• Aucun résultat trouvé

DIALOGUE entre DEUX JACOBINS PREMIER EN TENDONS-NO US. DüBOIS-CRANCÉ. le PREMIER. Par. Le premier. Le second.

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2022

Partager "DIALOGUE entre DEUX JACOBINS PREMIER EN TENDONS-NO US. DüBOIS-CRANCÉ. le PREMIER. Par. Le premier. Le second."

Copied!
36
0
0

Texte intégral

(1)

EN TENDONS-NO US

.

PREMIER

DIALOGUE

entre

DEUX JACOBINS

Par DüBOIS-CRANCÉ.

le PREMIER.

Vivelaliberté,nous

sommes

encore

une

foissauvés.

Le second.

Dve

laliberté,nous

sommes

encore

une

fois sauvés,

Le premier.

ÎSous avons toucne au

moment

d'être écrasés parTaris*

toratie. 1

Le second.

Nous

avons toudié au

moment

de succomber sousle

joug delatyrannie.

ÎÜEÎWïïtiBBMX *

UBRAKir ^

(2)

(

L

J

PREMIER'

Comme

apres la cliùte de Robespierre ces messieurs Revoientlacrête!

Le second.

Comme

aprèslachûte de Robespierre ses agens bais- soient la tête!

Le premier.

Si cela eûtduré

un

mois,nous étionstous guillotiné

Le second.

Si Robespierre eûtvécu

un

moisdeplus

,ilne restait

en France

que des frippous

on

des sots, et

M.

Fitt avoit beaujeu.

Le premier.

Ou*

seroïentdevenus tonsles sans-culottesqui ontsibien s^rvi la chose publique dans Paris et dans les departe- roens?

Le second.

Que

sevoient devenus tous les patriotes qui neveulent la République que pourelle, et

non

pour asspuvir des haines particulièresou favoriser l'élévation

d un

tyran..

Le premier.

lime

paroît, citoyen,que nous ne nous entendonspas.

Le second.

Cestce

qu’il

me

semble.

Le premier.

Je défends lacause despatriotes quel’aristocratieveut opprimer.

(3)

(

* /

(3

)

Le second.

Etmoicelledespatriotes quil'ont étépar des frippoaâ qui ont ruinélaFranceetvouloientla subjuguer.

Le premier.

Ah

! je m'apperçois quetu es

un

modérë.

Le

s e c g

n

d.

Ali ! jem'apperçoisque tu es

un

enragé. ~

Le premier.

Quoi! tu ne vois pasla réaction

du mouvement

révo- lutionnaire; tunevois pas que lesaristocrates sont par- tout misen liberté, et les patriotes incarcérés; quel’on

demande

les assemblées primaires pourdissoudrela

Con-

vention?

le Second.

Je nevoisdanstout cela qu’une manoeuvredes agents

du

despotisme

que

nous venonsd'abbatre,carlamasse

du

peuplefrançais estpourlaconvention ; il n’yaquelesin- trigantsquienchérissent exclusivement

une

portion.

Le Premier.:

Ah

parbleu/celui-làest fort.

«

le Second.

Ecoute, si tu n'es qu’unsot, ou vas-t- e

n

causerail- leurs

, si tues

un

frippon

, je n'aime pas perdre

mo»

teins.

le Premier.

Eh

bien

jccoute»

A

a

/

(4)

L E

(4)

Second*

-Tuconviendras queRobespierreétoit

un

tyran.

le Premier.

Ilfautbienquej’enconvienne,

le Premier.

Tu

conviendrasaussiqu'il avoitusurpél’opinion,

qua

1rsJacobins

eux-mêmes

luiétoientdévoués; toi

qm

parle,

tues

un

deceux. qu’il avoit

nommés

alamunicipalité.

Heu-

reusement pour?oi tuétoisenmission,sans quoi tu eusse étéenrévolteet guillotiné

comme

les autres.

L E

Second,

Ab

celaest vrai.

le Premier.

Tu

conviendras quetous les comités réjoîutionnaires étoientde son choix,

que

plusieurs députés (e. en

connoissoitpeudignes d’etreemployas),on ta dan

.es

déoartemensdansle

même

sens quelui, qu amsi toutç Paurovité révolutionnaireétoit àl'époque

du

10thermidor dans°les inainsdesesagents. Elieyest

même

encore.puis-

que

par décret , ces agents doivent continuerleurs fonc- lions jusqu’àce qu’ilssoient remplacés.

L E

Premier.

Cela est vrai.

Second.

Elibien,sil’on aléché par-toutlesaristocrates, oesont- ce pas ces

mêmes

agents quil’ont fait, et que u pe vem-Us avoir eu, en détendant tont-à-cçup lesressort, révolutionnaires, sicen’estdefaire crieralaréaction^

J

l'aristocratie^deprouver quetout estperdu,

(5)

dépêche de leur rendretout l’arbitraire, toute la puis sancedontils étoient investis?

le Premier.

Maispas

du

tout, il abienfalluobéiràla loi

, qui

met

en libertétousceuxquiétoientincarcérés sans motifs et ily en avoitplusdecentmille.

le Second.

Quoi

l vous aviez

commis

tant decrimes ?. . Mais

en bonne

foi,il

me

semble quelesloissontassez sévères pour

comprimer

tous les genres d’aristocraties. Si elles ne le sont pas assez, il fauten £irede nouvelles qui mettent ecachet surlefront

du

malveillant, demanièreàce

que

personne ne puisses’y

méprendre

, et alors cet

homme

doit êtreséquestréde la société. Mais

comment un

indi- vidupeut-il etresuspect sa/is motifs.

le Premier.

Àli !voilà denos ra/sonnemens de modérés;etavec ces beauxsystèmes on feralacontre-révolution. Est-cequeles pretresetl:.snobles nesont pas suspects dedroit?

le Second.

Oui ,

comme

lesci-devant juges , lesavocats, lespro- cureurs ,Esgens de finance

, les commercants

, ettoutce

qui Vivait a l'aise des abus de l’ancien régime. Voulez- vous par ces motifs incarcérer toute la France, excepté les manœuvriers? Je sens bien

que

lesci-devant nobles étant dune caste proscrite par les principes de notre gouvernement

,doiventêtre surveillésdeplus prèsqueles autres

; par exemple , je croirois très-impoliri-rue de les appel1er a

aucun

emploi; je pense

qu

ils doivent être

pums

paj ouilsontpéché, etpuisquils ont si iong-tems violé les principes del’égalité, ils nedoivent pas

même

jouirde sesavantages

; jeparticiperai volontiersà une loi qui déclareraquetout

homme

de race?iohie estexclu

à

(6)

r „i„M ^!»js?*su£SS, *

une

espècede

P

r)''ll*S,V inion

n

’kstjamaisgouvernée par nionquifait tout > 1 qu'ilsne peuventpas

remo

ceuxq aelleaprescrit, tan qu r

terau* places qui l’a

commande

Maisaprès cet acte de

|^^q^n-rt

plcequ’il

tique, pourquoi punir

un h

q lecontient stncte-

Le Premie

R-*

nritr(yrévolutionnairedéfait B-tr, bat*,

%^Z

C

CZZs

nous en débaras-

ou

d’intention ; il ±dUt

des secousses continuelles a

essuye^di^

n

°U t,1ac^ever0I'SfaS^a révolution.

£ E

Second,

Je crainsbien très, ou plutôt q»;e

de

u

république depuis

deux

Qu

est-ceqçtagite1 , Encore

une

lois,desqu ans? n’y at’il

que

les

nls soient punis ;

maisles font unpas ûe cote, , * Robespierre étoit-d 110 fédéralistes Soient

"toient-ilsnobles? tousles agents Lie? Hébert ,

Ronsm

>

^ ^

partemeïis , auxai-

de

Robespierre, a

\f

“V

ph

bien,

quand

vous aurezpres- sées,sont-ilsdesnobles?

bbbm ,q

deyant saïlsdis-

ont, exporté

ou

gu leS

îinction,

d

vous xes

^in£jg ants , lesbriganus ,

tou- Raents

du

despotisme, le P

c

p

e f quiseprésentera, joursprêtsasevendre au

P^TteTbine-t-ellepas de droit

Une

factionquiseleve, ned< iüon? ehbien, cette

une

f.ctionCont ran e

un

paru<d ,PP

^ ^ devenue

J

(7)

( 7 )

\

rir laliberté? est-cepour nous main

tuellesconvulsions, pourn a

cesst{que 1.200mille

passions agissantes Voulez-vous

volontaire»se battent, en

-os -x bon

^

„o«s

w

.

ou

1,n'estqu’un

verneroent; cest que a

P

gl’onpunissesévère- tions, toutes les prêtent.® , Qu’avons-nous vudepuis

ment

quelatousFranceceuxentièrequ. laavotent.lüiete

^

iot0

^

à péchaffuud

u

r(tpubUt[uea

du

côtésangd’un, etaristocratetoujours

du

, *

_ ^

ltriolTu e ,phantehypocriteetensuiteet fe-

iXfîSÆlKC

>1“

senter.

L E E

M

I E R*

^jsxr^^zszrs.

les écraserons.

nous nous

L E

Premier.

Pauvre sot, tu ne

vois^s quj^- |-nd mot»

nous

mène

ala dissolut,

on

de

UreP“^J

ondivhe

le

les haines,

on

ca

lomme

les

faitementles

ri’Si

?

» zssxTtm

«‘ï":

E" »•““ 5“

J*

d

*

k

quiviîut régner.

L E

Premier

Oh

moi, je neconnois pas

defocdou

; je

veux

laH- bet,

jeladéfendrai )usqu ala

mon.

(8)

il -V

(S)

T Ë S E G G N D„

To, ,tu veux laliberté? Oui, la liberté d ’om-imertout nioit'^Nr

Cro,m

?«"*Ja

'«publique n’êtrepasde tononi- fusnu’a '

,JVeaUSélde

.

d

Un MahWe: moderne,

tu

noL

croyant

ê T

r !°n Pee r,on! dela république

, en te

croyantU!1 Brutus; etaprèsavoirétél'insu-,

ment

aveugle

qn’àhguîf

inr

1 tU devieatlras savictime

, et cenesera

etdernfèt e

foï

8

^

*“°UVriraSIes

f ux P°"

la

P^mière

L e*v

Premier.

se dsnl

a

C

Sf ri?ux ; maisenfin "dits voyonscequi

sepasse dans lessectionsans toutela Fianceoncriebaro core

r ur uas

a

‘f

°' eS S°"S

n0m

deKob(,sPiei istes : en- vort

"

P

r",

et

.

nous

sommes

victimesdes aristocrates qui tiner.

daUS t0Utes leS

Ijlaces et I;cus guil/o-

le Second.

m

u-cbë

,u'

! d® b °n " e f°!et

5

ne tu eussb'en suivî J»

niaieue dela conventiondansl’établissementnouifêaudu

gouvernement

révolutionnaire, tu

ne

seroispassieffrayé.

Sans douteil

y

ades

hommes

couvertsde crimes, gor-

mrtem

9"

8 etda

,

ss'8'la

, t

!> qui opprimoient dans lesdé- partemens poursemicluretsevenger, quiparleursvexa-

rJ (

p

S arbitraires, faisoient plus d'aristocrates en

un

jour, que tous 1er royalistesensemblen’en ont fait depuis quai

ne

ans

,ce sont ceux-Ia quicrientleplushaut maintenant, annëî)

qu

,i Sre

î°V

enl

la

P

unition

^

leursforfaits, et ils

Ppeüentlecndelmdignationpubliquequin'estplus

com-

1

m

,

uuq

ieactio7i : iisontpeursouteneurstousceuxqui sont hissés gouverner par eux, etqui ont peur. Cela

,1 S1

yrai7U°.n,

a

jusqu>a

demander

pourcesscélérats.

larîsle seindela convention, l'inviolabilité.

M;îis faut pas queles vrais patriotes-redoutent

d

êtreconlonuusavcccctie fangedudespotisme.

La

cqù-

(9)

9 )

ventïon yamis

bon

ordre ; eten supposant quequelques aristocrates lèvent aujourd'hui

un

frontaudacieux, par- q ils.abusentdetout ce quel’on faitde bien, ils netar*

deronr pas à le rabaisse'. Est-cequeIgcomitédp sûreté g n<ral* n*est pas chargé de réorganiser lescommissions révolutionnaires?nedoit-il pas

y

enavoir une pardistrict

etunepar

chaquecommune

de huit milleâmes?as-tu peur

oue

lecomité fissede mauvaischoix, ru? sait-ilpasquesi la classe intermédiaire sauva la république au 9 ther-

midor

, cen’estpasune raison p®urluiconfierlesoin da—

ehever larévolution? nesait-ilpasqu’il n’ya

que

lesbons Sans-culottesdontles intérêts privés soientparfaitement d’accord avec l’intérêt général, et qu’eux seuls doivent remplirces délicates fonctions.

Ce

sera donc parmi ceux quicomposent aujourd’huilescommissionsrévolutionnai- res,qu’ilchoisira leséléments

du

gouvernement; maisil

en écartera , avec juste raison , les fripons; les extrava- gants, les

hommes immoraux

, quinesontguidésquepar lespassionsles plushonteuses. Les brigands, je lerépété

,

quideshonorent larévolution, etsont plusdangereuxàla liberté que les arméesdesdespotescoalisés.

le Premier.

Je

ne

goûte pas

du

tout cesbeaux raisonnemens; ils sonttrès-philosophiques,j’en conviens,maisilssontbons pourd’autre terns.

Ce

n’estque par la terreur

que

l’on peut

comprimer

aujourd’hui lamalveillance, il faut

que

nousl’écrasions

ou

que nous soyonsécrasés, il n’ya pas de milieu.

le.. Second.

Il sembleàt’entendreque1emercure te

monte

à latête;

etmoije dis qu’iln’ya quel’union, lafraternité, l’éner- gierépublicaine qui puissentnous Eure triompher detous nos ennemis, une loi sage, mais vigoureuse.

Une

loi quifasseaimerlarévolutionaux uns, et enchaîne les a1- tres,doitporteT

,

sms

contreditla terreurdansl’ame des conspirateurs;cela e^tconvenu. Mais, encore

une

f>is, si

nous mettonslespassionscrapuleuses

, leshainespaiticu-

\

(10)

Hèresàlaplacedelàjustice nationale, l'arbitraire

du

bri- gandageàlaplace des principes, les

hommes

àbiplace des choses, iln’yaura delibres en Francequelesfripons,et toutlereste sera comprimé.

Appeîle-tu cela

un

gouvernement ?

Etensuitedansquel sourceiras-tupuisercetteénergie

,

cet

amour

brûlantde lapatrie, quilui faittoutsacrifiert etqui est si necessaireau

complément

de la révolution?

est -ce parmicesvampires goigésdesangetderichesse ? Lesscélérats sont tous

comme Néron

, dans les grandes occasions ilssecachent dans

un

égout.

le Premier.

f

Eh

bien, puisque ce sont-là tes sentimens

, je vais te

dénoncer

comme

aristocratealasociété.

le Secostd.

Et

moi

je te dénoncerai

comme un

biigand à tout la peuple Français.

DUBOÏS-CRANCÉ

A

Paris;del’imprimeriede

Güffroy

,rue

Honoré

, n°.55.

cour des ei-d@vant- Capucins.

(11)
(12)
(13)

DEUX JACOBINS.

Par DUBOIS-CRANCE.

LE PREMIER.

Bon

Jour,

bon

an, confrère!vivent les Jacobinsl

Le Second.

[VivelaConvention !

Ls Premd-er.

(Ehbien!vivent les Jacobinsetla ConventionJ

A

LXSRAhlfy^

(14)

f

â)

Le Second*

Pourquoi cet assortiment? est-ce

que

lesJacobins sont

Représentai du

Peuple?

Le Premier.

Non

; maisils sont

Us

hussards delarévolution*

Ll Second.

Pastous.. ..J’enconnôisbeaucoupqui ontfaitl'arrière- garde

, et qui parcourent aujourd’huilaplaneau galop, pa.vce qu’ils n’ont plus d'ennemis en tête. J’enconnois aussiqui sont desémigrés.

•I \

:

:

V

'

Le Premier.

Qu’appelles-tu dos émigrés?desémigrés aux Jacobins!

La Second.

J'appelledes émigrésceux quiontpasséâl'ennemi avéè Robespierre; etqui sont rentrés.

Le Premier.

Maisce ne sont pas des émigrés.

Le Second.

C'est encore pis ; car

un

émigré n'est souvent qu'urï misérable que la peur a fait sortirdelaRépublique

,et qui trembleàcentlieuesdenossans-culottes, tandis

que

les complicesdeRobespierre attaquoient la liberté dans soncentre.Ceux-la n'avoient besoinde prendreni Valen- ciennesni

Coudé

, pourpénétrerdansParis; ausur-plus

ilssont horsdelaloi.

(15)

( 3

)

L

H

£

-A H

M

I 1 ¥>

Couinent

, horsde la loi1

Le Second*

l

Èh

oui.

D

ou viens-tu

donc

?est-cequetü endoutes? est-ce

que

ledécret dela fameuse nuit

du

q au io tlier»

midorn

a pas mis

ho

sde laloi Rohespierie

,

Coud ou

©aint-Just

, ettousceux quiontprispart

à

leurrévolta* *

La Premier.

Cela estvrai, mais ce décretneportoit

que

surla mii- mcipaliteet1étatmajor.

La Second.

Te

mocquès-ta?Pourquoi doueleprésident des Jacobins

^

guillotiné ?

n

étoit-ilpasaussi

un

hussard deIn

révolution? Etles secrétaires, lescommissaires envoyésà lamunicipalitépoursecoaliser; ceux qui tenoient séance

«t qui se sont déclarésenrévoltecontrela Convention ,

ctcuent-ils aussi les hussards dela révolution?

Lé Premier.

fthEsés

^

116 S9nt PaS

^ U

S°Ciété ré

8

iaérée»

°n

les a

Le Second.

ïu

les comtoisdonc?

La Premier.;

M

a

^

» .qj

Le Second.

Alk*

51

Monsieur

la hussard

,

un

peu defranchise;

A

a

44

^

(16)

**

vnm

,esCOn

”°^“u

falMust^ce*dt!ucun. 11 fout ledire

1 ,

ne

voispasqu

on

a

) générale, depuis quelque

x

e

Premi*R«

x

x

Second.

ïioneez,chaquejoui,tou

e

^

ciuslf

Q

uoi!siCondé

vertusciviques,votre pat

, ; ;iensdéguisés, vous

-*<

dedélateurs?

p E

E

M

t * *.

Quellecomparaison î

Xe Second.

a Faire carles Autrichiens Il estvrai

qu

d

n

T

P

j

p

eUple n’auroitpas besoin seioientbientôtreconnu

, la

P

carmagnol!e; au lieu

de

vosavispourleur

tegfo»*

,,

am p

facés en avant-

que

les

com

Pice6

^

0

'

P

ourroient très-bien égarer le gardesaumilieude

^ f

P

,

hommes

étaient ties-cn- corpsde1armée ,mais enn

cor)Viendras que, s.

feTndemTini

leur président

'ilsont

,5S£ i •* dK

*d

*“ ,Mt

ïiementaeulieu?

(17)

(M

Le Premier^

Ma

foi,jen’empêclie pasqu'onlesguillotine;mais powf 'dénoncer, ilfaut être bien sûr,, et je ne les coanois pas positivement.

Le

S e c o

n

d.

Si vous nelesconnoissez pas,

comment

les avez-vou*

chassés

?...

Et , le 28thermidor, lorsque Collot-d

Her-

bois futconspué auxJacobins,pour avoirvoulus

°PP°

ser au

mouvement

contre-révolutionnaire

qu

excitoitnobles-

pierre ,

combien

étiez-vousquiprîtesla défense des prin- cipes.

Le Premier*

aucun.

Le Second*

ÏIn’y avoitdonc guère de

monde

?

Le Premier»;

La

salle étoirpleine.

Le Second*

Diable, messieurs les hussards, vous etrez

donc

, C(t jour-là, en colonne renversée, et

Ton

achassé tout eeia^

L

t

Premier»

Oh que non

1, il auroitfallu fermerles portes*!

Le Second,

Ah

ça mais(entendons-nous)qui avez-votas donfc fchalsé l

h 5

\

(18)

( 6 )

L

B

P

R s

M

l 1

Tons

ceux qoi n’étoieBjfcpas à leur poste dô citreye»

*

danslanuit

du

9 au 10*

Le Second*

Ce

n*0Stpns cequ*ii falloitdemander.

Bans

des cir- constances aussi sérieuses,

un

tel

homme

r quia été le sou;e eurleplusdébouté delatyranniependantsixmois* a

pu

, au

moment

delacrise, n’avoir pas le courage de aoutenirsonrôleetseconfondre dansla foule. J'ai

vu de

ces lacnhias prétendus%lejour

du

supplicedesconjurés, erraiiS parmi le peuple, etportant sur leur front livide le signal de leursinquiétudes et la honte deleur défaite*

D'ailleurs tel

homme

étoït censé à son poste dans

un

comité, dans la gardenationale, et y conspircit; c'estau

sço? et vu detoutle

monde. Au

surplus

romment

vous

y

éies-vou&prLpour &ir$celte vérification?

Le Premier*

Ma

foiî

on

Inleura

demandé

; ceuxqui ontdit

, oui,

ontétéreçus; ceux qui ont dit

,

nûn

, ontété rayés*

Le Second*

Eh

bien îvoilàce qû'onappelletraiter les affaires

à

îa houzarde; et vous appelez, ce grand travail

un

scrutin épuratoireî

Li Prehiee

One

diable vouî«z~vous.?

on

avoit bien dit qu’on exi- geraitde ceux qui se présent#? oient pour être reçus en définitif, desce?tibeats authentiques, signés,des comités civilsdesection*; mais

quand

ona faitl’appelpourdistri- bue»'lescartesd’admission,

on

ani'gligédefaireproduire

Jes certificats.

Le Seconc.

.rt

Tfafl hjen}

cm

m’a

même

dit qu’au fieu de suivre fit

/

(19)

fcsteépuréeprovisoirement

,

on

avoitfaitl'appel sur /*«»- vienneliste

d

inscription^

Le P R

h

m

i e r.

Celaestencorevrai Jene sais

comment

ceîa s’est fait;

On

avoit égaré la lisi©

, il a bienfallu en chercher

une

autre»car rienn'étoitplusfunesteque de laisser lasociété aaus organisation.

Le Second.

Certesîvoilà

un

beau travail; et laConventiondoit être bien satisfaited’unesemblable épuratiosi ^ et bien tran- quille surses résultats.

Le Premier.

K'est-ce pas?

Le Second^

Ah

çà ,sçave* vousque vousêtesbien heureuxd’avoïy des hocminosaussipurs quelesorateurs qui, depuis*votre régénération,.occupentlatribune;carlefonddelasociété

n

étant pas

mieux connu

,ilpourroit encoreyavoirquelque iaction cachée qui occasionneroit de nouvelles secousses.

Le Premier.

Oh

îpourceîa

, il n'yapasde danger

, nousveillons Jeprès;ets’ilsedénotaitquelque faction, nous enferions justice. Vois

comme

nous avons chassé, sans balancer5

«e Tallienetce Préron.

Le Second.

C

est vrai, la société s'est

montrée

ce jour-là •.ellea bien prouvéqu'elle étoitrégénérée

; et jecrois

même que

•cettspreuve-la pourroit tenir lieu de toute autre.

Mais

pourquoilesavez-vous chassés?

(20)

(S)

Le Primiez

Nous

nesavons pasf c estde confiance*

Le Second.

Mi

!c’estsingulier.

Le Premier.

On

nous a ditque Taliienéteit

un modéré

;

que

sans

cesse, à laConvention, il

ne

parloitque dejustice; qu’il vouioitlalibertéde la presse, pour signaler les fripons, ï'réron a fait, àce sujet,

un

discoursqui

n

apaslesens

commua

; quoique la Convention l’aitfortapplaudi , et en ait ordonné l’impression.

Nous

ne 1avons ni lu ni entendu ; mais, sur l'étiquette

du

sac , nous lesavons chasséstousdeux.

Le* Second.

Vous

nevoulez

donc

pas delibertédopinion?

Le Premier.

Au

contraire, nouslavoulons touteentièrepource qui mousconvientT'mais toutce quine nous convient pas, est

évidemment une

trahison enverslepeuple,etnous

sommes en

sentinellepour ymettreordre.

*

Le

S e c o

n

d.

Allons, je vois bien

que

vousêtesrégénérés; caries Jacobins

que

j’ai connus, ne vous ressembloient guère*

Le Premier.

Ah

!je

ne

saispascela , }e n’ysuisentréquedepuis le Simai ; j'avois , avantcetteépoque, autrechosea

Une

qu’àm’occuper delarévolution.

(21)

( 9 )

L* S

E C O

K

1>J

Tu

n*espasleseuldanscecas-li

Le B

r e

m

i i a-

Non

, nous y sommes/presquetous.

Moi

, je*

branchement quelarévolution

m

a

/«mé

^

aid

j

5

inourrir,

on

m’aditque pouravoir

un

emploi,

êtreJacobin, je

m’y

suis fourré.

Le Second.

Eh

hien î qu’as-tu faitdepuis ee tems-lâ?

Le Premier.

J’aieud’assezbonnesmissions; j'ai été chargé par comité desalutpublicd'aller surveiller

deux

représentais

du

peuple, qui riétaient

pas dans

le

bon

sens. Javois cinq centslivrespar mois , tousfraispayes, et cea ai

à vivre:

oh

maisîj’ai biengagné

mon

argent;jairamasse, tout cequej’aientendu dire dedroite et degauc e

, ^

j’airapporté

un

plein carton de dénonciations contr

Le Second#

Très-bien.

Le Premier#

J’ai fait

mieux

;c*estqu'au

moyen

de

ma

commission,1

j’ailuné d’autoritéaveceux;et de la manière dontjem<3 su is entouré, je les ai empêchés de faire tout le

mal

qu’ils auroient voulu.

Le Second

Et

quel

mal

? ;

)

(22)

(i*)

Le P

r

& m

ï s %i Par exemple, à Yille-Affranchie

, ilsne vonloieiltpas

<juon démolitles maisons, de peur de rui er le

com- merce

; a Brest , ils ont psrunis, dans quelques

com- munes

fanatisées , de*continuerà dire la messe,

de

peur dexciter des troubles de nuire aux travaux du port.

,

t-ce que I

on

doitavoir do pareillesconsidéradOBS en

^évolutiont

Le

S e c o

n

».

Bt tu as misord^eà tout cala ?

Le Premier.

Oh

! je t’en réponds. Je ne suis pas patriote à

demi

; et j«ùmerois

mieux

voir la France ruinée

,

que

ce qu’il

J

rC8tat

un swl

aristocrate qui ne fût pas guillotiné.

L

E

S

E C

O B

D,

Mais je t’aidéjà ditqu’on ne s'entendoitpas surle

mot

aristocrate.

Le Premier.

Bah

, bah ! c'est vous autresqui

ne

vous

y

entendes pas; noos lesconnoissons bien, nous.

Le Second.

DéÆnissea-moi donccequec’est qu’unpatriote de

94?

aarjesuietout dérouté.

Le Premier.

C'est fin

homme

quiveutl’égalité surtout.

L

e S E c o

n

d.

Quoi

, surtout?

(23)

*

1 » )

Lb Premier

Oui

surtout,sans exception.

Ls Second,

Je

89

te

comprends

pas.

il Premier.

\ 1

Th

saisbien

qne

Robespierrea dit qu"ilfalîoit tenirle

peuple eninsurrection, jusqa’à ce qu'il n*y ait plus

e*

France ni grand#ville, ni grandpiopriétsfllre.

La Second.

Maisje nevois qu'une spoliation exécrable, le des- tructionde touslesprincipes constitutionnelset la basede

latyrannie.

Le Premier,

Point

du

tout, c'est l'égalité.

Le Secon».

^Encore

une

fois

, «ntendons-nous. Jesais

que

, d’après lesprincipesque depuis cinq ans nousdéveloppons,il n'y a plus

aucune

distinction cia rang et de naissance

,

que

nous

sommes

tous

égour

endroits-c'est-à-direque chaque Citoyen a

un

droit égal à tousles emplois

, pourvu qu’il ait. les talens et les vertus nécessaires pour les remplir*

Maisjenevois nullepartqu'il soit question d'arracher h celui qui a, pour donnergratuitementà celui qui. n’a pas.

Au

contraire les propriétéssontsacrées et *©uslasauve- garda delanation.

Le Premier.

Oui

sans doute; mais le gouvernementabien1©droit

(24)

(

I*)

a*empêchercôsfortunes scandaleusesquidétruisent ï~ég^

KEéy etEniroient parnousdonnerdesmaîtres.

Le Second..

Le

gouvernement ya

pourvu

parla loisurlessaceessionSai II estbien impossible avec cetteloi, que lafortune

d'un

homme

richene se subdivise pas a 1infini dans 1espace d'an demi-siècle.

Quant

aux fortunes rapidesetscanda- leusesdonttu parles, ilfaut distinguer: sicest

un

com- merçant , qui attire lesfondsl’étranger enéchange^de l'industrie nationale, ilni®sembie que, bienloin d en~

traver ses opérations, il doit êtreencouragé; car ,

dans

ee cas , sa fortune particulièredevient

un

accroissement 8 lafortune publique.

Sic'est

une

dilapidationdes fonds del’état, il doit être puni; mais le meilleur

moyen

des'en garantir , est

que

Je

gouvernement

ait

une marche

sage, éôiairee, etquen.

établissantlaconcurrenceparsaprobité,il

ne

fassô pas

fauxmarchés.

Le Premier.

Oh

ï

moi

, jepens© quetoutes

Us

grandespropriétés doi- vent être nationales, parce qu'elles sont présumées mal acquises, ©tensuitepartagéesenpetitslotR entrerle*,sans culottes-

Le Second

Voilà le système deBarrèredéveloppéparFayant à Ifi

Convention; maistusais

comme ©n

yarépondu»

Le Premier.

Oui

, mais

on

n'apasniéleprincipe,

îta présent®

que

lebesoin

maintenirle gage de»assignats; cest

une

affairede circonstances , mais nous nous retournerons

^

carilfautqueleprincipe»itson.exécuüOSk

(25)

(

i5)

“Le Second,'

Quel

principe?

Ll P

E E

M

I E R.

Que

lesproprfétésdoiventêtredivisées.

Le Second.

Jesuisd’accorddece principe, je croîs qu’il est utile

©ue

lespropriétéssoient diviséesautantquelepermettent

la justice et la nature des choses dans l’état de société;

mais tu ne veux pas sans doute exagérer cet axiome

au

point de fairedes Français

un

peuple nomade. Si nous étionstouspropriétaires, nous serions tousdanslamisère 4ar aucun ne voudraittravaillerà lavignede son voisin.

Laisse

donc

faire aux loix leur effet; c’est à elles

à

tenir le niveau de l’égalité d’une

main

sage^, feime et pointdestructive. Aprèsl'égalitédedroits,jen’en connois qu'un® de légitime, c’estl’indépendance;procurons

donc

a chaeanles

moyens

detirerde sonindustiie toutle parti possible , et nous atteindrons cette égalité ; car si

mon

charron,

mon

menuisier sont

mes

ouvriers, je soisleleur

comme

laboureurou commerçant.

Tout

estéchangevolon- tairedansla sociétéd’unpeuplelibre:sijai plusdegages d’échange qu'unautre , après

mes

besoins réels satisfaits, tant

mieux

pourles arts; je ferai faire,

une

maison

com- mode

,

un

be.u meuble,

un

tableau. Ftcest ainsi que la fortune, circulant par tousles c

maux

qui vivifient

une

naiion

, fait son bonheur et assure son indépendance, voilàlavéritableégalité.

Nous

avons aux frontières

une

foule d’artistes :

que

diroienl-iis à leur retour , siau lieud’un pinceauou

du

cizeau

du

lapidaire, on leur offrait

une

pioche ou

une

serpe ? iisdemanderaient pour qui

donc

üsont acquisla liberté ?

Vous

auriez beau leur dire qu’avec

un champ

(26)

( >4 ) qu'ilskboureroient

,ils auroient

du

pain

, ils vous

^pon-

drontquelesarts flattentiartisteautantetplusque

Ama-

teur, queleur

bonheur

copisteàpeindreet sculptery

qu

ils

y gagroient bien leur vieet des puissances

q

'ils ne retrou veroient pas dans

un champ

d& ble-a.

Qu«

répondrez-vous, messieurs les niv<

hurs

?

LE P

r a

&

\ e k.

Ma

foi, je n'en saisrien*

DÜBOIS-CRANCi

4

Paris, del’imprimeriede

Guffroy

,rue

Honoré

?»®35%

#owrdesei*.devant Capucins*

(27)
(28)
(29)

I

entend on S- N O us,

rf.ï

troisième

dialogue

ENTRE

DEUX JACOBINS.

Par DUBOIS CHANCE.

hilü

LE PREMIE

R.

Eh

bien ? ton Dobois-Crencé vient «Jonc tîe

lever 1«

masque.

Le Second.

Ilvient d'arracherle

masque

àbien des gens*

Le Premier.

Tous

les aristocratesleprônent.

Le Second.

Tous

lesfriponsledétestent.

Le Premier.

Quel a

don©

étéson bateu censurant touteslasopéra- tions

du

gouvernement.

L» Second.

Faireson devoir

(n’estilpasdéputé?)

ïhenewberry A

UffiRAKY

(30)

;t

Le P

k ï

m

i i ft.

Son

devoirëtoitdesoutenirles patriotes.

L

*

Second.

De

quelspatriotesparîe's-tu,carilnecroitpasen avoir attaquéaucun.

L

fi

P

R fi

MI

E R.

Ho

!iln’a

nommé

personne, maisil y en aqui sontsi

bien désignés

L

i S e c o

N

D.

Si quelqu’un se trouve désigné,cene peut être

un

patriote, cariln'a présenté que lasérie des crimes des brigands.

Le Premier.

Oli tu sais

que

dans

une

révolutionil

y

atoujours des erreurs; maisl’esseiitiel estquelesintentions so’ontbonne*, et celuiqui s’appesantittrop surlesfautesdespatriotesfait tort àlarévolution.

Le

S e c o

n

d.

Mais pour corriger, ces fautes il faut bien les deve- lopoer et faire sentir le. nécessité

du remède;

dailleurs tu es bien complaisant de traiter aussi légèrement ees crimes atroces qui, à travers lesang et le pillage, nou.

conduisoientà ladissolution de laRépubliqueparle van-s daiisme leplus déboute.

Le Premier.

H

a falluemployer tantde

monde

, et les choix étoient si difficiles àfaire,qu'il n’est pas étonnant qu’il se smt trouvé quelquesêtrasimpurs parmi tantde bonscitoyens.

Le Second.

Quelques êtres impurs; y s-ï-il en France

un

seulcan*

ton qui naîtàgémir d’avoir contribué pour sapartaux dilapidations, auxactes arbitraireset vexatoiresdes

supM&

delutyrannie.

La

République occupe

une

surfacedeplus

-

..

1

,

y

r

(31)

(3

)

de160 mille lieues

qwrrées

,cite-moi

une

deces divisions qui n’ait pas essuyé l’atteinte

du

crime.Uepasseensuite»

en

revue les grandes villes, les

cheMmux

rie nos

manufic-

tu,es vois-Ylesdécombres de notreindustrie,etdis-moi

si au milieu de nos victoires nous n’avpns pas essuyela plus terrible des défaites : cette guerre

mlesuna

coûte a la France plus

que

celle des frontières.

Je conviens qu’on a été trop loin danscertainesocca*

sions, mais aussi il y avoit.tant ü’anstoerates.

Ce

n’estpas â force d’injusticeset decruautés que 1

on

fait aimer la liberté; la terreur

ne

fait quedes esclaves de ceux qui n’en sont pas victimes , elle ne peu: servir

que

le despotisme , elle est

un

crime de leze-nauon

au

pi6Jnier chef.

Le P

R e

Mais

comment

, sans la terrear, t?ocrates»

Le Second.

Il faut en imposer aux uns par

une

justice sévère

t e't ramener les autres par les principes»

Le Premier.

Cette espèce cThomraes n’y croit pas; jamais

on ne

leur fera aimer la liberté et sur tout l’égalité.

Le Second.

Et tu en conclus qu’ilfaut les tuer.

Le Premier.

Non,

mais il nuire. ç

s'assurer qu’ils

ne

pourrontjamais-

Second»

Eh

I

comment!

Références

Documents relatifs

— Pour un corps local à corps résiduel fini de caractéristique p, nous donnons quelques raffinements de la formule de masse de Serre en degré p qui nous permettent de calculer

Ainsi, étant donnés, dans un plan, sept points distincts, que Von considère comme les points singuliers d'une équation diffé- rentielle du premier ordre, du premier degré et de

— Les équations que l'on obtient en égalant à zéro les différents facteurs premiers qui entrent une seule fois dans les deux discriminants des équations différentielle et

De peur de rater le prochain anniversaire elle sollicite l’aide de MATOU élève en classe de 1

Permet d’obtenir les coordonnées d’un curseur que l’on peut déplacer sur chaque courbe à l’aide des flèches « déplacement horizontal à gauche ou à droite » du clavier.

La recette globale est donnée, en euros, par la relation R(x) = 120x où x représente la quantité d’articles vendus.. On suppose que tous les articles fabriqués

Le professeur résista, continua à enseigner et publia même Εισηγητής της Γαλλικής γλώσσης (Introduction à la langue française), le premier

Le KONA N vous protège sur la piste comme dans vos déplacements quotidiens avec l’assistance à l’évitement de collision frontale avec détection des piétons 1 , l’assistance au