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THEME: Comment mettre les Renseignements Généraux au service de l'economie en Afrique?

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THEME:

Comment mettre les

Renseignements Généraux au service de l'Economie en

Afrique?

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PREMIERE PUBLICATION

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Introduction

Historiquement et de manière générale, les régimes politiques qu’ils soient de type monarchique ou républicain ont recours à des services spéciaux pour assurer leur propre sécurité, celle de leurs informations et leurs sites sensibles.

Ces services dont la dénomination a évolué dans le temps et l’espace procèdent généralement à la collecte et au traitement puis à la diffusion des informations pour des décisions éclairées de la hiérarchie. Ils surveillent spécifiquement dans les moindres détails les activités de cibles désignées et généralement tous les individus d’un pays, suivant un principe cher à Joseph FOUCHE1 « le Ministre de la Police est un homme qui se mêle de ce qui le regarde et ensuite de ce qui ne le regarde pas».

Avec le développement de l’insécurité, les incursions de ces services dans tous les domaines de la vie des populations se sont accrues. Cette évolution n’est pas sans conséquences, car ces services sont appelés à explorer de plus en plus un monde qu’ils ont longtemps délaissé, celui numérique.

Dans le contexte africain, cette évolution du champ d’action doit constituer une opportunité afin que les renseignements de renseignement apportent une contribution substantielle au développement de l’économie dans son ensemble.

Soucieux d’apporter sa pierre à l’édifice, le cabinet APIAS, spécialisé dans l’investigation et les renseignements consacre une tribune à la problématique de la contribution des Renseignements généraux pour le développement de l’économie en Afrique et au Bénin.

Les Renseignements généraux, qu’est-ce que c’est ?

Parler des renseignements généraux constitue généralement une tâche difficile en raison du caractère polysémique du terme, de l’évolution du sens

1 Joseph Fouché, homme politique français, né le 21 mai 1759 au Pellerin près de Nantes et mort le 26 décembre 1820 à Trieste. Il est particulièrement connu pour la férocité avec laquelle, durant la révolution, il réprima l'insurrection lyonnaise en 1793 et pour avoir été ministre de la Police sous le Directoire, le Consulat et l'Empire. (Source: wikipedia)

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et de la diversité des acteurs qui sont concernés. Mais cela ne doit en aucun cas constituer un obstacle.

Les renseignements généraux, c’est à la fois une forme de connaissance ; c’est l’ensemble des connaissances de tous ordres sur un adversaire potentiel, utiles aux pouvoirs publics, au commandement militaire et aux forces de sécurité publiques afin d’organiser conséquemment la sécurité de l’Etat. En un mot ils permettent d’anticiper sur les évènements.

Ils ont cours depuis l’antiquité et se sont adaptés au progrès de la science et de la technologie. Même si ce n’est pas au même rythme sous tous les cieux.

Les renseignements généraux ont de tous temps répondu à deux objectifs majeurs. Le premier est l’information générale, la collecte des renseignements et de prévision, la surveillance des nationaux ou des agents internes, des concurrents, des pays étrangers et des groupements suspects, l’exécution d’enquête administrative. Le deuxième objectif consiste à rechercher les atteintes aux intérêts d’une société, à la Sûreté de l’Etat, le contrôle des voyageurs et des personnes aux frontières, le contrôle des étrangers à l’émigration et à l’immigration, la protection des personnalités officielles au cours de leurs déplacements, etc.

Les renseignements généraux, sont consubstantiels à la vie de la Nation.

Et c’est en vertu de cette consubstantialité, qu’il existe dans tous les pays du monde, un ou plusieurs services dévolus à cette tâche. Par ailleurs, on parle de nos jours plutôt de Communauté du Renseignement pour mettre le doigt sur le fait que la survie de l’Etat passe par la mise en commun des Renseignements détenus par des services disparates. Ainsi à travers le monde, on distingue : CIA, NSA, NRO aux USA, DGSE, DGSI, DRM en France, MI6, MI5, GCHQ en Grande-Bretagne, BND, MAD, BVF en Allemagne, Ministère de la Sécurité de l'État, Bureau 610, 2e Département de l'État-Major général de l'armée populaire de libération (APL) en CHINE, FSB, SVR en Russie, SIV au Vatican, DSLD, DSM au Bénin, etc.

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Ces différents services, collectent des informations qu’ils traitent, puis produisent des renseignements directement utiles aux Autorités.

C’est dire donc que le renseignement n’est pas le fruit de l’imagination. Il n’est pas créé de toutes pièces. Il n’apparait pas par effet de magie. Il est le fruit d’un processus scientifique.

Si l’on doit raisonner par analogie, le renseignement est le fruit et l’information est la fleur. Ainsi, comme toute fleur n’aboutit pas forcément aux fruits, toutes les informations ne deviendront pas des renseignements.

Avant qu’une information ne devienne renseignement, elle doit faire l’objet d’un enrichissement.

L’information est obtenue à partir de plusieurs sources à savoir : les archives et la documentation, les contacts et les relations personnelles, l’opinion publique, les informateurs, les Administrations publiques, les Entreprises privées, la presse, les journalistes, etc.

Toutes ces sources fournissent des informations qui seront traitées pour aboutir à des renseignements exploitables.

Il existe en réalité deux (02) types de renseignements généraux :

 le renseignement humain et ;

 le renseignement numérique.

Par renseignement humain, on entend un renseignement dont la source d’information ou dont la collecte résulte d’interactions humaines. C’est le type de renseignement le plus ancien qui soit. C’est le squelette du renseignement stratégique. C’est lui qui permet depuis toujours à travers des modalités de collecte passive comme active, d’infiltrer les milieux à fort potentiel de renseignement tels que les milieux narcotiques, politiques, économiques… il s’agit dans ce cas pour les agents d’obtenir par conversations ou interrogatoires des personnes clés, des informations précieuses selon des objectifs précis. Ce type de renseignement produit certes bien de résultats

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mais se trouve de plus en plus essoufflé pour plusieurs raisons. Ce type est très prisé dans les pays africains.

Par renseignement numérique, on entend tout renseignement dont la source de collecte et de traitement est d’origine numérique. Ce domaine du numérique regroupe les communications électroniques, communications par onde, communication par image, etc.

Ce type de renseignement semble avoir de l’avenir au regard du développement exponentiel du domaine numérique. Selon les pays et selon les objectifs de sécurité, ce domaine de renseignement connait un développement sans précédent avec une tendance à passer outre les droits privés. Il présente de belles perspectives car de plus en plus les humains consomment davantage du numérique. Ils laissent des traces partout et l’agent qui est suffisamment formé à ce type de collecte saura faire une exploitation optimale.

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Quel est alors l’état des lieux du Renseignement numérique en Afrique et au Bénin ?

Le développement des nouvelles technologies et le boom du numérique semblent avoir été l'occasion d'une accélération et d'une généralisation de la surveillance. Des données personnelles et des communications que ce soit par téléphone ou sur internet sont interceptées, analysées et exploitées par des personnes, des Entreprises, certains Etats sans qu'on ne le sache.

Selon le document, intitulé « Renseignements Généraux », et extrait de l'encyclopédie de la sécurité informatique « assiste » de Pierre Pinard, En 101 ans soit 4 générations d’existence des Renseignements Généraux (RG), de 1907 à 2008, le travail des 4130 fonctionnaires (chiffres 2007 selon Wikipédia) que constituait la ressource humaine mise à disposition pour cette tâche n'aura réussi à produire que 2,5 millions de fiches sur quelques lignes portant sur très peu de personnes.

S'ils ont rédigé 2,5 millions de fiches en 101 ans, cela donne une productivité de 2 500 000 / (101 * 365 * 4130) soit à peine plus de : 0,01 fiche par jour et par

" espion ", sur autorisation de justice.

Toujours Selon le même document, sur le Web, il a environ 1 milliard d'internautes connectés chaque jour (chiffre de 2013). Il y a aussi plusieurs milliers de sociétés et officines qui pratiquent exactement la même chose que les RG, en temps réel et silencieusement. Au moins 150 de ces sociétés et officines sont, chaque jour, sur le dos de chaque internaute, en train de l'espionner.

Pierre Pinard affirme à juste titre que : « en 2 minutes, 50 serveurs (50 sociétés) ont reçu et stocké des données sur moi et sur ma navigation (mes centres d'intérêt - mon profil) sans jamais en avoir reçu l'autorisation ! »

1 milliard de fiches de plusieurs dizaines à centaines de lignes par jour et par "

espion ", sans aucune autorisation.

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Entre les deux types de Renseignements le penchant semble être du côté du web. On comprend alors mieux pourquoi les États Occidentaux et les opérateurs, Google en tête, œuvrent pour que la totalité de la population mondiale soit connectée le plus rapidement possible et pour que tout et n'importe quoi soit connecté en permanence. Il est tellement rapide de pénétrer, collecter et analyser tout ce qui est numérique. D’où tout l’enjeu des Big Data.

Les Big Data, donc, sont la matière première de l'économie numérique. Ce sont les données que recueillent les entreprises high-tech chaque fois que vous vous manifestez sur le Net, que vous utilisez votre carte de fidélité dans un commerce, que vous appuyez sur la touche "j'aime" de Facebook, que vous faites une recherche sur Google, que vous visualiser une vidéo sur Youtube. De l'information à l'état pur, qui peut ensuite être traitée, recyclée, exploitée, revendue. Une source de revenus à la croissance exponentielle. C'est l'énergie du XXIe siècle.

Du côté de la téléphonie, les écoutes deviennent monnaie courante de nos jours. Elles sont prouvées par les affaires NSA : les scandales des écoutes américaines, de Nicolas Sarkozy, Angela Merkel etc… Des écoutes judiciaires, aux écoutes illégales en passant par les écoutes administratives et les écoutes provenant des agences telles que les CIA et NSA, tous les moyens sont bons pour surveiller l’autre.

Qu’en est-il en Afrique

Le continent africain dans son ensemble semble être à la traîne dans l’appropriation et l’utilisation de ces genres d’outils pour constituer et exploiter des renseignements importants à cause de nombreuses fractures numériques encore existantes. Quelque 22% (chiffres de 2017) de la population d'Afrique subsaharienne a accès à internet, selon la Banque mondiale, soit un des taux les plus faibles au monde (moyenne mondiale de 44%). Plus de la moitié des 2 millions de site internet africains proviennent d'Afrique du Sud, l'économie

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numéro un du continent, estime Lucky Masisela, directeur de la société ZA Central Registry.

Par ailleurs, on peut aussi affirmer que l’utilisation du renseignement numérique en Afrique est faible notamment dans les milieux des services d’Etat qui en ont la prérogative. Mais pour les milieux économiques, ça va très vite en dépit des problèmes structurels qui existent sur le Continent dans ce domaine.

La situation de la lente appropriation du domaine du numérique pour son exploitation plus accrue en terme de renseignement peut être expliquée par entre autres, le volume des données, la méconnaissance du domaine, le mauvais diagnostic des besoins de collecte, l’absence de ressources compétentes pour faire le travail, la facilité et l’obscurantisme, la peur de l’inconnu…

Et au Bénin ?

Le Bénin comme les autres pays de l’Afrique n’utilise pas abondamment l’Internet pour plusieurs raisons. En 2015, selon le rapport statistique de l’ARCEP, la télédensité Internet est de 20,8%. Un chiffre qui reflète celui de l’Afrique mais très loin de la moyenne mondiale. Par ailleurs, le ministère de l’Economie Numérique qui a vu le jour à l’avènement du nouveau gouvernement, compte réduire les fractures numériques par des projets de développements des infrastructures de TIC et extension de réseaux de téléphonie mobile. En ce qui concerne l’exploitation des données numériques pour avoir une économie prospère, aucun plan concret n’est encore révélé. Le Programme d’action du gouvernement est resté quelque peu évasif sur le sujet. En effet, à la lecture de cet ambitieux programme, on n’y recense que six (06) projets phares dont : le déploiement de l’Internet haut et très haut débit sur l’ensemble du territoire, la transition vers la Télévision Numérique Terrestre (TNT), la mise en œuvre de l’Administration Intelligente (Smart Gouv), la généralisation de l’usage du e- commerce, la généralisation de l’usage du numérique dans le secteur de

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l’éducation et de la formation, la promotion et développement de contenus numériques.

Tout laisse croire que le développement du secteur numérique qu’on envisage n’a aucun rapport avec le secteur sensible des Renseignements.

Le PAG dans son ensemble est resté aussi évasif sur l’appropriation du numérique dans le domaine des renseignements généraux. Tout ce qu’on sait est que le gouvernement sur les prochaines années envisage équiper les services de renseignement et de lutte contre le terrorisme et la radicalisation.

Peut-être que ce relatif silence des projets d’envergure dans le domaine satisfait à l’exigence de réserve qui doit être de mise dans le secteur du renseignement.

Le paradoxe c’est que le besoin est là. Mais les services préfèrent rester dans le manuel. C’est par exemple le défaut de connexion entre les services de police et bien d’autres encore. Une interconnexion entre les différentes unités constituerait déjà un moyen de fluidité d’information, de partage et d’enrichissement des informations en vue de disposer de renseignements actualisés pour l’Autorité.

Mais la faiblesse d’utilisation de l’Internet et les problèmes du secteur TIC ne doivent pas être des motifs pour trainer les pas dans le cadre de la mise en place d’une législation en faveur du renseignement numérique. Car, le renseignement numérique a un avantage comparatif sûr sur le renseignement humain.

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Comment le renseignement numérique peut-il aider l’économie ?

Evoquer l’économie, signifie que l’on fait référence à la production, la répartition, la distribution et la consommation des richesses d'une société, tout ceci dans une perspective de rentabilité. Cela dit, les acteurs de l’économie ont besoin d’informations pour mieux se positionner. L’Etat lui-même a besoin d’information pour davantage assurer son rôle régalien dans la cité. Et dans un contexte comme celui du 21e siècle, ils ne peuvent plus se reposer simplement sur le renseignement humain.

Le renseignement numérique ayant l’avantage d’utiliser les moyens techniques modernes permet une collecte beaucoup plus volumineuse et diversifiée que le renseignement humain. Mieux, les outils technologiques assurent aujourd’hui de pouvoir automatiser la collecte, afin de permettre à l’homme de se positionner sur le volet analyse pour plus d’efficacité. Car, la collecte d’informations étant chronophage, il est préférable de robotiser le recueil des informations ainsi que leur prétraitement.

Le renseignement numérique permet donc d’industrialiser le renseignement. Et ce n’est pas fortuit de parler d’industrialiser le renseignement. Par comparaison, l’industrie s’appuie sur des ressources premières (informations de toute nature, voire le Big-data), fait appel à des ressources humaines compétentes (veilleurs, analystes, chercheurs-développeurs…) et met sur le marché des produits (renseignements diversifiés selon les domaines). Elle a la possibilité de diversifier ses produits, élargir ses débouchés (opérateurs économiques, Etat, particuliers etc.), développer davantage de stratégie pour maintenir une concurrence, etc. Toutes ces choses sont possibles grâce au renseignement numérique.

Il est plus que nécessaire qu’un accent particulier soit accordé à la prise en compte de ce secteur ; non pas qu’il faille laisser mourir le renseignement humain (c’est même impossible) mais travailler à un équilibre progressif de l’utilisation des deux modes pour plus d’efficacité.

De nos jours, il existe des moyens, des plateformes intégrées qui permettent de gérer efficacement ces deux types de renseignements.

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Ce n’est pas de la fiction si l’on dit que des privés béninois s’y exercent depuis des années.

Expérience d'une entreprise PME en Afrique APIAS

Dans l’appropriation des Technologies de l’Informations et de la Communication pour collecter des informations afin d’en faire des renseignements, l’Agence Privée d’Investigations et d’Analyse Stratégique s’est dotée d’une batterie d’outils numériques des plus simples (moteur de recherche, alertes, flux RSS) aux modernes (Plateforme Intégrée d’Intelligence Economique) qui concourent à l’automatisation de la collecte. Les informations collectées, stockées tant humainement qu’automatiquement dans un centre de données d’une capacité de vingt-six Terra Octets (26 To) font l’objet d’analyse afin d’identifier des tendances, menaces, opportunités et autre informations susceptibles d’aider les divers acteurs des secteurs Etatique et privés dans le processus de prise de décision.

Ce n’est donc pas impossible de faire le renseignement numérique en Afrique et au Bénin. Comme APIAS, il existe bien d’autres entreprises privées qui offrent leurs expertises dans ce domaine.

Par ailleurs, l’Ecole Internationale de Détective et de Stratégie (EIDS) offre également des formations à tous ceux qui souhaitent se perfectionner dans ce domaine.

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Que retenir ?

On retient que l’Afrique comme le Bénin doit aller résolument davantage vers le Renseignement numérique au regard des atouts que cela présente.

Le numérique permettant d’engranger plus d’informations avec peu de moyens humains, il est normal qu’une réflexion profonde soit faite dans ce sens par les Etats.

Industrialiser sainement des renseignements comme le font déjà certaines entreprises privées afin que tout le monde puisse en bénéficier serait déjà un pas pour corriger la perception qui est faite depuis mathusalem sur les services de renseignement.

Les autorités béninoises actuelles ont l’ambition de corriger les dysfonctionnements ou lacune. Et c’est tout naturel que les professionnels du domaine sont disposés à donner leur avis par rapport à deux choses :

 la première : les autorités doivent faire l’effort de redéfinir les buts des renseignements afin qu’ils ne se limitent plus seulement à la sécurité du pouvoir mais deviennent un cadre de réflexion et d’action globale au service de la sécurité économique et politique de toute la nation. Il va s’en dire donc de la nécessité de faire agir conséquemment la Communauté de Renseignements afin que ses outputs servent tant aux gouvernants qu’aux gouvernés ;

 la deuxième : le gouvernement doit prévoir de se donner les moyens et les capacités d'adapter l'amélioration du renseignement. En effet, des acteurs privés locaux tels que APIAS s'investissent déjà dans cette voie.

Ils ont compris depuis fort longtemps que le domaine numérique ne saurait être laissé dans le cadre de l'optimisation du renseignement avec une vie socioéconomique et politique surfant sur le numérique. Cette expertise privée doit être valorisée et soutenue. L'Etat doit à cet effet prendre les dispositions pour que cela se fasse.

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