Plan du cours :
1. Violences, inégalités et discriminations structurelles et intersectionnelles
1. Les politiques de l’emploi en contexte postcolonial 2. Travail du care
3. Violences dans l’espace public 4. Les associations féministes 2. Agency et féminismes minoritaires
1. Agency : L’exemple des femmes victimes d’islamophobie 2. Des féministes noires à l’afro-féminisme
3.Mobilisations contre le racisme, le classisme et l’hétéropatriarcat :
l’exemple de femmes en lutte 93
Ya-Han Chuang (INED) : Lutter en marge : comment les travailleuses chinoises ont transformé leur marginalité en ressource de mobilisation.
Damien Trawale (URMIS, UPEC) : Émergence et structuration de mobilisations associatives parisiennes gays noires : une approche intersectionnelle
Manuela Salcedo (LEGS) et Sara Cesaro (LEGS, Université Paris 8) : Vingt ans d'engagement(s) auprès des migrant.e.s sexuel.le.s : amour désintéressée, recherches de reconnaissance et transformations de la cause.
Stéphanie Archat (IRISSO, Université Paris Dauphine) : Des conditions d'impossibilité à une mobilisation intersectionelle ?
Cécile Talbot (CERAPS, Université de Lille) : Le féminisme face à sa blanchité. Conflits autour de la prise en compte du racisme dans une association féministe.
Ingrid Château (EHESS) : Émergence et médiatisation du féminisme noir en France dans les années 1970-1980.
Rose Ndengue (CEDREF, CUREJ, Université de Rouen) : Genre, violences et lutte anticoloniale : Logiques endogènes des mobilisations anticolonialistes des femmes des Grassfields du Cameroun.
Elise Abassade (Université Paris 8 et La Manouba) et Nassima Mekaoui-Chebout (CRH-EHESS) : Cherchez les féministes. De l'historiographie des féminismes à l'histoire de femmes en lutte. Algérie et Tunisie en situation coloniale au XXe siècle.
Mamaye Idriss (Paris Denis-Diderot, Cessma) : “Race”, genre, classe, religion, génération : des catégories “mouvantes” utiles. Le mouvement des chatouilleuses et la lutte pour Mayotte française (1966-1976).