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Partie 2 Optique géométrique

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(1)

Partie 2

Optique géométrique

Sidi M. Khef

Département de Physique EPST Tlemcen

13 janvier 2013

(2)

Chapitre 1 : Introduction

Dénition

L'optique est la science de la lumière.

1. Jalons historiques

I 1er et 2esiècle ap. J.C. : L'étude de la lumière a commencé avec les Grecs de l'école d'Alexandrie en Egypte : Euclide, Héron l'Ancien, Ptolémée.

I Euclide est le 1er à utiliser le termeoptiquedans son livre sur la perception visuelle.

I 11esiècle : Alhazen (

Õ æJ

êË@ áK.@

) dans

Q £A JÜÏ@ H.A

a établi les fondements de l'optique moderne.

I 11esiècle : Al-Biruni (

ú G

ð QJ.Ë

@

) a découvert que la vitesse de la lumière est supérieure à celle du son.

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Chapitre 1 : Introduction

Dénition

L'optique est la science de la lumière.

1. Jalons historiques

I 1er et 2esiècle ap. J.C. : L'étude de la lumière a commencé avec les Grecs de l'école d'Alexandrie en Egypte : Euclide, Héron l'Ancien, Ptolémée.

I Euclide est le 1er à utiliser le termeoptiquedans son livre sur la perception visuelle.

I 11esiècle : Alhazen (

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) dans

Q £A JÜÏ@ H.A

a établi les fondements de l'optique moderne.

I 11esiècle : Al-Biruni (

ú G

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@

) a découvert que la vitesse de la lumière est supérieure à celle du son.

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Chapitre 1 : Introduction

Dénition

L'optique est la science de la lumière.

1. Jalons historiques

I 1er et 2esiècle ap. J.C. : L'étude de la lumière a commencé avec les Grecs de l'école d'Alexandrie en Egypte : Euclide, Héron l'Ancien, Ptolémée.

I Euclide est le 1er à utiliser le termeoptiquedans son livre sur la perception visuelle.

I 11esiècle : Alhazen (

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) dans

Q £A JÜÏ@ H.A

a établi les fondements de l'optique moderne.

I 11esiècle : Al-Biruni (

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) a découvert que la vitesse de la lumière est supérieure à celle du son.

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Chapitre 1 : Introduction

Dénition

L'optique est la science de la lumière.

1. Jalons historiques

I 1er et 2esiècle ap. J.C. : L'étude de la lumière a commencé avec les Grecs de l'école d'Alexandrie en Egypte : Euclide, Héron l'Ancien, Ptolémée.

I Euclide est le 1er à utiliser le termeoptiquedans son livre sur la perception visuelle.

I 11esiècle : Alhazen (

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Q £A JÜÏ@ H.A

a établi les fondements de l'optique moderne.

I 11esiècle : Al-Biruni (

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) a découvert que la vitesse de la lumière est supérieure à celle du son.

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Chapitre 1 : Introduction

Dénition

L'optique est la science de la lumière.

1. Jalons historiques

I 1er et 2esiècle ap. J.C. : L'étude de la lumière a commencé avec les Grecs de l'école d'Alexandrie en Egypte : Euclide, Héron l'Ancien, Ptolémée.

I Euclide est le 1er à utiliser le termeoptiquedans son livre sur la perception visuelle.

I 11esiècle : Alhazen (

Õ æJ

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) dans

Q £A JÜÏ@ H.A

a établi les fondements de l'optique moderne.

I 11esiècle : Al-Biruni (

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) a découvert que la vitesse de la lumière est supérieure à celle du son.

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Chapitre 1 : Introduction

Dénition

L'optique est la science de la lumière.

1. Jalons historiques

I 1er et 2esiècle ap. J.C. : L'étude de la lumière a commencé avec les Grecs de l'école d'Alexandrie en Egypte : Euclide, Héron l'Ancien, Ptolémée.

I Euclide est le 1er à utiliser le termeoptiquedans son livre sur la perception visuelle.

I 11esiècle : Alhazen (

Õ æJ

êË@ áK.@

) dans

Q £A JÜÏ@ H.A

a établi les fondements de l'optique moderne.

I 11esiècle : Al-Biruni (

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) a découvert que la vitesse de la lumière est supérieure à celle du son.

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I 17esiècle : Snell et Descartes ont découvert la loi de la réfraction.

I 1637 : Descartes a défendu la nature corpusculaire de la lumière (La Dioptrique).

I 1678 : Huygens a opté pour la nature ondulatoire de la lumière (Traité de la Lumière).

I 1704 : Newton a défendu la nature corpusculaire et mécaniste de la lumière(Traité d'Optique).

I 1802 : Young a réalisé la 1re expérience d'interférence.

I 1870 : Maxwell a établi que les ondes lumineuses sont des ondes électromagnétiques(Traité d'Électromagnétisme).

I 1905 : Einstein a postulé que la vitesse de la lumière dans le vide est une limite supérieure à toutes les vitesses, l'hypothèse du photon et les lois d'absorbtion et d'émission : avènement dela théorie quantique.

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I 17esiècle : Snell et Descartes ont découvert la loi de la réfraction.

I 1637 : Descartes a défendu la nature corpusculaire de la lumière (La Dioptrique).

I 1678 : Huygens a opté pour la nature ondulatoire de la lumière (Traité de la Lumière).

I 1704 : Newton a défendu la nature corpusculaire et mécaniste de la lumière(Traité d'Optique).

I 1802 : Young a réalisé la 1re expérience d'interférence.

I 1870 : Maxwell a établi que les ondes lumineuses sont des ondes électromagnétiques(Traité d'Électromagnétisme).

I 1905 : Einstein a postulé que la vitesse de la lumière dans le vide est une limite supérieure à toutes les vitesses, l'hypothèse du photon et les lois d'absorbtion et d'émission : avènement dela théorie quantique.

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I 17esiècle : Snell et Descartes ont découvert la loi de la réfraction.

I 1637 : Descartes a défendu la nature corpusculaire de la lumière (La Dioptrique).

I 1678 : Huygens a opté pour la nature ondulatoire de la lumière (Traité de la Lumière).

I 1704 : Newton a défendu la nature corpusculaire et mécaniste de la lumière(Traité d'Optique).

I 1802 : Young a réalisé la 1re expérience d'interférence.

I 1870 : Maxwell a établi que les ondes lumineuses sont des ondes électromagnétiques(Traité d'Électromagnétisme).

I 1905 : Einstein a postulé que la vitesse de la lumière dans le vide est une limite supérieure à toutes les vitesses, l'hypothèse du photon et les lois d'absorbtion et d'émission : avènement dela théorie quantique.

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I 17esiècle : Snell et Descartes ont découvert la loi de la réfraction.

I 1637 : Descartes a défendu la nature corpusculaire de la lumière (La Dioptrique).

I 1678 : Huygens a opté pour la nature ondulatoire de la lumière (Traité de la Lumière).

I 1704 : Newton a défendu la nature corpusculaire et mécaniste de la lumière(Traité d'Optique).

I 1802 : Young a réalisé la 1re expérience d'interférence.

I 1870 : Maxwell a établi que les ondes lumineuses sont des ondes électromagnétiques(Traité d'Électromagnétisme).

I 1905 : Einstein a postulé que la vitesse de la lumière dans le vide est une limite supérieure à toutes les vitesses, l'hypothèse du photon et les lois d'absorbtion et d'émission : avènement dela théorie quantique.

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I 17esiècle : Snell et Descartes ont découvert la loi de la réfraction.

I 1637 : Descartes a défendu la nature corpusculaire de la lumière (La Dioptrique).

I 1678 : Huygens a opté pour la nature ondulatoire de la lumière (Traité de la Lumière).

I 1704 : Newton a défendu la nature corpusculaire et mécaniste de la lumière(Traité d'Optique).

I 1802 : Young a réalisé la 1re expérience d'interférence.

I 1870 : Maxwell a établi que les ondes lumineuses sont des ondes électromagnétiques(Traité d'Électromagnétisme).

I 1905 : Einstein a postulé que la vitesse de la lumière dans le vide est une limite supérieure à toutes les vitesses, l'hypothèse du photon et les lois d'absorbtion et d'émission : avènement dela théorie quantique.

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I 17esiècle : Snell et Descartes ont découvert la loi de la réfraction.

I 1637 : Descartes a défendu la nature corpusculaire de la lumière (La Dioptrique).

I 1678 : Huygens a opté pour la nature ondulatoire de la lumière (Traité de la Lumière).

I 1704 : Newton a défendu la nature corpusculaire et mécaniste de la lumière(Traité d'Optique).

I 1802 : Young a réalisé la 1re expérience d'interférence.

I 1870 : Maxwell a établi que les ondes lumineuses sont des ondes électromagnétiques(Traité d'Électromagnétisme).

I 1905 : Einstein a postulé que la vitesse de la lumière dans le vide est une limite supérieure à toutes les vitesses, l'hypothèse du photon et les lois d'absorbtion et d'émission : avènement dela théorie quantique.

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I 17esiècle : Snell et Descartes ont découvert la loi de la réfraction.

I 1637 : Descartes a défendu la nature corpusculaire de la lumière (La Dioptrique).

I 1678 : Huygens a opté pour la nature ondulatoire de la lumière (Traité de la Lumière).

I 1704 : Newton a défendu la nature corpusculaire et mécaniste de la lumière(Traité d'Optique).

I 1802 : Young a réalisé la 1re expérience d'interférence.

I 1870 : Maxwell a établi que les ondes lumineuses sont des ondes électromagnétiques(Traité d'Électromagnétisme).

I 1905 : Einstein a postulé que la vitesse de la lumière dans le vide est une limite supérieure à toutes les vitesses, l'hypothèse du photon et les lois d'absorbtion et d'émission : avènement dela théorie quantique.

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2. Premières applications

I 1600 : Hans et Jansen ont inventé le 1ermicroscope.

I 1609 : Gallilée a inventé la 1relunette à réfraction.

I 1611 : Kepler a également construit une lunette à réfraction.

I 1676 : Römer a mis en évidence la vitesse limite de la lumière.

I 1804 : Wollaston a utilisé des lentilles pour corriger la vue.

I 1960 : Maiman a mis en place le 1erLASER.

I 1963 : Martins a inventé le premier endoscope à base de bre optique.

I 2012 : Capasso et al. ont fabriqué la 1relentille ultra-plate dépourvue de toute distorsion.

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2. Premières applications

I 1600 : Hans et Jansen ont inventé le 1er microscope.

I 1609 : Gallilée a inventé la 1relunette à réfraction.

I 1611 : Kepler a également construit une lunette à réfraction.

I 1676 : Römer a mis en évidence la vitesse limite de la lumière.

I 1804 : Wollaston a utilisé des lentilles pour corriger la vue.

I 1960 : Maiman a mis en place le 1erLASER.

I 1963 : Martins a inventé le premier endoscope à base de bre optique.

I 2012 : Capasso et al. ont fabriqué la 1relentille ultra-plate dépourvue de toute distorsion.

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2. Premières applications

I 1600 : Hans et Jansen ont inventé le 1er microscope.

I 1609 : Gallilée a inventé la 1relunette à réfraction.

I 1611 : Kepler a également construit une lunette à réfraction.

I 1676 : Römer a mis en évidence la vitesse limite de la lumière.

I 1804 : Wollaston a utilisé des lentilles pour corriger la vue.

I 1960 : Maiman a mis en place le 1erLASER.

I 1963 : Martins a inventé le premier endoscope à base de bre optique.

I 2012 : Capasso et al. ont fabriqué la 1relentille ultra-plate dépourvue de toute distorsion.

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2. Premières applications

I 1600 : Hans et Jansen ont inventé le 1er microscope.

I 1609 : Gallilée a inventé la 1relunette à réfraction.

I 1611 : Kepler a également construit une lunette à réfraction.

I 1676 : Römer a mis en évidence la vitesse limite de la lumière.

I 1804 : Wollaston a utilisé des lentilles pour corriger la vue.

I 1960 : Maiman a mis en place le 1erLASER.

I 1963 : Martins a inventé le premier endoscope à base de bre optique.

I 2012 : Capasso et al. ont fabriqué la 1relentille ultra-plate dépourvue de toute distorsion.

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2. Premières applications

I 1600 : Hans et Jansen ont inventé le 1er microscope.

I 1609 : Gallilée a inventé la 1relunette à réfraction.

I 1611 : Kepler a également construit une lunette à réfraction.

I 1676 : Römer a mis en évidence la vitesse limite de la lumière.

I 1804 : Wollaston a utilisé des lentilles pour corriger la vue.

I 1960 : Maiman a mis en place le 1erLASER.

I 1963 : Martins a inventé le premier endoscope à base de bre optique.

I 2012 : Capasso et al. ont fabriqué la 1relentille ultra-plate dépourvue de toute distorsion.

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2. Premières applications

I 1600 : Hans et Jansen ont inventé le 1er microscope.

I 1609 : Gallilée a inventé la 1relunette à réfraction.

I 1611 : Kepler a également construit une lunette à réfraction.

I 1676 : Römer a mis en évidence la vitesse limite de la lumière.

I 1804 : Wollaston a utilisé des lentilles pour corriger la vue.

I 1960 : Maiman a mis en place le 1erLASER.

I 1963 : Martins a inventé le premier endoscope à base de bre optique.

I 2012 : Capasso et al. ont fabriqué la 1relentille ultra-plate dépourvue de toute distorsion.

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2. Premières applications

I 1600 : Hans et Jansen ont inventé le 1er microscope.

I 1609 : Gallilée a inventé la 1relunette à réfraction.

I 1611 : Kepler a également construit une lunette à réfraction.

I 1676 : Römer a mis en évidence la vitesse limite de la lumière.

I 1804 : Wollaston a utilisé des lentilles pour corriger la vue.

I 1960 : Maiman a mis en place le 1erLASER.

I 1963 : Martins a inventé le premier endoscope à base de bre optique.

I 2012 : Capasso et al. ont fabriqué la 1relentille ultra-plate dépourvue de toute distorsion.

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2. Premières applications

I 1600 : Hans et Jansen ont inventé le 1er microscope.

I 1609 : Gallilée a inventé la 1relunette à réfraction.

I 1611 : Kepler a également construit une lunette à réfraction.

I 1676 : Römer a mis en évidence la vitesse limite de la lumière.

I 1804 : Wollaston a utilisé des lentilles pour corriger la vue.

I 1960 : Maiman a mis en place le 1erLASER.

I 1963 : Martins a inventé le premier endoscope à base de bre optique.

I 2012 : Capasso et al. ont fabriqué la 1relentille ultra-plate dépourvue de toute distorsion.

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2. Premières applications

I 1600 : Hans et Jansen ont inventé le 1er microscope.

I 1609 : Gallilée a inventé la 1relunette à réfraction.

I 1611 : Kepler a également construit une lunette à réfraction.

I 1676 : Römer a mis en évidence la vitesse limite de la lumière.

I 1804 : Wollaston a utilisé des lentilles pour corriger la vue.

I 1960 : Maiman a mis en place le 1erLASER.

I 1963 : Martins a inventé le premier endoscope à base de bre optique.

I 2012 : Capasso et al. ont fabriqué la 1relentille ultra-plate dépourvue de toute distorsion.

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3. Branches de l'optique

I L'optiquegéométrique.

I L'optiqueondulatoire (physique).

I L'optiquequantique.

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3. Branches de l'optique

I L'optiquegéométrique.

I L'optiqueondulatoire (physique).

I L'optiquequantique.

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3. Branches de l'optique

I L'optiquegéométrique.

I L'optiqueondulatoire (physique).

I L'optiquequantique.

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3. Branches de l'optique

I L'optiquegéométrique.

I L'optiqueondulatoire (physique).

I L'optiquequantique.

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3.a. L'Optique géométrique

I Elle fait l'objet de notre cours.

I Elle a été développée entre le 11eet le 18esiècle.

I Elle étudie la propagation de la lumière et la formation des images.

I Elle utilise la notion derayon lumineux, les lois de lapropagation réctiligne, deréexionet deréfraction.

I Son champ d'application est très vaste : L'observation des corps très petits (microscopes), très grands (télescopes), très rapides (caméras ultra-rapides), médecine (endoscopes), télécommunicatons (bres optiques), topographie, . . .

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3.a. L'Optique géométrique

I Elle fait l'objet de notre cours.

I Elle a été développée entre le 11eet le 18esiècle.

I Elle étudie la propagation de la lumière et la formation des images.

I Elle utilise la notion derayon lumineux, les lois de lapropagation réctiligne, deréexionet deréfraction.

I Son champ d'application est très vaste : L'observation des corps très petits (microscopes), très grands (télescopes), très rapides (caméras ultra-rapides), médecine (endoscopes), télécommunicatons (bres optiques), topographie, . . .

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3.a. L'Optique géométrique

I Elle fait l'objet de notre cours.

I Elle a été développée entre le 11eet le 18esiècle.

I Elle étudie la propagation de la lumière et la formation des images.

I Elle utilise la notion derayon lumineux, les lois de lapropagation réctiligne, deréexionet deréfraction.

I Son champ d'application est très vaste : L'observation des corps très petits (microscopes), très grands (télescopes), très rapides (caméras ultra-rapides), médecine (endoscopes), télécommunicatons (bres optiques), topographie, . . .

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3.a. L'Optique géométrique

I Elle fait l'objet de notre cours.

I Elle a été développée entre le 11eet le 18esiècle.

I Elle étudie la propagation de la lumière et la formation des images.

I Elle utilise la notion derayon lumineux, les lois de lapropagation réctiligne, deréexionet deréfraction.

I Son champ d'application est très vaste : L'observation des corps très petits (microscopes), très grands (télescopes), très rapides (caméras ultra-rapides), médecine (endoscopes), télécommunicatons (bres optiques), topographie, . . .

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3.a. L'Optique géométrique

I Elle fait l'objet de notre cours.

I Elle a été développée entre le 11eet le 18esiècle.

I Elle étudie la propagation de la lumière et la formation des images.

I Elle utilise la notion derayon lumineux, les lois de lapropagation réctiligne, deréexionet deréfraction.

I Son champ d'application est très vaste : L'observation des corps très petits (microscopes), très grands (télescopes), très rapides (caméras ultra-rapides), médecine (endoscopes), télécommunicatons (bres optiques), topographie, . . .

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3.b. L'Optique ondulatoire

I Elle a été développée au cours du 19esiècle.

I Elle étudie la propagation de la lumière comme uneonde.

I Elle utilise les notions d'interférence, dediraction, de diusion, . . .

I Elle fait l'objet du modulePhysique 4(2eannée).

I Les mesures de très haute précision (doppler), spectroscopie, analyse chimique, astrophysique, métallurgie, . . .

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3.b. L'Optique ondulatoire

I Elle a été développée au cours du 19esiècle.

I Elle étudie la propagation de la lumière comme uneonde.

I Elle utilise les notions d'interférence, dediraction, de diusion, . . .

I Elle fait l'objet du modulePhysique 4(2eannée).

I Les mesures de très haute précision (doppler), spectroscopie, analyse chimique, astrophysique, métallurgie, . . .

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3.b. L'Optique ondulatoire

I Elle a été développée au cours du 19esiècle.

I Elle étudie la propagation de la lumière comme uneonde.

I Elle utilise les notions d'interférence, dediraction, de diusion, . . .

I Elle fait l'objet du modulePhysique 4(2eannée).

I Les mesures de très haute précision (doppler), spectroscopie, analyse chimique, astrophysique, métallurgie, . . .

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3.b. L'Optique ondulatoire

I Elle a été développée au cours du 19esiècle.

I Elle étudie la propagation de la lumière comme uneonde.

I Elle utilise les notions d'interférence, dediraction, de diusion, . . .

I Elle fait l'objet du modulePhysique 4(2eannée).

I Les mesures de très haute précision (doppler), spectroscopie, analyse chimique, astrophysique, métallurgie, . . .

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3.b. L'Optique ondulatoire

I Elle a été développée au cours du 19esiècle.

I Elle étudie la propagation de la lumière comme uneonde.

I Elle utilise les notions d'interférence, dediraction, de diusion, . . .

I Elle fait l'objet du modulePhysique 4(2eannée).

I Les mesures de très haute précision (doppler), spectroscopie, analyse chimique, astrophysique, métallurgie, . . .

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3.c. L'Optique quantique

I Elle a été développée au cours du 20esiècle.

I Elle étudie l'interaction du rayonnement avec la matière.

I Développement des MASER, LASER, l'holographie, les images 3D, . . .

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3.c. L'Optique quantique

I Elle a été développée au cours du 20esiècle.

I Elle étudie l'interaction du rayonnement avec la matière.

I Développement des MASER, LASER, l'holographie, les images 3D, . . .

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3.c. L'Optique quantique

I Elle a été développée au cours du 20esiècle.

I Elle étudie l'interaction du rayonnement avec la matière.

I Développement des MASER, LASER, l'holographie, les images 3D, . . .

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4. Principes de base de l'optique géométrique

4.1 Nature de la lumière

I Depuis les travaux de Maxwell, on sait que la lumière est uneonde électromagnétique.

I Einstein a démontré, également, que la lumière est un ensemble de particules sans masses appelésphotons.

I Ainsi,la lumière est une onde-particule.

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4. Principes de base de l'optique géométrique

4.1 Nature de la lumière

I Depuis les travaux de Maxwell, on sait que la lumière est uneonde électromagnétique.

I Einstein a démontré, également, que la lumière est un ensemble de particules sans masses appelésphotons.

I Ainsi,la lumière est une onde-particule.

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4. Principes de base de l'optique géométrique

4.1 Nature de la lumière

I Depuis les travaux de Maxwell, on sait que la lumière est uneonde électromagnétique.

I Einstein a démontré, également, que la lumière est un ensemble de particules sans masses appelésphotons.

I Ainsi,la lumière est une onde-particule.

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4. Principes de base de l'optique géométrique

4.1 Nature de la lumière

I Depuis les travaux de Maxwell, on sait que la lumière est uneonde électromagnétique.

I Einstein a démontré, également, que la lumière est un ensemble de particules sans masses appelésphotons.

I Ainsi,la lumière est une onde-particule.

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4. Principes de base de l'optique géométrique

4.1 Nature de la lumière

I Depuis les travaux de Maxwell, on sait que la lumière est uneonde électromagnétique.

I Einstein a démontré, également, que la lumière est un ensemble de particules sans masses appelésphotons.

I Ainsi,la lumière est une onde-particule.

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4.2 Propriétés de la lumière

I Une lumièremonochromatique(une seule couleur) se caractérise par trois nombres :

I La fréquence( Hz). Elle représente la fréquence de variation du champ électrique,

I La périodeT ( s), avec T = 1,

I La longueur d'onde( m), avec = c, oùcest la célérité de la lumière dans le vide.

I La lumière visible comprend les longueurs d'ondes allant de360 nm (violet) et830 nm (rouge).

I Cette gamme de longueurs d'ondes n'est qu'une inme partie du spectre électromagnétique.

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4.2 Propriétés de la lumière

I Une lumièremonochromatique(une seule couleur) se caractérise par trois nombres :

I La fréquence( Hz). Elle représente la fréquence de variation du champ électrique,

I La périodeT ( s), avec T = 1,

I La longueur d'onde( m), avec = c, oùcest la célérité de la lumière dans le vide.

I La lumière visible comprend les longueurs d'ondes allant de360 nm (violet) et830 nm (rouge).

I Cette gamme de longueurs d'ondes n'est qu'une inme partie du spectre électromagnétique.

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4.2 Propriétés de la lumière

I Une lumièremonochromatique(une seule couleur) se caractérise par trois nombres :

I La fréquence( Hz). Elle représente la fréquence de variation du champ électrique,

I La périodeT ( s), avec T = 1,

I La longueur d'onde( m), avec = c, oùcest la célérité de la lumière dans le vide.

I La lumière visible comprend les longueurs d'ondes allant de360 nm (violet) et830 nm (rouge).

I Cette gamme de longueurs d'ondes n'est qu'une inme partie du spectre électromagnétique.

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4.2 Propriétés de la lumière

I Une lumièremonochromatique(une seule couleur) se caractérise par trois nombres :

I La fréquence( Hz). Elle représente la fréquence de variation du champ électrique,

I La périodeT ( s), avec T = 1,

I La longueur d'onde( m), avec = c, oùcest la célérité de la lumière dans le vide.

I La lumière visible comprend les longueurs d'ondes allant de360 nm (violet) et830 nm (rouge).

I Cette gamme de longueurs d'ondes n'est qu'une inme partie du spectre électromagnétique.

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4.2 Propriétés de la lumière

I Une lumièremonochromatique(une seule couleur) se caractérise par trois nombres :

I La fréquence( Hz). Elle représente la fréquence de variation du champ électrique,

I La périodeT ( s), avec T = 1,

I La longueur d'onde( m), avec = c, oùcest la célérité de la lumière dans le vide.

I La lumière visible comprend les longueurs d'ondes allant de360 nm (violet) et830 nm (rouge).

I Cette gamme de longueurs d'ondes n'est qu'une inme partie du spectre électromagnétique.

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4.2 Propriétés de la lumière

I Une lumièremonochromatique(une seule couleur) se caractérise par trois nombres :

I La fréquence( Hz). Elle représente la fréquence de variation du champ électrique,

I La périodeT ( s), avec T = 1,

I La longueur d'onde( m), avec = c, oùcest la célérité de la lumière dans le vide.

I La lumière visible comprend les longueurs d'ondes allant de360 nm (violet) et830 nm (rouge).

I Cette gamme de longueurs d'ondes n'est qu'une inme partie du spectre électromagnétique.

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4.2 Propriétés de la lumière

I Une lumièremonochromatique(une seule couleur) se caractérise par trois nombres :

I La fréquence( Hz). Elle représente la fréquence de variation du champ électrique,

I La périodeT ( s), avec T = 1,

I La longueur d'onde( m), avec = c, oùcest la célérité de la lumière dans le vide.

I La lumière visible comprend les longueurs d'ondes allant de360 nm (violet) et830 nm (rouge).

I Cette gamme de longueurs d'ondes n'est qu'une inme partie du spectre électromagnétique.

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Figure:Spectre de la lumière visible

Figure:Spectre électromagnétique

Attention !

On caractérise une onde lumineuse (une couleur) par sa fréquence ou par sa longueur d'onde dans le vide.

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Figure:Spectre de la lumière visible

Figure:Spectre électromagnétique

Attention !

On caractérise une onde lumineuse (une couleur) par sa fréquence ou par sa longueur d'onde dans le vide.

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Figure:Spectre de la lumière visible

Figure:Spectre électromagnétique Attention !

On caractérise une onde lumineuse (une couleur) par sa fréquence ou par sa longueur d'onde dans le vide.

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4.2 Propriétés de la lumière (suite)

I Une onde électromagnétique, et donc la lumière, se propagedans le vide à la vitessec = 299:792:458 m s 1.

I Lamesure expérimentale la plus connue de c est celle réalisée par H. Fizeau en 1849.

I Dans tout autre milieux, la lumière se propage moins vite que dans le vide (v < c).

I On dénit, alors,l'indice de réfraction(indice optique) du milieu par n = c

v 1.

I Quelques indice de réfraction :

nvide= 1, neau= 1:3, nverre= 1:5, ndiamant= 2:42.

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4.2 Propriétés de la lumière (suite)

I Une onde électromagnétique, et donc la lumière, se propagedans le vide à la vitessec = 299:792:458 m s 1.

I Lamesure expérimentale la plus connue de c est celle réalisée par H.

Fizeau en 1849.

I Dans tout autre milieux, la lumière se propage moins vite que dans le vide (v < c).

I On dénit, alors,l'indice de réfraction(indice optique) du milieu par n = c

v 1.

I Quelques indice de réfraction :

nvide= 1, neau= 1:3, nverre= 1:5, ndiamant= 2:42.

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4.2 Propriétés de la lumière (suite)

I Une onde électromagnétique, et donc la lumière, se propagedans le vide à la vitessec = 299:792:458 m s 1.

I Lamesure expérimentale la plus connue de c est celle réalisée par H.

Fizeau en 1849.

I Dans tout autre milieux, la lumière se propage moins vite que dans le vide (v < c).

I On dénit, alors,l'indice de réfraction(indice optique) du milieu par n = c

v 1.

I Quelques indice de réfraction :

nvide= 1, neau= 1:3, nverre= 1:5, ndiamant= 2:42.

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4.2 Propriétés de la lumière (suite)

I Une onde électromagnétique, et donc la lumière, se propagedans le vide à la vitessec = 299:792:458 m s 1.

I Lamesure expérimentale la plus connue de c est celle réalisée par H.

Fizeau en 1849.

I Dans tout autre milieux, la lumière se propage moins vite que dans le vide (v < c).

I On dénit, alors,l'indice de réfraction(indice optique) du milieu par n = c

v 1.

I Quelques indice de réfraction :

nvide= 1, neau= 1:3, nverre= 1:5, ndiamant= 2:42.

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4.2 Propriétés de la lumière (suite)

I Une onde électromagnétique, et donc la lumière, se propagedans le vide à la vitessec = 299:792:458 m s 1.

I Lamesure expérimentale la plus connue de c est celle réalisée par H.

Fizeau en 1849.

I Dans tout autre milieux, la lumière se propage moins vite que dans le vide (v < c).

I On dénit, alors,l'indice de réfraction(indice optique) du milieu par n = c

v 1.

I Quelques indice de réfraction :

nvide= 1, neau= 1:3, nverre= 1:5, ndiamant= 2:42.

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4.2 Propriétés de la lumière (suite)

I Attention :l'indice de réfraction dépend de la couleur de la lumière (fréquence). Les valeurs de n sont souvent données par rapport à une (seule) couleur de référence (jaune du doublet du sodium).

= v = v

c c =0

n:

I On peut dire que plus la fréquence est grande (plus la longueur d'onde est petite), plus la vitesse de propagation est faible, et donc, plus l'indice du milieu est grand.

I À noter que pour un milieu transparentinhomogène, l'indice n dépend du point de l'espace considéré (mirages).

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4.2 Propriétés de la lumière (suite)

I Attention :l'indice de réfraction dépend de la couleur de la lumière (fréquence). Les valeurs de n sont souvent données par rapport à une (seule) couleur de référence (jaune du doublet du sodium).

= v = v

c c =0

n:

I On peut dire que plus la fréquence est grande (plus la longueur d'onde est petite), plus la vitesse de propagation est faible, et donc, plus l'indice du milieu est grand.

I À noter que pour un milieu transparentinhomogène, l'indice n dépend du point de l'espace considéré (mirages).

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4.2 Propriétés de la lumière (suite)

I Attention :l'indice de réfraction dépend de la couleur de la lumière (fréquence). Les valeurs de n sont souvent données par rapport à une (seule) couleur de référence (jaune du doublet du sodium).

= v = v

c c =0

n:

I On peut dire que plus la fréquence est grande (plus la longueur d'onde est petite), plus la vitesse de propagation est faible, et donc, plus l'indice du milieu est grand.

I À noter que pour un milieu transparentinhomogène, l'indice n dépend du point de l'espace considéré (mirages).

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4.3 Éléments de base de l'optique géométrique

I La notion de base de l'optique géométrique est lerayon lumineux : C'est la ligne suivant laquelle l'énergie lumineuse se propage.

I Dans les milieux homogènes, la lumière se propage enlignes droitesà partir de lasourcejusqu'aurécepteur.

I En passant d'un milieu transparent à un autre, la propagation de la lumière n'est pas rectiligne : elle subit uneréfraction.

I La propagation n'est pas rectiligne, si la lumière passe par de petites ouvertures, si elle rencontre de petits obstacles ou même si elle se propage près du bord d'un grand obstacle : elle subit unediraction.

I Les uctuations locales de température, de densité ou de composition chimique sont sources d'hétérogénéités induisant ladiusionde la lumière dans toutes les directions : vapeur, brouillard, nuages, couleur bleue du ciel, . . .

I Nous admettons, également, queles rayons lumineux sont

indépendants. La direction d'un rayon n'est pas aectée par celle des autres rayons.

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4.3 Éléments de base de l'optique géométrique

I La notion de base de l'optique géométrique est lerayon lumineux : C'est la ligne suivant laquelle l'énergie lumineuse se propage.

I Dans les milieux homogènes, la lumière se propage enlignes droitesà partir de lasourcejusqu'aurécepteur.

I En passant d'un milieu transparent à un autre, la propagation de la lumière n'est pas rectiligne : elle subit uneréfraction.

I La propagation n'est pas rectiligne, si la lumière passe par de petites ouvertures, si elle rencontre de petits obstacles ou même si elle se propage près du bord d'un grand obstacle : elle subit unediraction.

I Les uctuations locales de température, de densité ou de composition chimique sont sources d'hétérogénéités induisant ladiusionde la lumière dans toutes les directions : vapeur, brouillard, nuages, couleur bleue du ciel, . . .

I Nous admettons, également, queles rayons lumineux sont

indépendants. La direction d'un rayon n'est pas aectée par celle des autres rayons.

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4.3 Éléments de base de l'optique géométrique

I La notion de base de l'optique géométrique est lerayon lumineux : C'est la ligne suivant laquelle l'énergie lumineuse se propage.

I Dans les milieux homogènes, la lumière se propage enlignes droitesà partir de lasourcejusqu'aurécepteur.

I En passant d'un milieu transparent à un autre, la propagation de la lumière n'est pas rectiligne : elle subit uneréfraction.

I La propagation n'est pas rectiligne, si la lumière passe par de petites ouvertures, si elle rencontre de petits obstacles ou même si elle se propage près du bord d'un grand obstacle : elle subit unediraction.

I Les uctuations locales de température, de densité ou de composition chimique sont sources d'hétérogénéités induisant ladiusionde la lumière dans toutes les directions : vapeur, brouillard, nuages, couleur bleue du ciel, . . .

I Nous admettons, également, queles rayons lumineux sont

indépendants. La direction d'un rayon n'est pas aectée par celle des autres rayons.

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4.3 Éléments de base de l'optique géométrique

I La notion de base de l'optique géométrique est lerayon lumineux : C'est la ligne suivant laquelle l'énergie lumineuse se propage.

I Dans les milieux homogènes, la lumière se propage enlignes droitesà partir de lasourcejusqu'aurécepteur.

I En passant d'un milieu transparent à un autre, la propagation de la lumière n'est pas rectiligne : elle subit uneréfraction.

I La propagation n'est pas rectiligne, si la lumière passe par de petites ouvertures, si elle rencontre de petits obstacles ou même si elle se propage près du bord d'un grand obstacle : elle subit unediraction.

I Les uctuations locales de température, de densité ou de composition chimique sont sources d'hétérogénéités induisant ladiusionde la lumière dans toutes les directions : vapeur, brouillard, nuages, couleur bleue du ciel, . . .

I Nous admettons, également, queles rayons lumineux sont

indépendants. La direction d'un rayon n'est pas aectée par celle des autres rayons.

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4.3 Éléments de base de l'optique géométrique

I La notion de base de l'optique géométrique est lerayon lumineux : C'est la ligne suivant laquelle l'énergie lumineuse se propage.

I Dans les milieux homogènes, la lumière se propage enlignes droitesà partir de lasourcejusqu'aurécepteur.

I En passant d'un milieu transparent à un autre, la propagation de la lumière n'est pas rectiligne : elle subit uneréfraction.

I La propagation n'est pas rectiligne, si la lumière passe par de petites ouvertures, si elle rencontre de petits obstacles ou même si elle se propage près du bord d'un grand obstacle : elle subit unediraction.

I Les uctuations locales de température, de densité ou de composition chimique sont sources d'hétérogénéités induisant ladiusion de la lumière dans toutes les directions : vapeur, brouillard, nuages, couleur bleue du ciel, . . .

I Nous admettons, également, queles rayons lumineux sont

indépendants. La direction d'un rayon n'est pas aectée par celle des autres rayons.

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4.3 Éléments de base de l'optique géométrique

I La notion de base de l'optique géométrique est lerayon lumineux : C'est la ligne suivant laquelle l'énergie lumineuse se propage.

I Dans les milieux homogènes, la lumière se propage enlignes droitesà partir de lasourcejusqu'aurécepteur.

I En passant d'un milieu transparent à un autre, la propagation de la lumière n'est pas rectiligne : elle subit uneréfraction.

I La propagation n'est pas rectiligne, si la lumière passe par de petites ouvertures, si elle rencontre de petits obstacles ou même si elle se propage près du bord d'un grand obstacle : elle subit unediraction.

I Les uctuations locales de température, de densité ou de composition chimique sont sources d'hétérogénéités induisant ladiusion de la lumière dans toutes les directions : vapeur, brouillard, nuages, couleur bleue du ciel, . . .

I Nous admettons, également, queles rayons lumineux sont

indépendants. La direction d'un rayon n'est pas aectée par celle des autres rayons.

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4.3 Éléments de base de l'optique géométrique (Suite)

Hypothèse de travail :

À la limite où la longueur d'onde est beaucoup plus petite que les distances caractéristiques du système, les lois de l'optique géométrique

sont alors valables.

Références :

I Optique, S. Houard, éditions de boeck, 2011.

I Optique géométrique, T. Bécherrawy, éditions de boeck, 2006.

I Geometrical and Trigonometric Optics, E. L. Dereniak, T. D.Dereniak, Cambrige University Press, 2008.

I physagreg.fr

I Images sous licence Creative Commons 3.0

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4.3 Éléments de base de l'optique géométrique (Suite)

Hypothèse de travail :

À la limite où la longueur d'onde est beaucoup plus petite que les distances caractéristiques du système, les lois de l'optique géométrique

sont alors valables.

Références :

I Optique, S. Houard, éditions de boeck, 2011.

I Optique géométrique, T. Bécherrawy, éditions de boeck, 2006.

I Geometrical and Trigonometric Optics, E. L. Dereniak, T. D.Dereniak, Cambrige University Press, 2008.

I physagreg.fr

I Images sous licence Creative Commons 3.0

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4.3 Éléments de base de l'optique géométrique (Suite)

Hypothèse de travail :

À la limite où la longueur d'onde est beaucoup plus petite que les distances caractéristiques du système, les lois de l'optique géométrique

sont alors valables.

Références :

I Optique, S. Houard, éditions de boeck, 2011.

I Optique géométrique, T. Bécherrawy, éditions de boeck, 2006.

I Geometrical and Trigonometric Optics, E. L. Dereniak, T. D.Dereniak, Cambrige University Press, 2008.

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