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CHAPITRE III. ÉTUDIANT SANS ÉTUDIER.

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Academic year: 2022

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C

HAPITRE

III.

É

TUDIANT SANS ÉTUDIER

.

e matin, je me lève en catastrophe, j’avale un café et je prends le bus. Je commence la journée avec un cours de litté- rature générale et comparée. J’ai l’immense joie d’observer un oiseau, un petit oiseau, un « oésé » faire son nid quelque part à côté de l’une de ces fenêtres uniformes de la fac. Une seule loi admise dans cette fac de lettres me semble intéressante : la lecture est admise comme la plus balaise des critiques littéraires. Alors, qu’est-ce que je fous là puisqu’il suffit de se plonger dans des bouquins pour progresser et piger quelque chose aux auteurs et à leurs œuvres, pas vraiment piger d’ailleurs puisqu’eux-mêmes sont dépassés par ce dont ils accouchent, mais sentir ou ne pas sentir. Il suffit d’avoir les réfé- rences pour éviter de perdre du temps à lire ce qu’on aime pas. Il n’y a pas vraiment besoin de s’emmerder avec Bossuet ou Corneille pour s’attaquer à Artaud ou Bataille mais il faut quand même une dose de classique, un aperçu de l’humanité dans les mots : les humanités.

Mais attention, l’humanité, c’est les hommes et rien d’autre, incultes ou cultivés, des tortionnaires ont lu parfois les humanités… Malgré tout je suis encore un branleur qui n’a pas compris la nécessité de se nourrir de tissus de mots antérieurs pour se faire son propre vête- ment et c’est pas demain la veille que j’écrirais comme Corneille. J’en reviens à mon cours, le prof parle de manipulations génétiques. On étudie Le meilleur des mondes. Entre Nous autres de Zamiatine, lui-

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même inspiré de Wells et 1984 d’Orwell. Années vingt, années trente, années cinquante. Le prof fait un rappel historique. En mille neuf cent vingt, Zamiatine écrit un livre de quarante notes, son héros, D cinq cent trois, vit dans un monde dominé par Le Bienfaiteur. L’État Unique gère les vies mathématiquement parfaites. Je lis un passage : Comme d’habitude, l’Usine Musicale jouait par tous ses haut-parleurs l’Hymne de l’État Unique. Les numéros, des centaines, des milliers de numéros, en unifs bleuâtres […] marchaient en rangs mesurés, par quatre, en marquant triomphalement le pas. Une dizaine d’années plus tard naît Le meilleur des mondes d’Huxley. La devise planétaire est : Communauté, Identité, Stabilité. Le directeur de l’Incubation et du Conditionnement fait quatre-vint seize êtres humains à partir d’un embryon grâce au procédé Bokanovsky. Les castes sont génétique- ment programmées. Extrait : Nous décantons nos bébés sous forme d’êtres vivants socialisés, sous forme d’Alphas ou d’Epsilons, de futurs vidangeurs ou de futurs… il était sur le point de dire futurs Administra- teurs Mondiaux. Mais, se reprenant, il dit « futurs Directeurs de l’Incu- bation ». En quarante-neuf, 1984 d’Orwell érige Big Brother maître du monde, on ne peut rien traduire de ce qui relève des humanités, des droits de l’homme ou de la démocratie. Je cite : La domination du parti est éternelle… Le pouvoir n’est pas un moyen, il est une fin. Quoi de commun à ces œuvres ? Totalitarisme, rapports humains aseptisés, table rase du passé et surtout un ordre des choses impossible à chan- ger. Il n’y a pas de dernière révolution, le nombre des révolutions est infini cite Orwell dans The Tribune en reprenant un extrait de Nous autres. Intéressant, mais j’aurais préféré qu’on étudiât 1984 , car de la trilogie c’est le plus abouti, le choc même. Zamiatine est trop énigma- tique, Huxley trop balisé par des références d’illustres personnages comme Ford ou Freud, finalement seul 1984 est réellement oppres- sant, suffoquant, nettoyé des microbes nécessaires à la vie. Le prof passe ensuite à l’étude pointilleuse d’un passage avec le Soma. Sacré Huxley, un des premiers expérimentateurs du LSD par la suite, dans la littérature, y a quand même des volontés puissantes mais Orwell,

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clochard et combattant en Espagne en avait une bonne paire aussi. Je déambule de couloirs en escaliers en quête d’affiches, du culturel à gogo, théâtre ici, concert là, etc. Je m’assois sur une chaise dans le hall et je mate les étudiants qui défilent, distance, distance…

Le soir, on se casse dans notre trocson habituel. On commande des Grimbergen, les enceintes crachent Remain in light de Talking Heads.

You may ask yourself living in a beautiful house with a beautiful wife.

Pour nous, pas de lézards, on n’a que ça à faire, se poser des ques - tions, et puis on n’a pas de baraque ni de femme attitrée. Le bar regorge de buveurs de bières, babas ou branchés, tout le monde liche.

Steph et Jacques, mes colocataires se cassent dans le bar d’en face. Je me sirote tout seul une Mort Subite en fumant Rothmans sur Roth- mans. Le tabac dessèche ma gorge fragile. Le mec en face de moi fume des Benson et sourit dans le vide. Il a l’air défoncé, armoire. Il a deux yeux vides et les traits émaciés. Son regard me transperce, ses yeux bleus me noient et me tourmentent comme un Gwynplaine perdu en pleine tempête dans un océan en colère. Il me fait penser à un félin menacé avec son faciès d’ange glacial.

— Je t’offre un coup ? me demande-t-il. Je m’appelle Alan ; je suis parti bien avant l’heure où blanchit la campagne ; je ne sais plus si j’ai goûté à la pomme et mes bras ne se souviennent pas d’avoir côtoyé pendant longtemps le sol rude du temps où nous étions des singes. Merde y débloque… Je lui réponds par politesse. Jean, étudiant qui s’ennuie. Alan, le visage buriné par la fatigue, maculé par des cernes mauves tasse méthodiquement sa bière et commence à m’ex- pliquer : je vais pas trop bien, je suis angoissé et je me soigne moi- même. Mais qu’est-ce que tu as fait jusqu’ici ? Je lui demande. J’ai été étudiant en arts plastiques mais je me suis trop défoncé, j’ai bouffé des psilos, des acides, du Tranxène avec de l’alcool. Tout ça m’a men- talement diminué, une conscience de cristal m’a forgé un univers ciselé que je scrute avec mes yeux qui perçoivent encore de temps en temps des kaléidoscopes psychédéliques à la place d’images banales.

Merde, il a trop lu Flash ou Je veux regarder Dieu en face… On a conti-

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nué à discuter jusqu’à la fermeture. Alan m’avoue qu’il a bouffé du speed, du Fringanor, un truc pour maigrir et qu’il avait cherché ses phrases dans la tête sinon il aurait été incapable de décoincer quelque chose de cohérent. On se sépare en échangeant nos adresses. Je rentre seul dans la nuit noire. Alan m’a troublé, j’ai l’impression qu’on se connaît depuis longtemps. Je me retrouve comme chaque fin de semaine chez ma grand-mère ; l’image d’Alan me reste intacte dans la tête. Je suce lentement une glace après avoir ingurgité un tra- ditionnel ragoût de saucisses au moins dix fois trop gras. La glace, c’est comme la madeleine de Proust, à chaque fois que j’en bouffe une, je revois un été de ma vie. J’étais vendeur de glace, les premiers pas sur la plage représentaient un véritable calvaire : caisson de poly- styrène en bandoulière, blanc comme un cachet d’aspirine, moi, pas le polystyrène. Je goûtais ainsi les joies des stations balnéaires. Je ne vendais pratiquement rien. Seuls quelques Allemands au portefeuille bourré de biftons de dix keusses et à la bedaine enflée par la charcu- terie et la bière pouvaient s’offrir des cônes et des eskimos, comble de malchance, il pleuvait deux jours sur trois. Je connaissais par ailleurs les joies du camping. Les tentes trempées, le linge sale éparpillé, le linge propre mais jamais sec, les morpions qu’il fallut éliminer au DDT, les duvets moites, les moustiques, les chiottes en plein air où se mélangent mouches et odeurs pestilentielles. Pas de doutes, je n’assu- mais pas du tout ma vie quotidienne, je gagnais soixante francs tous les deux jours et dans le même temps, j’en dépensais plus de cent. De toutes façons, je n’ai jamais eu de rapports comptables précis avec l’argent. Tant bien que mal, j’avais réussi à atterrir trois semaines dans le commerce ambulant. C’était pas vraiment un boulot, ça se déroulait l’année avant Saint-Lunaire. La glace se termine, mes sou- venirs s’envolent. Les rêves sont des bulles de savon, quand les bulles crèvent, les rêves s’en vont. Petit poème que je dois à l’inventeur de la pomme de terre BF 15, un autre Jean… Il est déjà vingt-deux heures lorsque je monte dans ma piaule, c’est un bordel complet qui y règne.

Il s’entasse pêle-mêle là-dedans deux grosses armoires, deux lits, ma

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chaîne, ma bibliothèque et mon bureau recouvert de lettres, prospec- tus, cendriers. J’ai pas du tout envie de ranger. Je me sens seul, mes cours de fac traînent dans un coin de la pièce. Quand je me couche, à moitié endormi, je vois un texte parfaitement tapé qui défile devant moi : Nous sommes des esches que les temps délabrent, des esches aux masques blancs, jaunes ou noirs qui essaient d’éliminer cette vision macabre. Le niveau du sol devient alors une passoire où nous nous faisons grignoter par les rapaces de la moisissure. Ces champi- gnons m’agacent. Mais couronnés de vie, l’afflux de sang maintient nos baisers de feu arrachés à la mort. Et la tête haute ; nous tenons le rang. Ranimés d’air élémentaire, nous sommes forts de nos sexualités aux puissants ressacs. Nous confondons le ciel au romantisme des lacs. Nous couchons nos femmes pour qu’elles accouchent. Nourris de magnétisme, des nuits de la lune folle ; le petit être bleu, terrien paré de couches nous renvoie à ce cycle sans fin qui nous affole. Cela ne m’est encore jamais arrivé, j’ai souvent des images très nettes qui m’apparaissent, mais des mots lisibles et intelligibles… Faut pas rêver, le texte n’est apparu sur le papier qu’après maintes ratures et deux heures de boulot pour tenter de visionner les mots qui s’étaient révé- lés comme une image. L’écriture automatique, oui, les expériences de Vaillant, Lecomte et Daumal, oui aussi, la folie d’Artaud : la poésie, c’est de la multiplicité broyée et qui rend des flammes, oui encore. Car finalement, le texte n’existe pas que sur le papier, il peut être dit aussi, mais c’est encore davantage de travail… Another green world d’Eno pour réfléchir. Je voudrais bien écrire ; faut que ça vienne, faut bosser après. Faut pas s’énerver : L’art est une volonté délibérée de ne pas vouloir dit Lanza Del Vasto. Et puis ça m’a fait plaisir, je trouve le texte bien, c’est déjà pas mal. Je change de vinyle : Blue jeans and moonbeans de Captain Beefheart. Je m’endors apaisé. Le lendemain matin, ma cellule est niquée. Après le café, je casse du bois, côté plat de la hache contre le billot pour le deuxième coup, c’est pas un truc de Parisien. Le week-end, je vais boire des bolées dans mon troquet habituel. J’y retrouve la plupart de mes potes et on finit en boîte ou

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dans une maison si une fête est programmée. En général, je passe mon dimanche à récupérer. Je remonte à Rennes en stop le lundi matin. À Rennes, il y a deux potes de Trébeurden à l’appart. J’ai pas envie d’aller en cours. On bouffe du jambon et des pâtes. Nos potes reviennent du Maroc et ils doivent passer les trois jours à l’armée.

Dur décalage. Alors, on se plonge dans le Maroc. Marc, Jacques et moi y étions à Pâques, la fameuse année de terminale. Pause à Saintes puis jusqu’à Tolède d’une traite. En Ami huit. Tolède, c’était féerique, moyenâgeux, comment toutes ces pierres avaient-elles pu arriver là?

Puisqu’il n’y avait rien autour. Après Tolède, Algésiras. Pas de bateaux disponibles. Il fallait camper là. Nous fûmes délogés du pre- mier endroit où nous nous installâmes par des flics armés de mitraillettes et pas tendres du tout. Enfin, on s’endormit tout de même sur une plage, dans une espèce de pinède, semblant de lieu tro- pical. Ce n’est que le lendemain qu’on se rendit compte qu’il s’agis- sait en fait d’une décharge publique. J’avais été complètement bouffé par les moustiques durant la nuit ; les yeux enflés, les lèvres tumé- fiées. J’avais la gueule d’un type rongé par la lèpre ou je ne sais quel cancer. C’est dans cet état là que je franchis la frontière du Maroc ayant ingurgité pour seul remède un tilleul-menthe. Le soleil d’Afrique me brûlait les yeux, je les maintenais quasiment fermés en permanence. Ce n’est que le premier joint de haschisch local qui me redonna à peu près ma tronche habituelle. Ce n’est que le premier flic qui nous arrêta avant Chefchaouen qui me fit reprendre mon esprit.

On était certes complètement raides mais pas autant que lui avec ses pupilles éclatées et ses mouvements si lents qu’il aurait mis en boule un eunuque endormi au Tranxène. Jacques avait un peu de matos mais ni Marc, ni moi ne savions où il l’avait planqué. Après avoir ausculté nos cassettes, ce putain de flic nous fit comprendre qu’il avait tout le temps pour décortiquer notre caisse et qu’on ferait mieux de lui dire où était le shit. Il est vrai qu’on ressemblait plus aux musiciens de Gong qu’à de gentils membres du Club Med. Le flic, cynique de nature, nous promettait un mois à l’ombre même pour un

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ou deux grammes. C’était vraiment grave car effectivement on devait avoir un ou deux grammes… Après nous avoir fouillés, le fonction- naire s’attaqua à la caisse, des recoins de portières au plafonnier. Son regard s’arrêta sur le petit footballeur en plastique. Fétiche dérisoire accroché au rétroviseur intérieur. Il commença à nous parler genti- ment :

— Vous aimez le football ?

— Certainement, je joue avant-centre, répondis-je ; on allait pou- voir enfin dévier la conversation. Même si le foot est une drogue aussi…

— Moi, j’aime bien Beckenbauer, fit le policier.

— Nous aussi, rétorqua Marc, pas contrariant.

— Bon, eh bien vous pouvez y aller, mais je vous préviens, n’allez pas dans le Rif, vous n’en sortiriez pas libres, conclut le flic.

Il n’avait pas été dupe, plus loin dans la trois chevaux, Jacques sor- tit la dope, il l’avait glissée in extremis sous le siège arrière. On l’avait échappé belle, ça m’aurait fait chier de laisser un paquet de dirhams dès le début du voyage. Parvenus à Chefchaouen, je fus atterré par le spectacle s’offrant à mes yeux. Des gosses mendiaient et revendi- quaient toutes les babioles qui traînaient en vrac dans la voiture. Mais la vision la plus insoutenable, c’était bien ces bambins crados, aux yeux éclatés par la misère, la misère qui salit, enlève de la dignité, la misère qui tue les rêves. Pour les plus déjantés d’entre eux, ceux qui touchaient les bas-fonds, ils allaient jusqu’à inspirer la fumée du pot d’échappement. Quelques kilomètres plus loin, des motards nous firent signe de nous garer. Je vis alors défiler les Alaouites, immense cortège de gens bien habillés et bien portants, famille royale oblige…

C’est vrai que j’avais changé de continent, je me sentais mal à l’aise, les flics et les pauvres étaient trop nombreux, Allah et Hassan II trop puissants. La misère, on s’y habitue et l’on considère comme intou- chables ceux qui l’entretiennent car ils sont nommés de droit divin ; chez nous, c’est la masse qui met les pantins au pouvoir ; encore faut- il pouvoir entrer dans la caste des responsables. Le seul point com-

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mun existant entre un Alaouite et un paysan avec deux chèvres et cinq poules, c’est le même pays…

Je me sens bien dans l’appart, j’allume le troisième cône de double zéro, on a bien bu déjà trois litres de thé à cinq. Steph va s’allonger, raide. Il est trois heures de l’après-midi ; la journée est finie.

Le lendemain matin, je prends mon café, tout le monde est parti.

Je vais passer chez Alan. Il crèche pas loin de la gare, moi, je suis paumé du côté de la route de Fougères. Il est onze heures lorsque je frappe à sa porte. Sur le palier, c’est marqué Alan Kervadec, troisième étage gauche. Je frappe. Rien. Je recommence. J’entends bouger ; Alan, la gueule enfarinée m’ouvre enfin. Il est en peignoir, les che- veux en vrac, il y a une meuf dans son lit. Je jette un coup d’œil dans son appart. Il s’y trouve là un frigo avec des papiers collés partout, un lit en osier, une télé, un scope, trois chaises, un tapis, un minuscule coin cuisine et une grosse chaîne. Je mate le matos, platine disque Linn LP douze griffée d’une cellule Linn Karma au bout du bras SME, en dessous un monstre d’ampli Mac Intosh et au bout des énormes câbles, deux panneaux Quad occupent magistralement la pièce, on dirait des radiateurs. Alan dépose Coney island baby de Lou Reed, a gift sort de la pièce mieux que si les zicos étaient là, l’ampli constitue le cœur, la source le cerveau et les enceintes les poumons. Reproduire la réalité du son n’est pas le problème, la seule question, c’est jouir ou pas de la musique, la chaleur de l’analogique est une forme de sen- sualité. L’eau crépite dans la cafetière, Alan allume une Benson. On grignote du pain grillé tapissé de confiture de rhubarbe et de baies de sureau faite par la mère d’Alan. La fille est réveillée, elle s’appelle Carmen et possède quelques concepts des attributs nécessaires à une reproduction autre que celle qui est musicale. John Cale attaque les riffs destructeurs de Sabotage Live dans la pièce. On décide d’aller grailler au resto U. Rennes est englouti dans la brume. On se promène au Thabor, le jardin est figé par le froid, les arabesques des grands arbres sont floues.

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