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Développement du moteur de recherche LEOnard au sein des Études Économiques de BNP Paribas

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Développement du moteur de recherche LEOnard au

sein des Études Économiques de BNP Paribas

Sébastien Tessaro

To cite this version:

Sébastien Tessaro. Développement du moteur de recherche LEOnard au sein des Études Économiques de BNP Paribas. Sciences de l’information et de la communication. 2008. �dumas-01558176�

(2)

UNIVERSITÉ

CHARLES DE GAULLE - LILLE 3

FACULTE DES SCIENCES

HUMAINES, LETTRES

ET

ARTS

UFR IDIST

MEMOIRE DE STAGE POUR LE

MASTER 2 PRISME

Développement

du

moteur

de recherche LEOnard

au sein des Etudes

Economique de BNPPARIBAS

Présenté par Tessaro Sébastien

Etsoutenu le 23

septembre

2008

Responsable du diplôme

:

Mustapha El Hadi Widad

Responsable de

stage : Bernardini Michel

1 3

Mille

(3)
(4)

REMERCIEMENTS

Jetienstoutparticulièrement à remercier Madame Widad Mustafa el Hadi, Maître de

Conférencesen Sciences de l'Informationetde la Communication etprofesseur à l'Université

de LilleIII, d'avoirdirigémontravail de mémoire. Je la remercietoutparticulièrementpour

sadisponibilité, sapatience, sonimmense gentillesse, ses conseilsetses encouragements.

Mesremerciements s'adressent aussi auxmembres des EtudesEconomiques de BNPARIBAS pourl'ambiance amicaleetle sérieux du travail,etils s'adressentnotamment et tout

particulièrement àMichel Bernardini, monresponsable de projetinformatique, quipar sa

compréhension, sapatience, sondynamisme mais aussi sabonne humeur, permettentde

mettre àl'aise "sesjeunes stagiaires" etde lesintégrer rapidement dans le travail.

Jeremercie aussi Paul Regnardpourm'avoir encadré directement dansmonstage avectoute

sa disponibilité mais aussisapatience etsavolonté d'êtreparfaitement clair dans sespropos. J'engarderai l'exemple.

Jevoudraisencoreremercier lesdocumentalistes qui onttoujours étéaimables etdisponibles

pour merenseigner.

Ungrand merciaussi àtousmes collègues ex-étudiants qui m'ont encouragé dans la

préparation demonmémoire.

(5)
(6)

Table des matières

REMERCIEMENTS 3

INTRODUCTION 8

1 APROPOSDE B.N.P.PARIBAS... 12

1.1 Lesecteurd'activité deBNPPARIBAS, son importance 12

1.1.1 LaBanque de détail (en FranceetInternationalRetailServices) 13 1.1.2 Corporate and InvestmentBanking (Banque de Financementetd'Investissement) _ 14

1.1.3 AssetManagement andServices 16

1.1.4 Lesmétiers transversaux 16

1.2 Lesmétiers, leseffectifs 17

1.3 Son histoire 17

1.4 Sesvaleurs, sonimage 19

2 LEPROJET LEONARDETMON INTEGRA TION AUSEINDECE PROJET 21

2.1 Présentation duprojet LEOnard: sagenèse 21

2.2 Immersionavecles nouvellestechnologies 23

2.3 L'organisation du travail 25

2.3.1 Apprentissageetcréation d'une méthodologie de travail personnel 25

2.3.2 Lesdifférents tests 27

2.4 Lamaîtrise d'ouvrage (MOA)ausein des Etudes Economiques 29

2.4.1 Lesprincipes de la MOA 29

2.4.2 La MOAaux Etudes Economiques :larépartition du travailentreles différents acteursduprojet (MOE BNPPARIBASetles éditeurs) 30

2.5 Lamissionprincipale demonstage 31

2.5.1 Lechoixdemamission 32

2.5.2 L'accord du responsableprojet infromatique 33

3 PRESENTA TIONDUMOTEURDERECHERCHE 35 3.1 Historique des moteursde recherche 35

3.1.1 L'apport technologique des différents éditeurs pourLEOnard 36

3.2 Letyped'information traité 39

3.2.1 Saprovenance 39

3.2.2 L'accès à l'information économique àtraversLEOnard 40

(7)

3.4 Dequellefaçon estdiffuséeetclasséel'informationparLEOnard 48

3.4.1 Le documentnumériqueetsaconstitution 48 3.4.2 Extractionde termes dans undocument 49

3.5 Lestechniquesd'extraction d'information 52

3.5.1 L'objectifdel'extractiondetermeavecla méthodestatistique 52

3.5.2 Leslimitesdela méthodestatistique nécessitantlepassageàlafouille detexte 53

3.5.3 Différenceentreletextminingetle data mining 54

3.6 Principe defonctionnement de Témispourl'extraction d'entités nommées 55

3.6.1 Xelda le moteurmultilinguistique 56 3.6.2 L'extracteurInsightDiscoverer Extractor (IDE) 56

3.6.3 Les cartouches de connaissances 57

3.6.4 Le fonctionnement de cescartouches 57

4 L'INTEGRATIONDES CARTOUCHES DE CONNAISSANCES DE TEMIS 62

4.1 Témisdansles différents environnements de travail 62

4.2 Laphase d'intégrationsurl'environnement detest(staging) 64

4.2.1 Laméthodologieappliquée 66

4.2.2 Classifications destypesde problème rencontré 67

4.3 Lancement de Témisenproduction 69

4.3.1 Le constat 69

4.4 L'activité 71

4.4.1 La cartouche IDEInsight DiscovererExtractorenversionbeta 71

CONCLUSION 75 RÉFÉRENCES BIBLIOGRAPHIQUES 77 ANNEXES 80 ANNEXE 1 81 ANNEXE2 91 ANNEXE4 93 ANNEXE5 95 ANNEXE6 96 ANNEXE 7 100 ANNEXE 8 102 ANNEXE 9 110

(8)

ANNEXE 10 111

(9)

INTRODUCTION

Dansunmonde enmouvements, enmutationsconstantes etparfois imprévisibles,

l'informationestau cœurdu fonctionnement del'Entreprise.

Ilestcapital pourles«Acteurs» d'une GrandeEntreprised'avoir accès àtoutesles

connaissancesconcernantleur domaine afin depouvoiragirenconnaissance decause, mieux

connaître ses concurrents, lesproduitsdivers surle marché, l'état du marchéetsaréceptivité

pourpouvoir créeretproposerdes produits plusattrayants, capter etconserver uneclientèle, etaussi depouvoir anticipersur les comportements,les évolutions, les risques. Cette phase

d'anticipationetd'observation estcertainement, denosjours, l'enjeu majeurpourlesgrandes

Entreprises. Prévoir, analyser, anticiper, risqueravec une connaissance aussi complèteque possible des enjeux, sontlesatoutsnécessairespouraffronter ceXXIème siècle.

Pourcefaire, la recherche de l'informationetsonanalyseest stratégique. Mais,

l'informationest aujourd'huipartoutprésente etbienquecelle-cinousparvienne sousdes

formesmultiples (écrites, orales, visuelles ...), nous sommes «noyés»dansune

surabondance d'informationetnousarrivons difficilement àen extraire lesens essentiel et,

finalement, àen connaître sapertinence età savoir l'utiliser. Ceciestnotammentvérifiéparle

célèbreadage«tropd'information,tuel'information». C'est justementtoutl'enjeu des

techniques de l'information quivontdevoir résoudrece problème afin deproposerdes

solutionsaux «Acteurs et Décideurs» desEntreprises.

Danscetunivers deTechnologies de l'Informationetdela Communication, lesGrands Groupesontcompris la nécessité demettre enplace desmoyens efficacespour «gérer ces informations»afin de mieuxrépondreauxbesoins d'informations de leurs collaborateurs, de

leurs clients etde leurs fournisseurs.

L'enjeu estimportant danstous les Groupes maisoncomprendra aisément qu'il estmajeur

(10)

desréactivités sansfaille. Or, BNPPARIBAS regroupetousces secteurs, il estdonc normal que le Groupe s'engage danscettedémarche du traitement de l'informationetse dote de

moyensefficaces.

Eneffet, face àl'augmentationvertigineusedunombre demoyens informatiquesetàleurs

évolutions constantes, lemétier de « documentaliste » s'estcomplètement transforméet

d'une situation dedépendance vis-à-vis des professionnels de la documentation, l'usager devientl'interlocuteur direct aveclamachine, ilaappris à s'adapter à la technologie

informatique.

C'estincontestable, l'informatique apermisle développement d'outilspourtraiter

l'information, pourfacilitersarechercheetétablir la représentation des documents aumoment de leurindexation. Cependant, auseindes Etudes Economiques de BNPPARIBAS, les

documentalistes fournissentuntravailpointu de recherche, tandis quela«technologie

informatique»nommée «projet LEOnard» propose uneinformation généraliste sur

l'économie etla finance. Ils sontparconséquent complémentaires.

Cemémoirea étéeffectué dans le cadre demonstagede fin d'étudespourvalidermon

master2professionnel P.R.I.S.M.E (Produits de l'Information SpécialiséeetMédiation

Electronique) à l'Université Charles de Gaulle, Lille3.

Cemémoire apourobjetl'étudedumoteurde recherche LEOnardauseindes Etudes

Economiques de BNPARIBAS.

Cetteétude estcomposée dequatreparties :

- La

première partie estconsacrée à la présentation générale de BNPPARIBAS et

notammentau département des Etudes Economique du pôle BFI (Banque de Financementet

d'Investissement) dans lequel j'ai évolué.

- Ladeuxième

partieconcerne l'observationdu projet LEONardetmonincorporation ausein deceprojet.

- La

(11)

- La

quatrièmepartie estconsacrée à l'objet même de la mission demonstage,

c'est-à-dire, àl'intégrationde l'outiltextmining de l'éditeur Témis surlemoteurde recherche

(12)

PARTIE I

(13)

1 A PROPOS DE B.N.P. PARIBAS...

Enannexe 1 setrouveune plaquette récemment publiéeparB.N.P Paribas relatant les

donnéesessentielles, chiffrées, deceGrandGroupe, pardomaine d'activités.

Je souhaitais,ci-après, résumer lesprincipaux métiers du Groupe afin demettre en exergue, parmi ce dédale d'activités, le département dans lequel j'ai effectuémonstage pourd'une

partcomprendre son imbrication, ses implications,etd'autrepart, les enjeuxet l'utilité d'un

teldépartementet, parvoie de conséquence, de l'utilité du métier queje m'apprête à

appréhender, c'est-à-dire l'assistance à la maîtrise d'ouvrage.

1.1 Le secteur d'activité de BNPPARIBAS, son importance

B.N.P. Paribasest l'un des leaderseuropéens des services bancaireset financiers, elleest la

cinquième banque mondiale et la première entreprise française (source : Global 2000 Forbes

2008). Voici l'organigramme avec les directeursetles différents responsables des pôles BNPARIBAS.

Sotvca BNP Parttu»

(14)

B.N.PParibasestprésente dans 85 payselle détient des positions clés à traversses

différents métiersquisontclassésentrois grandspôlesd'activités, auxquels il convient

d'ajouterunquatrième pôlequel'onpeutqualifié«administratif», concernantles métiers

transversaux etauqueltous les autresontrecours :

1.1.1 LaBanque de détail (en France etInternational Retail Services)

Elle offretoutelagammedes services etproduits bancaires, de la simpletenue des

comptesà divers services financiers spécialisés telsquele crédit à la consommationetà l'équipement des particuliers (le célèbre crédit Cetelem fait partie de sesactifs), le crédit

immobilier, ainsiqu'unegammenombreuse etvariée demontagesde produits financiers

destinésaux particuliersetauxentreprises.

Très forteenFranceetdans les Dom-Tom, labanque de détailestaussi présente à l'International(notammentenItalie, sous lenomde Banca Commerciale BNL bc,une

implantation parfaitement réussieavec 800 Agencesréparties dans lepaysregroupantplus de

2,5 millions de clients particuliers etplus de 36000 entreprises, auxUSAetdans lespays émergents).

En Franceet dans lesDom-Tom, BNPPARIBAS s'adresse :

àuneclientèle departiculiersavecplus de 6 millions de clients. Sontauxde

pénétration estde 22 % dans lesfoyersayant desrevenusannuelsnets déclarés

supérieurs à 82000euros (source: Ipsos2007)

- à

uneclientèled'entrepreneursavec500000 clients

àune clientèled'entreprisesetd'institutionsavec60000 comptes. BNPPARIBAS

déploie d'énormes moyens pourcapterce secteur. Acet effet, elleamisenplaceen

2005, undispositif unique dans lepaysagebancaire français, avec24 Centres

d'Affairesrépartis surtoutle territoire et2 services d'assistance : le Service d'AssistanceEntreprise (S.A.E.) etunCash Customer Services (C.C.S.)

(15)

1.1.2 Corporate and Investment Banking (Banque de Financement et

d'Investissement)

C'est labanque de financementetd'investissement du Groupe qui intervient dans les activités de conseils etde marchés descapitaux.

Cepôlepropose àses clients (particuliersetentreprises) des« solutionssur mesure »dans

les domaines desobligations européennes etinternationales, le domaine des actions, mais

surtoutdansle domaine des investissements structurésetindiciels, lagestion des devises,

lemultimanagement, le partenariat stratégiqueavecdes gérants locaux.

Il estleader mondial dans le financement d'acquisitions, d'exportation de biens

d'équipement, de projets d'infrastructures, d'énergieetde matières premières.

Legroupeesttrès présentsurlesmarchésenforte expansion (Brésil, Maroc)ets'engage également dans des«investissements responsables » .

Sa notoriété esttellequ'il abénéficié de la meilleure notation Novethic (aaa) etla qualité

globale de sonorganisation estconfirméeparFitch qui lui aattribué l'une des meilleures

notes : AM2+.

Le succèset la notoriété d'un telpôlenepeutêtrequele fruit d'un travail d'équipe qui se

dotenonseulementd'experts financiers mais aussi de solidesmoyensd'analyses etde

regroupement d'informations quipermettrontde s'approprier les informations clés surles entreprisesetles marchés, suivre la conjonctureen « tempsréel» etles grands sujets de

l'actualité, decomprendre les données macro-économiques qui sous-tendent les analyses.

Lacollecte des informations ainsique leurs analysessontdes moyens stratégiques qui permettentd'anticiper les changements affectant l'économie d'unpays oud'unsecteur,

lespolitiques économiques des banques centralesou de leurs confrères, les risquesetles

opportunités des marchés émergents.

(16)

C'estpourtoutes ses raisonsque ce Pôle s'est doté d'un solide département dénommé :

département des Etudes Economiques quiregroupe des économistes, des

documentalisteset des statisticiens ainsiqu'un secrétariat.

Cetteéquipeest composée de 54 personnes et s'adresse àtous les décideurs du Groupe dont le directeur dupôle CIB estJacques d'Estais. Philippe d'Arvisenet dirige les Etudes

Economiques. Michel Bernadini, monresponsable de stage,occupe la fonction de

« Responsable de Projet Informatique. ».

CORPORATE FINANCE Thieify VARENE GLOBAL EQUITIES S COMMODITY DERIVATIVES YannGERARDIN EricRAYNAUD

Alfonso PALLAV1CINI/ LincolnPAYTON

Un coinPAYTON FIXED INCOME

Fred«ric JANBON STRUCTURED FINANCE

Dominique REMY

CORPORATE A TRANSACTION GROUP André BOULANGER «

LOAN AND PORTFOLIO MANAGEMENT NathalieHARTMANNn

ALMTREASURY

MichelEYDOUX

FUNCTIONS

COVERAGEl

tpirl taEre Rayiaie

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rqrttajrai Niin

Capture d'écran présentant l'organigramme de Corporate Investment Banking (BFI)

EnJanvier2003, ce département, pourmieux répondreauxexigences du traitement de la

documentation, lanceun vasteprojet : le projet LEOnard (LEO Navigateur Assistant de

Recherche Documentaire), portail de recherche d'informations économiques, sous la direction de Michel Bernadini. Leprojet LEOnard consiste à mettre envaleur les

informations des EtudesEconomique à partir d'umoteurde recherche interne destiné aux

(17)

C'estainsi que le 15 Juillet 2007, je suis recrutéenqualité de stagiairechargé, durant6

mois, de m'occuper deplusieursaspectsdu portail LEOnard, notammentde

l'amélioration de lapertinence des résultats dumoteurde rechercheauniveau sémantique

(cette partieestdéveloppée dans la partie 4 duprésentmémoire).

1.1.3 Asset Management and Services

Leaderégalement dans cesecteur, le Groupe le définitcommeunpôle de services. Services liés à lagestion d'Actifs, aucourtage, àl'épargneen ligne, mais aussi liés aux activités diverses del'importantsecteurde l'immobilier. C'est l'un desacteursmajeurs de l'immobilierrésidentiel enFrance etleleader de l'immobilierd'entreprises enEurope Occidentale.

Il propose, dansson département«Assurance», de nombreuxproduitsetservices d'

assurances (en épargne,enprévoyanceetenassurancedommages).

Il assuretousles services liésauxtitres. 45 millions de transactions ontététraitées en2007

dontplus de la moitié hors de France.

1.1.4 Les métierstransversaux

Afinqueles 3 premierspôles d'activités du Groupetravaillenten coordination étroite et

«enbonneintelligence »,BNPPARIBAS acrééunsecteurde métierstransversauxtels quelesjuristes, les fiscalistes, les métiers de la financeetde l'informatique, les métiers liésàlagestion des risques etaucontrôle desopérations (l'auditinterne, l'inspection

générale).

Touscesmétierssont appelés à intervenir danstous lespôlesd'activités afin degarantir la

(18)

1.2 Les métiers, les effectifs

Pour assurerle bon fonctionnement detous cesServices, BNP Paribasregroupeunetrès large

diversité de métiers correspondantauxdiverses spécialités des secteurs. Ellecompte 300 métiers différents.

Avec 163.000 collaborateurs dans le monde dontprèsde 120.000enEurope (63000en France

etdans lesDom-Tom), BNPParibas seveutuneentrepriseanimée« par unesprit

d'ouverture». Pourcela, ellejoue surladiversité de sessalariés : «la diversité doit êtreune

priorité » asouligné Michel Pérebeau, Président de BNPPARIBAS etil souhaiteque « de plus enplus le public des salariés correspondeaupublic des clients ».Ladiversité de la

communautéhumaineestune réalité dansceGroupe, 95 nationalités sontreprésentées en

France.

LeGroupe offre également denombreux stagesauxétudiants ets'engage à leur fournirune expérience riche etformatrice. Il offre, à chacun d'eux, aprèsunepériode de formation initiale, unemission riche enresponsabilités.

C'estdans cecadrequej'ai effectuéunstagede 6 mois auseinde BFI Etudes Economiques

pourparticiperetcontribueraudéveloppement de LEOnard l'application dumoteur de

recherche entreprise, auparamétrage de veilles internet via l'outil KBCrawl, auxentretiens

auprès des utilisateurs etprescripteursde veille, auxtestsdenouvelles fonctionnalités, à l'intégration de l'outil textmining Témiset, auxdémonstrations eninterneetàl'externe. Pourcela, Michel Bemardini,monresponsable de stage etPaulRégnard, chargé de veilleet

documentationm'ontencadré danscesactivités.

1.3 Son histoire

Ilafalluplus d'un siècleetdemipour que ceGroupe, suite à denombreuses fusions,

devienne cequ'ilestaujourd'hui : BNPPARIBAS.

(19)

1820 : lesprémisses decette grande banquesemettentenplace. C'est d'abordune «histoire de famille» : Louis-Raphaël Bischoffsheim fondeunebanque à Amsterdam

tandisque sonfrère créeuneagenceà Anversen 1927 etquecelui-ci épouseplus tard la fille dubanquier de Francfortetfondentensembleen 1863 La Banque deDépôtet

deCréditdesPays-Bas. Parallèlementun groupedebanquiers français créenten

1869, la Banque de Paris qui s'installe prèsde l'Opéra.

1872 : cesdeuxbanquesvont fusionnerpourcréerla Banque de Paris et des Pays-Bas

1966 : naissance deBNP suite àunefusion de deuxbanques : la BNCIet leCNEP,

faisant alors de laBNP lapremière banquefrançaise, la deuxièmeenEuropeetla

septièmedans le Monde.

1968 : Naissance de laCompagnie financière de Parisetdes Pays-Bas

1982 : Nationalisation de laBNPetde CFPP dans le cadre del'opération des nationalisations desbanques françaises

1993 : Ladéréglementation dusecteurbancaire qui s'opère à la fin des années 80

modifieprofondément le métier de la banqueetsesconditions d'activités, enFrance et

dansle Monde. C'est ainsique BNPestprivatiséeen 1993. Elle prendunnouveau

départenlançant desnouveaux «produits»et« servicesbancaires»et setournevers l'International.

1998 : Naissance de Paribas dans le cadre d'une fusion entrelaCompagniefinancière deParibas, de labanque Paribasetde la Compagnie Bancaire

1999 : Rapprochement de BNP etde Paribas

2000 : Création de BNPParibas

LeGroupe vatirersa force des deux grandes lignées bancairesetfinancières dont il procède. Ilprendson envoletaffiche des résultats quitraduisent le succèsdecette

fusion. LeGroupe poursuitsastratégie de croissanceenFranceetdans le Monde.

- 2006

: Durant la seule année2006, lataille duGroupe aaugmentéde 25 %. Ilne

cesse desetransformerpourmieuxs'adapteràunmonde enpleinemutation.

- 2007

: LeMonde estmarqué par une gravecrise financièreetlesecteurbancaire

connaîtdeprofondsrevers. Endépit des difficultés de la conjoncture économiqueet

de leurspressions surles performanceséconomiques, le Groupe amaintenusa dynamique de développent danstous sespôles. Lesmotsdu Président Michel

(20)

Peberreau, ouvrantsondiscourslorsde laprésentation des résultats de 2007, résumera

la situation :

« Laperformanceréaliséeen2007 illustre la robustesse denotremodèle, quiest fondésur un équilibreentreles activités de banque de détail générant lamoitié desesrevenus, les métiers

de l'assetmanagementetceuxde banquede financement etd'investissement quienassurent

respectivement le sixièmeetle tiers ».

La solidité financière duGroupe, quiaobtenu lanoteAA+ délivréeparStandard & Poor's,et

saculturerigoureuse du risque ontfortement contribué à sacapacité de résistance.

1.4 Ses valeurs, son image

PourunGroupe d'une telle ampleur, ilestprimordial demettreenplaceune cohésion

de communication,d'image, de publicité, d'identité visuellephysique etélectronique, d'unepolitique de relationavec lapresse.

S'ilestimportant de garantir«l'imageinstitutionnelle dugroupebancaire mondial » etde contribuerausuccès commercial de sesmarquesetde sesproduits, ilestaussi

capital de contribuerau développement d'un sentiment d'appartenanceau Groupe

chez les Collaborateurs afin d'avoir leurcomplèteadhésion à la stratégie mise enplace

parles décideurs mais aussi de développer chez eux, unmode decomportement

conformeauxvaleurs mises enplace etquisontaunombre de 4 :

Laréactivité, La Créativité,L'EngagementetL'Ambition

Lelogo de BNP Paribas, représentépar une courbe d'envolaux4 étoiles, symbolisele dynamismeetle progrès, valeursqui font le succès du Groupe.

Aprèsavoir faituneprésentation de BNPPARIBASetde cesdifférents métiers,nous allons

nous attacher à faireuneprésentation demes activités quim'ont animé toutaulong demon

parcoursà BNPPARIBAS, et notammentde la principale mission demon stage.

Nous allons aussi voir quecesmultiples activités découlent d'un type d'activitébien lié à la gestionde projet informatique.

(21)

PARTIE II

(22)

2 LE PROJET LEONARD ET MON INTEGRATION AU

SEIN DE CE PROJET

2.1 Présentation du projet LEOnard : sa genèse

BNPPARIBAS possèdeune formidable richesse d'informations économiques, financièreset

statistiques. Nous comprendrons aisément la nécessité pour unetelle banque de disposer d'un

outilpermettantd'offriraux3 000décideurs de l'établissementunaccèsà l'information à la hauteurdesenjeux d'une banque moderne.

Nousallons voir dans ceparagraphe commentle projet LEOnard s'est construitetàpartir de

quelcontexteje m'ysuis intégré et commentj'y ai évolué.

Avant la création deLEOnard, BNPPARIBAS étaitconfrontée àdes contraintes importantes : multiplicité dessourcesinterneset externes,autantdedemandes différentes quedesources interrogées (internet, intranet, GED, bases métiers) et dansdes formats multiples, d'où l'obligation de consolider manuellement chaque liste de résultats.

Effectuer alors desrequêtesexhaustives surl'ensemble des informations disponibles étaitune

opérationcomplexe, sachanten outrequeles données internes étaient volatiles. Aucun logiciel n'était alors capable de fédérerces différentes sources d'information.

Deplus, "Beaucoup depersonnes produisaientuneinformation de qualité mais celle-ci n'était

malheureusementpasassezmise enavant",remarqueMichel Bernardini, responsable

informatiqueausein du pôle.

Lesobjectifsessentielsdu projet LEOnard étaient donc :

- de rendre l'utilisateur

indépendant du service documentaire de BNP Paribas etde lui

permettred'accéder à deux bases différentesen une seule interface : la base interne (intranets, Filenet, etc.) etla baseexterne (sitesweb publics ousécurisés).

(23)

-casserlaconcurrenceentre lescorpsde métierencréantunesynergieausein du

groupe.

Leleitmotiv était detrouverunoutilquicorresponde aubesoindesutilisateursetqui

soit réactif.

Pourpouvoirmettreplusenavantles écrits des collaborateurs enparallèleavec la sélection

des articles effectuéepard'autres, legroupemise dès février 2003sur unprojet d'intranet«le

projet

Léonard

» (Léo

Navigateur Assistant de Recherche Documentaire).

Ce

projet

vise àrecenseretàindexer les résultatsdumoteurde recherche interneet externe,

fonctionnant avec unlangage naturel. Cet outil de KM devra enoutrerecevoirunthésaurus

ducentrededocumentation existant pouraugmenter la pertinence des résultats produits.

Deux

pilotes

ont été lancés pendant

l'été

2003. Une

longue

série d'essais « en

vraie

grandeur» ont alors été

effectués,

avec

des bases

de

données actualisées

afin que

le

public testeurreste motivé tout au longde l'expérimentation.

Laréalisation duportail LEOnardestconfié àun panel d'éditeurs performantset spécialisés.

Les grosses SSIIontvolontairement étaient évitées afin de pouvoir développer les spécificités

propresàla BNP.

Unedouzaine d'éditeurs ontétéinterrogés, puis cinqontété présélectionnés.

Finalement, en

septembre, le

moteur

du Français Polyspot (Triplehop

à

l'époque)

aété

sélectionné et l'aveniradémontré quece

projet répondait bien

aux

besoins des

utilisateurs.

« C'était lemoteurderecherche le

plus convivial

et

le plus intelligent

que nous ayons testé»,

indique Michel

Bernadini.

(24)

Début2004, commencel'implémentation. L'outil de rechercheestconnectéauxbases internes

(intranets, Filenet, etc.) et externes (sitesweb publics ousécurisés). Le thésaurus, constitué de plusieurs milliers determesaccumulés depuis 1988,estintégré à LEOnard.

Début 2005, l'équipeencharge de LEOnardpasse unerude épreuve : développer l'interface utilisateuretconvaincre de l'efficacité de la solution. Pour ce,le groupede travail solliciteun

ergonome spécialisé enintranets qui collaboreaveclesinfographistespour uneergonomie

conviviale etfonctionnelle.

Avantla miseenproduction, le département des«Etudes économiques» décide d'adjoindreà

Polyspotun système de veille surinternet, KB Crawl, de l'éditeur français KB Intelligence afind'automatiser la surveillance des sites Internetetderapatrier les informations

intéressantes. Enseptembre 2005, la solutionestmise à la disposition de 3 000 décideurs de BNPParibas.Les résultats serévèlentconcluants.

2.2 Immersion avec les nouvelles technologies

Dès lespremiers jours, ilm'a fallu d'abordm'intégrersur mon lieu de travail. C'est-à-dire

qu'il fallait identifiertoutd'abord dans quelle branche je travaillaisetqu'elle étaitsonbut.

C'est-à-direque le département des« Etudes Economiques»peutavoir certains buts

légèrement différents de celui dunouveauprojet LEOnard auquel il est important qu'ils

adhérent.

Ensuite, il m'a fallu faire la connaissance des diverses branches demétierexistantes au sein

des « Etudes Economiques» pourmieuxsituer les objectifs etlesobligations denotre

spécialité etla leur. En résumé, oùet commentse situele projet LEOnard dans les Etudes Economiques. J'ai donc fait connaissanceavec les différentespersonnesdu départementetje

les ai questionnéessur leurfonction etles diverses tâches qu'ils opéraientau sein du

(25)

Puisje suispassé àla phase pratique enprocédant àunepremière phase d'apprentissagepar

destests surdivers logicielsquej'aurai à utiliser à l'avenir.

J'ai utilisé les outilsprincipauxcomme :

- KbCrawl outil de

veille,

- Jira outil de suivi de

projet1,

Polyspot interface de gestion des abonnés à LEOnard,

Lotus Notes outils de communication /courrier

etsuivi destâches, ainsique,bien sûr, surLEOnardobserver les différences entre l'environnement detest(staging) quiesttoutefois opérationnelet l'environnement

production.2

Deplus,j'aisuivi desformationssur l'outil Kbcrawletj'aiassisté à des séminaires surla

thématique desmoteursde recherche qui m'ontpermis de vraiment m'intégrer grâce à un

apport supplémentaire de connaissancessurle sujet. En effet, ces séminaires m'ont permis de

prendreconnaissance des points devuedes professionnels. Ce quiaété extrêmement

enrichissant.

Unefoiscettephase de connaissance effectuée, l'intégration s'est poursuiviepar ma

présenceetaussima participationaux diverses réunions concernant leprojet LEOnardavec

unesprit curieuxetje n'aipashésité àposerdes questions, etmême à faire force de

proposition lorsque lecasseprésentait.

Ces réunionsontété, notamment, l'occasion des faire connaissanceavec lesdifférentes

personnes directement impliquées dans le projet LEOnard. Il faut direque lorsque jelesai

rencontrées, elles étaient déjàenrelation depuis longtemps etelles avaient donc leurs

habitudeset leurs propres langages de communication qu'il m'a fallu décrypter. Les

collaborateurs avec lesquelsj'ai été encontactquasi-permanentontétéceuxde l'équipe

développementde la BNP (MOE) ainsi queles éditeurs : l'équipe Kbcrawlet l'équipe Témis.

1

Voirannexe2

2

(26)

2.3 L'organisation du travail

2.3.1 Apprentissage etcréation d'une méthodologie de travail personnel

Dès les débuts lors demonstage,il afallu quej'adopteuneméthode detravail afin d'être le

plus efficace possible. Eneffet,dès les premiers jours, il m'afallumémoriserune masse

colossale d'informationssurles diversaspects du projet LEOnard. La méthode utilisée alors

était de classer les activitésprioritaires. De plus, le projetLEOnard estenconstante

évolution,ce qui conduit à fairedes modifications afin d'êtreplus efficaceetplus ergonomique.

Comptetenudelamasse detravail, j'ai d'abord répertorié les tâches prioritairessans cependant abandonner les tâches secondaires. J'ai donc procédé àuneclassification demon

travail.

Lestatutdestagiaire appelle àuntravail nonseulement d'apprentissage des dossiersetoutils

existants, mais aussipermetde faire des propositions susceptibles de faire évoluer l'outil. En effet, c'estentravaillant à l'intérieur même dumoteurde recherchequel'on comprend son

fonctionnementetque l'onest à même de faire des propositions. Ilnefautpasoublier aussi quec'estun outil qui évolueautourde réflexions internes. Dans ce contexte,j'ai fait des propositions. Celles qui n'ontpas étéretenues,je les ai mises de côtépourles rappeler parfois

lorsdemomentsplus opportuns.

2.3.1.1 A la recherche d'un bug...

Dansle détail, lesprincipales tâches à effectuer chaque matin étaient de vérifier l'état de marche dumoteurde rechercheetde soninterface. Eneffet, ilyavaitsouvent des problèmes d'accès, de connexionsoud'incohérenceentre les entités nomméesetlestermesproposés. Cette vérificationest essentielle. Lemoteurde recherche doitêtreopérationnel tôt dans la journéecarc'estle matinquenotre outil estle plus utilisé.

Pourremédier àcesproblèmes, l'équipe LEOnardessayed'analyser lapanneetdetrouverla

solution. Nouscommuniquonslapanneà la MOE de la BNPquis'occupe de la régler.

(27)

2.3.1.2 Le suivi des communications

Ladeuxièmeétape concernelagestion des emails. Dès le matin, nous avonsdes emails de demande d'accès à LEOnard. Il faut donc les inscrire leplusrapidement possibleavantd'être attelé à d'autres tâchesplus importantes. En général, la réactivité esttrès appréciéeparles

nouveauxabonnés. Ensuite, il faut créer des dossiersthématiques dans Lotus Note afin de

classer les emailsreçus etdepouvoir lesretrouverrapidement.

2.3.1.3 Le paramétrage de laveilleavec KBCrawl

Des testsréguliers avec

Kbcrawl3

sontrecommandés dansnotre activitécaril arrive que

certaines denospagesweb crawlés aient changéde corps, de structure. Celaa pour effet, dans

certains cas, dedésorganisernosparamétragesetdonc, deneplus crawlé correctement

l'information désirée, enplus, lorsquenous recevons des mises à jours du logiciel, ilnous faut

lestester. Cestestsm'ont donc incombés.

'

Voirannexe3

(28)

JflBUawiVersion 3.1| Lonnrcté à U base de door**»t:Mtcrdatatxport US!Al AUX USUS.U06

ficher Edhon a'fichage Actan* Cvlfc Par«aàr« Mtetenanee ?

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TheAisetMagaanc

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TbeAssetMar-2008By Rodnry Diola

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Captured'écran de l'outil de veille KbCrawlayantterminésaphase de crawl.

2.3.2 Les différents tests

2.3.2.1 L'amélioration du rendu des documents avec KB Scrapper, KB portai

Enfin, au coursdece stage,j'aieu l'occasion d'utiliser certains outils de KBlntelligence. KBScraperpermet de sélectionner, dansune page web, une zonequi nous intéresseetde

demander, ensuite, à KBcrawl de crawler lecontenu de cettezone à chaque fois qu'elle

(29)

refit» Edter Atficfiog* Actom Otite PmmMrut Matlarmc* ?

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31

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davantage dane cette technologie

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technologienemotiventpaste constructeur * continuersesInuesttssementj Un officiel

del'entrepriseaajoutéqued'importantes études de marchéétaient en cours en ce

momentafin étudier de nouvelle:stratégies.

DesoncôteLG considéré te marche du 8lu-RayencoretropMMepourjustifie' de

nouveau*investissements tepri.encoreélevé des produits mot»quel'évoiutiondela

TVparInternet sont acftar*tfarguments annoncéspourexpliquerce p

masse

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Captured'écran de l'interface de KbScraper. Lazone rougesélectionnéeestlazone

pertinentequeKbCrawI devra surveiller régulièrement.

KBportal estun portail web. C'estun projet quia été lancéparMichel Bernardini. Il permet

auxgroupesveilles des filiales de BNPPARIBAS volontaires,devisualiser leurs veilles à

partir d'une interface de LEOnard. Bien entendu, chaque veilleur doit avoirl'outil KBcrawl.

Ilstransmettent lesparamètres deveille à la maison KBcrawl qui se charge de gérercette

veille etde diffuser les fruits decesveilles surLEOnard.

L'utilisation decesoutils aété l'occasion de débats et de réflexions utiles, cefutpourmoiun apprentissage intéressantetconcret de cesoutils.

(30)

J'ai aussieul'occasion deprésenter les fonctionnalités dumoteur de recherche auprès de

futurs utilisateurs. Cefut donc là,untravail de formation ànotreoutilqui m'a beaucoup enrichi.

2.4 La maîtrise d'ouvrage (MOA) au sein des Etudes Economiques

2.4.1 Lesprincipes de la MOA

Dansnotre contexte de réalisation deprojet informatique, ilestimportant de faireune

distinctionentredeux métiers. Lamaîtrise d'œuvre(MOE) etla maîtrise d'ouvrage (MOA).

Lamaîtrise d'œuvreestchargée de définir la solutionetles moyens pourréaliser,

mainteniretexploiter le produit finienconformitéavec le cahier des charges établi parla

maîtrised'ouvrage. Elleestresponsable durespect des standards techniques denature

informatique etde la pérennité des produits livrés.

Tandisquela maîtrise d'ouvrage estle donneur d'ordrepourlequel le produit fini seraréalisé. Elle estchargée de formaliser l'expression de besoins ainsiquelesnormesmétiers etles

dispositions qualité qui devront être appliquées, elle établit le cahier des chargesetensuite

contrôle la conformité des livrables remisparla maîtrise d'œuvre dans lerespectdu cahier

descharges.

Lesdeux métiers doivent marcher ensemble.

e Expertise métier -esseeeeeeeeee.

4

Pilote

*•

: MpA : eeeseeeeeeeee Équipe MOA <3 Document compréhensible

parlesacteurs de

la décision Expertise informatique

4

Pilote • * : ÉquipeMOE

1

-I

e •e te

Schémades relationsdynamiques entrela MOA etla

MOE4

4

Repris dans :PRINTZ Jacques,MESDON Bernard, Ecosystème des projets informatiques, agilité et discipline, Paris: Hermes

(31)

2.4.2 La MOAauxEtudesEconomiques : larépartition du travailentreles différents

acteurs duprojet (MOEBNPPAR1BAS etles éditeurs)

D'énormes étapes ontété franchiesdepuis les premières recherches des années 60, où

l'utilisateurposaitsaquestionaudocumentaliste qui la transmettait àl'informaticien, jusqu'à l'utilisation actuelle desmoteursderecherche, enpassantparl'interrogation des banques de donnéesparle Minitel. Nousvoyons qu'il existaitainsiune interdépendance des divers métiersavec lapertedetempsqui s'ensuivait.

LeprojetLEOnardromptavec ce processus. Eneffet, c'estundesobjectifs denotreprojet :

veilleràceque l'utilisateur soit leplus indépendant possible sansà avoir,nonseulement,un

rapportdirectavec lesdocumentalistespourdes sujets de recherche assezsimple,mais aussi,

pour ne pasà avoir à chercher,troplongtemps, le principe de fonctionnement dumoteurde

recherche. Les usagerssontpassésd'une situation de dépendance totalevis-à-vis des

professionnels àuneinteraction directeavec les outils.

Une foisl'objectif bien formulé, nouspouvionscommenceràentamerunedémarche qui

consistait à faire de lamaîtrise d'ouvrage, engardantenmémoirequel'objectif principal de la maîtrised'ouvrage estd'assurer le bondéroulement du projet informatique.

Dansleprojet LEOnard, lamaîtrise d'ouvrage aconsisté à faire :

-une étuded'opportunitéetde faisabilité du projet,une analyse des besoins des utilisateurs,

- l'évaluationetla

gestion des crédits allouésauprojet,

- la

réalisation du cahier descharges,

- le

pilotage età la coordination des activités des différents acteursdu projet,

- la vérificationdes livrablesen conformitéavecle cahier des

charges,

- la

définitionetde la mise en œuvreduplan decommunication, de formation, et

d'accompagnement,

-etenfin, le supportfonctionnel ettechnique des sites utilisateurs.

Danscettedescription détaillée des activitésmenéesparla maîtrise d'ouvrage, j'ai participé

aurecueil etàl'analyse des besoins des utilisateurs mais de façoninformelle. Eneffet,

puisque j'ai intégrél'équipe, lors demon stage, le projet LEOnard était à 3 ansde sesdébuts,

(32)

cette activité était doncdéjà effectuée. Cependant, il était utile,pour monapprentissage et

pourrafraîchir les donnéesde l'époque, detesterles évolutionsdumoteurde recherche auprès de certainséconomistes deBFI, ainsique, lorsque l'occasionseprésentait, auprès des

utilisateurs quinouscontactaientpouruneraison lambda. Connaissant ainsi plus endétail les besoins desutilisateurs, ilm'était doncpossible d'exprimer leursattentes en cequi concerne leprojet LEOnard lors deréunionavec leséditeurs. C'estune des activitésprincipales des assistants à la maîtrised'ouvrage. Us sontles intermédiaires entrelesutilisateursetle produit,

enl'occurrenceLEOnard.

J'aiégalement participé àl'accompagnementduchangement, c'est-à-direauxintégrations successives desmodifications évolutives dumoteurde recherche. Jeparticipaisnon pasà la

rédactionde larecettefonctionnelle mais à la validationdes fonctionnalitésexprimées dans le

cahier descharges etdétaillées dans les spécifications fonctionnelles. Cela s'est fait à l'aide deplusieurstestseffectués à chaque nouvellemodification apportée afin dedéterminer si

cettedernière était valideoupas. Lorsque celle-ci était concluante, je le signalais à la MOE de

BNPParisbas afin de clorela tâche.

Enfin,étantdonnée lenombre depersonnes ayantunniveau de connaissancevariable en

informatique, leurtempsd'appropriation auxfonctionnalités deLEOnardétait variable. Pour

nepasarrangerles choses, les ordinateurs, surlesquels ils travaillent, sontdifférents, sans

parler des systèmesd'exploitation etdesdifférents navigateurs avecleurs multiples versions. Pourcesraisons,nousproposons d'unepartla consultation d'un didacticiel afin de mieux

maîtriser lesprincipes defonctionnement de LEOnard, mais aussi,nous offronsunservice d'assistancetechniquepartéléphone. J'ai donc collaboré àcetteassistance téléphoniqueen

indiquantla procédure de marche dumoteurderecherche auprès des utilisateursetje leur

rappelaiségalement les principales fonctionnalités deLEOnard.

2.5 La mission principalede mon stage

Touteslesactivités décrites ci-dessusontfaitpartie demonquotidien ausein dugroupe

« EtudesEconomiques»mais ellesneconstituaient cependantpasl'essentiel dematâche,

(33)

Unemission essentielleetprincipale m'a été confiée etaconstitué letroncprincipal demon

stage.

2.5.1 Le choixdemamission

Dès ledébut demonstage, Michel Bernardini m'a informé qu'il souhaiteraitquejetravaille surl'intégration de l'outiltextmining de chezTémis. Cependant, il m'a exprimé cecisans

obligation, etm'alaissé le choix d'exprimerunetoute autremission qui répondeaux attentes

dedéveloppement/évolution de LEOnard.

J'ai donc décidé deme laisser dutempspourréfléchirafind'avoirunevision plus éclairée de

l'intérêtd'une missionplutôtqued'uneautre,mais aussi de la capacité à rassembler les

compétencesnécessairespourmeneràbiencettemission proposée.

Jeme suis concentré surdeux choix : l'un, qui aurait étéunemission de veilleavec

l'utilisation de l'outil KBCrawl etKBSraper. L'objectif aurait été d'améliorer le choix des

sources deveilles, d'améliorerles paramètresenplace etenfin, grâce à KBScraper, de

nettoyer les articlesdiffusésparLEOnard, detoutsdéchets(publicités, contenunon désiré,...). Cette mission était intéressantecarl'outil KBscraperaétéréceptionné lors des premiersjoursdemon stage. C'estunoutil développé parKBIntelligence, àlademandede l'équipe LEOnard. Un outil qu'il fallaittester etqui aurait engagé plusieurs réflexions.

Cependant,monchoix s'est orientéversl'intégration de l'outil textmining. Ce choix était, à

monsens, plus ambitieuxquele choix présenté précédemment. Je savais qu'en le choisissant,

jenepourrai assister, avantla fin demon stage,aufonctionnement parfait de l'outil.

Toutefois, les raisons qui m'ont déterminées à le choisirsont :

toutd'abord, j'ai des connaissances théoriquessurletextmining, acquisespar ma

formation demaster2PRISME àLille3,

ensuite, l'intégration decetoutil s'est déroulée pratiquementaudébut demon

stage. J'allaisdonc le découvriren mêmetempsque lesautrescollaborateursme

(34)

laissant ainsipenser queje pouvais, surcertains domaines aumoins, êtresur le

mêmepiedd'égalitéqueles collaborateursconstants de l'équipe.

Et, enfin, enparticipant àtousles tests,dèsle départ, j'auraisunepartactiveen

notantles failles inévitablesqui allaient seprésenter etendemandant leurs

corrections. Cela m'a vraiment donné l'occasion d'avoiruneintégrationactiveet

totale.

Plusieursproblèmes se sontprésentésaucoursdeces tests. Leprincipal, selon moi, était celui de lapertinence dusens des résultats diffuséparLEOnard. Dans l'interface dupanorama de la

pressequotidienne, ilyavait des incohérences entrecertainstermes desentités nommées

provenantdes cartouches de connaissance de Témis, etdes articles qu'ils retransmettaient. Parconséquent, j'ai pensé qu'il serait intéressantetpertinent detrouverunesolution afin de

remédier àceproblème.

Maparticipationà l'outil TextMiningestdéveloppéeendétaildans lechapitre suivant.

2.5.2 L'accord du responsableprojetinfromatique

Ayanttoutesles donnéesenmainpoureffectuermonchoixetenconnaissance de cause,j'ai prisma décisionetprésentémon choix àmonresponsable de projet informatique. Ilmefallait

aussi son avalpoursavoir si la mission confiée n'allaitpas êtretrop compliquée. J'ai obtenu

l'accord demonresponsable quimeprécisa qu'il fallaitque j'organiseunplan d'actions à

mener (détaillé plus loin)

Parconséquent,mamission consistait à faireunesérie de testspour :

évaluer laversion de cartouche de connaissanceactuelle,

analyser les problèmes rencontrés,

rédiger lesrecettes fonctionnellesmais de façon informelle,

etenfin,proposerunesolutionpouraméliorerla pertinence des articles diffusés par lestermes.

(35)

PARTIE III

(36)

3 PRESENTATION DU MOTEUR DE RECHERCHE

Dans cettepartie, nousverrons endétail des fonctionnalités dumoteurde recherche, comment

secompose le projetLEOnard, mais aussi de queltyped'informationnousdisposons etavec

quelle méthodenouslatraitons.

3.1 Historique des moteurs de recherche

Unmoteurde recherche estunrobotquirécupère chaque jour, surla Toile, des millions de

pagesWebpour les stocker dans les index afin d'identifier lestermes correspondant à la

question poséepar le demandeur.

Iltrie les pages trouvées selon les différents critèresavantd'afficher le résultatsous forme

d'une liste de références accompagnéesducontexte, phrases ouportionde texte, ayantpermis leur sélection. Bien sûr, lemoteurnepeut trouverquelespages qu'ilapréalablement aspirées

etindexées.

L'origine desmoteurs derecherche estapparuedansuncontexte où desmillions

d'informationsparcouraient Internet, et il était nécessaire detrouverunesolution afin de les

organiserd'une manière ordonnée etfacile d'accèspourtous.

Lepremiermoteurde recherche date de 1990. Depuis lors, unlong chemina étéparcouru jusqu'à Google crééparSergei BrinetLarry Pageen 1998. C'était alors l'époque où les

connexionsInternetétaient à bas débit, et, lavéritablerévolution consistaità avoirconçu une

interfacedépouilléepour quelespagespuissentse chargerassez rapidementd'unepart, et d'autrepart, detrouverdes investisseurs qui financent leurs recherches etdéveloppementen établissant des lienssponsorisés. L'innovation deGoogle sebasait surlenombre de liens

pointantsur une pagequi déterminaitsapertinence.

LEOnardest toutd'abordunmoteurderecherchequi stocke despagesweb sur leserveur internedeBFI. Ensuite, il identifie leoulestermesde larequête, trouvelespages

correspondantes, c'est-à-dire lespagespossédantun oulatotalité destermes exprimés dans la requête. Enfin, il présente les résultats sousforme de listeavec pour chacun d'eux le titre de

l'article sousforme de lien, plus lecontexte, sous forme de paragrapheavec lesmotsde la

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