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Y v o n n e K E R B I H A N
Après une Fluxion de poitrine
« Morlaix, le 14 février 1900. « Monsieur, ma mère, âgée de quarante et an ans, après avoir été atteinte d'une fluxion de poitrine, souffrait depuis trois ans d’une bronchite qui, très invétérée, ne lui laissait aucune minute de repos, ni jour, ni nuit. Des oppressions, une toux inoessante, peu de sommeil ; ne mangeant rien ou bien craignant de manger lorsqu’elle en sentait 1* besoin, de crainte que ses étouffements n ’augmentent ; voilà quello était sa siutation depuis un ans. Elle avait pris bien des tisanes, des potion, des sirops ; rien n ’avait pu la soulager d’une manière efficace.« Ayant vu sur le journal que votre Gou- dron-Guvnt faisait du bion dans des oas sem
blables, je vous ai demandé un flacon, puis un autre. Au
bout de huit jours de
traitement, maman a commencé à moins tousser, elle a retrou vé peu i peu son ap
pétit. Après avoir
pris 2 flacons, elle a cessé tout à fait de
tousBer, et mainte
nant elle a retrouvé toute sa santé d’au trefois. Votre excel lent goudron a sauvé maman. Nous vous serons reconnaissantes toute notre vie. Signé : Yvonne Kerbiilan,
à
Morlaix ». T4201(<16)L’usage du Goudron-Guyot, pris à tous les repas à la dose d’une cuillerée à café par verre d ’eau, suffit, en effet, pour faire disparaître en peu de temps la toux la plus rebelle e t pour guérir le rhume le plus opi niâtre e t la bronohite la plus invétérée. On arrive même parfois à enrayer et à gué rir la phtisie bien déclarée, car le goudron arrête la décomposition des tuberoules du poumon, en tu a n t les mauvais microbes, causes do cette décomposition.
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v n d e m a n d e c u is i n iè r e , p ro p r e , a o tiv e e t de I c o n lia n c e , p o u r e n v ir o n s G e n èv e , g a g e s, 60 f r . E o r ir e . No 3851, T r ib u n e , rn e B a r th e lo n i. 16161O
N D E M A N D E d e -s u ite , u n R E P B B S E N T A N T a c t i f e t s é r ie u x , p o u r v i s ite r l a c l ie n tè l e d es b a s a ra , b i j o u t e r i e e t o r f è v r e r ie . — E c r i r e , 3366, T r ib u n e , r u a B a r th o ld n i. T84B6 t N d e m . u n e j n e fille, de 16 à 17 a n s , re c o m m .} M a g a sin de b ro s se rie , 8, C ité .___________ 16296
/ | N d e m a n d e b o n n e à t o u t fa ir e , a a e b . b. cu iain” p r m é n a g e 8 p e rs o n n e s . B o n s g a g e s . Se p r é s , l 'a p r .- m ., M m e D a o e ll ie r , ch* P i n o l i a t , 5 ,v i l l a , p r . le B o a d e a u d e C a rc u g e . B o n n e s x é fé r. e x ig . ldÂ34 N D E M A N b ï t o u t de s u ite , u n e o u is in iè re p o u r u n e f a m ille a n g la is e de 3 p e rB o n n ea. S a la ir e s é n é r e u x . — E c r i re , C o lles, g r a n d h ô te l d u Ca n a S e l, p a r le L a v a n d o u , V a r , F r a n c e . T8A6B
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n v rie rs j a r d in ie r s - te r r a s a ie r a no n t d e m a n d é s e b e z E . R o n e v ie r, c h e m in de C o n ta m in e s , 5. 16^580
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o n n e c u is i m e r e , d e m . u n re in p lu c . o u d în e r s . B oni. J a m e s - F a z y , b o u c h e rie B a r d e t. ld2B4H
o n n e o u is in iè re c h e r c h e p la c e, p e n sio n o u fa m ille . E o r., 1H2B, T r ib u n e , M o n n aie . 16315 ü j u t u r ï è r o c o n n a is , a fo n d ta ille u r , Üou, b lo n s e , j tr a v e s t i, d e m a n d e t r a v a i l c h e z e lle . S 'a d r e s s ., H8', T r ib u n e , E a u x -V iv e s . 162Ô9[
l o n t u r i è r e , a n s , d e m . tr a v . c o n fe c t. o u p la c e j v e n d . M m e B e y , g e n d a r m e r ie F e r n e y . 16277 / C U IS IN IÈ R E a c tiv e e t e x p é r im e n té e , c h e r c h e p la c e de s n ite d a n s p e n s io n n a t o u r e s t a u r a n t . I r a i t a u ssi à l 'é t r a n g e r . — O ffres à L . W i t t m e n , c h e z M lle B ek . ru e de B e rn e , 1. 16210 i ^ o u tn r i è r e o h e ro h e j o u r n é e s b o u rg e o is e s , M . Do fo u r, 2, p ince d u P o r t.____________ 16297 em oifielle, p a r l a n t il la n g u e s , d é s ire p la c e a u __p rè s d ’e n f a n ts p r to n t de s u ite . E c r i r e à M lle ItO B a B ic k li, K a su rn , R olirhH oh. Ot B e rn e , lti'298D
I v e m o is e lle c h . p la c e b u re a u o u m a g a s in . E c r ., | 7 J . C. p o ste r e s ta n t e , ru e I t a l i e . 16288
L)
o m o ise lle sé r., c h e r c h e p la c e do o n is in ié rc dfi m a is o n b o u rg , E o r., 1616, T r ib u n e , M o n n a ie .162Ô3 P e m m e de m é n a g e su ch . c u is i n e r ,o h . e m p lo i p r la m a t i n é e .— J a c q u ie r , o h e m in des P it o n s , 7, bm c. L a C lu se, P la in p a la is .________________ 16278 I Homme de o h a m b ., 22 a n s, ro c ., s a c h . b ie n cou» I d re e t r e p a s s e r, c h e r a b e p la o e . A d r . o ffre s, M m e R o d , r. d u R e c u lâ t. 8. 4m o. G e n èv e . 1630H 4 ^ a r d e m a la d e d ip lô m é e d é s ir a p la c e p o u r s e i- g n e r m o n s ie u r. C e r tif. e t r é fé r. à d is p o sitio n . E c r i r e , No lfi21, T r ib u n e , M o n n a ie ._________16H13
I
n e e n is i n iè r e ch. re m p l. on p la ç a d s b. m a iso n , E o r.. N o UOtil, T r ib u n e , r n e B a r th o lo n i. 1628QI
ne g a rç o n , i n te llig ., a h . p la c e v a le t de oh. d a n a m uifion b o u rg . l d l a, T r ib u n e , M o n n aie . 16293I
n e g a rç o n d e o a fé -re s t., d e m . p ln co B o u s c e r t. e t ré f. L ib . d e a n itu . 16IS, T r ib u n e , M o n n a ie . 6282J
e u n e tille h o n n û te , c lie ro h e p la c e d e s u ite a u p rè s d ’e n fa n ts o t p o u r le s o h a m b . R e c o in , p a r ses m a îtr e s . — S ’a rir. a v a n t 10 h. e t e n t r e 1 h . e t 2 h . 1/2, 17, r u e des DéliceB, dm e. 1H20HI
e n n a tille o h e re h e é c r itu r e s à f a ire c h e z a ile . E o r ire , 2120, T r ib u n e , M o n t-B la n c . - 1/196J
e u n e fille sac h . fa ir e b o n n e c u is in e b o u rg , e t c o n n a iss . se r v ic e oh . p la o e de s u ite . A d r ., a h . ù m id i, ru e d u M a rc h é , 20, 5m e, M m o B e n ts c h .16804
1 1 é n n g o . 1er s o m m e lie r e t te m m e de oh. o h e r e h e i l ! p la ^ e . R é fé re n c e s 1er o rd r e . E c r ., D u m o n l, M tre -H ô ta l, pena. D u p u ia . G la cis-d e -R iv e . 1631H
I
ÿ erH onne A lle m a n d e , 33 a n s , c h e r c h e p la c e o. h o n n e 4 t. fa iro d a n s fa m ille d is tin g u é e . M m e R u lilm a n n , p la o e X X II - C a n to n s , t._________ e rs o n n e , tr è s r e c o m m a n d é e , b o n n e e n is i n iè r e , d e m a n d e e m p lo i, do 1D h . m a tin à 7 b . a o ir .— ir e , b o u a h e r ie D u ss e a u g e , p l. E .-V iv e s. 1H285 E c r ire|
|e r s e n n e , 2M a n s, s a c h a n t b ie n c u is i n e r , o h e ro h e p la o e b o n n e k t o u t fa ire . E o r ire O. S ., p o a te r e s t a n t e , ru e d u M o n t-B la n c . _________1HB21 Très b o n n e r e p a s s e u s e d e m a n d e jo u r n é e s . . E o r., N o il824, T r ih n n e , m e B a r th o lo n i. 16159A ACHETER ET À VENDRE
O C C A S IO N S
A
v e n d re , s m o k in g a o m p le r, t a i l l e m o y e n n e , 1 ro b e v o ile g rise , 1 f o u r r u r e a s tr . e t u n e i m i t . h e r m in e . E c r. a. 1611, T r ib n n e , M o n n aie 16161v endre, p r a. dép., b ic y c le tte h. n 'a y a n t servi
{ q u ’u n moia. A d r., pens., bd P hilo so p h es. 9.
ie a i t
A
v e n d ra , b. v itr in e ,oout. h o ilo g e r o u modisfc*. ▲ vtfi- d a L i n u , 11, Atege, g a u o h a , 16234
A
V E N D E H p o u r o auae de d a n il, u n e r o b a j e u n e fille , f o u la r d ro s e , d o u b lé e a ô tln , p o u r a i m e , u n m a n t e a u d u a o ir, m a s tio e t u n tn a n te a u d u a o ir d r a p b ru n , d o u b lé so ie ro se . E o r ir e aoua c h iffre s B366, T r ib u n e , 0, r u e B a r th o lo n i. T8808 V E N D EE , PIA N O P L E Y E L dép. Q uai d u L ém an , 25._____________&
D B E A D X A M É EIO A X N 8 H noim , I r a m a r q . a n z i p r i x d e f a b r iq u e . H o e d n G o m m a ro t, 6, f o n d A». — O n v i r t d , 9 1/2 h . à 11 h . 1/M. T81B8 n e ooo. P e i n t u r e » d * D a r a n d , L a g w d o n , Xhly, B a i n e to . G lao aa, A q n a re lle a , G r a v u r e s e t i, b a s p r i x , S n o a d r . B n e P a n l- B a a o h e t, 8.19*80
M
B:o to s a c o c h e , S H T , m a g n é to , p r e s q u e n e u v e . M égroz & B o o q u e t, p la c e d es X X II- C a n to n a . io y c le tte o o c a i., 40 f r . 16808*
ocas.—^A ITquIdT p lu s, o alo rif., fo u rn . à g a s et) _ G atalle, ard potag., p a t. b alan a., prease &oop„ losfc. à gaz e t ëleot,, oh. A. S alom on, 13, oouraB ive.
o :
16123
O
c c a s io n . — A v e n d ro p r c a u s e de d é m o litio n e t c e s s â t, de c o m m ., o u till. d e f e r b la n t. M a rc h . ag en o . S ’a d r ., r u e F r é v a s t- M a r tin , 11, 4m e. I614fî I J e l i s s e p o u r M o n sie u r, m o y e n n e t a ille , u sag é e , | e n b o n é ta t, c o l d ’a s tr a k a n , a c h e té e e n B u a- aie, f a u t e d ’e m p lo i, à v e n d re 4 baa p r is .O ffre, P. L a b ic h e , & O ham bésy^____________ 1*1307
CHAMBRES ET PENSIONS
lo u e r, j o l i e o h a m b . tr. b. m e u b l., t. c o n t. ti'a d r .
{ 11, av en , de L a n c y , 2m e é t., p o r ta 4 g. 16223 lo u e r, c h a m b r e m e u b lé e , a v e c p e n s io n o u n o n .
{ B u e G o u rg a s, 8, 1er, p o rte m ilie u . 16143
A
L O U E R , p ré s U n iv e r s ité , H c h a m b r e s a v ec p e n s io n , o u jo u is s a n o e de c u is i n a ai o n p r e n d le s 3 c h a m b re s , chez d a m e s e u ls , c o m m e i l f a u t. R u e d es V o isin s, 20, lim e é ta g e , U rv e id o r. 16^79 lo u e r, tr . jo l. o h a m b . m e u b . e t to u t 4 l a i t in ü .. ohez M m e J a c o b , Q u a i- d e - l'I le , 5. 16174 m e u b lé e ,A
l o u e r ch ez d a m e s e u le , o h a m b ro c o n f o r ta b le , in d é p e n d a n te . G lacia-d o -R iv e, 1B, 1er é ta g e .________ 16171B
E L L E C H A M B R E m e u b lé e . — S ’a d r e s s e r , P e r t u i s e t , 7, c o u rs de R iv e , ta b a c s . 16H08(
■’H A M B R E m e u b lé e , a v . o u s a n s p e n s. (é le o tr.), j p e n a. p . Ja ta b le . H a r t i g , p a s. d es L i o n s , flbis. 16030D
am o , p r o f e s s e u r fr a n ç ., p r e n d p e n s io n n a ir e s . B u e d u C o n se il- G é n é ra l, 20, Hme. 1H9I0D
a n s a n c i e n n e m a is o n , ch. p e rs . d is t., j . o h a m b . a v . p e t. a h a m b r . à c o u a li., so l., g a z , c o n f., à p r i x m o d é ré . — R u e d u M anège, 1, a u 2 m e. 16056I)
e u x g ra n d e s c h a m b re s , a lc ô v e s , g r a n d s l i t s . - R u e d u C o m m e rc e, 6. a u Jm e , p. à g. I63r’0Ü
a m e d é sire M o n sie u r o u D a m e d is t. c o m m e p e n s io n n a ir e s . V ie f a m ille , p ia n o . 21, r u e do lu P r a ir ie , 3m e, d r o it e . 162:6 o n n ô te fa m illo a c c e p t e r a i t 2 d am na â g ée s, v ie de f a m ille , so in s a ffe c tu e u x . S 'a d r . d e 2 à . je u d i, v e n d r e d i e t s a m e d i, r u e L e s e h o t, 8. a u 2m e. P J a in p a la ia ._________________________ 16161h
:
T E U N E D A M E d is tn g u é e , de l'A l le m a g n e d u J N o rd , c h e r c h e p o u r le 1 e r j a n v i e r o u p lu s ta r d , a c c u e il d a n s b o n n e fa m ille de la S u is s e fr a n ç a is e , a fin de p o u v o ir a p p r e n d r e la la n g u e fr a n ç a is e , s o it a u p a i r o u de p ré fé re n c e c o n tre a c a u e il d 'u n e fille d a n s n o tr e fa m illo . E . G a e b le r b ei F r a u S e eg er, B ia m a ro k a tra s s e 1, B n th o n o w a /H . T^KOlI
o lie c h a m b re m e u b lé e a 2 f e n ê tr e s . — a a u r te m a t., M m e P a u te x , 1, av . B o s q u e ts , S e r v e tte . 16029 V O N . F a m ille fr a n ç a is e p r e n d p e n a io n n . P r ix j t r . m o d . B o n i, 78, G r a n d ’B u e d e C u ire , L y o n . 16290[
E v e rg e r du G ra n d -L a n o y . P e n s io n . S ta tio n de j re p o s , ch au ff. c e n t. P r i x m o d ., 4 3 m in . tr a m . 16010M
o n a ie u r, S u is s e a lle m a n d , c h e r c h e p e n sio n d a n s fa m ille d is tin g u é e . — O ffres a v ec in d i c a tio n d u p rix , 1620, T r ib n n e , M o n n aie . 1E&95 p r e n d r . bébé e n p e n s io n . B ons so in s a s e u r. I E o r ir e , so u s 1614, T r ib u n e , M o n n aie . 16229 |)E N S IO N -F A M L L L E , M m e G IBO D -lJ’A VBifi, | c h a u fi. c e n t ., é le o tr ., b a in s . T é lé p h o n e . V illa les C èd res. 09, B o se ra ie . — P r i x m o d é ré s. i5P5*i | ÏE N S ÏÜ N D E F A M IL L E p o u r M essie u rs, oui- | s in e so ig n é e . — M ilo t, ru e T h a lb e rg , 2. 16221 |E N S I O N B A C IN E , P e tit- L a n o y , c h am b re * «d- s o le illé e s , o h au ffag e c e n t r a l. P r i x m o d é ré s . 16205EN SEIGN EM ENT
A
p p r e n e z l e s l a n g u e s e t r a n g k b k s . 2, P la c e B e l-A lr. A la F B E N C H -S C H O O L . D e m a n d e z le p ro s p e c tu s . Epaai g r a t u i t . HT8075k
n e ie n n e élève C o n s e rv a to ire , d o n n a le ç o n s de p ia n o , d é ch iffra g e , m u s iq u e d 'e n s e m b le . — r ir e s o u s C. B. 1880, oafle F u s ta r ie . 10299 n g faie ^ — M o n aie u r d o n n e le ç o n s, f r . 2 l'h e u r e . T r a d u c tio n s c ie n tif iq . e t c o m m e m . C o m p ta b . S to n e /lg , b o u le v a rd H e lv é tiq u e .__________ 16173L
n g la is e d is t., d o n n a la ç o n s p a r m é th . r a p id e . C onv. M lle W a l le r , Q u a i d e l à P o a te , 4, 2m . 16101 E R L IT Z -S C H O O L , p a ssa g e d es L io n s . L A N - _ GITES M O D E B N E S . E n t r é e e n t o u t te m p s , T R A D U C T IO N S . C o u rs d u s o i r : G f r . p a r m o is .— L e ç o n s p a r t i c u l i è r e s e t en p e t i t s g ro u p e s . HT8076ï ï
B
E O D E R 1 É , 5 tr . 6 le ç o n s. — S ’a d r .^ d V à 4 4 h . 239, C hA n e-T h ô n ex , a u 1er, p o rte à d r . 1@16 ’ o u ra , le ç ., la n g . e t lic té r a t. ita liu n n e a . A n g e loj F o s s a ti, p ro f, a c t n e l. r. L a u s a n n e , 11. HT8494
n
a m e F r a n ç a is e t. d is tin g u é e é c h a n g e r a i t le ç . a v ec p e rs . ru s s e d u v r a i m o n d e . (M o n sie u r ou D a m e B u sse p a s tr o p je u n e ) . B ép . a v ec a d r. e z a o te . b o u s lfi77. T r ib u n e , M o n n a ie . 1B191I
i hiM O lH K ijLE f r a n ç ., d ip l., d o n n e H le ç o n * , ô f r . |f r a n ç . . a lle m . M lle M aag, 11, r. P r a d i e r . 16063E
C O L E P I U I E I I de P A R IS n ’e x ig e A u c u n d ip lô m e C o u rs s p é c ia u x p e r m e t t a n t deT r a v a i l l e r a h ez soi
e t de n e v e n ir 4 l ’éco le q u e p o u r l a c o rre o tîo n .
E
C O L E D E R N O Ü L L I, s, ru e d ’I t a l i e , m a th é m a tiq u e s , s c ie n c e s, la n g u e s . P r é p .r a p i d e , ap* p ro f . 4 la M a tu r ité . B a c c a la u r é a t, P o ly t e c h n io u m . T78Ô5 T ^ r a n ç a is , g ra m m a ir e , c o n v e r s a tio n . L i t t ., l a t i n , | ; a lle m a n d , a r i t h m é t i q u e , a lg è b re , r é p é t i t i o n . M. O. P io t, pla'be M é tro p o le , 2, reç. 1 4 2 b . 15S60J
E C H K B C H Ë p o u r m u p e n s io n ilo ra ïu ilie , D A M E P B O F E S S E U B D E F B A N Ç A IS , d ip lô m é e , s a a h a n t b ie n a n g la is e t a lle m a n d , p o u r le ç o n s e t a o n v e r s a tiu n . T rè s bneB ré fé r. e x ig é e s . S it u â t, a v a n t a g . E c r ., a . 1619, T r ib u n e , M o n n aie . 16*244 | e u n e d a m e f r a n ç a is e d o n n e le ç o n s f r a n ç a is , | g r a m m a ir e , c o n v ,, a n g la is , p ia n o , o h a n t, 75 o t. E o r ir e so n s 149^, T r ib u n o , M o n n aie. 1586<1I
e ço n s p a r t , de p e in t., d u ssin , le p o n s s é e tc . P r . j m o d . B n u le v . P h ilo so p lie s , 1.1, 2 m e. d r. 1 H^fl6I
'E c o le p e r m a n e n te d û tjT E N O -U A l! l '^ L ü - j G R A P H IE , 1H, a v e n u e d u M ail. T é lé p h o n e , S tiil. — P la c e to u s ses é lèv es a p r è s tro ia m o isd ’étndeB . T8181
O nisae a lle m a n d , d ip l. 4 l ' U n iv e rs ité de Z u n o h . ^ é f h a n g . le ç o n s c o n v e r s a tio n d 'a lle m . c o n tr e f r a n ç a is . - H ilsli, r u e C o n se il-G é n é ra l. 16. 16222
A ' L O U E R
A
r e m e t t r e , p o u r é p o q u e a c o n v e n ir, b el a p p a r te m e n t do & p iè c e s. P r i x trè s a v a n t . S ^ d r ., J . Lcefïel, r u e d es E a n x -V iv e s . 2, 2m e._______ 16190 Â N IÈ R E 8 , m a is o n n p iè c es, r e m is a , v e r g e r , A tr a m s , b a t e a u x . — S 'a d r ., A lb a r o t, C o n fig n o n T é lé p h o n e . 122-10.________________ H T O 9^A
B E M E T T B E de an ite, à la c a m p a g n e , b e l a p p a r t e m e n t , 4 p iè c es, e a u , g a z , b a la o n . S 'a d r ., R e b e r- S e n a u d , v i l l a R e n é s , L e J o n o , G r a n d -S a c o n n e x . 16314A
r e m e ttr e do HU itu,bal a p p a r t e m e n t do o p ièces, trè s c o n f o r t., c h a u ffa g e c e n t r a l, c h a m b . b a in i n s t a l l é e , n e tto y a g e p a r le v id e . — S ’a d r., r o u te de C h ên e , 67. D r E r a t h , de 10 h. k 4 h. HT8472A
r e m e t t r e de s u ite , jo li uoinuiarct» p u u r umiuü, tr è s b ie n p la a é , b o n n e c lie n tè l e . P r ix a v a n ta g e u x . F a c i l i t é de p a i e m e n t . — S ’a d r ., O . 35, p o s te r e s ta n t e . M o n t-B la n c. 16072 i re m ., a v a n t , p e t i t c o m m , é p io ., f r u i t s , p rim ..tL\ e t oave, b. li t o é . — R n e P r n d iiv
E
p ic e rie , m e ru e rie ecu., i* ruiuubLi» u-.u^ q u a r t i e r p o p u le u x , r e c e tte s , fr. 100 p a r j o u r , lo y e r fr. 40;i, p o u r a rc a d e e t c u isin e , re p r. f r . 3500, o c c a sio n ex cep ta p o u r m é n a g e . — E . B a r r i s , a g e n e e , rn e d 'I t a l i e . 9. G enèvo.TROUVA ET PERDUS
)E R D U C H IE N D E C H A I S E . R a p p . c o n t. ré o ., p la c e des P h ilo s o p h a s , 12, a u 2 m e. 16225i
) E R D U ," m a r d i IH c o u r a n t, s u r lo p a r c o u r s G h a m p e l, B a s tio n s . C o r r a te r ie , r u e B asses, o la rd , B o u rg -d e -F o u r o t P o n t d u MnBée. e n t r e m id i et. 1 h e u r e , m o n tr e e t o h a în e m é t a l oxydé.^ R a p p o r t e r o o n tr e r é a o m p e n se , B o re l, o h e m in B e r tr a n d , 1. ____________ ___ _____I
)E K D U l u n d i, de 8 4 H h . d u s o ir, 4UU t r . e n b ille ts , p a r c o u r s do la r n e C a ro lin e . B a p p . o. b n e r é c o m p ., ohez M. C h a p u is-M o rs ie r, ta p is s ie r, r u e Caroline, *4, qui indiquera. 16291Avis i nos abonnés
P o u r «o n v r lr I r a i* de change,
meuts d’ adresse, noua prions a u abonnés de Joindra à len r dem ande la somma da lr . 0,20 ea tim bres- poste.
N
ÿ V P X T C L f ï ï MKHMINE, IN FLU EN ZX ,Il 1 ImLuiüiItaui<aTita | / r r n i SolREMEDE S 0 U V E R ÆIN.. .T. ■ -■ B«He(lopondresji.so. Cb.Bmeelo,
Toute* P h a tyn a o ies. B æ tt/e rte ..KEFOL”,
Q UESTIO NS P O L IT IQ U E S E T SOCIALES
Ce que coûterait une guerre
européenne
La Tribune a déjà donné un aperça de ce que coûterait une conflagration européennes. A son tour M. Edm ond Théry, directeur de Y Economiste Euro
péen, vient de publier une étude « Le
Bilan éventuel d ’une conflagration eu ropéenne ; » où il expose la situation financière de l’Europe, e t ce qu’elle deviendrait après une guerre générale.
Il fau t espérer pour la tranquillité des peuples e t pour leur avenir, que les spécialistes ne sont pas les seuls à con naître cet é ta t de choses, e t que les gouvernements en tiendront compte dans les m anœuvres politiques de l’heure actuelle, afin de ne pas arrêter net le mécanisme économique qui règle les fonctions de la vie industrielle et commer ciale.
Voyons la chose de plus près.
L ’é ta t financier de l’Europe, au cours de ces douze dernières années, se présente ainsi : l’encaisse or de toutes les banques d’émission de l’Europe est passée de 8.556 millions à 13.684 millions de francs ; l’encaisse argent de 2.763 millions à 2.870 millions de francs e t la circulation fiduciaire (billets de banque, etc.) a progressé de 14.645 millions à 21.885 millions de francs.
E n cette année 1912, fertile en événe m ents tragiques, l’Europe possède environ 750 milliards de fr. de valeurs mobilières (capital nominal), qui représentent à la fois son outillage de production, le capital roulant de son industrie, de son agricul ture e t de son commerce, ses réserves e t ses fonds de prévoyance.
Chaque année, ces valeurs s’accroissent de 20 à 25 milliards, e t circulent de mains en m ains comme du véritable numéraire, par la raison que ceux qui les détiennent ou les achètent sont assurés de les pou voir réaliser en num éraire au cours du jour, en les p o rtan t chez un agent de change ou dans un établissem ent de crédit.
L ’organisme fonctionne à merveille en tem ps ordinaire ; mais il n ’en est pas de même lorsqu’il survient quelque grave préoccupation d’ordre politique, surtout d’ordre international. Le num é raire diminue alors sa vitesse de circula tion, parce que ceux qui le détiennent au m om ent d’un conflit o n t une raison to u te naturelle de la garder en caisse e t de le conserver pour asssurer leurs lendemains.
De plus, si l’on veut tenir compte qu’en regard des 750 milliards de valeurs mo bilières que possède l’Europe, e t des 50 à 60 milliards de billets de banques, chè ques ou effets de commerce qu’elle a en circulation, il n’existe, dans l’ensemble des nations européennes, que 35 à 40 milliards de francs de num éraire (dont le bon tiers est prisonnier dans les caisses des E ta ts ou des banques d ’émission ), il est facile de se rendre compte quels seraient l’immense catastrophe que pro duirait une guerre entre des grandes n a tions de l’Europe e t ses effets désastreux sur le crédit public en général.
Voici ce qui ce produirait très vraisem blablem ent :
Dès l’annonce d’une grande guerre, tous les capitalistes chercheraient à réali ser une plus on moins grande partie de leurs valeurs, e t cela alors que personne n ’en voudrait plus acheter ; comme on l’a vu, du reste, sur une moindre échelle, le jour où les Japonais ont coulé la flotte russe à Port-A rthur.
Pour se fixer sur le danger qui m ena cerait l’Europe le jour d’une conflagration générale, il suffit de se reporter au mou vem ent financier qui s’est produit entre le lundi 30 septembre e t le samedi 12 octobre dernier. Lorsque le Monténégro .i déclaré la guerre à la Turquie, l’ensem ble des valeurs mobilières de l’Europe a baissé de 30 à 35 milliards de francs, et sur cette baisse, la perte de la France seulement, a été d ’environ 4 milliards.
Afin d’expliquer pourquoi cette cause, circonscrite en un seul point, a pu pro duire un aussi grand effet, on rappelle que la question d’Orient, endormie par le traité de Berlin de 1878, a été brusque m ent réveillée par l’annexion de la Bos nie e t de l’Herzégovine à l’Autriche, et qu’elle peut, par l’obstination de cette dernière à refuser à la Serbie des droits que celle-ci estime justifiés, rem ettre aux prises les grands E ta ts de l’Europe, en provoquant une guerre formidable d ont l’histoiro du monde ne montre pas d’exemple.
Croyons que la crise partielle que vien nent de subir les marchés européens paT le seul fait de la guerre balkanique, m ontrera aux gouvernements des grandes puissances la catastrophe économique, financière e t sociale qui les attein d rait fatalem ent si, par m alheur, nn conflit armé se produisait entre l’Autriche et la Russie, car il ne leur est pas permis d’oublier que to u t l’édifice de la civili sation e t du progrès social repose a u jourd’hui sur le crédit public, chose du monde la plus fragile.
L a seule perspective d’une guerre européenne probable, causerait de tels désastres dans tous les rangs de la société • t com prom ettrait si gravem ent les in térêts généraux de l’Europe, qu’il sem ble presque impossible que les grandes puissances n’arrivent pas à localiser la guerre à la seule presqu’île balkanique.
Valentin D E L E G R A Z .
C h r o n i q u e U a u d D is s
Clôture. — La session de Noël. — Le rem placement de M . F. Virieux. — La diminution du nombre des membres du Grand Conseil. — Un bel enterre ment en 'perspective.
Lausanne, 19 novembre. Après six jours de séances, le Grand Conseil a clos cet après-midi sa session. Il a fait, dans un excellent esprit, beau coup de besogne. Il en a u rait fait davan tage encore si toutes les commissions avaient travaillé au gré de la présidence.
H est plus que probable que le Conseil aura, à la fin â e décembre, u n bmskbi
extraordinaire, une a session âe Noël • jjia u ékse an conseil]er à’E ta t. en rem
placement de M. F . Virieux, qni sei( nommé, un de ces jours, par le ConseQ d ’E ta t, directeur de la Banque canto< nale vaudoise, à la place de M. Luc D » coppet, décédé. j La nom ination a été différée afin qn« M. Virieux p û t encore prendre part, ea qualité de chef du D épartem ent dea finances, à la discussion de plusieurs projets e t questions de son ressort 3 budget, loi d ’impôt, défalcation de* dettes hypothécaires, etc.
De nouvelles compétitions o n t surgif les papables se m ultiplient. D ’ici à NoBlj le terrain sera déblayé, e t nous aurons le tem ps d’en reparler.
***
Dans la session de Noël, viendra égale* m ent la question de la diminution d u nombre des membres du Grand Conseil,' appuyée, l’autre lundi, p ar une motion signée de quarante-huit députés. L a commission à laquelle cette motion av ait été renvoyée, a rapporté ce m atin, p al l’organe de M. A. de Meuron.
L a question n ’est pas précisément nouvelle : c’est bien la sixième fois qu’elle se pose ! Elle fu t discutée en 1861 déjà, puis en 1884 e t 1885, à la Constituante,
E
uis en 1899, p ar une motion de M. Jo h n .andry, député d’Yverdon, qui, renvoyée au Conseil d’E ta t pour étude et rapport, to u t comme aujourd’hui celle de M. E d. Collet, dort paisiblement dans les cartons de l’adm inistration.Une fois même, la question a été sou* mise au peuple : c’était en 1878, le 26 fé. vrier; deux questions furent posées aux électeurs, sur lesquelles se divisèrent les partisans do la réforme, si bien.q(i’ils restèrent en minorité, e t que, plus heu reux que dans les Balkans, le statu quo triom pha.
A l’unanimité, la commission a proposé1 e t le Grand Conseil a voté la prise en considération de la motion e t son renvoi au Conseil d’E ta t pour étude.
Le groupe libéral de l’assemblée, to u t en s’associant à ce renvoi, a expressé m ent réservé son opinion e t son vote ultérieur sur les diverses questions que peut soulever la réduction proposée. Il a demandé que la question soit étu diée sur toutes ses f^ces, notam m ent en ce qui concerne la base de la députa tion, l’étendue des circonscriptions élec torales, la représentation équitable des minorités.
La question s’est posée de savoir s’il é ta it possible de procéder à la révision demandée pour les élections générales du prem ier dimanche de m ars prochain.' On en doute. Mais si l’on ne peut aboutis pour la date fixée p ar la Constitution, il fau t la proroger et cette prorogation ne pourra se faire qu’avec l ’approbation populaire. D ’autres estim ent qu’un sim ple décret du Grand Conseil suffirait.
L e Conseil d’E ta t a déjà fait l’étude qu’on lui demande. Dès qu’il a eu con naissance des résultats du recensement décennal des électeurs, il s’est préoccupé de la solution à donner à la question posée par la m otion Collet. Son rap p o rt est prêt ou peu s’en faut. Il proposera comme base d ’élection, quatre cents (au lieu des trois actuels) électeurs inscrits. Mais 3 estime qu’il est impossible, é ta n t donné le caractère foncièrement conservateur des populations vaudoises, de touchei à la circonscription actuelle, qui est lai « cercle » e t q u ’il ne fa u t pas songer à prendre le district comme circonsoriir tion électorale. D ’au tre p a rt, avec la nouvelle base, nom bre de cercles per draient un, même deux députés. Les
beati possedentes des notre h a u te assem
blée se dem andent déjà, comme le bon cam arade de la chanson : « Est-ce pons moi, pour toi »? Qui seTa a tte in t pas le boulet rapide? Il ne fa u t pas demandes aux gens de se guillotiner eux-mêmes, ni de se laisser décapiter par persuasion.
Tenez donc pour certain que la motion Collet ira rejoindre dans la poussière des tom beaux adm inistratifs, la motion J . L andry de 1899 e t que, si elle en sort jamais, le Grand Conseil lui fera un super be enterrem ent. ■
■— (l —d.
CONFEDERATION
— Nos approvisionnem ents de bié. v.
Notre correspondant nous mande de
Berne :
-Les chemins de fer royaux d ’Italie o n t répondu affirmativement à la demande des C. F. F. tendant à la réduotion dea tarifs de transport des blés de Gênes en Suisse) par lo Gothard e t le Simplon, de façott. à assurer notre approvisionnement en blëfl par la Méditerranée.
Bien que les C. F. F. consentent à réduire) aussi leurs tarifs, on calcule que cette me sure ne leur causera, en raison de l’augmen- f tation du tarif, aucun préjudice.
Aussi pense-t-on que la commission
d’experts désignée par le Conseil fédéral» qui doit se réunir prochainement, ratifiera l’entente intervenue entre les deux réseauxi
— Une Suissesse victime de la guerre. Une dépêche de Sofia, parvenue à Berne, a informé la famille Martig, que M. Stceff a été tué devant K irk Kilissé par nn obus turo qui lui a emporté une jambe. Le défunt avait épousé une des filles de M. Martig, ancien di recteur de l’Ecole normale de Hofwil; il était officier dans l’année bulgare e t occupait une hante situation administrative. Sa veuve est la sœur de Mme Andréas Fisoher, dont le mari perdit la vie cet été dans un accident d a
montagne survenu à l’Aletshom.
— Contre le oholéra.
On écrit de Berne à la Bevue : ^
« L’épidémie de choléra qui a éclaté dans les rangs de l’armée turque n’a pas
surpris les milieux médicaux, où l’on B a
vait que le choléra régnait depuis plusieurs mois dans plusieurs régions de l’Asie Mineure. Néanmoins, il est incontestable que, malgré la saison peu favorable à la propagation de la maladie, le foyer im portant qui vient de se révéler aux confins de l’Europe cona> titue un danger appréciable et le servit* sanitaire suit de près les progrès du fléan. Les pays qni Bont directement menacé! prennent heureusement des mesures d4 précaution sérieuses. C’est ainsi que depuiâ huit jours, les commandes de sérum anti cholérique affluent à l’in stitu t bactério* /ogiquo de Berne, qui redouble d’activité* Ces commandes proviennent essentielle ment de la Grèce, mais bon nombre sont faites aussi de Constantinople. »
— Le comte Louis de Romain.
La ville d ’Anger va élever un monument1 à un de ses concitoyens les plus éminents, le
comte Louis de Romain, qui est mort ü y
a peu de moiB, à Fribourg, à la Buite d ’un* longue e t cruelle maladie e t qui avait « a Suisse Tomande de nombreuses e t fortes a t taches. Il avait épousé, en effet, une des filles de M. de Diesbach, et, chaque année, il ve nait passer de longs mois de villégiatusd dons l ’une dee résidences de oette grand# famille fribonrgeoise.
Beaucoup d 'écrivaina e t d ’artistes geae|
t o î s e t s a i n e s o n t tx w v é o h e a l a i , Vfcaou<nl
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