n t a s s i s t e r a u C o n g r è s .

3° l e s o r a t e u r s s o n t p r i é s d e s ' i n s c r i r e a u p r è s d u p r é s i d e n t , a v a n t d e p a r l e r , e n i n d i q u a n t l e u r n o m et l a b r a n c h e d ' i n d u s t r i e o u d u c o m m e r c e à l a q u e l l e i l s s e r a t t a c h e n t . I l e s t , e n effet, t r è s d é s i r a b l e q u e l ' a s s e m b l é e s a c h e q u i p a r l e ; c e l a é v i t e d e s e r r e u r s et a u g m e n t e l ' i n t é r ê t d e s d i s c o u r s .

L e s o r a t e u r s q u i t r a i t e n t l a q u e s t i o n a u f o n d s o n t e n o u t r e p r i é s d e b i e n v o u l o i r r e m e t t r e a u b u r e a u u n r é s u m é d e l e u r d i s c o u r s p o u r f a c i l i t e r l a r é d a c - t i o n d u p r o c è s - v e r b a l .

S e u l e s s e r o n t p r i s e s e n c o n s i d é r a t i o n l e s p r o p o - s i t i o n s q u i a u r o n t é t é f a i t e s p a r é c r i t e t s i g n é e s , à l a p r é s i d e n c e .

4° L e s p a r t i c i p a n t s s o n t p r i é s d e s ' a s s u r e r e u x - m ê m e s l e u r s l o g e m e n t s e t l e u r e n t r e t i e n , l e C o n g r è s n e p o u v a n t , e n a u c u n c a s , o r g a n i s e r a u t r e c h o s e q u e l e s s é a n c e s e l l e s - m ê m e s .

L e s s e c t i o n s d e l a C h a m b r e s u i s s e d e l ' h o r l o g e r i e s o n t i n v i t é e s à e n v o y e r a u B u r e a u d e l a d i t e C h a m - b r e l e s n o m s d e l e u r s d é l é g u é s d ' i c i a u 2 1 n o v e m b r e c o u r a n t .

Chronique des métaux et diamants

Londres. — Marché des diamants.

L e s a f f a i r e s d a n s l e c o m m e r c e d i a m a n t a i r e s o n t t r è s c a l m e s , c e q u i , e n g r a n d e p a r t i e , s ' e x p l i q u e p a r l e f a i t q u e le c o m m e r c e d e N o ë l a d é j à é t é f o u r n i , e t i l n ' y a r i e n e n c e m o m e n t q u i p u i s s e s t i m u l e r l ' a c t i v i t é . L'Information a p p r e n d q u e l e s d e m a n d e s i m p o r t a n t e s o n t é t é r e ç u e s p o u r l e s d i a - m a n t s q u e l e D i a m o n d S y n d i c a t e m e t t r a e n v e n t e a u c o m m e n c e m e n t d e c e t t e s e m a i n e . C e p e n d a n t , l e s y n d i c a t n e f o r c e r a p a s l e n o m b r e d e s d i a m a n t s s u r l e m a r c h é . Q u e l q u e s d e m a n d e s d ' i n f o r m a t i o n o n t é t é r e ç u e s d ' A m é r i q u e , m a i s l e u r v o l u m e n e c o n s t i t u e m ê m e p a s u n c h i f f r e n o r m a l d e c o m m e r c e . D e s n é g o c i a t i o n s s e p o u r s u i v e n t p o u r l a v e n t e d ' a s s e z b e a u x l o t s d e b r i l l « n t s , b i e n q u e le c o m - m e r c e d e s d i a m a n t s t a i l l é s s o i t a u s s i c a l m e q u e c e l u i d e s d i a m a n t s b r u t s . L e s p r o f e s s i o n n e l s e n d i a m a n t s p o u r l ' i n d u s t r i e a n n o n c e n t q u ' i l n ' y a a u c u n c h a n g e m e n t d a n s l a s i t u a t i o n .

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Légations et Consulats

Chronique judiciaire

Résiliation anticipée du contrat de t r a v a i l .

Le directeur d'une usine doit Jouir d'une certaine liberté dans l'accomplissement de sa tâche.

E n g a g é t o u t d ' a b o r d c o m m e d i r e c t e u r d ' u n e u s i n e , à G e n è v e , P . L . a é t é n o m m é « a d m i n i s t r a t e u r d é - l é g u é , f a i s a n t f o n c t i o n d e d i r e c t e u r » , a u x a p p o i n - t e m e n t s d e 1000 fr. p a r m o i s . L e 18 n o v e m b r e 1 9 1 9 , L . s e d é m i t d e s e s f o n c t i o n s , m a i s c o n t i n u a e n f a i t à s ' o c c u p e r d e s i n t é r ê t s d e la S o c i é t é . 11 fut e n p a r - t i c u l i e r c h a r g é d e s u r v e i l l e r c e r t a i n s t r a v a u x a u S e n t i e r .

L e 8 j a n v i e r 1 9 2 0 . L . s e t r o u v a n t d e p u i s p l u s i e u r s j o u r s à G e n è v e , la S o c i é t é l ' a v i s a p a r l e t t r e q u ' e l l e a v a i t c o n f i é la d i r e c t i o n g é n é r a l e d e s o n e x p l o i t u t i o n d u S e n t i e r à l ' u n d e s e s e m p l o y é s e t q u ' i l d e v a i t s e c o n s i d é r e r d é s o r m a i s c o m m e s u s p e n i u d e s e s f o n c - t i o n s , e n t o u t c a s j u s q u ' a u 13 d u m ê m e m o i s , d a t e à l a q u e l l e le C o n s e i l d ' a d m i n i s t r a t i o n s e r a i t a p p e l é à p r e n d r e u n e d é c i s i o n à s o u s u j e t . L a S o c i é t é a l l é - g u a i t q u e L . a v a i t c o m m i s c e r t a i n e s n é g l i g e n c e s d a n s l ' a c c o m p l i s s e m e n t d e s a m i s s i o n e t e l l e f a i s a i t é t a t d u f a i t q u ' i l a v a i t q u i t t é s o n p o s t e d u S e n t i e r le 31 d é c e m b r e , s a n s l ' a v o i r p r é v e n u e . L e 14 j a n v i e r L . fut i n f o r m é q u e l e C o n s e i l l ' a v a i t « s u s p e u d u d e t o u t e s s e s f o n c t i o n s d a n s t o u t c e q u i p o u v a i t a v o i r t r a i t à l ' u s i n e ».

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L e d e m a n d e u r n e s a u r a i t e x i g e r s o n s a l a i r e p o u r j a n v i e r 1920 p u i s q u ' i l a q u i t t é s o n p o s t e l e 31 d é -

c e m b r e 1919 e t n ' a p l u s d è s l o r s t r a v a i l l é p o u r la d é f e n d e r e s s e . E n c e q u i t o u c h e l ' i n d e m n i t é p o u r r u p t u r e d e c o n t r a t , l a S o c i é t é a r e c o n n u q u e , d e s o n c o n s e n t e m e n t , L . a c o n t i n u é à f o n c t i o n n e r c o m m e d i r e c t e u r , a u x a n c i e n n e s c o n d i t i o n s , m a l g r é la d é m i s s i o n d o n n é e l e 18 n o v e m b r e 1 9 1 9 . L a d é - f e n d e r e s s e n e p o u v a i t , p a r c o n s é q u e n t , l e c o n g é d i e r q u e p o u r d e j u s t e s m o t i f s . O r , d e t e l s m o t i f s n ' e x - i s t a i e n t p a s . O n n e s a u r a i t , n o t a m m e n t , c o n s i d é r e r c o m m e u n j u s t e m o t i f e n l ' e s p è c e l e f a i t q u e le d e m a n d e u r a q u i t t é s o n t r a v a i l p e n d a n t q u e l q u e s j o u r s . « I n d é p e n d a m m e n t d e l ' é p o q u e e t d e s m o t i f s

d e c e t t e a b s e n c e » , i l y a l i e u d e p r e n d r e e n c o n s i - d é r a t i o n é g a l e m e n t q u e « l e d e m a n d e u r n ' é t a i t p a s p a s u n s i m p l e e m p l o y é , m a i s q u ' i l a v a i t l e t i t r e e t l e r a n g d e d i r e c t e u r e t q u ' e n c e t t e q u a l i t é i l d e v a i t p o u v o i r j o u i r d ' u n e c e r t a i n e l i b e r t é d a n s l ' a c c o m - p l i s s e m e n t d e s a t â c h e » . I l n ' a d ' a i l l e u r s p a s é t é a l l é g u é q u e l a d é f e n d e r e s s e a i t e u l ' o c c a s i o n , p r é - c é d e m m e n t , d e l u i f a i r e d e s o b s e r v a t i o n s a u s u j e t d e f a i t s d e c e g e n r e n i q u ' e l l e l ' a i j a m a i s m e n a c é d e l a r é s i l i a t i o n d u c o n t r a t . Q u a n t a u x a u t r e s g r i e f s , à l e s s u p p o s e r m ê m e f o n d é s , i l s n e s u f f i s a i e n t p a s à p r o u - v e r q u e l a c o n t i n u a t i o n d u c o n t r a t é t a i t d e v e n u e i n t o l é r a b l e p o u r l a d é f e n d e r e s s e . L e s f a u t e s r e p r o - c h é e s a u d e m a n d e u r n e p e u v e n t d è s l o r s e n t r e r e n l i g n e d e c o m p t e q u e p o u r l a r é d u c t i o n d e l ' i n d e m - n i t é

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2X1/20. — Graeser frères, soc. a. coll., bijouterie, etc., Zurich I

i/XI/20,— Bernard Levaillant, horlogerie, La Chaux-de-Fonds.

i/XI/20. — Louis Dnmont, successeur de Dumont & Co, fahr., achat et vente de huiles de montres bijouterie et articles simi- laires, La Ghaux-de Fonds.

6/X1/20. — Alb. Bessire-Kummer, horlogerie et bijouterie, Bex.

fi/XI/20. — Guillry Watch Co, soc/an., horlogerie, Fleurier.

8/XI/20. — Jose/ Lötscher, commerce et fabr. de pierres unes pour horlogerie, Lyss.

8/XI/20. — / . Arnould, fabr. de cadrans, St-Imier.

8/XI/20. — Société Libertas, soc. au., boites de montres en or, etc., La Chaux-de-Fonds.

9/XI/20. — Ernest Froidevaux, fahr, de boites or, Noirmont.

lO/Xf/20. — Willi. Strotz, bijouterie, Altstätten.

F a i l l i t e . 26/X/20. — Josef Lötscher, pierriste, Lyss,

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121,4 10 nov.

8 2 ' / 4

12 nov.

87 »/3 99 — 245 — 35 — 36 — 63 ' /8

121/11 11 nov.

80 •/»

11 nov.

87 Va 101 — 249 1/4 33 '.'„

37 \l, 53 '/, 12 nov.

83 Va 490

12 nov.

8 6 ' / . 101 — 249 '/s 33 Vf 37 V«

53 Vt 13 nov.

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6/X120. — Louis Dumont (L" Constant D., de La Chaux-de Fonds), achat et vente d'horlogerie, bijouterie, etc., rue du Banneret 4, La Chaux-de-Fonds.

8/XI/20. — Georges Dubois & fils, soc. n. coll. (G.-Arnold D et G.-AIexandre D,, originaires de La Chaux-de-Fonds et du Locle), fabr. .de cadrans métal et argent, rue de l'Industrie 2, La Chaux-de-Fonds.

M o d i f i e n t I O I I M :

3/XI/20. — La raison « William Guye », est radiée. L'exploitation est continuée par William Guye Cie, soc. corn. (Paul-William G., des Bayards, assoc. indéf. respons., dame Anne Bùrck-Siohr, de natioaalité française, associée com. pour fr. 50.000) fabr.

de iscies en tous genres, 3, rue Jean-Charles, |Eaux-Yives (Genève).

4/XI/20. — La raison »Paul Miüler's Wwe», est radiée. Actif et passif sont repris par Paul Müller &. Co, soc. n. coll. (Dame Friederike Bertha Herger, veuve de P. Müller, d'Altorf, et ses

enfants Mlle Berlha et Paul M., de Villingen), horlogerie et bijouterie, Kramgasse 14, Berne.

6/X1/20. — La soc. n. coll. « J. Bouelle-Nicolet & Co » est dis- soute, sa Raison radiée. Actif et passif sont repris par John Bouelle-Nicolet (de la Chanx-de-Fonds), fabr. de boites de montres et bijouterie plaqué or et argent en tous genres, Corcelles.

8/X1/20. — La Swiss Jewel Co, société anonyme, suce, de la maison Ct. Mojonny fils & Co, à Genève, a porté son cap., soc. de fr, 1.800.000 à fr. 2.280.000.

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6 6 6 Vf 4 >/i à 5

5 5 S 6 7 V>

7 7 6 Vf

6 6 Vf

6 8

37.80 21.88 6.32 39.45 22.35 78 40 194.40 7.4Î 1.57 0.97 6.537

38 50 22.28 6.72 40.45 22 75 76.40 198.40 7.82 1.97 1.37 6.937 122.18 123.15

85.70 6 875 8.75 20.60

86.70 7.275 9.1B 23.50

10.—

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