Le Journal de classe n 2 °
Journal du Luxembourg et du monde Atelier B2-C1 Ecrit
N° 2, 1ère année, 25 décembre 2019
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Idée de la France et des Français
Plan :
Introduction 1. Pays :
1.1 diversité géographique et climatique - mers, montagnes, vallées, forêts, falaises - tropicale, alpine
- nager, faire du ski 1.2 voyage intérieur
- en voiture, en avion, a pied, en bateau, à cheval 2. Autosuffisance, autonomie, indépendance
- Industrielle, agricole 3. Culture, influence
3.1. Droit français 3.2. La langue
3.3. Culture en général : plaisir 3.4. Cuisine
4. Les Français 4.1. efficacité 4.2. révolté 5. Conclusion
La France est un pays exceptionnel, notamment pour ce qui concerne sa position géographique, son autonomie économique et, particulièrement, sa culture riche et diverse.
Pendant des siècles les Français ont développé leur originalité, leur besoins d’éprouver du plaisir dans tout ce qu’ils font, de profiter de la vie à tout moment, sans penser aux conséquences fâcheuses de leur mode de vie et de leur conception du monde. Ça donne à la France et aux Français une touche de révolte sauvage et en même temps séduisante.
La nature de la France et très diversifiée. Il y a des montagnes les plus hautes d’Europe où on peut faire du ski quatre ou bien cinq mois par an. Il y a des fleuves et des forêts qui sont mondialement connues grâce à leur beauté, ses histoires et ses châteaux merveilleux. Sans parler de la mer chaude et ses plages splendides où on peut nager et bronzer, et s’amuser dans les nombreux jardins tropicaux. La France contient aussi des mers froides aux côtes à falaises pittoresques et dangereuses, même aux côtes plates non moins périlleuses à cause de l’étale de la marée très haute. C’est pour ça les Français aiment beaucoup leur pays et préfèrent voyager à l’intérieur, en voiture, en bateau, en petit avion, à pied ou à cheval, au contraire des Allemands, par exemple, qui passent leurs vacances à l’étranger dans la plupart des cas.
L’économie française est indépendante et très développée. Parmi les industries conventionnelles domestiques, qui accommodent de tous les besoins existentiels de la France, surtout des produits alimentaires, on construit des avions et des voitures ; la France est le meilleur producteur en cosmétiques, en parfumerie, et, incontestablement , en haute couture.
En plus, la France a une influence profonde sur les autres pays et cultures, et le monde entier.
Ainsi, sous l4effet du droit français, singulièrement du Code Civil et du Code de Commerce entres en vigueur à l’époque de Napoléon, la plupart de pays européens ont façonné leurs systèmes de droit civil de la même manière qu’en France.
La langue française, tandis qu’elle est une des langues officielles dans la majorité des conventions internationales, est utilisée dans certains cas par les pays non-francophones, par exemple, les termes spécifiques comme « travaux préparatoires » qui est très populaire auprès des législateurs.
La culture française, qui s’est fondée sur les principes de la liberté individuelle et des plaisirs de toute espèce, incluant des plaisirs de la chair, du sens, de la table, et après tout de la vie en général, nous a donné un grand nombre des chef-d-œuvres cinématographiques, musicaux, mais surtout culinaires. La cuisine française est une quintessence de l’amour, du plaisir, de la féminité, qui est bien présentée dans la culture française, ainsi que de la technicité et la virtuosité culinaire.
Bien que les Français profitent de la vie en chaque moment donné, passant beaucoup de temps à s’amuser et à prendre un plaisir, tel que quand ils boivent un ou plusieurs verres de vin pendant leur déjeuner, quand ils fument plusieurs fois pendant la journée, et, par conséquent, ils ne sont pas capable de travailler efficacement et vite, comme leurs collègues anglais ou allemands, par exemple, ils sont quand même très passionnés, impulsifs et persévérants. Cela explique les perturbations historiques de la France, ses protestations permanentes et le fait que ses présidents ne restent plus qu’un terme présidentiel et qu’ils perdent la confiance de la société immédiatement et inconsidérément après les élections. C’est à dire que les Français sont toujours au courant de ce qui se passe dans leur pays et ce sont eux qui dirigent la France, au contraire des russes, par exemple, qui sont totalement indifférents et passifs.
Voilà une brève présentation de la France et ses habitants, extraordinaires dans tous les aspects, et néanmoins qui nous donnent des exemples de quelle manière on peut concilier la vie moderne très intense avec le plaisir dans tous ses détails.
- Ksenia -
L'isolation sociale (révisé)
L'isolation sociale est définie comme l'état de perte de communication avec les autres ou avec la société, et "l'être humain" est défini (entre autres) comme ayant un haut degré de sensibilité et de compréhension dans un groupe social. Si tel est le cas, pourquoi a-t-on la tendance à s'isoler?. N'est-ce pas paradoxal ?
On a l'habitude de se dire "humain" pour justifier n'importe quelle erreur faite ou une action qu'on a faites et qui manque de grandeur. On demande respect le humain par crainte de l'opinion d'autrui et on se dit humains quand on se montre charitables, compréhensifs ou miséricordieux avec le prochain, quand on montre de la sensibilité, ou en définitive, quand on se communique et socialise avec les autres. Donc, pourquoi l'isolation sociale est-elle de plus en plus répandue dans notre société? Pourquoi rejette-t-on ceux qui ne veulent pas suivre les directives que la société nous dicte?. Pourquoi, les jeunes comme les plus âgés qui ont suivi la voie marquée, sont-ils de plus en plus isolés? Y a-t-il a un intérêt à nous rendre égoïstes ? D'une certaine manière la société ne nous rendrait-elle pas inhumains ?
Il est indéniable que la société change et nous avec elle, et que la façon et l'objectif de vivre d'aujourd'hui ne sont pas les mêmes que ceux d'il y a 40 ans. De nos jours tout se passe très vite. Notre façon de vie exige tout notre temps et, d'habitude, on vit pour travailler. À cause de cette pression, les familles ont tendence à se composer plus tard qu'avant, à être formées tout au plus de trois membres, ou parfois, simplement du couple. On n'a plus de temps de fonder une famille et égoïstement, on épouse la tendance qui veut qu'on garde les petites moments de tranquillité, eux-mêmes, de moins en moins fréquents, pour soi, dans notre espace, dans notre intimité. Par conséquent, on a la tendance à l'isolation individuel et à la distance des autres et de leurs problèmes, à nous focaliser sur notre entourage immédiat et à nous désintéresser de ce qui arrive aux autres, même entre nos proches. Á commencer par nos personnes âgées.
Elles qui nous ont tout donné, on les laisse sur le côté quand elles deviennent une charge pour nous. S'on ne peut pas ignorer qu'une des douleurs les plus fortes pour les parents est l'absence de communication avec leur enfants, pourquoi on continue à nous montrer si égoïstes ?
D'autre, l'arrivée des nouvelles technologies, développées pour nous aider, pour nous rendre la vie plus facile, pour faciliter l'intégration des gens, a en quelque sorte contribué à aggraver la situation. Les relations entre les jeunes et leurs parents ont la tendance à disparaître parce que les différences générationnelles provoquées par l'invasion numérique, sont de plus en plus évidentes et les conflits entre les uns et les outres sont aussi plus fréquents. Les jeunes préfèrent être plongés dans un monde virtuel plutôt que de partager leur temps avec les autres, dans la vie réelle, ce qui leur permets notamment de cacher leur identité, de ne pas être réprimandés, et de faciliter leurs interactions sans crainte d'être rejetés, avec l'avantage supplémentaire de ne pas être obligés à montrer leurs émotions publiquement ...
De plus, il a été bien démontré par différents rapports universitaires que l'isolation est une menace qui a une incidence négative sur la longévité des personnes en général et plus considérablement entre les personnes les plus jeunes, et en conséquence dans la société, similaire à l'obésité. Des études aussi nous montrent que la manque de connexions sociales augmente le risque de mortalité lié à ses néfastes conséquences au niveau physique, mentale ou émotionnel, tandis que l'existence de relations apporte un significatif effet positif dans la santé. Ces rapports mettent en évidence la nécessité de prendre au sérieux nos relations et de mettre l'accent sur celles concernant à la famille.
Par conséquent, il est indéniable que la société nous change, au point, parfois, de nous rendre plus égoïstes. Mais pourquoi personne ne s'en rend compte? ou pire encore, si tant est qu'on le réalise, pourquoi personne ne veut-il ou ne peut-il changer cette situation ? La réponse est que la société actuelle est basée sur l'égoïsme. Il en est son moteur et, en même temps, peut-être même la cause de sa destruction. Tandis que d'un côté, la société-elle, nous stimule, sous la fausse idée de nous faire la vie plus plaisante, à nous entourer de choses et objets, la plupart des fois, absolument superflues, et nous encourage à n'avoir pas besoin de rien qui n'arrive pas d'une société consommatrice pour nos rendre parfaits, d'autre côté, nous dirige indéfectiblement à tricoter des liens destructifs qui sont plongées dans l'individualisme. Il nous force à casser les liaisons sociales qui l'ont développée jusqu'à présent.
Alors, si notre société évolue vers le narcissisme et vers le manque d'affect, vers la création des relations destructives, où souvent est plus valorisé l'échec de l'autre que le propre succès et qui propice d'une manière indirecte l'augmentation des niveaux de violence, donc est-elle vouée au déclin? l'humanité est-elle destinée à l'autodestruction ? Sans doute pas.
S'il y a une nature qui caractérise l'humanité c'est sa capacité d'adaptation et de survie. Alors, la question qui demeure est de savoir si cela se produira avant ou après de la destruction de la société comme on la connaît actuellement.
- Juan -
Réflexion
Il y a une semaine j'ai fêté mon 50e anniversaire et pendant quelques jours j'ai fait le bilan de ma vie et de mes projets proposées. J'ai eu la chance de vivre les heureux 80s et les désinvoltes 90s dans toute leur plénitude. Avec l'arrivée des années universitaires plusieurs questions concernant mon devenir se sont posées dans ma tête mais elles ont-toutes trouvé une réponse pleine d'espoir et aussi de naïveté juvénile. Avec l'âge et l'expérience, on réalise que la vie est assez dure, pleine de déceptions, la plupart d'entre elles dans le domaine du travail. Avec 50 ans et une fille universitaire je me demande comment je pourrais l'encourager face à l'actuel marché du travail, plutôt cannibalisé, qui n'est pas capable d'offrir des opportunités aux même conditions pour tout le monde.
Que attendons-nous de l'avenir de nos enfants? Très simple : qu'ils atteignent le bonheur. S'ils l'atteignent, notre tâche sera accomplie. Mais pour réaliser cette cible, il faudra qu'ils aient les mêmes possibilités que nous avons eues. Néanmoins, le marché du travail n'est pas le même qu'avant. Même si on a eu la chance d'avoir eu la capacité économique suffisant pour investir à leur formation, ils eurent consacré la plupart de leur jeunesse à se former, il ne suffira pas d'avoir un bon curriculum, de maîtriser deux ou trois langues ou d'avoir un ou deux Masters, pour trouver un travail qui, de plus, il sera sous-rémunéré, incertain et imprévisible en matière de durabilité.
On est censé vivre dans un état de bien-être, que la société progresse en recherchant une amélioration continue des conditions de vie. Or , c'est loin d'être le cas. Depuis plusieurs années, la société est entrée dans une décadence sociale dérivée de certaines conditions du travail qui n'ont pour l'objectif que d'enrichir un petit groupe de personnes privilégiées qui gèrent la plupart des ressources économiques de la planète.
On est arrivé au point où on doit vivre pour travailler. Au point où, quasi quotidiennement, on doit concourir contre nos collègues pour démontrer que, en cas de nécessité, nous sommes les éléments essentiels pour l'entreprise, peut être aussi les futurs candidats au licenciement.
Sous l'épée de Damoclès du chômage, d'habitude, les cadres exigent de nous un petit effort supplémentaire pour atteindre des objectifs fixés par avarice, qui en fin de compte, ne bénéficieront qu'à eux mêmes. Un petit effort, qui toujours aura une répercussion directement négative sur notre qualité de vie, parce qu'il signifiera, d'une part, renoncer à une part de notre vie privée, renoncer à notre temps de loisir, renoncer à tout ce pour quoi on lutte. D'autre part, cela représentera une croissance graduelle du stress et la pression jusqu'à l'arrivée de l’épuisement professionnel, et avec lui, un désintérêt pour notre travail, pour nos tâches, qui deviendra apathie et dégoût et qui finalement aura un reflet négatif sur notre vie privée.
Alors, que dire à ma fille face à ce marché du travail qui l'attend ? Je ne peux que lui conseiller qu'elle soit honnête avec elle-même, responsable et engagée avec ses tâches, et respectueuse de ses collègues. Et le plus important, qui concerne le travail pour ce qu'il est: un travail. Qu'elle n'oublie jamais qu'on travaille pour mieux vivre, et pas le contraire.
- Juan -
Fake News
Après la lecture de l’article « Fake New » Je me suis posé la question suivante : Est-ce que je fait partie de la catégorie des personnes qui peuvent subir les facteurs majeurs de la désinformations.
La réponse que je me suis donné m’a surpris :
En fait, je comprends la majorité du texte, mais je considère que beaucoup du texte n’est pas clair et bien écrit. Parfois, il m’est difficile de comprendre un texte de source inconnue, plus difficile qu’ avec un texte écrit dans des journaux nationaux. Donc la question qui ressort est : « est-ce que je suis un analphabète fonctionnel ? »
Durant de nombreuses recherches directes sur Internet, pour des raison personnelles ou professionnelles, je dois choisir entre différentes informations, parfois très différentes entre elles, et je tends ensuite à privilégier les informations qui confirment mes opinions.
Comme tous les internaute, j’émets et je reçois des informations quand je suis en train même d’utiliser des informations sur Internet.
Conclusion :
En réalité, je risque des subir de la désinformation et de contribuer à en créer. La vérité est que les informations fausses et farfelues sont présentes sur le réseau et elles deviennent de plus en plus nombreuses et même parfois difficiles à reconnaître facilement.
Beaucoup d’ experts, de sociologues, de mathématicien et de physiciens se sont intéressés à comprendre le phénomène des Fake news. Il est surtout important de comprendre la base de la « Viralité », l’Internet caché et les mécanismes de ce phénomène.
Sans aucun doute, à la base il y à la façon que les personnes absorbent des informations, communiquent avec les autres, établissent des relations sociales et créent leurs opinions. Dans ce nouveau contexte, il y a des facteurs naturels que tout le monde utilise avec Internet et qui peuvent devenir des facteur sensibles pour les informations fausses.
Réflexion aux questions suivantes :
Au moment de faire une recherche d’informations, quelles sources consultez-vous ?
o En priorité, source publiques et inter-gouvernementales, journaux internationaux et nationaux, documentations scientifiques et communications des grandes sociétés.
Comment vous tenez-vous au courant de l’actualité ? Comment faites-vous pour valider les informations relayées en ligne ?
o J’utilise comme source les journaux nationaux. Dans le cas de novelles en ligne par des sources inconnues, pour me faire une opinion j’attends de les confirmer par d’autre sources.
Au moment d’évaluer une source quelles questions vous posez-vous ?
o Je recherche des informations sur l’auteur et s’il donne toutes les informations pour être identifié, adresse, téléphone, si c'est une entreprise je regarde la typologie et les certifications (ISO9000 etc.).
- Luciano -
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