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UNIVERSIDADE FEDERAL DE UBERLÂNDIA INSTITUTO DE LETRAS E LINGÜÍSTICA

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Academic year: 2022

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Texte intégral

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EXAME DE PROFICIÊNCIA PROFLIN - 27/08/2016 HUMANAS

LÍNGUA FRANCESA

Candidato(a):___________________________________________________________

RG:___________________________________________________________________

Assinatura:_____________________________________________________________

INSTRUÇÕES

• NÃO É PERMITIDA A IDENTIFICAÇÃO NAS FOLHAS DE RESPOSTAS.

• OS EXAMES TERÃO A DURAÇÃO MÍNIMA DE 1 HORA (o candidato não poderá concluir ou se ausentar da sala de exames antes desse tempo) E MÁXIMA DE 3 HORAS, IMPRORROGÁVEIS (não há tempo adicional para transcrição de respostas escritas em rascunho).

• AS RESPOSTAS DEVEM SER REDIGIDAS SOMENTE EM PORTUGUÊS.

• AS QUESTÕES DEVEM SER RESPONDIDAS À TINTA (azul ou preta).

• OS RASCUNHOS DEVERÃO SER ENTREGUES AO EXAMINADOR JUNTAMENTE COM AS FOLHAS DE RESPOSTAS.

• É PERMITIDO O USO DE DICIONÁRIOS IMPRESSOS, mas não é permitido o empréstimo de dicionários ou o uso de dicionários ou tradutores eletrônicos.

• É PROIBIDO O USO DE EQUIPAMENTOS ELETRÔNICOS (telefones celulares, calculadoras, i-pod, etc.) durante a realização dos exames.

• AS RESPOSTAS DEVEM ESTAR SEMPRE DE ACORDO COM O TEXTO ANEXO E NÃO DEVEM CONTER TRADUÇÕES DIRETAS, INTERPRETAÇÕES SUBJETIVAS OU COMENTÁRIOS DO CANDIDATO, NEM APRESENTAR EXEMPLOS BUSCADOS FORA DO TEXTO.

Boa prova!

UNIVERSIDADE FEDERAL DE UBERLÂNDIA INSTITUTO DE LETRAS E LINGÜÍSTICA

Av. João Naves de Ávila, 2121 – Campus Sta. Mônica, Bl. U - Sala 1U206 CEP: 38408-100 – Telefax: (34) 3239-4162

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EXAME DE PROFICIÊNCIA PROFLIN - 27/08/2016

LÍNGUA FRANCESA

HUMANAS

TEXTE: LA MORALE DANS LES RELATIONS INTERNATIONALES

QUESTÃO 1:

Enumere e explique, sucintamente, quais são os três componentes do tropismo liberal do sistema internacional, conforme discutido no texto.

Questão 2:

Explique, sob a perspectiva do autor, a necessidade de se analisar as relações da moral e da ética nas relações internacionais.

Questão 3:

Faça um resumo em, no máximo, 15 linhas, do item “Les nouveaux enjeux moraux” :

Questão 4:

Discuta o trecho:

«La confrontation avec le terrorisme a une particularité, elle a mis à l'ordre du jour une question, la prévention. Les guerres préemptives et préventives peuvent-elles être justes ? Une réponse satisfaisante à cette question oblige à avoir une lecture critique des textes millénaires de la guerre juste. Certes, la guerre offensive y est le plus souvent condamnée (la guerre juste est défensive). Cependant, des doutes demeurent, notamment lorsque les dirigeants d'un Etat sont convaincus de « l'intention perfide » de son potentiel attaquant.»

Questão 5:

Proponha um título representativo, em português, abrangendo a idéia central discutida no texto.

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La morale dans les relations internationales 1

Ariel Colonomos

Des théories de la guerre juste aux ONG qui manient l'éthique pour critiquer les États, la morale imprègne les relations internationales. Sous le regard des censeurs, le monde se divise entre bons et mauvais, partenaires et parias.

La défense des droits de l'homme ou de la démocratie justifie-t-elle de déclencher une guerre contre un autre pays ? Est-il acceptable d'imposer des sanctions économiques à une nation tout en sachant les conséquences que cela ne manquera pas d'avoir sur les populations ? Ou encore : les Etats impliqués dans la traite des esclaves doivent-ils payer pour leurs fautes passées ? Ces interrogations que chacun a pu entendre montrent à quel point le questionnement moral s'est immiscé dans notre actualité internationale. Il en constitue, consciemment ou non, l'une des principales grilles de lecture. Pour cette raison, le débat sur la morale est résolument contemporain bien qu'il convoque des traditions éthiques millénaires, qui sont souvent mobilisées, réinterprétées et utilisées par les praticiens plus ou moins vertueux des relations internationales.

Un savoir à plusieurs voix

Le dialogue des spécialistes des relations internationales et des philosophes autour de l'éthique peut se résumer ainsi. « Il devrait y avoir de l'éthique », proclament juristes et idéalistes. Cette tradition est ancienne. Au XVIIe siècle, le droit des gens fait valoir des critères normatifs pour réguler la guerre et encadrer la paix. Au sein de cette tradition, Hugo Grotius (1583-1645) est sans doute l'auteur le plus connu.

Ce précurseur prône une philosophie qui annonce le droit de tuer tout en soulignant la nécessité de la retenue et de la tempérance lorsque, par exemple, le vainqueur en fait usage après une guerre. Une autre tradition, celle de la « guerre juste », se situe dans une filiation chrétienne qui remonte à Augustin et rencontre la pensée thomiste. « L'éthique n'a aucune existence !, leur assènent, à compter des années 1930, ceux que l'on nomme les « réalistes », Assez, les belles âmes ont suffisamment fait de ravages » (i.e. l'échec de la Société des Nations). Il faut prendre conscience de la « réalité » : les relations internationales sont gouvernées par la poursuite de l'intérêt national et la maximisation de la puissance. Depuis Hans Morgenthau jusqu'à John Mearsheimer, les auteurs de cette tradition vantent les mérites d'une raison froide et impersonnelle. C'est sans compter la venue de nouveaux politistes. « Les relations internationales sont plus morales qu'il n'y paraît », disent les constructivistes. Notamment dans le sillage de Peter Katzenstein, plusieurs auteurs s'engagent sur cette voie à compter des années 1990 et veulent apporter la preuve que les relations internationales produisent des normes, des valeurs et une morale: pour des raisons contingentes, l'international peut, par moments, se révéler une scène morale. Aspirant à combler les lacunes de ce monde imparfait, précisément parce que contingent, de nouveaux venus font leur entrée sur cette scène encombrée. Ce sont des philosophes de la justice et de la morale, le plus souvent de la tradition de la philosophie analytique. Appelons les

1 Texto disponível em http://www.scienceshumaines.com/la-morale-dans-les-relations-internationales_fr_6485.html.

Acesso em 24/08/2016.

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« normativistes » : leur vocation est de proposer « les meilleurs des critères dans le cadre des plus cohérents des argumentaires ». Pour l'heure, pas moins de quatre corporations se côtoient donc sur cette plate-forme parfois instable : juristes, réalistes, politistes constructivistes, philosophes.

Ce dialogue à plusieurs voix et plusieurs niveaux témoigne de toute la complexité d'un objet qui ne saurait être bien compris si son analyse n'était pas interdisciplinaire. L'incompréhension et la surdité sont courantes. Il n'en demeure pas moins que le défi interdisciplinaire est stimulant. Si la barque est pleine, c'est aussi parce que l'éthique a été trop longtemps refoulée des études internationales.

Le réalisme avait verrouillé l'accès à la discipline pendant la guerre froide, les réalistes avaient monopolisé la parole légitime dans les études internationales.

Cependant, tout empire périra. La chute du mur de Berlin détrône le réalisme de sa position hégémonique dans le champ académique, la voie est ouverte pour le traitement de nouveaux sujets et de nouvelles voix se font entendre.

Nouveau système, nouvelle éthique

Dans la pratique, l'explosion de la bombe à retardement de l'éthique est due à la fin de la guerre froide, aux guerres conduites par les Etats-Unis et à la nécessité de les justifier. L'écroulement du mur provoque une refonte du système international dont les caractéristiques sont les suivantes. Il est unipolaire, libéral et multicentré.

Unipolaire, parce que les Etats-Unis sont les vainqueurs de la confrontation Est- Ouest. Aucun autre Etat, ni aucune coalition d'Etats n'est en mesure de faire fléchir cette puissance lorsque des décisions lourdes, comme par exemple l'engagement dans une guerre, sont en jeu. Pour autant, les Etats-Unis sont tenus de se justifier et de faire valoir le caractère exemplaire de leur manifeste destinée. Cet exercice de la légitimité se révèle aujourd'hui, au vu de la guerre d'Irak, particulièrement délicat.

Le système international a un tropisme libéral qui comporte trois composantes.

Premièrement, les valeurs politiques légitimes sont celles de la démocratie, du pluralisme et des droits de l'homme qui tous trois appartiennent au registre du monde libéral. La chute du mur, les attentes de la démocratisation et la dénonciation des génocides n'ont fait que renforcer la légitimité de ce modèle juridico-politique. Deuxièmement, le cœur économique du système est libéral, structuré par l'interdépendance des marchés, le flux des échanges commerciaux et financiers. Il est une autre dimension du libéralisme qui a beaucoup compté au cours des années 1990 mais qui aujourd'hui est en déclin, l'internationalisme libéral. Ce terme vise à désigner la tradition qui valorise à la fois les relations pacifiques entre les démocraties, le multilatéralisme et le juridisme des organisations internationales. Enfin, le système international est résolument multicentré. Il est composé de deux niveaux, le monde interétatique et l'univers des acteurs non étatiques. Ils sont en interaction l'un avec l'autre, cette hétérogénéité créant une très forte interdépendance.

Le système international est divisé en deux camps aux frontières poreuses. D'un côté, le monde des partenaires qui forment un ensemble à peu près homogène, structuré notamment autour de l'axe de la démocratie et du capitalisme. De l'autre, l'univers fortement hétérogène des parias, des Etats et des acteurs non étatiques

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qui refusent au moins l'une de ces deux institutions, sont exclus du monde des partenaires ou décident par eux-mêmes de ne pas intégrer cet ordre international.

Ces caractéristiques font la spécificité de l'éthique postbipolaire. Dans cet univers, la première puissance est sans cesse sommée d'apporter la preuve de sa

« bienveillante » hégémonie. C'est ainsi que l'administration Clinton définissait sa diplomatie au cours des années 1990 ? aujourd'hui on parlerait sans doute d'un « conservatisme compassionnel ». Après la guerre froide, l'Amérique renoue avec son traditionnel registre wilsonien qui marie un idéalisme, au nom duquel la planète entière doit être démocratisée, avec la poursuite d'une politique hégémonique. Bien que ce ne soit pas l'interprétation la plus courante, on peut affirmer que, après le 11 septembre, les Etats-Unis n'ont pas remis fondamentalement en question cet idéalisme. Il s'agit cette fois-ci, pour reprendre l'expression de Pierre Hassner, d'un « wilsonisme botté ». Bill Clinton avait poursuivi à l'Onu une intransigeante (et désastreuse) politique de sanctions contre l'Irak, son successeur décide d'entrer en guerre contre ce pays.

La nouvelle division du monde est à la fois matérielle, politique, normative et accorde une très large place à l'évaluation morale des acteurs internationaux. Les

« entrepreneurs moraux », comme les associations des droits de l'homme, les ONG, les avocats, les agences de notation éthique, les conseillers en démocratisation, ont un rôle actif dans la promotion des unités étatiques ou non étatiques au sein du monde des partenaires ou, au contraire, sont en mesure de réclamer leur déclassement en les stigmatisant au nom de leurs comportements indignes.

Les nouveaux enjeux moraux

Les modèle normatifs se complexifient. Premièrement, la multiplication des entrepreneurs moraux a pour effet de provoquer l'émergence de nouvelles interrogations sur la justice et le devoir être. L'irruption du phénomène de la réparation des injustices historiques est sans doute un des exemples les plus marquants de cette justice globale. Le cas des réparations de la Shoah, des demandes adressées aux banques suisses en raison de leur collaboration avec le Reich, des compensations versées par les industries et l'Etat allemands au nom du travail forcé dont ont profité les industriels de ce pays pendant la guerre sont parmi les cas de litiges les plus célèbres de la deuxième partie de la décennie 1990.

Les demandes de réparation des injustices historiques sont le produit de singulières alliances entre avocats, historiens, communautés ethniques et religieuses qui mettent en demeure des entreprises et des Etats de s'expliquer sur leurs agissements passés. Ces institutions doivent « rendre des comptes (9) ».

Elles peinent à résister aux argumentaires de ces entrepreneurs moraux, souvent formulés en ces termes : « Il aurait pu en être autrement. » Si les banques suisses n'avaient pas commercé avec le régime nazi, la guerre aurait pu être plus brève et moins de victimes auraient péri. Le savoir de l'historien et l'exploration des archives donnent du poids aux plaidoiries des avocats qui veulent faire la démonstration d'un « injuste enrichissement » de la part d'institutions bancaires qui auraient été tenues d'agir autrement. Il en est aujourd'hui de même lorsque des multinationales sont sommées de répondre aux accusations de maltraitance, de travail forcé ou d'exploitation du travail des enfants.

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Les entrepreneurs moraux œuvrent à séparer le monde en deux camps. La division entre partenaires et parias est l'ossature de cette moralisation qui prend aussi le droit international comme support. Les sanctions économiques sont un des instruments et des vecteurs de la moralisation par la stigmatisation. Tandis que cette mesure avait été employée uniquement à deux reprises au cours de la guerre froide, pas moins de douze mesures de sanctions multilatérales ont été mises en place par les Nations unies au cours de la décennie 1990. Les Etats parias sont stigmatisés et punis comme au temps du président Wilson, lorsque celui-ci décrétait qu'une nation coupable doit payer pour ses crimes.

La thématique des sanctions économiques est décisive pour comprendre la rupture que représente la fin de la guerre froide. C'est depuis lors qu'a été posée à plat une question qui demeure cruciale, particulièrement après le 11 septembre : l'alternative entre l'usage de la violence indirecte (les sanctions) et celui de la violence directe (la guerre). Le cas irakien est le meilleur exemple de cette oscillation entre ces deux formes de coercition. L'embargo qui a suivi la guerre du Golfe a créé un désastre humanitaire sans précédent dans l'histoire des sanctions et n'a eu aucun effet sur le régime si ce n'est peut-être de le renforcer.

L'Irak est le synthétique révélateur d'une transformation dans les justifications de la guerre. Il révèle les limites de l'actuelle théorie de la guerre juste et la nécessité de la réformer. Les guerres menées par les Occidentaux possèdent les caractéristiques suivantes. Elles sont menées contre des parias, elles ont une durée relativement brève (quelques mois), elles débouchent souvent sur une situation locale très instable au niveau sécuritaire alors même que l'Etat ennemi a été vaincu, elles occasionnent moins de morts que les guerres du passé (jusqu'au Viêtnam), la démocratisation de l'Etat paria est un des objectifs proclamés de l'intervention et souvent la mesure à l'aune de laquelle elle sera appréciée ex post.

La guerre juste dans tous ses états

Sur le plan normatif, la donne a aussi changé. Au sein des forces américaines, la figure de l'avocat a acquis une place considérable (1 500 dans la seule armée de l'air), tout comme celle du déontologue, le philosophe chargé de rédiger des codes éthiques qui traitent des modalités de l'exercice de la violence légitime.

La confrontation avec le terrorisme a une particularité, elle a mis à l'ordre du jour une question, la prévention. Les guerres préemptives et préventives peuvent-elles être justes ? Une réponse satisfaisante à cette question oblige à avoir une lecture critique des textes millénaires de la guerre juste. Certes, la guerre offensive y est le plus souvent condamnée (la guerre juste est défensive). Cependant, des doutes demeurent, notamment lorsque les dirigeants d'un Etat sont convaincus de

« l'intention perfide » de son potentiel attaquant. C'est dans cette zone d'ombre que les Etats occidentaux, l'Angleterre, les Etats-Unis ou Israël aujourd'hui, d'autres peut-être encore demain, élaborent leur justification de l'attaque préemptive ou préventive. Le problème est entier dans un autre domaine, l'intervention militaire pour des raisons humanitaires. Le désastre du Rwanda doit donner à réfléchir.

Quels sont les signes alarmants qui justifient de prendre l'initiative d'une action préventive ? Une éthique de la précaution serait-elle le fondement d'une politique de la prévention ?

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La morale est le produit d'une transformation du système international associée à une montée en force des entrepreneurs moraux. Les représentants du pouvoir économique ou politique qui sont les cibles de ces mises en demeure y répondent avec leurs propres armes et disposent d'une « force de frappe » normative qui n'est pas négligeable. Le débat est ouvert et ses implications sont cruciales. Le duel ne fait que commencer entre les juristes et déontologues « bottés » et leurs homologues au rameau d'olivier de la communauté des droits de l'homme.

Ariel Colonomos

Politologue, chercheur au Céri (Centre d'études et de recherches internationales), spécialiste de l'éthique dans les relations internationales, il est l'auteur de La Morale dans les relations internationales, Odile Jacob, 2005, et a coordonné « La moralisation du capitalisme », Revue internationale de sciences sociales, n° 185, juin 2005.

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