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Intervento sur l autonomie italienne dans les années 70

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Academic year: 2022

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Intervento sur

l ’ a u t o n o m i e

italienne dans

les années 70

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Bien sûr, n'importe quel écolier saura vite - combien de fois l'a-t-on répété ? - qu'il faut connaître l'histoire pour «mieux saisir le présent et tenter de peaufiner l'avenir». Mais Benjamin a le mérite de nous pousser au-delà de ces évidences premières,ou plutôt de nous en montrer le sens caché.Et cela, parce qu'il s'attaque de plein fouet à «la conception progressiste» de l'histoire, qu'une grande partie d'entre nous partage au quotidien.Nous sommes,en effet,dans nos sociétés technologiques avancées, généralement prisonniers d'une conception mythique de l'histoire. Une conception qui voit dans l'histoire une réalité inéluctable; mieux, une prescription à laquelle personne ne peut échapper, nous rappelant sur le mode du diktat implacable qu'il nous faut progresser, nous adapter, être de notre temps. (...)

C'est en prenant l'exact contrepied de cette approche que Walter Benjamin, lui, va penser l'histoire, nous invitant à l'appréhender, non pas en regardant vers l'avenir mais, au contraire, en nous tournant vers le passé et en imaginant le moment du présent comme le moment clef où, grâce au pouvoir de l'action humaine, l'histoire pourrait changer de sens. (...)

Mais brosser ainsi l'histoire à rebrousse-poil, c'est en quelque sorte la complexifier et ne plus l'appréhender, comme l'explique Benjamin, avec les seuls yeux des «vainqueurs». C'est apprendre à la redécouvrir avec les yeux des «vaincus», avec leurs espérances et leurs luttes inachevées, leurs désirs inaccomplis. C'est aussi mettre l'accent sur le moment présent qui devient dès lors un moment décisif, le moment d'une remémoration active de ce qui a été censuré par les vainqueurs, l'occasion d'une réactualisation toujours possible des désirs de changement des vaincus.

Pierre Mouterde (Professeur de philosophie au Collège Limoilou à Québec), Le Devoir, 9 septembre 2006

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Coups d'oeil sur le mouvement autonome italien des années 1970.

"Les années de plomb", "le mouvement", "le camarade P.38", "les indiens métropolitains"...

des images tantôt cultes, tantôt soigneusement effacées par le pouvoir. Dans tous les cas, une histoire singulière qui n'est pas lointaine, que nous ne voulons pas oublier.

Nous proposons de la faire résonner grâce à des ambiances, grâce aux mots de celles et ceux qui ont mis leur vie en jeu dans la lutte, qui s'organisaient collectivement quand tout était possible...

Attention : cette mémoire peut avoir des effets secondaires sur le présent.

ITALIE77

Intervento sur l’autonomie italienne dans les années 70

Le mouvement autonome italien est peut-être l'un des mouvements de lutte les plus puissants de l'histoire récente occidentale.

Fort de ponts exceptionnels entre étudiants et ouvriers, "autonome" des partis et des syndicats, massif et violent dans ses modes d'actions, il fera durer mai 68 pendant dix ans.

Ce sont les "hordes païennes" de jeunes immigré-e-s du Sud qui paralysent les usines en pratiquant des formes d'actions directes issues des luttes ouvrières des années 20, mises en sommeil par des années de fascisme:

sabotage, absentéisme et refus du travail.

Ce sont des quartiers entiers qui, face à l'inflation, refusent de payer les loyers ou les factures.

C'est une irruption tonitruante des femmes, des homosexuel-le-s, des jeunes et des chô- meurs-ses sur la scène politique.

Ce sont des analyses précises et originales de la transformation de l'économie occidentale.

C'est une explosion des radios libres qui se font "la voix des sans-voix" tout en jonglant avec l'ironie et la philosophie.

C'est enfin le tournant de 1977, les émeutes, les chars blindés à Bologne, une répression féroce : un mouvement étranglé qui n'a plus d'autres issues que la fuite, l'héroïne ou la clandestinité.

Beaucoup de révolté-e-s passeront des années en prison, qui sera, là encore, un lieu de luttes.

Des lectures tirées de plus de 15 ouvrages différents et entrecoupées de photos et d'enregistrements sonores permettront, chapitre après chapitre, d'avoir un aperçu de l'atmosphère brûlante de l'époque et d'approcher les questions qu'elle nous pose aujourd'hui.

Les personnes qui vous offriront ces lectures restent anonymes. Elles ne sont pas dramaturges professionnelles mais chômeuses ou charpentières, (elles parcourent vos rues comme mille autres visages en manif, elles portent des colères et des questions de fond, comme mille autres personnes vivantes, comme vous, quant à la manière dont nous nous organisons pour vivre sur cette planète). Etonnées par les légendes du mouvement autonome italien qui circulent dans l'ombre de la "mémoire des vainqueurs", selon W. Benjamin, elles se sont renseignées par leurs propres moyens et compilent petit à petit un album d'écrits,de sons et d'images sur le sujet.Depuis plus de trois ans elles ramènent ces récits dans des squats, des universités occupées ou des locaux autogérés, avec la conviction qu'ils recèlent des inspirations et des interrogations précieuses pour les mouvements de résistance actuels.

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"Je me suis tourné vers les ouvriers :Vous savez vous combien de sous gagne ce type comme prime à la production ? Vous savez pourquoi il veut pas me le dire ? Alors [le chef] intervient et dit : Mais vous savez vous que j'ai fait des études ? Que je suis ingénieur ? Non je le savais pas, je réponds. Et je dis : mais vous savez vous qu'on en a rien à foutre que vous avez fait des études ? Qu'on vous reconnaît aucun droit de plus que nous ? Il dit : mais vous vos parents ils vous ont éduqué ? Non ils m'ont pas éduqué pourquoi vous ils vous ont éduqué ? Moi ils m'ont éduqué. Et puis vous avez fait le service militaire vous, il dit ? Non je l'ai pas fait le service militaire moi, pourquoi c'est quoi le rapport avec la famille et le service militaire ? Le rapport c'est que les familles doivent éduquer à respecter les personnes les plus instruites. Et si vous aviez fait le service militaire vous auriez compris que partout il y a une organisation à respecter. Les gens qui ne respectent pas cette organisation sont des anarchistes des délinquants des fous. Peut-être que je suis fou mais de fait moi ça me plaît pas de travailler. Et voilà voilà il hurle, vous avez entendu vous avez entendu tous ceux qui font grève ça leur plaît pas de travailler. Et alors je dis, pourquoi tous ceux-là au lieu de se mettre à leur poste et de travailler ils préfèrent rester là à parler avec vous ? Ca se voit que tous ceux-là ça leur plaît pas de travailler. Il suffit de n'importe quoi, il suffit qu'ils trouvent une excuse, même écouter quelqu'un qui parle, pour ne pas travailler. L'ouvrier le travail ça lui plaît pas l'ouvrier il est obligé de travailler. Moi je suis chez Fiat pas parce que j'aime bien Fiat, il y a pas une seule chose que j'aime bien chez Fiat même les voitures qu'on fait je les aime pas et même les chefs et même vous je vous aime pas. Je suis ici parce que j'ai besoin des sous de Fiat."

Nanni Balestrini, Vogliamo tutto, Feltrinelli, Milan 1971

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ITALIE77

L'intervento dure 2h30 en comptant une pause au milieu.

Nous sommes 4: 3 personnes lisent, 1 personne s’occupe de la bande-son-et-images.

On a besoin d'un écran et d'un vidéoprojecteur. La bande-son-et-images est sur K7 DV, donc en fonction d’où est le vidéoprojecteur, on peut avoir besoin d’un cable S-vidéo long. Et dans tous les cas d’une chaîne stéréo ou un ampli et des enceintes.

La scénographie est simplissime: 3 pupitres pour lire debout derrière (qu’on bricole générale- ment sur place, avec des caisses et des tissus noirs de préférence), et 3 lampes de chevet, avec interrupteur.

Do you remember revolution (Loredana Bianconi, prod. Dérives / ZDF / WIP / RTBF (Liège), 97)

En Italie, au milieu des années 70, Adriana, Barbara, Nadia et Susanna ont 20 ans quand elles décident d'entrer dans la lutte armée, de quitter leur vie sociale et leur famille pour faire de la révolution le centre et le but de leur existence. Elles réapparaissent aujourd'hui après de longues années de prison, elles essaient de raconter chacune leur propre expérience. Elles parlent des raisons politiques qui les ont d'abord soutenues, des conflits, des doutes, des déchirures qui ont marqué leur vie de femme prise dans le tourbillon de la guerre. Un parcours qui débouche sur la condamnation de la lutte armée et la douleur des vies détruites : celle des victimes et la leur.

L'orchestre noir

(Frédéric Laurent, Fabrizio Calvi et Jean- Michel Meurice, 1997)

Documentaire sur la stratégie de la tension, les attentats fascistes, l'implication de la CIA tout au long des années 70 en Italie. Investigations sur les attentats qui eurent lieu en Italie, à la fin des années 60 et plus particulièrement sur celui du 12 décembre 1969, Piazza Fontana, à Milan. Cet attentat qui a fait de très nombreuses victimes, choque l’opinion publique. L’enquête de la police s’oriente presque immédiatement vers les anarchistes, selon les directives des services secrets italiens, et pour cause : c'est eux qui ont organisé l’attentat. Des anarchistes sont arrêtés : Pietro Valpreda, et Guiseppe Pinelli qui lors d’un interrogatoire fut défenestré du commissariat, et son meurtre maquillé en suicide.

Le documentaire analyse méthodiquement la stratégie de la tension. Il s’agissait de frapper au cœur des masses pour provoquer l’État d’urgence, de créer une angoisse dans la population qui cherche alors refuge et protection dans l’État, sa police et ses lois, attribuer ces attentats à l’extrême gauche ou aux anarchistes pour discréditer les mouvements sociaux, en bref créer les conditions d’une opinion favorable à un putsch...

Deux films sur les années 70 en Italie pour accompagner l’Intervento

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Comment s'écrit l’Histoire?

Toujours dans le sang, et celui des vaincus.

Mais quand il n’y a ni vainqueur, ni véritablement de vaincus ?

Il n’y a alors d’autre possibilité que l’oubli, la chape de plomb, l'annulation de l'histoire… L’Italie des années 70, c’est cela. Une période de cristallisation des rapport de force, une période d’extrême violence et de violence des extrêmes, une période où tout ce joue et dont il ne reste rien dans l’Histoire officielle, celle de l’Etat et du pouvoir politique, sinon le grand mensonge du péril fasciste qui sert encore et toujours de rempart contre le peuple qui s’insurge. Contre le peuple, simplement.

Si les mots sont une arme, l’oubli en est une autre. Et parfois bien plus efficace…

Et s'il transpire quelques scandales encore aujourd’hui sur les services secrets italiens, sur l’implication de la CIA dans les groupuscules fascistes ainsi que dans le service d’information militaire italien (SIFAR), qui a déjà fiché 157000 personnes au début des années 60 et fomente un putsch militaire qui finalement échoue,sur encore la loge P2 et ses ambitions de régime autoritaire…

la liste ne peut qu'être incomplète, car l’essentiel sera toujours occulté.

C’est cette histoire que nous voulions remettre à jour ici. Loin des fantasmes, autant que nous le pouvons, car une partie d’un peuple qui se soulève nous fera quand même toujours briller les yeux.

Dépoussiérer un peu les archives de ces « années de plomb » et tenter de comprendre ce que peut vouloir dire « autonomie italienne », « occupation d’usine ou de facs », « grève de loyer, auto- réduction », « répression », ou encore « indiens métropolitains », dans un climat de violence généralisée et quotidienne.

après avoir entendu Erri de Luca, Adriano Sofri chez Mermet (message d’un-e participant-e à l’Intervento)

je ressens, comme une vague qui m'assaille, que les années 70, c'est fini, bien fini comme si mon corps, là, était le récepteur du temps: c'est fini

ce qu'il reste des années 70, ce ne sont pas des survivances, qui seraient passées comme un héritage pur, mais des interprétations

chaque génération a fait siennes des idées, des pratiques, en les ré-interprétant au-delà d'une quelconque objectivité historique, ce qu'on montre des années 70,

c'est ce qui nous fait triper aujourd'hui avec nos mots (nos imaginaires) d'aujourd'hui comme grille de lecture

"faire ressentir l'ambiance", c'est peut-être une volonté vaine: ON N’Y ETAIT PAS, voilà le poids qui recouvre tous les bouts qu'on exhume

Retour sur notre passage a Grenoble

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ITALIE77

QUELS FACTEURS ont rendu possible l'émergence du mouvement autonome italien ?

Une société "en retard", en transition

- une société où les liens sociaux sont encore forts ("bandes" de jeunes, importance de la famille, vie de quartier, grandes concentra- tions ouvrières dans les usines...)

- d'énormes inégalités économiques (immi- gration et ghettos, crise et inflation de 1973...) - un appareil répressif mal organisé (policiers recrutés à la pelle dans les classes défavori- sées, violents, mal vus, affrontements de rue et braquages envisageables...)

- un mouvement ouvrier officiel trop arriéré pour jouer son rôle de canalisateur (le PCI et le compromis historique, les syndicats désavoués, etc.).

Des mentalités favorables dans la population - une méfiance répandue par rapport à l'autorité de l'Etat (corruption flagrante, souve- nir frais du fascisme,unité nationale récente...) - une forte culture de lutte (occupations de 1920, mouvements anarchistes du début du siècle, partisans, le plus fort PC d'Occident...) L'action des révolutionnaires

- un énorme travail militant (enquêtes ouvriè- res, modèle militant sacrificiel, grande production théorique)

- un "air du temps" encourageant (aux USA, luttes des Noirs, contre la guerre du Vietnam, mouvement hippie, en France mai 68, à l'Est le printemps de Prague... et puis en général, cette foi matérialiste dans une révolution qui doit venir).

Et si on compare ces facteurs-là au CONTEXTE ACTUEL ?

Un libéralisme solide

- Nous sommes dans une société atomisée. Le libéralisme a repris le flambeau de la "révolu- tion des moeurs" et a répandu une culture de l'opinion privée et de la liberté individuelle.La

"mobilité" est la règle : nous ne vivons plus dans le quartier où nous avons grandi et les rapports de voisinage sont anonymes. Nous ne

savons pas où et comment nous retrouver ; nous sommes seul-e-s, sans mémoire, déraciné-e-s.

- Grandes inégalités économiques (mondia- les). Dans nos pays, "les classes moyennes"

intégrées sont majoritaires et leur malaise est moins fulgurant. Le Tiers-monde est plus loin et moins visible, ses immigré-e-s ont des langues et des cultures plus différentes, illes ont plus de mal à passer les barbelés de Ceuta, illes sont peu visibles car clandestin-e-s, les solidarités sont plus difficiles.

- Historiquement la France voue un culte à l'Etat jacobin et soi-disant neutre, censé pouvoir garantir la devise "Liberté Egalité Fraternité". La culture citoyenne qui en découle est la culture du dialogue poli et raisonnable : l'individu intelligent est celui qui reste dans l'ambiguïté, pas celui qui pousse la réflexion jusqu'au bout pour démasquer les illusions, exprimer les désaccords de fond. La critique est jugée puérile, "trop facile". Les conflits sociaux sont d'autant plus difficiles à rendre visibles.

Des révolutionnaires plus faibles

- Le militantisme a suivi la même évolution.

Nous n'arrivons pas à construire des liens solides entre rebelles ; nous n'aimons pas l'engagement sérieux et sur la durée. La théorie est dévalorisée, nous adhérons à des consensus flous, nous n'élaborons pas de positions claires.

- L'air du temps est décourageant. Nous sentons que nous sommes mal barré-e-s (nucléaire, nano-techs, fichages...) et que le rapport de force est dramatique. Nous savons confusément,sans oser l'avouer,que face à nos luttes l'Etat est le plus fort et qu'il aura toujours le dernier mot.

Quelles LECONS pouvons-nous tirer pour aujourd'hui ?

- Nous devons nous méfier comme de la peste de l'isolement (stratégies de survie moins individuelles).

- Aller au bout d'un engagement révolution- naire, c'est peut-être aussi développer cette capacité tactique de savoir s'arrêter avant un massacre. Développer un regard rationnel sur les forces et faiblesses en présence, les identifier, viser les uns et prendre en compte les autres.

C'est sans doute cela, la stratégie ?

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Retour sur notre passage a Geneve

L'intérêt de ressortir les cadavres de l'Histoire est de nous encourager à reprendre l'ensemble de l'énigme, de ne plus nous contenter de plonger seulement tête baissée dans un activisme qui cache mal le fait que nous sommes trop blessés au coeur dans notre élan révolutionnaire.

Des perspectives globales vivantes et populaires : ces révoltes spontanées prennent un sens social, global, dans une perspective où la révolution apparaît comme logique, incontournable. Il y a l'héritage des luttes des partisans communistes,de l'étouffement brutal de la perspective communiste dans le cadre du partage de Yalta ; il y a le travail critique de Tronti, Negri et autres qui renouvelle une perspective marxiste basée sur la mise en évidence de la subjectivité ouvrière,de la créativité de masse, tout cela permettant de vivifier la perspective marxiste traditionnelle de la révolution comme inéluctable et le capitalisme comme voué à sa perte par les lois de l'Histoire. Il existe de façon populaire un imaginaire capable de galvaniser les initiatives collectives de refus, où le passage à l'action illégale apparaît comme logique.

Il y a la critique endémique du communisme qui culmine avec la chute du mur (1989) : critique faite surtout par les bourgeois,peu ou mal faite par les révolutionnaires.Abandon de la notion de dictature du prolétariat, mais si le capital ne doit pas être géré par l'Etat, doit-il être quand même géré par l'initiative privée ? Et la critique de la marchandise a-t-elle pour conséquence le refus du marché ? Résultat : au niveau des visions globales il y a des doutes ; on se replie alors sur des stratégies défensives, contre les abus, on retombe dans le vomi social-démocrate, non que des tactiques défensives soient erronées dans une situation pareille, mais elles n'ont aucune vision stratégique offensive. Repli dans les luttes sectorielles, alternatives bricolées, plein de luttes existent encore, mais ne peuvent devenir force sociale faute de perspectives globales explicites et crédibles.

Quelle vie est en jeu, qu'est-ce qu'on veut comme changement, jusqu'où on est prêtE à aller, et POUR ALLER OÙ?

Références

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