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Remarques sur les modèles de restauration dans l'aluminium

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(1)

HAL Id: jpa-00206675

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Submitted on 1 Jan 1968

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Remarques sur les modèles de restauration dans l’aluminium

D. Schumacher

To cite this version:

D. Schumacher. Remarques sur les modèles de restauration dans l’aluminium. Journal de Physique,

1968, 29 (5-6), pp.480-482. �10.1051/jphys:01968002905-6048000�. �jpa-00206675�

(2)

480.

REMARQUES

SUR LES

MODÈLES

DE

RESTAURATION

DANS

L’ALUMINIUM

Par D.

SCHUMACHER,

Département de Métallurgie, Centre d’Études Nucléaires, Grenoble.

(Reçu

le 22 dicembye

1967.)

Résumé. - On fait le

point

de la situation actuelle de la discussion des modèles de restau- ration dans l’aluminium. En

particulier,

on discute la nature des défauts

ponctuels qui migrent

dans le stade III.

Abstract. 2014 The various

arguments presented

in the discussion of recovery models for aluminium are

critically

reviewed. Particular attention is focused on the nature of the

point

defects which are mobile in

stage

III.

LE JOURNAL DE PHYSIQUE Tomu 29, MAI-JUIN 1968,

Bien que la restauration de l’aluminium

apres irradiation,

deformation et

trempe

soit relativement

simple

par

rapport

a celle des autres

m6taux,

deux

modeles

s’opposent

encore. L’un

explique

le stade III

dans l’aluminium irradie

(ou écroui)

par la

migration

des defauts lacunaires

(impliquant

que les interstitiels

migrent

dans le stade I

[1-4]).

L’autre

sugg6re

pour

ce stade F annihilation des lacunes immobiles par la

migration

des interstitiels

[5-6]. Quelques

nouvelles

6tudes dans la litt6rature

proposent qu’a

la fois les interstitiels et les lacunes deviennent mobiles dans le stade III

[7-10].

Dans cette note, nous r6sumons et

discutons les divers

arguments.

D’après

les

experiences

de

trempe,

il

n’y

a aucun

doute que les monolacunes sont mobiles a des

temp6-

ratures

correspondant

a la deuxieme

partie

du

stade III

[11].

La

migration

des d6fauts lacunaires

est aussi

sugg6r6e

par les observations des interactions

entre lacunes et

impuret6s

dans les

alliages

dilu6s

[1, 10-13].

Il est vrai que la somme des

energies

de

migration (EM)

et de formation

(Ei )

d’une mono-

lacune

(voir

tableau

I)

est inferieure a

1’energie

d’autodiffusion

Q,(1,48

eV

[14])

de

quelques

centi6mes

d’eV,

mais ceci n’est pas

inqui6tant :

au

voisinage

du

point

de

fusion,

les bilacunes

peuvent

fournir une contribution a

l’autodiffusion,

contribution

qui

aug- mente

apparemment Q

par rapport a la somme

E1F + EM1 [15].

Il n’est

cependant

pas

possible d’expliquer

tous les

ph6nom6nes

du stade III par une

migration

des

monolacunes seules. Les valeurs donnees pour

sont

en moyenne

plus grandes

que celles trouv6es dans le

TABLEAU I

RNERGIES

D’ACTIVATION DE LA RESTAURATION DANS L’ALUMINIUM

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphys:01968002905-6048000

(3)

481

stade III

apres

irradiation

(voir

tableau

I).

En outre,

les

experiences

d’irradiation

impliquent

des concen-

trations en d6fauts

ponctuels

tres

6lev6es,

de sorte que

la

gu6rison

s’ensuit par des interactions entre d6fauts.

Envisageons

un

systeme

de d6fauts lacunaires. Les

experiences

de

trempe

nous montrent

[11] qu’un

tel

systeme (monolacune, bilacune, etc.)

est

gu6ri g6n6-

ralement en deux stades.

L’6nergie

d’activation dans le

premier

stade

(qui

coincide en

partie

avec le stade

III) depend

de la concentration des d6fauts : a haute concentration

(de

l’ordre de

quelque 10-4)

et a basse

concentration

(environ

10-5 ou

moins),

on a mesure

1’energie

de

migration

des monolacunes. A des concen-

trations

intermédiaires,

on observe des

energies

d’acti-

vation tres faibles

(0,3-0,5 eV),

ce

qui

est un

pheno-

mene assez

general

dans

plusieurs

m6taux c.f.c.

[16].

La

gu6rison

dans ce

premier

stade est effectu6e par la

germination

et la croissance des amas de

lacunes, qui

ne

gu6rissent qu’au-dessus

du stade III.

Rappelons

en

outre que

1’energie

de

migration

des bilacunes

[17-18]

est inferieure aux valeurs trouv6es dans le stade III.

Par contre, dans le cas de

l’irradiation, l’énergie

d’activation est constante dans tout le stade

III, lorsque

la concentration en d6fauts varie de

plus

de

deux ordres de

grandeur [8].

La

gu6rison

ne conduit

pas a la formation d’amas. Les variations relatives de la

longueur

et du

parametre

sont

6gales

dans le

stade

III,

c’est-a-dire que les concentrations des d6fauts lacunaires et interstitiels demeurent

toujours 6gales

au cours de la restauration

[19].

De

plus,

le

rapport

de

1’energie

lib6r6e a la r6sistivit6 restaur6e

ne varie pas du stade I au stade III

[20].

Ces faits

expérimentaux suggerent

fortement que, dans le stade III de l’aluminium

irradi6,

il ne

s’agit

pas seu-

lement d’une annihilation des

lacunes,

mais aussi des d6fauts interstitiels.

Si

plusieurs

d6fauts lacunaires

(monolacunes,

bi-

lacunes, etc.) migraient

vers des amas immobiles

d’interstitiels dans le stade III

[1],

on

s’attendrait,

comme pour un tel

systeme

sans interstitiels

(voir ci-dessus),

a ce que

1’energie

d’activation

d6pende

de

la concentration des d6fauts. Ceci n’est pas trouve dans les

experiences.

De

plus,

nous

signalons qu’un

processus de restauration

impliquant

des amas d’in-

terstitiels serait

inapplicable

dans le cas d’irradiation

aux

electrons,

ou la formation des amas est peu pro-

bable,

mais ou les

ph6nom6nes

de restauration dans le stade III sont tres

proches

de ceux que l’on observe dans l’aluminium irradi6 aux neutrons

(1).

En

fait,

ces ressemblances

suggerent

que le mono-interstitiel soit

en

jeu

dans le stade III.

Rappelons

d’autres arguments en faveur d’une par-

(1)

Nous remarquons que,

d’apres

de nouvelles

exp6-

riences d’irradiation aux electrons

[21-22], l’énergie

d’acti-

vation dans le stade III est

6gale

a celle trouvee dans le

cas de l’irradiation aux neutrons, ce

qui

discredite 1’an- cienne valeur de Sosin et Rachal

[6] (voir

tableau

I).

ticipation

d’interstitiels dans le stade III. Budin et Lucasson

[21]

ont montre

qu’une

irradiation aux

electrons modifie la restauration d’un 6chantillon

trempe

d’une

faqon

telle que l’on ne peut pas

1’expli-

quer seulement par des d6fauts lacunaires. Un

pheno-

mene

plus

evident est la restauration du durcissement de l’aluminium irradi6 aux neutrons et aux elec-

trons. Le durcissement par irradiation est associe a

un d6faut de

sym6trie quadratique,

tel que l’interstitiel dissoci6

[23],

et se

gu6rit completement

dans le

stade III

[23-25].

Donc ces mesures

m6caniques

n’in-

diquent

pas non

plus

1’existence d’amas

importants

d’interstitiels ou de lacunes dans le stade III. En

fait,

Frank

[26]

a montre que la restauration du dur- cissement dans ce stade

peut s’expliquer

d’une

façon quantitative

par une interaction

élastique

a

petite

distance entre des interstitiels dissoci6s et des dislo- cations

qui

passent

pres

des interstitiels. 11 est d’ailleurs bien connu que monolacunes et bilacunes ne

produi-

sent

qu’un

durcissement

beaucoup plus

faible que celui observe dans le cas de l’irradiation. La

migration

de deux types de d6fauts dans le stade III a ete mise

en evidence aussi par

Hutchison, qui

a 6tudi6

1’ancrage

et le

d6sancrage

des dislocations dans l’aluminium irradie par I’att6nuation d’ultrasons

[7].

Nous insistons sur le fait que, dans le stade III des

alliages dilu6s,

les interactions entre les d6fauts cr66s par l’irradiation et les atomes

etrangers suggerent

seulement la

presence

de d6fauts de

type lacunaire,

ce

qui

est

deja prouve

par des

experiences

de

trempe

dans de l’aluminium pur. Cela n’exclut pas la

presence

de d6fauts de type interstitiel dans ce stade

[12].

Horak

[13],

par

exemple,

a

compare

la

position

du

stade III en

temperature

pour

l’alliage Al-5,

27

%

Zn

trempe depuis

282 °C et pour le meme

alliage trempe depuis

282 °C et irradi6 ensuite a

4,5

OK par des

neutrons

(2

X 1017

nlcm2) .

Le stade III est observe a

280 oK dans le

premier

cas et a 260 oR dans le

deuxieme cas. Si l’on

explique

ce

deplacement

par I’acc6l6ration de la

precipitation

du zinc due a

1’aug-

mentation de la concentration de

lacunes,

il faut

supposer que, dans

l’alliage trempe

et

irradi6,

cette

concentration est 10 fois

sup6rieure

a celle de

l’alliage uniquement trempe.

En

fait,

elle est

sup6rieure

de deux

ordres de

grandeur.

Horak n’a

cependant

pas

envisage

la

possibilite

d’un

deplacement

dont la cause serait

une difference des processus intervenant

pendant

la

restauration

apres trempe

d’une part et

apres

irradia-

tion

plus

trempe d’autre

part,

comme cela a ete fait dans les

experiences

de Budin et Lucasson

[21].

La discussion

presente

montre que, dans le

pass6,

le

fait d’admettre la

migration

d’un seul

type

de d6faut dans un certain intervalle de

temperature

a rendu

difficile

l’interpr6tation

de la restauration de 1’alu- minium. Nous venons de voir que ceci n’est

pas justifie

a

priori. Quant

a la nomenclature des stades de

recuit,

il

faut,

dans le cas de

l’aluminium, parler

d’une

superposition partielle

du stade III et du stade IV.

Ces stades sont normalement bien

s6par6s

dans les

(4)

482

m6taux c.f.c.

(sauf

dans l’or et

justement

dans 1’alu-

minium)

et 6taient

indépendamment

attribués a la

migration

des interstitiels et des lacunes. De cette

mani6re,

on peut donc maintenir l’uniformit6 des

ph6nom6nes

de restauration et leur

interpretation

dans

les m6taux c.f.c.

Jusqu’ici,

nous avons discute essentiellement les

ph6nom6nes

de la restauration dans le stade III.

Cette discussion a montre

qu’une interpretation

de

ce stade par des d6fauts de

type

lacunaire seul semble

assez

difficile,

ce

qui sugg6re

l’intervention des inter- stitiels

egalement

au stade III. Ceci ne rend pas

plus

difficile

l’interpr6tation

des stades I et

II,

si l’on

admet

qu’un

deuxieme

type d’interstitiel,

de

g6o-

métrie differente

(comme

le

crowdion),

est mobile

dans le stade

1. [6, 9, 27, 28, 29].

En ce

qui

concerne

l’interpr6tation

du stade

III,

il est de moindre

impor-

tance de savoir si les interstitiels

migrant

dans le

stade III sont cr66s directement

pendant

l’irradia-

tion

[6, 27]

ou s’ils sont cr66s indirectement par

une conversion

(transformation)

des crowdions au

cours de leur

migration

dans le stade

I E [9, 28].

Quant

a la restauration

apres déformation

à basse

temperature, plusieurs

auteurs

[2, 3]

ont mis en 6vi-

dence une

cin6tique

de la forme c = co exp

(- AtO,-5)

dans le stade

III,

ce

qui correspond

aux resultats de

Wintenberger [30]

sur des 6chantillons

tremp6s

et

faiblement déformés. Cette

cin6tique,

bien diff6rente de celle trouv6e dans le cas de

l’irradiation,

a souvent

ete consid6r6e comme excluant une contribution des interstitiels au stade

III,

sans

justification positive.

En apparence,

apres

forte

deformation,

1’action des

dislocations en tant que

puits

modifie ou bien masque la

cin6tique

du deuxi6me

ordre,

ordre attendu pour

une

gu6rison

mutuelle des interstitiels et des lacunes.

De

plus,

on

peut

s’attendre a des deviations au

deuxieme ordre du fait que, par

deformation,

une

grande partie

des d6fauts

ponctuels

sont cr66s en

chaines,

chaines

qui

semblent se

r6arranger

ou se

dissocier localement au-dessous du stade III

[31].

Ces

rearrangements pourraient

continuer a se

produire

dans le stade III.

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