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DE LA MORPHOSYNTAXE A LA SÉMANTIQUE DES PRÉSENTATIFS EN FRANÇAIS CONTEMPORAIN M. DASSI UNE APERCEPTION FONDÉE SUR LA PROSE ROMANESQUE DE MONGO BETI

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(1)

SÉMANTIQUE DES PRÉSENTATIFS EN FRANÇAIS CONTEMPORAIN

UNE APERCEPTION FONDÉE SUR LA PROSE ROMANESQUE DE MONGO BETI

M. DASSI

2003

LINCOM EUROPA

(2)

I

ABRÉVIATIONS ET SYMBOLE 4 INTRODUCTION GÉNÉRALE 6 0.1. Des « parties du discours » avant le français 7 0.2. Des « parties du discours » du français 8 0.2.1. La convergence 8 0.2.2. La divergence 9 0.3. De l'aperçu historique des présentatifs 11 0.3.1. Problème de dénomination 11 0.3.2. Problème de définition 14 0.3.2.1. De la définition d'une classe ouverte 15 0.3.2.1.1. Par simple restriction sémantique 15 0.3.2.1.2. Par enracinement dans la phrase 16 0.3.2.1.3. Par assimilation de paradigmes 17 0.3.2.1.4. Par récupération des termes résiduels 17 0.3.2.2. De la définition d'une classe fermée 19 0.4. De l'hypothèse à la problématique 20 0.5. De la méthodologie 28 PREMIÈRE PARTIE

LE CADRE OPÉRATIONNEL 36

CHAPITRE PREMIER 37

DU CORPUS 37

1. De la pertinence des échantillons littéraires 38

1.1. De l'homogénéité 38

1.2. De l'adéquation, de la représentativité et de l'exhaustivité 39

2. Détail des relevés exhaustifs 40

2.1. Dans Ville cruelle (1954) 41

2.2 . Dans Le Pauvre Christ de Bomba (1956) 42

2.3. Dans Mission terminée (1957) 44

2.4. Dans Le Roi miraculé (1958) 45

2.5. Dans Perpétue ou l'habitude du malheur (1979) 46

2.6. Dans Remember Ruben (1982) 47

2.7. Dans les Deux mères de Guillaume Ismaël Dzewatama, futur 48

camionneur (1983) 48

2.8. Dans l'Histoire du fou (1994) 50

2.9 De la répartition de C'est, présentatif le plus fréquent 51

2.10 Tableau synoptique des relevés exhaustifs 53

2.11. De la densité 54

(3)

CHAPITRE DEUX

.DESPRÉCISIONS.MORPHOSYNTAXIQUES.CIRCONSCRIPTIVES.56

.1. Sur le segment c'est 57 .1 1. L'analysabilité de c'est 57 .1.1.1. De la structure c'est engageant un auxiliaire de mode 57 .1,1.2. De la structure* c'est + à + inf» 58 .1.1.3. La construction d'un temps composé à la voix active 59 . 1.1.4. La construction d'un temps composé à la voix passive 60 .1.2. C'est, morphème partie intégrante d'une locution 61 .1.2.1. C'est inclus dans le connecteur lexicalisé c 'est-à-dire 61 .1.2.2. C'est, morphème d'un introducteur d'interjection 62 .1.2.3. C'est, morphème d'une ponctuation énonciative forclusive 64 .1.2.4. C'est, morphème d'une locution d'éventualité 64 .1.2.5. C'est, dans le support d'une proposition conditionnelle 65 .1.2.6. C'est, morphème d'une locution pronominale indéfinie 66 .1.2.7. C'est., morphème d'une locution pronominale interrogative 68 .1.2.8. De l'exclamatif Qu'est-ce que 72 .1.2.9. De la structure est-ce que 73 .1.2.10. Des cas particuliers 80 .2. Sur le segment il est 92 .2.1. Le segment il est, analysable en Sujet + Verbe 92 .2.2. Le segment il est, partie intégrante d'une locution 95- .2.2.1. Le concessif toujours est-il + Que phrase 95 .2.2.2. De la locution en être 96 .2.2.3. La structure être de + N (+ X) 98 .2.2.4. La structure être question 100 .3. Sur le segment il y a 102 .3.1. Note historique 102 .3.2. lly a, morphème d'une locution 103 .3.3. lly a employé avec un semi-auxiliaire ou un auxiliaire de mode 103 .3.4. « II y a » analysable 104 .3.5. Des substituts de il y a 105 .4. À propos de voilà 106 .4.1. Le morphème voilà, suivi des points de suspension 107 .4.2. Leponctuatif (et) voilà 107 .4.3. Un mot sur le phatique Voilà 108 .4.4. L'interjectif voilà 110 .4.5. Des substituts de voici-voilà 111 .5. Des emplois prépositionnels 112 .5.1. Le cas de il va 112 .5.\.\.IIya + GH 112 .5.1.2. / / y o + GN + de + GN 114 .5.1.3. Il y a + GN [temporel ]+ Phrase verbale 115 .5.1.4. lly a +GN [temporel] + que /où +Phrase 116 .5.2. Voici / voilà, prépositionnels 118 .5.2.1. Voici/Voilà, en emploi simple 118 .5.2.2. Assorti d'un corrélatif 119 .6. Le point sur la démarcation entre les présentatifs et les 122 autres classes syntaxiques de la langue française 122 1.6.1. La démarcation entre présentatif et conjonction 122

(4)

1.6.2. La démarcation entre présentatifet verbe 123

DEUXIÈME PARTIE

LE PRÉSENTATIF « C'EST » 127 CHAPITRE TROIS

LE TYPE SIMPLE DU PRÉSENTATIF.« C'EST » 128

1. De la présentation d'un groupe nominal 129

1.1. De l'absence de détermination spécifique 129

1.1.1. Le nom 130

1.1.1.1. Le nom propre 130

1.1.1.2. Le nom commun 130

a. Constructions usuelles 130

b. Constructions à caractère licencieux 131

1.1.2. Le cas particulier du pronom 132

1.1.2.1. C'est + pronom personnel 132

1.1.2.2. C'est + pronom indéfini 134

1.1.2.3. C'est + pronom démonstratif 135

a. Non neutre 135

b. Neutre ...135

1.1.2.4. C'est + pronom relatif. 138

1.1.2.5. C'est + pronom possessif 139

1.2. De la présence de la détermination spécifique 139

1.2.1. L'exophorique « c'est» 139

1.2.1.1. Le temps 139

a. En pleine séquence textuelle 140

b. En début de paragraphe ou de longue séquence 140

c. En début de chapitre 140

1.2.1.2. L'espace ou l'objet-espace 141

1.2.1.3. L'événement 141

1.2.2. L'endophorique « c'est » 142

1.2.2.1. De l'insertion d'un élément entre le présentatif. 142

et le terme présenté 142

a. L'insertion d'espèces hétérogènes 143

b. L'insertion d'un pronom 143

1.2.2.2. La présentation directe 149

a. Le représentatif « c'est » dans la phrase 149

b. L'interséquentiel endophorique « c'est » 152

2. De la présentation d'un groupe adjectival 157

2.1. Question de typologie 157

2.1.1. C'est + G.Adj qualificatif 158

2.1.2. C'est + pseudo-adjectifs 159

2.2. Du fonctionnement de « c'est + GAdj. » 159

(5)

2.2.1. L'intraphrastique endophorique « c'est + G.Adj » 159 2.2.1.1. C'est + G.Adj + TA 159 a. Le terme antécédent est une phrase 160 b. Le TA est une relative substantive , 160 c. Le terme antécédent est un GN 161 2.2.1.2. TA + C'est + G.Adj 163 a. De la nature à la typologie du terme antécédent 163 b. De la jonction entre TA et « C'est + G.Adj. » 163 2.2.2. De l'interphrastique « C'est + G.Adj » : la mise en discours 165 a. Du présentatif « c'est » exophorique dans « c'est + G.Adj» 165 b. Du présentatif « est » endophorique dans « c'est + G.Adj. » 165 2.2.3. Question de généricité 166 2.2.4. De l'incise « C'est + G.Adj » 167 2.2.5. De l'exophorique « C'est + G.Adj » 167 3. De la présentation d'un G.Adv 168 3.1. Des données statistiques 168 3.2. De la typologie du G.Adv 169 a. L'axiologique 170 b. Le spatio-temporel 171 c. Leconstatif. 171 4. De la présentation d'un groupe infinitival 172 4.1. Du mode de présentation d'un groupe infinitival 172 4.1.1. De l'insertion d'un modalisateur 173 4.1.2. De la présentation sans modalisateur 173 4.2. De la connexion anaphorique 173 4.2.1. De la connexion immédiate : TA + c'est + inf. 173 4.2.2. De la connexion médiate : TA + X + C'est + G.Inf. 175 5. De la présentation d'un groupe prépositionnel 176 5.1. Des données statistiques 176 5.2. Mise au point 177 5.2.1. Cas du gérondif 177 5.2.2. Cas particulier de la locution adjectivale 177 5.3. Présentation d'un GP introduit psi pour 178 5.3.1. C'est + Pour + GN 178 5.3.1.1. La connexion d'un complément d'intérêt et/ou de destination 178 5.3.1.2. La présentation d'un CCt 179 5.3.2. C'est + pour + G.Adv 180 5.3.3. C'est + pour + G.Inf. 180 a. Relation Objet/Destination 180 b. Relation Procès/Procès 181 c. L'emphatique « c'est + groupe infinitival » 181 5.4. De la présentation d'un GP introduit par « de » 182 5.4.1. C'est + de + GN 182

(6)

a. Relation d'un Procès (TA) à une origine-cause (TP) 182 b. Relation d'un Procès (TA) à un intérêt-motif (TP) 183 c. Relation d'un Procès (TA) à une manière (TP) 183 5.4.2. C'est + de + G.Inf. 184 5.5. Présentation d'un GP introduit par à 187 5.6. Présentation d'un GP introduit par « dans » 187 5.7. Présentation d'un GP introduit par « pendant » 188 5.8. Présentation des GP introduits par des hapax legomena 189 5.9. Présentation d'un GP introduit par une locution 189 prépositionnelle 189 5.9.1 C'est + à partir de + GN 189 5.9.2. C'est + à cause de + GN 190 6. De la présentation d'une phrase 191 6.1. Présentation par l'entremise de pronoms relatifs 191 6.1.1. Présentation des relatives introduites par la base « Que » 192 6.1.1.1. C'est + ce que + phrase 192 a. Du choix de l'ordre des segments de l'énoncé 192 b. De la concurrence entre « c'est ce que » et un pronom de reprise 195 6.1.1.2. De la comparative à la relative substantive 199 6.1.2. Présentation d'une relative introduite par 200 les bases « qui », « dont » et/ou « où » 200 6.1.2.1. Les relatives introduites par la base « qui » 200 a. La base « qui » affectée du trait [- humain] 200 b. La base qui affectée du trait [+ humain] 201 b2. La structure « c'est pro. qui » 202 6.1.2.2. Les relatives introduites par les bases « dont » et « où » 202 a. La base « dont » 202 b. la base « où » 204 6.1.3. De la modulation de la portée démonstrative de « c'est » 204 introduisant une relative substantive 204 6.1.3.1. Le terme inséré se soude au présentatif 205 6.1.3.2. Le terme inséré est un complément de phrase 207 6.2. Présentation d'une phrase par l'entremise d'un morphème 209 conjonctif 209 6.2.1. C'est + Que + Phrase 210 6.2.1.1. GN +C'est + Que + phrase 210 6.2.1.2. « Phrase + C'est + Que + Phrase » à valeur causale 212 a. « C'est » équivalant à « parce que/puisque » 212 b. « C'est » équivalant à « étant donné que », « vu que », 213

« considérant que » 213 c. « C'est que » précédé des deux points 214 d. De certains emplois subtils 215 e. « C'est que » équivalent de « et pour cause » 215

(7)

f. « C'est + Que + Phrase » en réponse à une question 216 g. « C'est que » équivalant aux deux points 216 6.2.2. C'est + comme (si) + Phrase 217 6.2.2.1. La conjonction « comme » 217 a. C'est + comme + GN 217

b. C'est + comme + GP 219

c. C'est + comme + Phrase (verbale) 220 6.2.2.2. Le duo « comme si » 221 6.2.3. Les jalons « parce que », « pourquoi » et « pourvu que » 221 6.2.3.1. La paire « c'est parce que » // « c'est pourquoi » 222 a. Le segment « c'est parce que + phrase » 222 b. Le segment « c'est pourquoi + phrase » 223 6.2.3.2. Le segment « c'est pour que » 223 6.2.4. Les bases « quand », « avant que » et « au moment où » 224 6.2.5. De l'insertion d'un modulateur entre le présentatif « c'est » 225 et la subordonnée conjonctive 225 a. Renforcement du présentatif 226 b. Adverbe et locution adverbiale d'atténuation 226 c. L'insertion à valeur explétive ou exubérante 227 CHAPITRE QUATRE

LE TYPE « CEST...MC... » 231

1. Mise au point 232

1.1. Du présentatif discontinu voilé (?) 232

1.1.1. De l'ellipse du morphème corrélatif (?) 233

1.1.2. De l'usage du participe présent synthétique dans le TP 234

a. Le participe présent précédé d'un complément déterminatif 234

b. Le participe présent précédé du GN, base du terme présenté 235

1.1.3. Du jeu de certains morphèmes concurrentiels 236

1.1.4. De l'accord du participe passé dans le segment « Me + Y » 237

1.2. Présentatif discontinu et relativisation 238

1.2.1. De la relative apposée 238

1.2.2. De la relative déterminative 240

1.2.2.1. C'est+ TP, TA 241

1.2.2.2. C'est + TP 241

1.2.3. De la relative épithète 243

1.3. Une préposition vide, morphème corrélatif de « c'est » 243

1.3.1. C'est + GAdj + Prép + GInf 244

1.3.1.1 « C'est + (GAdj + à + GInf) » ou « C'est + TP » 244

1.3.1.2. C'est +GAdj + Mc(de) + GInf 245

1.3.2. C'est +GP + Mc(de) + GInf 246

1.3.2.1. Un pronom au centre du GP 246

1.3.2.2. Un nom au centre du GP 246

(8)

1.3.3. C'est + GN + Mc.prép + GInf 248 1.3.3.1. Le corrélatif « de » 248 1.3.3.2. Le corrélatif» à » 249 1.4. « C'est » et les intensifs 250 1.4.1. « C'est » dans un système exclamatif hypotactique 250 1.4.2. De la présentation d'un système comparatif 252 1.4.2.1. La présentation de la comparaison simple 252 1.4.2.2. La présentation de la comparaison à valeur superlative 252 2. Étude des formes canoniques 254 2.1. La discontinuité au moyen d'un relatif 254 2.1.1. De la discontinuité au moyen de « qui » 255 2.1.1.1. L'encadrement d'un nom (assorti de ses déterminants) 255 a. Le nom propre 255 b. Le nom commun 256 c. Du cas particulier des pronoms 261 2.1.1.2. De l'exubérance dans l'insistance désignative 265 2.1.2. De la discontinuité au moyen de « que » 268 2.1.2.1. L'encadrement d'un nom assorti de ses déterminants 268 a. Le présentatif est exophorique 268 b. Le présentatif est anaphorique 269 2.1.2.2. L'encadrement d'un pronom 271 a. Le pronom indéfini 271 b. Le pronom démonstratif. 271 2.1.3. De la discontinuité au moyen de « dont/où » 274 2.1.3.1. La discontinuité par « dont» 274 a. L'extraction d'un complément d'objet 274 b. L'extraction d'un complément du nom 275 2.1.3.2. La discontinuité par « où » 277 a. L'extraction du complément circonstanciel de lieu 277 b. L'extraction du complément circonstanciel de temps 278 c. L'extraction d'un attribut 279 2.1.4. De la discontinuité par « (prép +) lequel » 280 2.2. De la discontinuité au moyen d'un conjonctif 282 2.2.1. X et Y différents dans « c'est + X +Mc(conj) + Y » 283 2.2.1.1. L'extraction d'un GP 283 2.2.1.1.1. L'extraction d'un GP introduit par « à » 285 a. L'extraction d'un GP complément à valeur locative 285 b. L'extraction d'un GP complément à valeur temporelle 286 c. L'extraction d'un GP objet simple indirect 287 d. L'extraction d'un GP objet second 288 2.2.1.1.2. L'extraction d'un GP introduit par « pour » 289 2.2.1.1.3. L'extraction d'un GP introduit par « de » 293 2.2.1.1.4. L'extraction d'un GP introduit par « dans » 296

(9)

2.2.1.1.5. Extraction d'un GP d'accompagnement introduit par « avec » 298 2.2.1.1.6. Des cas hétérogènes 298 2.2.1.1.7. Du cas particulier des pronoms personnels 301 2.2.1.2. L'extraction d'un GAdv 303 a. L'extraction du GAdv à valeur de manière 304 b. L'extraction du GAdv à valeur de lieu 310 c. Extraction du GAdv à valeur de temps 312 2.2.1.3. L'extraction du groupe adjectival 313 a. De la mise au point sur la nature du discontinu « c'est... que-conj » 315 b. De l'usage du présentatif sans transformation 316 c. De l'usage avec transformation 317 2.2.1 A. L'extraction des segments irrégulièrement répartis 318 a. L'encadrement du groupe nominal 318 b. L'encadrement de la proposition subordonnée 319 c. L'encadrement du gérondif 320 d. L'encadrement du participe 321 e. Le curieux encadrement de la conjonction adverbiale « donc » 321 2.2.2. X et Y équivalents dans « C'est + X + Me + Y » 321 2:2.2.1. C'est + X + que + Y 322 a. Le terme X est un GInf 322 b. Le terme X est un GN 323 2.2.2.2. « C'est + X + que de/de + GInf» 324 CHAPITRE CINQ 328 DE LA FORME PSEUDO-CLIVÉE.« Mi... C'EST... » 328 1. Des données statistiques 329 2. Du morphème relatif introducteur 330 2.1. Du passage de « c'est... Me... » à « Mi..., c'est... » 330 2.2. Le discontinu « ce que..., c'est... » 331 2.2.1. L'aboutissement a une base infinitivale 332 2.2.2. L'aboutissement a une base propositionnelle 333 2.2.3. L'aboutissement a une base nominale 334 2.2.4. L'aboutissement a pour base un groupe prépositionnel 336 2.3. Du discontinu « ce qui..., c'est... » 337 2.3.1. L'aboutissement a une base nominale 337 2.3.2. L'aboutissement a une base infinitivale 337 2.3.3. L'aboutissement a une base propositionnelle 339 2.3.4. Du fonctionnement du relais 340 a. Mi-rel...Rl...R(l+n)..., c'est 340 b. Mi-rel...,c'est...Rl...R(l+n) 341 2.4. Le discontinu « ce dont..., c'est... » 342 2.5. De la complexification du morphème introducteur relatif. 343 2.5.1. L'aboutissement est un terme phrastique non-propositionnel 344

(10)

2.5.2. L'aboutissement est une subordonnée complétive par Que 345 3. Du morphème conjonctif 345 3. 1. Le morphème introducteur-conjonctif « si » 345 3.1.1. Rapport entre une phrase et un segment intraphrastique 346 3.1.1.1. Le discontinu « si..., c'est... » contraignant 346 a. Le prédicat a pour base un GN 346 b. L'aboutissement a pour base un GAdj, un GAdv ou un gérondif. 348 3.1.1.2. Le discontinu « si..., c'est... », facultatif 349 3.1.2. Rapport entre deux phrases 350 3.1.2.1. « Si..., c'est.. », en phrase complexe 351 3.1.2.2. « Si..., c'est que... », ligature de deux phrases juxtaposées 352 3.2. De la structure « si..., c'est... Me... » 353 3.3. De la structure « Si..., ce que..., c'est... » 355 3.4. Le morphème introducteur-conjonctif « Quand » 356 3.4.1. « C'est » introduisant un segment averbal 356 3.4.2. « Quant » et « c'est » introduisant des phrases verbales 357 ou verbo-nominales 357 3.4.2.1. « C'est » suivi du nominalisateur « que » 357 3.4.2.2. « C'est » suivi d'un subordonnant 358 3.5. De certains hapax particuliers 359 3.5.1. À travers la mise en prédicat d'un terme phrastique 359 a. Une proposition averbale 359 b. Une proposition verbale 360 3.5.2. A travers l'enchâssement de deux phrases initialement juxtaposées 360 TROISIÈME PARTIE

DES PAIRES CONCURRENTIELLES 363

DE PRÉSENTATIFS 363

CHAPITRE SIX 364

DE LA PAIRE « IL Y A / IL EST » 364

1.1. Du type simple « il y a + TP » 366

1.1.1. Des constructions rarissimes 367

1.1.1.1. « II y a » + adverbe 367

1.1.1.2. « II y a » + groupe adjectival 368

1.1.1.3. « II y a » + « à + GInf » 369

1.1.2. Le terme présenté est un groupe nominal 370

1.1.2.1. Présentation dans un cadre exprimé 370

1.1.2.1.1. L'ancrage est temporel 371

1.1.2.1.2. L'ancrage est mixte 371

a. La condition et le temps, simultanément 371

b. Le temps et le lieu, simultanément 372

1.1.2.1.3. Ancrage au moyen d'un locatif. 372

(11)

a. Le lieu circonscrit ou déterminé 373 b. Le lieu approximatif. 375 c. Du cas spécifique de l'adverbe « là » 375 1.1.2.1.4. Ancrage dans l'universel 376 1.1.2.2. De la présentation absolue du groupe nominal 377 1.1.2.2.1. Le terme présenté est spécifiquement déterminé 377 1.1.2.2.2. Le terme présenté n'est pas spécifiquement déterminé 381 a. Le terme introduit est un nom propre 381 b. Le terme introduit est un nom commun 382 1.1.2.2.3. Du cas spécifique de la présentation d'un pronom 383 a. Le pronom indéfini 383 b. Le pronom relatif 383 c. Le pronom personnel •. 387 1.1.3. De l'insertion entre « il y a » et le terme présenté 391 1.1.3.1. Insertion d'un adverbe modulateur 391 a. À valeur de renchérissement 391 b. À valeur atténuative 393 c. À valeur consécutive 394 1.1.3.2. Insertion d'un circonstant locatif et/ou temporel 394 1.2. Du type discontinu « il y a ... Me... » 397 1.2.1. Du passage du type simple au type discontinu 397 1.2.1.1. De la relative apposée ou coordonnée expansion d'un déterminé 399 1.2.1.1.1. De la relative coordonnée 399 a. De la discontinuité envisagée comme effective 399 b. De la discontinuité bloquée 400 1.2.1.1.2. De la relative apposée 401 1.2.1.2. De la mise en facteur commun de la racine» il y a » 402 1.2.1.3. De l'intégration d'un morphème corrélatif 403 d'origine prépositionnelle 403 1.2.1.3.1. Du segment « à + Inf» 403 1.2.1.3.2. Du segment « pour + GInf » 404 1.2.1.3.3. Du segment « de + GAdj » 405 1.2.1.4. Du segment « participe présent + compléments) » 406 1.2.1.5. De la complétive déterminative 406 1.2.2. « II y a » et ses morphèmes classiques de discontinuité 407 1.2.2.1. Le binôme « il y a ... dont... » 409 1.2.2.2. Le binôme « il y a... où... » 409 1.2.2.3. Le binôme « il y a... que... » 410 1.2.2.3.1. Le terme présenté subit une transformation 411 1.2.2.3.2. Le terme présenté conserve sa forme initiale 411 1.2.2.4. Le binôme « il y a ...qui... » 413 1.2.3. De l'association de deux morphèmes corrélatifs 415 de formes différentes 415

(12)

1.2.4. Des structures apparentées aux clivées 416 . Le type simple 418 .1. La présentation d'un groupe nominal 418 .1.1. L'expression du temps ou de la datation 418 .1.2. L'expression d'une entité non chronologique 419 .2. La présentation d'un adjectif (?) 419 2.

2.

2.

2.

2.

2.2. Le type discontinu du présentatif « il est » 421 2.2.1. Morphème de discontinuité d'origine prépositionnelle 421 2.2.1.1. « Pour » comme morphème de discontinuité 421 2.2.1.2. « De » comme morphème de discontinuité 423 2.2.1.2.1. Le terme encadré est un nom 423 2.2.1.2.2. Le terme encadré est un adjectif qualificatif 423 a. Encadrement sans insertion d'un datif 424 b. Encadrement avec insertion d'un datif 425 2.2.2. Morphème de discontinuité d'origine conjonctive 427 2.2.2.1. Dans la combinaison « il est + Adj. + Me + Phrase » 427 2.2.2.2. De la concurrence entre « il est ...que... » et « c'est...que... » 429 2.2.2.3. De la combinaison « il est + GN + Me + GV » 431 2.2.2.3.1. « II est » commutable avec « il y a » 43.1 2.2.2.3.2. Mise en relief d'un déictique temporel 431 CHAPITRE SEPT 435 DE LA PAIRE « VOICI/VOILÀ » 435 1. De la forme simple de « voici/voilà » 437 1.1. De la présentation du groupe nominal 437 1.1.1. Le groupe nominal est exophorique 437 1.1.2. Le groupe nominal est endophorique 439 1.1.3. De l'équatif dans la présentation d'un groupe nominal 441 a. GN — V o i l à — G N 441 b. GInf—Voilà — GN 442 c. Gérondif—Voilà—GN 443 d. Pro — V o i l à — G N 443 e. Question — Voilà — GN 444 1.2. De la présentation d'une relative substantive 446 1.2.1. De la présentation intraphrastique 446 a. De la présentation d'un régime de présentatif. 447 b. De la présentation d'un attribut du sujet 448 c. De la présentation d'un complément d'objet direct 448 d. De la présentation d'un complément d'objet premier 449 e. De la présentation d'un groupe infinitival 450 1.2.2. De la présentation interphrastique 451 1.2.2.1. Voici + relative substantive 452 1.2.2.2. Voilà + relative substantive 453

(13)

a. Renchérissement d'une question 453 b. Renvoi au discours rapporté 453 c. Présentation d'une inférence ou d'une identité 454 1.2.2.3. De la combinaison « voilà qui » 455 a. « Voilà qui », intraphrastique 455 b. « Voilà qui », interphrastique 457 1.3. « Voici-voilà » dans une structure interrogative implicite 458 1.3.1. De la valeur interrogative de « voici/voilà + rel. subst. » 458 1.3.2. « Voici-voilà » + élément interrogatif ((+GN)+ (Phrase)) 459 1.3.2.1. Présentation 459 b. La base « pourquoi » 460 c. La base « prép + quoi » 461 d. La base « prép + quel » + GN 461 1.3.2.2. Valeurs de voici/voilà+ elt.interr(+phrase) 463 1.3.2.2.1. De la valeur rétrospective 463 a. La séquence revalorisée est intra-phrastique 464 b. La séquence revalorisée est supraphrastique 464 1.3.2.2.2. De la valeur prospective 467 1.4. De la structure « voilà-voici que » 470 1.4.1. De l'intraphrastique « voilà que » 471 1.4.2. La structure « Énoncé — voici-voilà que + phrase » 472 1.4.2.1. L'emphase sur le contraste 472 1.4.2.2. L'emphase sur la caractérisation 473 1.4.2.3. L'emphase sur un constat d'itération ou d'inchoatif 475 a. Le constat d'inchoatif. 475 b. Le constat d'itération 476 1.4.2.4. L'emphase sur l'ajout (d'un élément nouveau) 476 1.4.2.5. De la structure « GN[+topique] — voilà que phrase » 478 1.5. Du phatique « voilà » 482 1.5.1. « Voilà » suivi du point 482 1.5.2. « Voilà » suivi d'une virgule 483 1.5.3. « Voilà » suivi des deux points 483 1.6. De « voici » et « voilà » comme présentatif pro-verbaux 486 1.6.1. « Voici » et « voilà », auxiliaires ? 487 a. Schéma 1 : Pro + Voilà+Gpp/GInf 487 b. Schéma 2 : Voici/voilà + Gpp + GN 488 1.6.2. « Voici » et « voilà », copules verbales ? 489 a. Schéma 1 : Voici + GN + Attribut 490 b. Schéma 2 : Pro + Voici-voilà + attribut 490 1.6.3. « Voici » et « voilà », des verbes pleins ? 492 1.7. De la valeur déictique des présentatifs « voici » et « voilà » 493 à régime pronominal 493 1.7.1. Voici-voilà + pronom indéfini 493

(14)

1.7.2. Voici-voilà + pronom relatif 494 1.7.2.1 « Voici » et « voilà », présentatifs de mise en discours 495 1.7.2.2. « Voici » et « voilà », connecteurs d'enchâssement 496 1.7.3. Voici-voilà + pronom personnel 497 1.7.3.1. Du rapprochement affinitaire entre présentatif et pronom 497 1.7.3.2. D'une sélection pragmatique du présentatif à régime pronominal 498 1.7.3.2.1. Le régissant « voici » 498 1.7.3.2.2. Le régissant « voilà » 499 1.7.3.2.3. Des présentatifs « voici » et « voilà » associés au morphème « en »503 a. Le pronom « en » comme régime de « voici-voilà » 503 b. L'explétif « en » devant « voici-voilà » 503 1.8. Au sujet de la présentation d'un GP par « voici-voilà » 505 1.9. De la boucle de séquence narrative « voici » et « voilà » 505 2. De la forme discontinue de « voici-voilà » 507 2.1. Mise au point 508 2.1.1. De l'infinitif prépositionnel 508 2.1.2. Du groupe participial 508 2.1.3. De la combinaison « pro.pers. + voilà + qui +GV » 510 2.2. Des morphèmes de discontinuité de « voilà » 512 2.2.1. « Voici-voilà » et les corrélatifs peu fréquents 513 2.2.1.1. Voici-voilà... auquel 513 2.2.1.2. Voici-voilà...dont 514 2.2.1.3. Voici-voilà... où 515 2.2.2. « Voici-voilà » et les corrélatifs les plus fréquents 517 2.2.2.1. Voici-voilà... qui 517 a. De l'absence totale de modification 517 b. De l'insertion avec modification du terme encadré 518 c. De la transformation des déterminants spécifiques 518 2.2.2.2. Voici-voilà... que 521 a. Encadrement du groupe nominal sujet 521 b. Encadrement du groupe nominal objet direct 522 c. Encadrement du groupe nominal objet second 522 d. À propos du nom propre précédé d'un déterminant spécifique 524 QUATRIÈME PARTIE

DE LA VARIATION DES.PRÉSENTATIFS 527 CHAPITRE HUIT

DE L'INFLUENCE DES.CATÉGORIES GRAMMATICALES 528

1. De la variation en genre et en nombre 529

1.1. De la variation en genre 530

1.2. De la variation en nombre 530

1.2.1. C'est + pronom 531

(15)

.2.

.2.

.2.

1.2.

.2.

.1. De la genèse du problème 531 .2. De l'accord de c 'est à régime pronominal 532 .2.1. De l'accord avec le pronom possessif. 532 .2.2 De l'accord de c'est avec le pronom personnel 534 .3. De l'accord de c 'est à régime nominal 535 3.1. C'est au pluriel 535 a. Le pluriel dans la combinaison « C'est + TP » 536 b. Le pluriel avec le présentatif « C'est... Me... » 537 bl. Du Me d'origine conjonctive .• 538 b2. Du Me d'origine relative 538 1.2.1.3.2. De l'hésitation chez Mongo Beti 539 1.2.1.3.3. C'est au singulier 541 a. De la topicalisation 541 b. De l'apposition explicative 542 c. De la mise en facteur commun de C'est 542 d. De la formule oratoire 543 e. De la modal isation adverbiale 544 f. De la combinaison simple « C'est + adj.num.card. + N » 545 ou « C'est + N » 545 2. De la variation en temps et en mode 545 2.1. De la variation du discontinu C'est... Me. 546 2.1.1. Comment et pourquoi le subjonctif avec C 'est ? 546 2.1.1.1. De l'introducteur de la proposition subordonnée 546 2.1.1.2. Du sémantisme de la proposition principale 548 2.2. De l'emploi de C'est pour Voilà 548 2.3. De la variation de il y a : l'emploi du subjonctif 549 2.3.1. Le respect d'une servitude grammaticale 550 2.3.2. De la concordance de temps 550 2.3.3. De l'expression d'une subjectivité 551 2.3.4. Du mode indicatif 552 2.3.5. De l'emploi de il y a pour voilà 554 CHAPITRE NEUF

DE L'INFLUENCE DES MODALITÉS.D'ÉNONCIATION 557

I. De l'influence de la forme négative ancrée.dans la modalité déclarative 558

1.1. Leprésentatifc'e.rfet la forme négative 558

1.1.1. La négation exceptive 558

1.1.2. De la réfutation 561

1.1.2.1. De la forme simple « ce n'est pas (+ TP) » 561

1.1.2.2. De la forme discontinue « Ce n'est pas... Me... » 563

1.2. Le présentatif» il y a » et la forme négative 566

1.2.1. De la négation exceptive 566

1.2.1.1. De la forme simple « il n'y a que » 566

(16)

1.2.1.2. De la forme discontinue « il n'y a que... Me... » 568 1.2.1.2.1. De la construction d'un équatif. 568 1.2.1.2.2. De la sélection du thème par rapport au prédicat 569 1.2.1.2.3. De l'influence du présentatif sur le temps et le mode verbaux 570 1.2.2. De la réfutation au moyen du présentatif d'existence 572 1.2.2.1. De la remise en question de l'exceptif 572 1.2.2.2. De la structure « il n'y a pas » 573 1.2.2.3. De la structure « il n'y a plus » et les autres corrélatifs de « ne » 575 2.1. Voilà-Voici interrogatif 578 2.1.1. Du point d'interrogation comme marqueur 579 de la modalité interrogative 579 2.1.1.1. De la présentation d'un régime direct associé à une fonction 579 non transitive 579 2.1.1.2. De la présentation d'un régime direct associé à un attribut 580 2.1.2. De l'inversion « (ne) voilà-t-il pas que » 580 2.1.2.1 « (Ne) voilà-t-il pas que », explétif archaïsant 580 2.1.2.2. « ne voilà-t-il pas que », adversatif archaïsant 581 2.2. « 11 y a » interrogatif 583 2.2.1. Des problèmes d'identification 583.

2.2.1.1. D'un cas d'appropriation sociolectale 583 2.2.1.2. De la concurrence entre modalités : l'interrogation et l'exclamation ..584 2.2.2. De l'interrogation directe 586 2.2.2.1. « « Y a-t-il » + TP » 587 2.2.2.2. « TP + « Y a-t-il » » 587 2.2.2.3. « TP + « II y a » » 588 2.2.3. De l'interrogation indirecte 589 2.2.3.1. De l'absence de subordonnant 589 2.2.3.2. De l'emploi d'un subordonnant 590 a. De l'ignorance à l'interrogation 591 b. De l'interrogation dans une hypothèse 592 c. De l'interrogation caténale 592 2.3. Le présentatif « c'est » 593 2.3.

2.3.

2.3.

2.3.

2.3.

2.3.

. De l'interrogation latente 593 .1. De l'exclamation à valeur interrogative 593 .2. De la déclaration à valeur interrogative 595 1.2.1. La construction indirecte 596 .2.2. Le schéma direct 597 1.3. L'auto-questionnement 597 2.3.2. De l'interrogation indirecte (classique) 599 2.3.2.1. De la dislocation du schéma classique 599 2.3.2.2. Du schéma classique de l'interrogation indirecte 600 2.3.2.3. De l'interrogation pré-supposée ou sous-entendue 601 2.3.3. Des schémas classiques de l'interrogation directe 602

(17)

2.3.3.1. Du point d'interrogation 602

2.3.3.1.1. L'importance du point d'interrogation 602

a. De la forme simple 602

b. De la forme discontinue 603

2.3.3.1.2. De l'usure du point d'interrogation 603

2.3.3.2. De l'inversion interrogative 606

2.3.3.2.1. Le présentatif de type simple 606

2.3.3.2.2. Le présentatif de type discontinu 607

2.3.3.3. De l'outil « est-ce que c'est » 608

2.3.3.4. De l'outil « n'est-ce pas » 609

2.3.3.4.1. Forme simple 609

a. N'est-ce pas + GAdj/GN 609

b. Phrase + N'est-ce pas 610

2.3.3.4.2. Forme discontinue 611

CONCLUSION GÉNÉRALE 615

BIBLIOGRAPHIE 623

TABLE DES MATIÈRES 646

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