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ARTheque - STEF - ENS Cachan | Compte-rendu d'un groupe de réflexion sur la TSA

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Academic year: 2021

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Texte intégral

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REFLEXtON

SUR

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TSA

Collectif de Chef de travaux

L'objectif principal fixé de ce groupe de réflexion, de Chef de travaux, était de cerner les actions pos-sibles du Chef de Travaux au niveau de l'approche pédagogique dans l'Option TSA.

S'il n'avait pas été véritablement formalisé, le but initial de cette réflexion était sans doute, l'améliora-tion du recrutement et le maintien des effectifs d'élèves dans les filières STI.

INTRODUCTION

Ceci explique le fait que les participants à ce groupe de réflexion ont spontanément tenu à énumérer l'ensemble des paramètres intervenants sur l'orienta-tion, en fin de troisième et à l'issue de la classe de se-conde, pour relativiser l'importance du facteur pédago-gique par rapport aux autres points abordés. Cette dé-marche n'est probablement, aussi, qu'une façon de se rassurer sur nos actions individuelles face à la constata-tion, culpabilisante pour chacun, d'une baisse globale des effectifs dans nos filières. Car les constats sont très différents d'un établissement à l'autre : certains aug-mentent leur recrutement, d'autres le maintiennent sans difficulté et enfin ceux qui à chaque rentrée se vident irrémédiablement. Cette remarque revient à dire qu'il faudrait analyser le phénomène d'une manière plus lo-cale, afin d'en dégager les paramètres véritablement pertinents qui agissent sur le recrutement dans nos fi-lières S.T.I.

Certains points n'ont pu être abordés faute de temps, mais avaient été soulevés lors de l<i réunion pré-paratoire, entre les animateurs du groupe de réflexion et l'inspection pédagogique, à Châtenay Malabry le vendredi 1 1 octobre 96.

Enfm, ce compte-rendu a été étoffé par la mise en forme des idées abordées et certaines réflexions per-sonnelles des secrétaires de séance.

FACTEURS

INTERVENANTS DANS LE CHOIX DE L'OPTION TSA

Les différents facteurs retenus intervenants sur

le choix de l'option T.S.A. et l'orientation dans les fi-lières technologiques à l'issue de la classe de seconde peuvent être classés en quatre catégories :

-1- FACTEURS PSYCHOSOCIOLOGIQUES

-1-1- Préjugés et désinformations à l'encontre de la technologie. On peut les schématiser ainsi :

- reproduction sociale par le cursus scolaire et universitaire des parents et le milieu professionnel fa-nùlial.

Solution : informer

-notion médiatisée d'une baisse relative d'es em-plois (lesquels ?) dans l'industrie au profit du secteur tertiaire (lesquels ?)

Solution : informer

- la poursuite d'études longues, comme remède an ti -chômage, va dans le sens d'une culture générale littéraire et scientifique renforcée (savoirs), et à l'en-contre d'une spécialisation précoce (savoirs-faire), comme les filières technologiques en lycée peuvent être ressenties par les fanùlles.

Solution : proposer des filières technologiques moins spécialisées, moins lourdes en charge horaire hebdomadaire mais étendues commme pulture géné-rale à l'ensemble des élèves ?

Attention au risque de disparition par paupéri-sation des enseignememts technologiques entre la se-conde et la terminale.

- la teclmologie, telle qu'elle est vécue par les enfants et parents en collège à travers les classes de 4ème et 3ème technologiques, est synonyme d'échec

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scolaire, car c'est une préfiguration à l'orientation en lycée professionnel (LP

=

métiers spécialisés

=

préca-rité future d'emploi).

Remarque : la technologie obligatoire de la sixième à la troisième devrait changer cette image.

- la continuité de l'enseignement des Sciences Naturelles (SVT) du collège en lycée est rassurante pour les élèves qui y réussissent, par rapport au choix de laTS A, domaine technologique inconnu et déstabi-lisant psychologiquement, surtout pour les filles (ne serait-ce que par l'ésotérisme du vocabulaire employé, voire les locaux spécialisés et certains équipements!).

Solution : informer en dédramatisant, en moti-vant par l'attrait de la découverte, du changement. La technologie obligatoire à partir de la sixième devrait également changer ce phenomène.

-1-2- Motivations de bien-être.

- Prépondérance du critère de proximité géogra-phique (compte tenu des facilités de transport) pour le choix du lycée d'accueil.

Solutions : informer les familles sur les moyens de transport facilitant l'accés au lycée, sur la compen-sation du temps de transport (et de la charge horaire des enseignemnents STI) par le moindre travail person-nel à la maison.

- choix des options par phénomène de groupe selon les collèges d'origine (pour rester entouré par ses camarades).

Solution : renforcer l'information effectuée par classe de 3ème, en plus des réunions plénières.

Attention : dans toutes ces démarches "publicitaires·'' à l'effet pervers de la vitrine alléchante qui déçoit par la qualité de ses produits :

- choix familial de la combinaison d'options à l'entrée en seconde déterminée par l'offre spécifique d'options de l'établissement souhaité pour sa réputation : ambiance (contacts humains, cadre architectural) et qualité pédagogique (taux de passages et de réussite aux examens).

Solution : améliorer l'image de qualité des fi-lières technologiques (suivi, soutien individualisé, suivi des cohortes, mettre en place des indicateurs de qua-lité, une démarche qualite ISO 9001) et informer sur les aspects positifs d'ambiance (travail en groupe, con-tacts humains, activités péri-éducatives, etc ... ).

Attention aux effets pervers : risque de désin-vestissement des élèves par recherche du moindre e.f

fort. Les moyens d'accompagnement doivent

<<coûter>> à l'élève tout en conduisant à la réussite, afin de valoriser l'effort personnel et le pérenniser

FACnURS

ORGANISATIONNELS

-2-1- Le système des enseignements optionnels

- permet aux familles une stratégie de choix cor-respondant à des critères (objectifs et subjectifs) de qua-lité : des établissements, des filières de formation sou-haitées, des équipes pédagogiques.

Solution: généraliser le choix de la TS.A. (avec Productique) conformément au BO.

- la rénovation a introduit le système des ensei-gnements optionnels, dont la T.S.A Une option est par définition facultative, donc banalisée, voire ludique dans l'esprit du public (TSA, IESP ?). L'option a une connotation de moindre importance que les enseigne-ments généraux obligatoires. C'est un plus si l'option T.S.A est choisie, pas un moins si elle ne l'est pas. Cette notion de banalisation est renforcée par la non-cohérence (apparente) des savoirs abordés et l'objectif de l'examen (voir ci-après la discontinuité sémantique des disciplines technologiques), et la possibilité régle-mentaire du passage en première sans avoir fait l'option correspondant à la filière choisie (avec ou sans module de rattrapage).

Solution : individualiser la TS.A. en renforçant ses caractéristiques à acquisition par la pédagogie in-ductive et déin-ductive, de méthodes, d'outils, de savoirs ·généraux fondamentaux pour la réussite scolaire et

pro fessi anneli e.

Attention: à l'effet pervers des optionS à carac-tère ludique attrayantes mais sans lendemain.

-la T.S.A choisie seule (sans PRODUCTIQUE) est généralement considérée en option, la S.V.T., étant placée dans le tronc commun avec les enseignements généraux. Ceci montre :

- le cloisonnement et la suprématie des ensei-gnements scientifiques (sciences physiques, sciences naturelles) faisant partie intégrante des enseignements généraux à l'encontre des (sciences et) technologies in-dustrielles (ou tertiaires ! )

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technologie (comme un moyen pédagogique de redé-couvrir par l'application technique la théorie des en-seilgnements généraux dont les mathématiques et les sciences physiques (mécanique, électrique, physique appliquée .. .)

- la concurrence des enseignements optionnels entr'eux (particulièrement T.S.A et S.V.T.) les amène à une lutte fratricide (le recrutement se faisant au détri-ment de l'autre et donc des postes d'enseignants de chaque spécialité). Cette rivalité commence en collège, où consciemment ou inconsciemment, les professeurs d'enseignements généraux (dont les sciences) défendent les postes de leurs collègues de lycée en influençant sur le choix S. V. T. plutôt que T.S.A (placé " à la rigueur " dans les options). Les professeurs de technologie en collège sont trop peu nombreux actuellement pour avoir une influence notable (ils sont rarement professeurs principaux chargés de l'orientation). Une certaine concurrence existe aussi en lycée entre les différentes fùières technologiques elles-mêmes (et établisse-ments!).

Solution: interdisciplinarité; concertation; col-laboration.

-2-2- Formation et" politique "des acteurs principaux de l'orientation.

- les Professeurs Principaux, les C.I.O., les Prin-cipaux en collèges sont, la plupart du temps, issus de formations générales et bien souvent favorisent incons-ciemment ces formations générales, ne serait-ce que parce qu'on argumente et défend mieux ce que l'on connaît.

Solution : renforcer l'information et la forma-tion des personnels de collège (MAFPEN)

-les Professeurs Principaux, les C.I.O., les Provi-seurs en lycée favorisent bien souvent les formations générales dont la plupart du temps ils sont issus.

Solution : nommer des professeurs de technolo-gie Projèsseurs Principaux dans les classes de T.S.A., former les Proviseurs et les C.I.O. (MA.FPEN). Partici-per aux pré-conseils pour contrebalancer le poids des enseignements généraux.

Attention : cela implique un seul projèsseur pour deux groupes de T.S.A. donc une dissociation des deux groupes dans l'emploi du temps ce qui risque de poser des problèmes d'emploi du temps, de salle et de plus diminue le "poids "relatif du nombre de profes-seurs technologiques dans les conseils de classes.

-2-3- Inflexion du rôle du Chef de Travaux par l'ac-croissement des tâches administratives au détriment du rôle pédagogique.

La charge de travail administratif du Chef de TravaUx. a indéniablement augmentée ces dernières an-nées, notamment avec les rénovations des locaux et équipements, les problèmes de sécurité électrique et des machines-outils. La sensible réduction de la Dotation Globale Horaire allouée aux établissements dans le même temps n'a plus permis de dégager des heures per-mettant d'attribuer une aide au Chef de Travaux. Un recentrage de ses tâches vers l'animation pédagogique de l'équipe des professeurs techniques parait nécessaire.

Solution : les moyens humains doivent être mis à la disposition du chef de Travaux autant que de be-soin (Assistance; Magasinier; Agent de maintenance;. etc .. .).

-3- FACTEURS STRUCTURELS

-3-1- la discontinuité sémantique de l'appellation des disciplines technologiques engendre une rupture entre la classe de seconde (T.S.A; PRODUCTIQUE) et les filières de Bac (construction, mécanique, A21, ESTI) qui est peut être, la manifestation d'une hétérogénéité plus profonde et propre à nos enseignements: d'évolu-tion, de méthodes, de pratiques, d'équipes professo-rales.

Si l'approche systémique, l'analyse descendante, qui ont imprégné la mise en place de la T.S.A (et PRO-DUCTIQUE) sont globalement, suivies d'effet dans les démarches pédagogiques de chacune des disciplines technologiques de la 1ère au BTS, la différence du vo-cabulaire utilisé pour les disciplines, la structure même des enseignements, la nature et le contenu des épreuves à l'examen, dénotent une discontinuité qui n'existe pas dans les autres enseignements et options (S.V.T.;

éco-nomie; Informatique; Langues ... )

Solution :Modifier les dénoninations des difj(!-rents enseignements technologiques, leurs structures, pour redonner une homogénéité de la seconde au bac.

-3-2- les modules de rattrapage de la T.S.A. en pre-mière sont bien adaptés (réservés aux bons profils d'élèves). Mais leur objectif d'éviter une situation d'échec et de récupérer un surplus d'élèves en première STI n'ayant pas fait la T.S.A. en seconde risque de dé-montrer une inutilité de la charge des 3 heures de T.S.A., par le succès et l'efficacité de ces modules !

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Solution l'accés aux modules de rattrapage doit être limité par des critères objectifs et de manière offi-cielle claire pour tous (Parents, élèves, collègues). Ils doivent nécessiter une contrainte pour la famille et l'élève : durée horaire minimale dans une plage ho-raire habituellement libre (mercredi après-midi, sa-medi matin), nécessiter une obligation de réussite au risque de redoubler la première (i 1 faudrait l'introduire dans les textes réglementaires). Indiquer que pour se déterminer en jin de seconde il faut connaître, donc opter pour TSA, les sciences étant déja connues.

-3-3-le taux d'échec en fin de seconde (redoublement et réorientation) est globalement égal quels que soient les options choisies (20 à 25%). Néanmoins, il est trop im-portant mais probablement significatif d'un " filtrage ", inconscient et subjectif, des élèves sur leurs capacités à

passer en terminale (puisque le passage en première est de droit !) de la part des professseurs d'enseignement général ( Mathématiques, Physique, Français).

Solutions : indicateurs de qualité (courbes, moyennes) par classe en Math, Physique, Français.

-4- FACTEURS PEDAGOGIQUES

-4-l- la forme :

- la durée des séances en technologique a tou-jours impliqué des comportements de formation diffé-rents des enseignements magistraux (enseignement gé-néral). Les méthodes et techniques pédagogiques sont essentiellement actives (inductives et déductives) au ni-veau notamment de la seconde. Elles valorisent et ren-forcent les aptitudes et capacités des élèves les amènent

à reconsidérer les enseignements magistraux (généraux ou technologiques en Mécanique) sous un autre angle. Mais, il ne faudrait pas induire la confusion dans l'es-prit du public et des autres personnels, que les dé-marches pédagogiques actives utilisées dans les ensei-gnements technologiques sont des activités ludiques (divertissement, amusement).

Solution : insister dans les informations sur la pédagogie différenciée et non sur l'aspect "ludique" des activités en technologique.

- le nombre limité des élèves par groupe en-gendre des contacts élèves-professeurs différents, une relation individualisée, un meilleur suivi et soutien. Par contre, les groupes suscitent des jalousies et rivalités de la part des enseignements généraux qui ne bénéficient pas des mêmes avantages pour adapter leur pédagogie.

Notons que les conditions offertes par l'enseignement en groupe devraient permettre une réussite de la quasi-totalité des élèves, ce qui n'est plus le cas après la se-conde (le rendement devient donc moins bon !).

Solution : soutiens undividualisés et unterdisci-plinarité technologiques-général :pédagogie différen-ciée entre groupes, interactivité entre disciplines et groupes.

- la spécificité des locaux et matériels induit une individualisation des utilisateurs (élèves), une relation de respect et d'attachement affectif à leurs lieux et outils de travail, cela, évidemment, dans les cas d'établisse-ments neufs ou rénovés.

-4-2- le fond : les contenus

-les savoirs technologiques doivent être indivi-dualisés et restructurés, car ils sont actuellemment trop " effacé " par des systèmes automatisés fortement carac-térisés (application de la loi systémique qui impose que les éléments d'un système soient faiblement individua-lisés par rapport à la structure qui les lient entr'eux).

- les savoirs-faire paraissent devoir être renFor-cés, car les techniques pédagogiques basées sur des dos-siers engendrent une proportion trop importante d'acti-vité " papier tl (lecture-écriture de documents tl

li-vresques tl ) au détriment des activités spécifiquement

techniques.

-5- EN GUISE DE CONCLUSION

Globalement, les Chefs de Travaux mènent les actions les plus appropriées au recrutement d'élèves en seconde T.S.A et l'orientation dans les filières S.T.I., en fonction des latitudes permises par les contraintes locales (Chefs d'établissements, bassin de recrutement) et les limites institutionnelles (collèges, CIO, etc). Sta-tutairement, les Chefs de Travaux sont les conseillers du Chef d'établissement.

Les solutions et démarches sont à adapter en fonction du contexte local (type de lycée; environne-ment concurrentiel, milieu socioculturel, etc ... ). Nous pensons, par expérience, que des effets pervers sousten-dent chaque démarche conduisant à augmenter artifi-ciellement le flux des élèves en seconde T.S.A., notam-ment l'aspect ludique des activités proposées, la moder-nité des technologies mises en oeuvre. Certains

(5)

... Suite de la page B

exemples de fluctuations importantes du recrutement dans certains établissements montrent que rien n'est ac-quis. Les parents et élèves sont très influençables en matière d'orientation, ce qui les rend versatiles. Car, les paramètres influençant l'orientation sont souvent inter-dépendants et informels (le bouche à oreille, principal facteur général, étant difficilement contrôlable), comme nous l'avons montré ci-avant. Les systèmes de régulation de ces flux sont mal définis, mais maîtrisés, et risquent de donner, à terme, des effets contraires à ceux escomptés. Enfin, rappelons qu'une renommée d'établissement, de filière, est longue et difficile à construire, mais facilement détruite.

L'introduction de la technologie dès la classe de sixième va modifier sensiblement la situation décrite ici, mais, dans quel sens ? Elle peut conduire, si on n'y prend garde, à un rejet de la technologie (par lassitude, par désintérêt), de servir de pré-orientation négative. Néanmoins, l'option T.S.A, ne sera plus une option de détermination puisqu'elle sem une continuité, et ses ob-jectifs changeront inévitablement. Cette introduction de la technologie depuis la sixième est une bonne chose, car une culture technologigue est indispensable pour tous, à l'aube de ce troisième millénaire. Certains sa-voirs et sasa-voirs-faire (systémique, Gestion Production, etc ... ) et techniques (graphiques, méthodologiques, etc ... ), sont communs à tous les secteurs d'activité et de-vraient servir de vecteur de généralisation de nos ensei-gnements.

Dans tout ce que nous· venons de dire, un seul

Ecrire

pour

l'

APTEP Info ...

mot n'a pas été cité, c'est le dénominateur commun de tous les facteurs que nous venons de voir, unique mo-teur de notre recrutement : la motivation à choisir des formations technologiques. Cette motivation se construit au niveau du vécu de l'élève antérieurement à son entrée au lycée, et par la qualité, humaine et

péda-gogique, de l'offre de formation qui lui est faite en se-conde. La solution générale consisterait ptobablement en une information sur l'orientation, non plus passive de la part des parents et élèves, où les facteurs subjec-tifs et informels aléatoires sont difficilement maîtri-sables, mais active par la construction de projets indivi-duels d'orientation. Ceux ci seraient basés sur :

- une meilleure connaissance des aptitudes et

domaines d'intérêts de l'élève lui-même.

- une étude des différentes offres de filières,

d'options dans les établissements de formations.

- une sensibilisation à l'activité industrielle et

l'évolution du marché de l'emploi et des métiers.

Il ne faudrait pas limiter notre réflexion à nos seuls enseignements. L'interdisciplinarité et la transdis-ciplinarité sont une nécessité qui ne peut être mis en oeuvre que dans une réforme globale des structures d'enseignement pour faire évoluer les démarches

péda-gogiques et les mentalités.

Enfin, l'ensemble des collègues réunis dans cette commission souhaite poursuivre la réflexion engagée.

Les secrétaires de séance : Floréal ANDRES et Hélio

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