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Nouvelle vie pour les moulages anatomiques anciens

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Nouvelle vie pour les moulages anatomiques anciens

TOUTOUS TRELLU, Laurence Marie, STAHL GRETSCH, Laurence-Isaline, WENGER, Alexandre Charles

Abstract

Les moulages en cire étaient largement utilisés dans les facultés de médecine entre le XVIIIe et le début du XXe siècle pour l'enseignement de l'anatomie et des dermatoses. Mais on pouvait également les voir dans certaines expositions itinérantes, dont l'objectif était d'informer un public large sur les maladies sexuellement transmises. De nos jours, de nombreuses pièces sont exposées dans différents musées en Europe. La qualité technique et artistique et l'originalité des moulages en cire motivent non seulement leur conservation mais aussi la redécouverte de leur potentiel de nouveau-vieil outil d'enseignement. Grâce aux applications modernes de l'imagerie, nous montrons ici comment de telles pièces historiques trouvent une nouvelle vie.

TOUTOUS TRELLU, Laurence Marie, STAHL GRETSCH, Laurence-Isaline, WENGER, Alexandre Charles. Nouvelle vie pour les moulages anatomiques anciens. Revue médicale suisse , 2019, vol. 15, no. 644, p. 662-665

PMID : 30916903

Available at:

http://archive-ouverte.unige.ch/unige:137809

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Nouvelle vie pour les moulages anatomiques anciens

Les moulages en cire étaient largement utilisés dans les facultés de médecine entre le XVIIIe et le début du XXe siècle pour l’ensei- gnement de l’anatomie et des dermatoses. Mais on pouvait également les voir dans certaines expositions itinérantes, dont l’objectif était d’informer un public large sur les maladies sexuel- lement transmises. De nos jours, de nombreuses pièces sont exposées dans différents musées en Europe. La qualité technique et artistique et l’originalité des moulages en cire motivent non seulement leur conservation mais aussi la redécouverte de leur potentiel de nouveau-vieil outil d’enseignement. Grâce aux appli- cations modernes de l’imagerie, nous montrons ici comment de telles pièces historiques trouvent une nouvelle vie.

A new life for old anatomical wakes

Wax mouldings exemplifying human body and cutaneous diseases were produced and used from the 18th to the 20th century. They were mainly used for teaching and also for exhibitions to prevent sexually transmitted diseases. Many medical mouldings are still shown in European museums. Their originality and their artistic value encou- rage us to preserve them and also benefit of them as a new old tool to teach. Thanks to modern applications of imagery we show here how such historical pieces find a new life.

INTRODUCTION

Bien avant l’arrivée de la photographie médicale aujourd’hui largement utilisée en dermatologie, les moulages à base de cire ont constitué des outils d’enseignement et d’archivage de connaissances cliniques précieux. Dans différents musées, chercheurs et cliniciens trouvent aujourd’hui un intérêt re- nouvelé dans ces pièces d’exception, un peu trop vite oubliées.

Les uns admirent la représentation hyperréaliste du corps et de son enveloppe cutanée ainsi que la précision du détail des maladies de la peau. Les autres redécouvrent l’avantage de la tridimensionnalité et de l’échelle 1/1 par rapport aux photo- graphies planes et souvent réduites des atlas dermatologiques.

La collection des moulages du Musée d’histoire des sciences de la Ville de Genève connaît ainsi une deuxième vie, grâce à des cours in situ organisés depuis peu à l’attention d’étu- diants en médecine et d’internes du Service de dermatologie et vénéréologie des HUG.

LES CIRES MÉDICALES

Lié aux ex-voto, le travail des cires anatomiques remonte au XIIe siècle italien. Il a été développé par la suite, par exemple pour réaliser des modelages funéraires royaux en France au XV e siècle. La céroplastie médicale, jusqu’alors confinée à des modèles miniatures, conquiert ses lettres de noblesse grosso modo à partir du XVIIe siècle, lorsque les pièces s’agrandissent jusqu’à prendre les dimensions de l’original, que les techniques de moulage sur le vif se perfectionnent et que l’art du céro- plasticien rencontre l’exigence de didactisme du clinicien.

Tout au long du XIXe et jusqu’au début du XXe siècle, les cires sont des objets dont la double origine artistique et scienti- fique est rappelée par le fait qu’elles sont exposées aussi bien sur les champs de foire, dans certains musées ou dans les départements hospitaliers spécialisés :1,2 les cires anatomiques sont appréciées pour leur expressivité « criante de vérité ».

Les buts qu’on leur assigne sont variés : supports d’apprentis- sage bien sûr, mais aussi outils de prévention antivénérienne, par exemple au cours de la Première Guerre mondiale lorsque les cires syphilitiques sont présentées à des soldats pour les mettre en garde contre les dangers de fréquenter les prosti- tuées.

L’ART DU MOULAGE

Au nombre des artisans plasticiens, citons en particulier Jules Baretta (1833-1923), le « génie du moulage », engagé en 1863 à l’Hôpital Saint-Louis de Paris par le Dr Charles Lailler (1822-1893).1,2 Baretta met au point une technique de fabrica- tion qui le r endra internationalement célèbre et dont il garde- ra certains détails secrets. En 1884, il est nommé conservateur de la collection des moulages de l’Hôpital Saint-Louis créée en 1867. Ses productions font sensation lors du Congrès inter- national de dermatologie tenu à Paris en 1889. A la fin de sa vie, il aura réalisé 3500 pièces, dont une partie est vendue sous forme de duplicatas à d’autres hôpitaux.

Sa méthode de moulage nécessitait la collaboration du malade (porteur d’information dermatologique à conserver), du mé- decin (pour évaluer l’intérêt et choisir la zone) et du mouleur.

Ce dernier appliquait directement sur la zone à enregistrer un moule en plâtre liquide et huilé une fois sec. Il accueillait la cire fondue à 60 °C et colorée dans la masse, composée de cire d’abeille, d’élément gras et de pigments. Le moulage passait alors à la finition : adjonctions de couleurs, poils et cheveux véritables piqués un à un dans le modèle, insertion de petites bulles de verre soufflé en guise de bubons, retouches diverses, etc. Ces modèles sont restés dans les hôpitaux ou sont venus Dr LAURENCE TOUTOUS TRELLUa, LAURENCE-ISALINE STAHL GRETSCHb et Pr ALEXANDRE WENGERc

Rev Med Suisse 2019 ; 15 : 662-5

a Service de dermatologie et vénéréologie, HUG, 1211 Genève 14,

b Musée d’histoire des sciences de la Ville de Genève, Parc de la Perle du lac, Rue de Lausanne 128, 1202 Genève, c Université de Genève, iEH2, Medical humanities, 1211 Genève 4

laurence.trellu@hcuge.ch

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enrichir les collections des musées, désormais confrontés à des questions de conservation et de restauration.

LES MUSÉES AUJOURD’HUI

Garants de leur conservation sur le long terme, mais aussi lieux de partage, de recherche et d’enseignement, certains musées sont tout ou partie dédiés aux cires anatomiques. La grande salle des moulages de l’Hôpital Saint-Louis de Paris reste une référence incontournable, elle qui a été créée en 1885, à l’aube des grandes découvertes syphilographiques, et qui abrite encore près de 5000 céroplasties anciennes réalisées pour l’enseigne- ment de la dermatologie.1,2 La collection est d’autant plus impressionnante qu’elle est présentée dans son décor original récemment restauré. Deux exemples suisses peuvent être mentionnés, pour leur implication dans la restauration de ces pièces d’exception et pour leur volonté d’organiser autour d’elles une dynamique de recherche et d’enseignement impli- quant des historiens et des professionnels de la santé.

Le premier est le Moulagenmuseum de l’Université et de l ’Hôpital universitaire de Zurich.3 Fondé en 1917, il permet aujourd’hui encore aux étudiants en médecine et aux internes en dermatologie de s’immerger dans une saisissante galerie, où les pièces en trois dimensions et en taille réelle offrent un inté- rêt tout particulier par leur proximité réaliste avec le vivant.

Elles sont rangées dans l’ordre des items d’apprentissage sémiologique du manuel de l’étudiant et des diagnostics largement étudiés pendantla formation de spécialiste en der- matologie et vénéréologie. Le conservateur, le Dr Michael Geiges, est historien et dermatologue clinicien. Son musée confronte le visiteur à des objets de l’histoire médico-chirur- gicale qui rencontrent nombre de nos préoccupations con- temporaines en matière de dermatologie et de vénéréologie.

Le second, le Musée d’histoire des sciences de la Ville de Genève,4 abrite une centaine de pièces produites par Baretta, par son successeur Charles Jumelin (1824-1924) ou par des artisans locaux (figures 1 à 3). Quelques exemplaires semblent provenir de l’école allemande de Dresde. Une grande partie de cette col- lection a été cédée au musée en 1962 par la Clinique de derma- tologie de l’Hôpital cantonal de Genève, accompagnée de son registre d’inventaire qui montre que diverses pièces ont été perdues ou détruites. La syphilis constitue le sujet de la majorité des moulages, avec ses différentes manifestations aux appella- tions parfois désuètes (chancres, plaques, papillomes, syphilides, roséole, herpès, glossites, gommes ulcéreuses, etc.). Le reste de la collection concerne d’autres problèmes cutanés tels qu’acné, eczéma, herpès, zona, lèpre, lupus ou autres, mycose, psoriasis, scrophulide, trichophytie, tuberculose et urticaire.

La redécouverte de ces cires à la qualité exceptionnelle motive aujourd’hui différents projets d’enseignement clinique et de recherche autour de sujet tels que la recrudescence d’infec- tions sexuellement transmissibles.

ENSEIGNEMENT

Chaque centre d’enseignement souhaite se réinventer et s’adapter aux contraintes du nombre d’étudiants, d’enseignants mais

aussi à l’évolution des outils techniques et des plateformes à disposition. A la Faculté de médecine de Genève, nous pro- posons depuis 2014 un cours à option intitulé « La syphilis d’hier à aujourd’hui : regards croisés » aux étudiants de 2e et 3e années. Il aborde différents aspects de cette maladie à la pré- sentation clinique complexe, à la connotation sociale lourde et négative, et dont la longue histoire, occultée après la découverte de la pénicilline, se rappelle à nous au moment où la maladie gagne à nouveau du terrain dans nos sociétés.

« Fléau social », « maladie honteuse », la syphilis a marqué les esprits. Son image dans la société dépend non seulement des connaissances scientifiques et des moyens thérapeutiques à disposition, mais elle s’inscrit également dans un contexte historique, moral, économique et politique. Elle entretient un rapport privilégié à l’art à travers la littérature, le théâtre ou le cinéma,5 mais aussi la peinture ou les cires anatomiques.6 Dans le cadre de ce cours, nous abordons en particulier les enjeux de la prévention d’hier et d’aujourd’hui, en analysant quelques supports de campagnes (affiches, brochures, films éducatifs, etc.), mais aussi la diversité de ses modes de repré- sentations dans la société. La confrontation des étudiants aux moulages du Musée d’histoire des sciences de la Ville de Genève est une étape importante de ce cursus.

PERSPECTIVES

Le souhait de faire revivre ces cires anatomiques est une ten- tative de répondre à plusieurs questions :

Est-il nécessaire d’apporter d’autres types d’images que celles que nous utilisons déjà presque à outrance au quoti- dien dans la profession médicale ? Est-ce utile d’essayer de garder l’objectif d’enseignement auquel ils étaient destinés ?

Comment la science, mais aussi les arts et la culture (pein- ture, littérature, cinéma), représentent-ils la maladie, et plus particulièrement la syphilis ?

FIG 1 Moulage de Charles Jumelin

Tête d’enfant porteur d’une « streptococcie sèche » selon le « Registre des moulages » de l’Hôpital de Genève (N° invMHS-118/198).

Selon le « Registre des moulages » de l’Hôpital de Genève (N° invMHS-118/198).

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Comment soumettre au grand public la vue de maladies dont certaines sont devenues exceptionnelles ? Quels di- lemmes éthiques et de confidentialité y sont associés ?

TRANSITION DU RÉEL À L’IMAGE ET DE L’IMAGE AU VOLUME

Le patient en chair et en os est bien sûr le meilleur des mo- dèles de l’enseignement d’une discipline qui garde encore toute sa valeur dans l’expérience. La période de démonstra- tion publique du patient sur pied et de sa maladie dermatolo- gique est révolue depuis belle lurette. L’apprentissage se fait dans la pratique lors de la formation structurée prégraduée (malheureusement très brève) et surtout postgraduée.

La photographie a progressivement remplacé les moulages anatomiques. La photographie numérique et l’utilisation des courriers électroniques ont installé une interface très immé- diate entre le patient (qui souvent apporte lui-même ses propres clichés) et le médecin qui objective ainsi toutes les

étapes de l’évolution de la maladie. Le consentement du patient est primordial lorsque le médecin le photographie, a fortiori lorsqu’il s’agit de clichés du visage. La plus-value quantitative est évidente : le praticien peut faire défiler des clichés nombreux au sein de grandes banques de représenta- tions de pathologies variées et faciles à stocker. Néanmoins, la qualité expressive pâtit du numérique qui représente moins finement que son ancêtre argentique, le grain, la texture, les reliefs des surfaces cutanées.

La 3D quant à elle se développe dans les arts plastiques dans la recherche à la fois pour la valorisation, la sauvegarde (copies) et l’enseignement. De nombreux musées ou écoles d’art accueillent des pièces originales imprimées en 3D ou des projections 3D numériques. L’intérêt est de reproduire des pièces uniques, de les montrer à un grand nombre d’étu- diants, voire de les partager sur les réseaux. En médecine, certains centres utilisent des modèles de démonstration en 3D pour les étudiants. C’est le cas en Suède7 ou en France à l’Université de Lyon dans le cadre de l’enseignement de l’anatomie aux étudiants des branches médicales et para- médicales.8 Des start-ups spécialisées dans l’imagerie médi- cale proposent aussi leurs services pour la recherche et l’en- seignement.9,10

Ces applications se répandent de plus en plus pour l’ensei- gnement dans le domaine des biotechnologies et des dispo- sitifs médico-chirurgicaux, mais mériteraient d’être mieux valorisées dans l’enseignement prégradué des futurs méde- cins. L’équipe de Zurich a pris ce virage passé-futur en déve- loppant des copies par impression 3D.11 Afin de mieux archi- ver, connaître mais aussi (re)montrer ces cires, des projets d’exposition et de développement de l’enseignement sont en cours. Un soutien financier est demandé dans le cadre du Fond national suisse qui permettrait aussi de concrétiser le partenariat entre Genève et Zurich et l’ensemble des collec- tions en Suisse.

A : pièce entière ; B : détail.

Moulage pour lequel il a reçu une médaille d’or en 1878 à l’Exposition universelle de Paris (Classe 14, Médecine, hygiène et assistance publique), issu des collections de l’Hôpital Saint-Louis, service du Dr Lailler (selon l’étiquette).

L’indication originale mentionne un papillôme, une retouche au crayon indique une tuberculose verruqueuse (N° invMHS-118/205).

A

B

Moulage en cire d’un tronc d’une personne souffrant de neurofibromatose, probablement de type 1, Von Recklinghausen.

Moulage de Mazzoni, selon l’étiquette qui indique également comme source la Clinique dermatologique de l’Hôpital de Genève, janvier 1913, le nom du patient et son âge de 69 ans (N° invMHS-118/153).

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CONCLUSION

Les moulages en cire anatomique nous plongent dans l’histoire, mais nous font surtout redécouvrir un outil extraordinaire d’enseignement du corps humain. L’impression du « vrai » véhiculé par ce medium supplante largement la photographie comme modèle des pathologies cutanées. Un enseignement

plus interactif et mieux mémorisé est par ailleurs déjà très encouragé et semble être l’occasion de donner une nouvelle vie pour ces modèles en cire d’une autre époque.

Conflit d’intérêts : Les auteurs n’ont déclaré aucun conflit d’intérêts en relation avec cet article.

1 ** http://hopital-saintlouis.aphp.fr/

le-musee-des-moulages-de-lhopital-de- saint-louis/

2 Tilles G. Le musée de l’hôpital Saint-Louis. Ann Dermatol Vénéréol 2018;145(Suppl. IV).

3 ** www.uzh.ch/cmsssl/de/outreach/

museums/moulagenmuseum.html 4 ** http://institutions.ville-geneve.ch/fr/

mhn/votre-visite/site-du-musee-dhistoire- des-sciences/

5 * Bonah C. Gesnerus, N° spécial, Screening diseases: Films on sex hygien in Germany and France in the first half of 20th century 72/1. 2015.

6 * Pirson C. Anatomical waxes and prostitution in M Ditmore Ed. Encyclope- dia of prostitution: Oxford. Greenwood

press, 2006.

7 Silen C, Wirell S, Kist J, et al. Advanced 3D visualization in student- centres medical education. Med Teach 2008;30:e115-24.

8 http://anatomie3d.univ-lyon1.fr 9 www.toltech.net/about-us/manage- ment

10 www.interspectral.com/

11 *Geiges ML: Preservation and restoration of fragile historical wax moulages by non-contact replication.

European Acacemy of Dermatology and Venereology, Annual Meeting, Geneva, 15.

September 2017.

* à lire

** à lire absolument

Régénération de la barrière cutanée 2 Excellente tolérance et acceptabilité cosmétique 5 Sûr et adapté à un

traitement de longue durée 2 Sans lanoline, sans parfum

Dermatite Atopique

1

Ichtyose

2

Xérose sénile

3

Pied diabétique

4

Xérose urémique

5

80820-CH-FR

(1) GS Tiplica et al. Prevention of fl ares in children with atopic dermatitis with regular use of an emollient containing glycerol and paraffi n: a randomized controlled study. Pediatr Dermatol. 2017 ; 34(3):282-289.

(2) C Blanchet-Bardon et al. Association of glycerol and paraffi n in the treatment of ichthyosis in children: an international, multicentric, randomized, controlled, double-blind study. J Eur Acad Dermatol Venereol. 2012;26(8):1014-9.

(3) A Cristaudo et al. Effi cacy of an emollient dermoprotective cream in the treatment of elderly skin aff ected by xerosis. G Ital Dermatol Venereol. 2015; 150(3): 297-302.

(4) J Martini et al. Effi cacy of an emollient cream in the treatment of xerosis in diabetic foot: a double-blind, randomized, vehicle-controlled clinical trial. J Eur Acad Dermatol Venereol. 2017 ; 31(4):743-747.

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C: Glycerolum, Vaselinum album, Paraffinum liquidum. I: sécheresse cutanée de certaines dermatoses, p.ex. l’ichtyose. P: appliquer 2 fois par jour ou plus souvent si nécessaire. CI: hypersensibilité à l’un des composants.

PE: ne pas avaler. Ne pas appliquer sur des plaies infectées. Durant l’allaitement, il est recommandé d’éviter la poitrine. IA: aucune étude n’a été réalisée. EI: occasionnels: urticaire, érythème, prurit. Cas isolés d’eczéma.

Liste D, 50 g LS (LIM 10), 250 g LS (LIM 30). Informations détaillées sous www.swissmedicinfo.ch. Pierre Fabre (Suisse) SA, 4123 Allschwil. 03/2017 vs.02

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