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Groupe de recherche en pédagogie universitaire

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Academic year: 2022

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Groupe de recherche en pédagogie universitaire

Monique Levesque et Cynthia Potvin Université de Moncton, Moncton, Canada

Monique.Levesque@umoncton.ca, Cynthia.Potvin@umoncton.ca Résumé

La recherche fait partie intégrante du rôle de la professeure ou du professeur universitaire selon sa discipline. Cependant au cours des dernières décennies, un autre type de recherche s’est ajouté comme potentiel : il s’agit de la recherche en pédagogie universitaire ainsi que le Scholarship of Teaching and Learning (SoTL) (ci-après la recherche en pédagogie universitaire). Ce nouveau champ de recherche s’est taillé une place dans le monde anglo-saxon, mais il en est à gagner ses galons dans la Francophonie.

Cette recherche exploratoire s’appuie sur l’appel à l’action de l’équipe Maheux-Pelletier et al.

(2017) pour reconnaitre la recherche en pédagogie postsecondaire (RePP) francophone comme une branche distincte afin de soutenir la diffusion des travaux et adopter des pratiques innovantes. Quoi de mieux pour agir ensemble que de se doter d’une structure en milieu francophone canadien. Par structure, on entend ici tout groupe, laboratoire, centre et chaire qui appuient et valorisent la recherche et agissent à titre de pratique innovante pour cette branche de recherche. Deux objectifs guident la recherche. Il s’agit, dans un premier temps, d’identifier des éléments clés qui permettent d’établir un mode de fonctionnement qui encourage la recherche en pédagogie universitaire et, dans un deuxième temps, de déterminer des éléments de structure d’un modèle opérationnel.

Les 14 universités canadiennes francophones constituent la population à l’étude. Les variables se regroupent en trois thématiques, soit : (1) la taille de l’institution, afin de détailler la population estudiantine et professorale, (2) les centres en pédagogie universitaire, afin de documenter la direction, la structure, la mission et leurs objectifs, où une attention particulière a été portée sur la pédagogie universitaire, et (3) les moyens de promotion de la recherche en pédagogie universitaire.

Les données proviennent de l’analyse des informations obtenues à partir des sites Web de universités canadiennes francophones à l’étude. Les éléments clés ressortis de l’analyse des variables sont des ressources humaines, financières et informationnelles. Qui plus est, on constate

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une analogie entre la taille des universités et les acteurs et actions menées dans les institutions par rapport à la recherche en pédagogie universitaire. Malgré ce constat, les petites universités font preuve d’évolution vers cette branche de recherche en ayant emboité le pas à leur façon afin de combler les besoins des différents acteurs.

Les données ont aussi permis d’élaborer les critères essentiels à considérer dans le développement d’une structure en recherche en pédagogie universitaire et plus particulièrement pour les petites universités. Au nombre de quatre, il s’agit premièrement, des acteurs, soit les chercheuses et les chercheurs; deuxièmement, du cadre qui guide la structure; troisièmement, de l’appui institutionnel et finalement, de la permanence de la structure. Le fil conducteur de ces éléments est l’importance des rôles et interactions des différents acteurs. Donc, à l’appel à l’action de Maheux-Pelletier et al.

(2017), une structure de recherche en pédagogie universitaire peut devenir une pratique innovante.

Abstract

Research is an integral part of the role of the university professor depending on his or her discipline.

But over the decades, another type of research has been added as a potential and it is research in university pedagogy as well as Scholarship of Teaching and Learning (SoTL) (hereinafter research in university pedagogy). This new field of research has carved out a place for itself in the Anglo- Saxon world, but it is gaining its stripes in the Francophonie.

This exploratory research builds on the Maheux-Pelletier team's call to action (2017) to recognize research in Francophone post-secondary pedagogy (their formulation of research in university pedagogy) as a distinct branch to support the dissemination of work and adopt innovative practices.

What better way to act together than to have a structure in a French-speaking Canadian environment. By structures, we mean any group, laboratory, center and chair that support and promote research and act as an innovative practice for this branch of research. Two objectives guide the research, and it is first to identify key elements that make it possible to establish a mode of operation that encourages research in university pedagogy and secondly, to determine structural elements of an operational model.

The fourteen French-speaking Canadian universities make up the study population. The variables are grouped into three themes: (1) the size of the institution, in order to detail the student and faculty population, (2) the centers in university pedagogy, in order to document the direction, structure, mission and their objectives, where particular attention was paid to university pedagogy, and (3)

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the means of promoting research in university pedagogy. The data were obtained by analyzing information obtained from the latter's websites. The key elements that emerged from the analysis of the variables are human, financial and information resources. Moreover, there is an analogy between the size of universities and the actors and actions carried out in institutions in relation to research in university pedagogy. Despite this observation, small universities are moving towards this branch of research by following suit in their own way in order to meet the needs of the various actors.

The data has also made it possible to develop the essential criteria to be considered in the development of a research structure in university pedagogy and more particularly for small universities. There are four of them: firstly, the actors, i.e. the researchers, secondly, the framework guiding the structure, thirdly, the institutional support and finally, a permanence of the structure.

The common thread of these elements is the importance of the roles and interactions of the different actors. So, to the call to action of Maheux-Pelletier et al. (2017), a research structure in university pedagogy can become an innovative practice.

Mots-clés : Démarche SOTL, Interactions individuels/collectifs, Interaction individuels/institutionnels, Création de dispositifs d’accompagnement

1. Contexte

La recherche fait partie intégrante du rôle de la professeure ou du professeur universitaire. Bien entendu, par « recherche », on entend tout d’abord celle qui se rattache directement à l’objet d’étude propre de la discipline d’intérêt de la personne professeure-chercheure. N’oublions pas, cependant, que toute professeure ou tout professeur se doit de livrer des cours dans son champ de spécialisation. Étant bien loin de l’enseignement traditionnel magistral, la professeure ou le professeur universitaire gravite maintenant dans les nouvelles tendances en enseignement. Que l’on pense simplement à l’intégration des technologies, à la conception universelle de l’apprentissage, à la créativité, à l’internationalisation des curriculums, à l’apprentissage expérientiel, bref, la professeure ou le professeur universitaire n’a d’autre choix que d’innover la forme de prestation de ses cours. Que dire de l’enseignement à distance qui a accaparé tous les acteurs de l’enseignement où les nouvelles pratiques et outils étaient à l’honneur! Bien que la composante d’enseignement permette à la professeure ou au professeur de remplir bonne part de ses fonctions, elle n’est malheureusement pas aussi valorisée que la composante recherche. Pour contrer cette lacune, le

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Groupe de recherche interdisciplinaire en pédagogie universitaire (GRIPU) a vu le jour à l’Université de Moncton, Canada.

Créé en 2018, le GRIPU a pour mission de promouvoir la recherche dans divers domaines de l’enseignement universitaire, appliquée à différentes disciplines (p. ex., l’éducation, la santé, les langues, l’administration, les technologies, etc.). Ainsi, le GRIPU se concentre spécifiquement sur la pédagogie universitaire. Non seulement est-il interdisciplinaire, mais il inclut divers acteurs de l’enseignement universitaire, ce qui lui permet d’aborder différentes facettes des sujets de recherches à partir d’une gamme de perspectives pour mieux redéfinir l’expérience d’enseignement et d’apprentissage. Grâce à des rencontres mensuelles et l’ajout continu de membres, autant du corps professoral des différentes facultés que des professionnelles et professionnels des services de soutien étudiant et des services technologiques, les objectifs du groupe se sont formalisés à un point tel qu’il bénéficie depuis 2019 de la reconnaissance institutionnelle de la part de la Faculté des études supérieures et de la recherche de l’université. Quant à elle, l’Université de Moncton est reconnue comme la plus grande université francophone hors Québec, mais sa réalité est celle d’une population estudiantine d’approximativement 5 000 et d’un corps professoral qui s’approche de 300 collègues. Il s’agit donc d’une petite institution universitaire dont une de ses particularités est d’être située en milieu minoritaire autant municipal que provincial et fédéral.

2. Les objectifs de la recherche

La participation à des colloques d’envergure nationale et internationale qui portent sur la pédagogie universitaire et le Scholarship of teaching and learning (ci-après recherche en pédagogie universitaire) a permis à plusieurs des membres du GRIPU d’apprécier l’évolution de son fonctionnement tout en questionnant comment encourager ce type de recherche. Pour ce faire, le GRIPU recourt à l’appel à l’action lancé par Maheux-Pelletier et al. (2017 : 12) dans le but de répondre à une inquiétude que ces derniers ont avancée, c’est-à-dire de « situer la RePP [recherche en pédagogie postsecondaire] en français à l’intérieur (nested within) ou englouti (swallowed up) par les origines anglocentriques de la RePP et ses sphères de diffusion anglodominantes ». Une réponse possible est de considérer la RePP en français « comme une branche distincte de cette forme de recherche, car cette perspective enrichit le domaine, multiplie les possibilités, ouvre le dialogue et adopte une posture intellectuelle » (Maheux-Pelletier et al., 2017 : 12).

Alors que Maheux-Pelletier et al. (2017) mettaient l’accent sur les publications en RePP, l’appel à

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l’action de ces chercheurs guide les objectifs de notre recherche pour considérer les structures de recherche en pédagogie universitaire, et plus particulièrement les structures francophones au Canada, comme un mode d’agir ensemble dans la recherche en éducation postsecondaire. Le terme structure est utilisé comme équivalent soit d’un groupe, d’un centre, d’un laboratoire ou encore, d’une chaire de recherche. Le premier objectif est d’identifier des éléments clés qui permettent d’établir un mode de fonctionnement qui encourage la recherche en pédagogie universitaire. Quant au deuxième objectif, il s’agit de déterminer des éléments de structure d’un modèle opérationnel.

3. La méthodologie

Afin de répondre à ces objectifs, une recherche exploratoire a été menée dans le but de se familiariser avec les fait découlant d’expériences d’autres structures. Ayant comme population cible les 14 universités francophones canadiennes, la recherche a été effectuée grâce aux informations obtenues à partir des sites Web de ces dernières. Lesdites universités à l’étude sont : l’Université de Montréal (Québec), l’Université Laval (Québec), l’Université du Québec à Montréal (Québec), l’Université du Québec à Trois-Rivières (Québec), l’Université de Sherbrooke (Québec), l’Université Ste-Anne (Nouvelle-Écosse), l’Université de Moncton (Nouveau- Brunswick), les Universités du Québec à Rimouski, à Chicoutimi, en Outaouais et en Abiti- Témiscamingue (Québec), l’Université Laurentienne (Ontario), l’Université St-Boniface (Manitoba) et l’Université St-Jean (Alberta).

Les variables se regroupent en trois thématiques, soit : (1) la taille de l’institution, afin de détailler la population estudiantine et professorale, (2) les centres en pédagogie universitaire, afin de documenter la direction, la structure, la mission et leurs objectifs, où une attention particulière était portée sur la pédagogie universitaire, et (3) les moyens de promotion de la recherche en pédagogie universitaire. La présente recherche tente d’identifier les éléments clés pour suggérer un mode qui encouragerait la recherche en pédagogie universitaire chez les petites universités francophones canadiennes.

4. Les constats

Parmi les 14 universités francophones canadiennes à l’étude, cinq d’entre elles sont regroupées à titre de grandes universités et se trouvent dans la province de Québec, seule province majoritairement francophone au Canada. Le critère déterminant a été la population estudiantine de

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plus de 10 000. Il s’agit de l’Université de Montréal, l’Université Laval, l’Université du Québec à Montréal, l’Université du Québec à Trois-Rivières et finalement, l’Université de Sherbrooke. Les autres universités sont reconnues comme de petites universités et se trouvent dans six différentes provinces du Canada. Il s’agit de l’Université Ste-Anne (Nouvelle-Écosse), l’Université de Moncton (Nouveau-Brunswick), les Universités du Québec à Rimouski, à Chicoutimi, en Outaouais et en Abiti-Témiscamingue (Québec), l’Université Laurentienne (Ontario), l’Université St-Boniface (Manitoba) et l’Université St-Jean (Alberta).

On constate une analogie entre la taille des universités et les acteurs et actions menées dans les institutions par rapport à la recherche en pédagogie universitaire. Pour leur part, les grandes universités sont dotées de divers types de structures, soit d’un groupe, d’un centre, d’un laboratoire ou encore, d’une chaire de recherche qui portent sur la pédagogie universitaire. Qui plus est, elles offrent des formations de recherche en pédagogie universitaire en plus de valoriser cette dernière et elles reconnaissent les contributions pédagogiques du corps professoral en remettant annuellement différents prix. Quant aux petites universités, elles reconnaissent régulièrement le corps professoral par la remise d’un ou des prix. Il y a peu ou pas d’activités qui portent sur la recherche en pédagogie universitaire. Toutefois, on constate une évolution d’une part et d’autres.

En effet, bien que les grandes universités aient une longueur d’avance sur les petites universités quant à une organisation qui promeut la recherche en pédagogie universitaire, il n’en reste pas moins que l’on peut détecter chez les petites universités qu’elles ont emboité le pas à leur façon, et ce, dans le but de combler les besoins des différents acteurs.

Les éléments clés ressortis de l’analyse des variables sont des ressources humaines, financières et informationnelles. Les ressources humaines priment, car, dans un premier temps, ce sont celles qui permettent un engagement vers des projets et la promotion de la recherche en pédagogie universitaire. Le leadership des chercheuses et chercheurs pour la réussite de projets solidifie le fonctionnement de la structure. Qui plus est, plus la structure prend de l’importance par la qualité de ses activités, projets et recherches, plus le financement pour mener vers une permanence d’opération se confirme. Ce financement est institutionnel et gouvernemental. Pour leur part, les ressources informationnelles comportent différentes facettes. Elles permettent dans un premier temps d’informer les intéressés à en apprendre davantage sur la recherche en pédagogie universitaire et peut les mener à adhérer aux différentes structures. Elles permettent aussi de partager les projets en cours et les activités à venir ainsi que de devenir un site de référence.

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5. Modes de fonctionnement privilégiés

Les informations rattachées aux variables retenues font valoir qu’il n’existe pas un modèle spécifique chez les grandes universités, mais que leur réalité semble répondre à différents besoins et que la recherche en pédagogie universitaire a sa place. Quant aux petites universités, deux institutions ont une forme d’organisation qui se prête au développement de la recherche en pédagogie universitaire. Premièrement, l’Université du Québec à Chicoutimi (UQAC), conjointement avec le secondaire et le collégial, a un groupe de recherche pour répondre aux particularités de leur région et leurs besoins. Deuxièmement, le GRIPU, à l’Université de Moncton, quant à lui évolue avec les recherches faites par ses membres de façon individuelle ainsi que par la recherche collaborative initiée par l’entité.

À partir de ces données, quels seraient les éléments clés à considérer lors de la mise sur pied d’une structure? Premièrement, il s’agit des acteurs, soit les chercheures et chercheurs. Celles-ci et ceux- ci peuvent regrouper des membres du corps professoral, mais aussi les professionnelles et professionnels d’appui à l’enseignement tel que le soutien technologique, le soutien à l’apprentissage, le soutien à la pédagogie de même que les bibliothécaires. Ces acteurs doivent faire montre d’un certain engagement vis-à-vis de la recherche en pédagogie universitaire en plus d’identifier le ou les leaders qui pourront mener le projet. Deuxièmement, il s’agit de son cadre, soit la vision, la mission et les objectifs établis de la structure. La régularité des activités est nécessaire afin de garder le momentum et d’assurer la réalisation des projets. Troisièmement, l’appui de l’institution joue un rôle clé, que ce soit par la valorisation de la recherche en pédagogie universitaire, la reconnaissance de la structure, l’appui financier nécessaire à son fonctionnement et ses activités, et la promotion des résultats de la structure. Quatrièmement, une permanence de la structure qui satisfait les besoins de la croissance découlant de ses réalisations ainsi que de son évolution.

Ces éléments ont un fil conducteur, celui de l’importance des rôles et des interactions des acteurs et de l’institution. Au sein de l’institution, la mise en place d’une structure de recherche en pédagogie universitaire ne se fait pas en silo, mais bien collectivement dans une approche interdisciplinaire résultant de ses membres, des intérêts de recherches, des besoins en formation ainsi que des particularités des différentes activités. Des interactions externes à la structure et l’institution, soit les autres structures de recherche en pédagogie universitaire, surtout celles des

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grandes universités, sauront la doter de conseils pratiques et démontrés par les expériences de ces dernières.

6. Conclusion

L’exploration de ces différentes structures qui ont en priorité la recherche en pédagogie universitaire a confirmé que, même s’il s’agit d’un champ d’expertise relativement nouveau, des résultats, tels que des conférences, des écoles d’été, des publications, sont déjà escomptés. Les petites institutions ont, elles aussi, le droit de favoriser ce champ de recherche et c’est à travailler avec les leurs ainsi qu’avec d’autres structures qu’elles pourront assurer un avenir à ce champ de recherche.

Maheux-Pelletier et al. (2017) l’indiquent explicitement, les chercheuses et chercheurs francophones ont un rôle à jouer et doivent valoriser eux-mêmes le français comme langue légitime et souhaitable dans la diffusion de leurs travaux, tout en adoptant des pratiques innovantes pour que leur voix soit entendue au-delà des frontières linguistiques. Delà la proposition d’une structure de recherche en pédagogie universitaire quel que soit la taille de l’université.

Références bibliographiques

Maheux-Pelletier, G., Rukholm, V., Groen, J. et Vézina, N. (2017). Nested Within or Swallowed Up: Le dilemne des chercheurs francophones en pédagogie postsecondaire au Canada. The Canadian Journal for the Scholarship of Teaching and Learning, 8(2), 1-14.

https://doi.org/10.5206/cjsotl-rcacea.2017.2.7

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