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LA BELGIQUE AU CARREFOUR ( )

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LA BELGIQUE AU CARREFOUR

(1940-1944)

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Camille Gutt

LA BELGIQUE AU CARREFOUR

1940-1944

LES GRANDES ÉTUDES CONTEMPORAINES

Fayard

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Il a été tiré de cet ouvrage soixante-dix exemplaires sur Alfa Mousse des Papeteries Navarre :

vingt exemplaires numérotés de I à XX et cinquante exemplaires réservés à l'auteur

© Librairie Arthème Fayard, 1971.

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Préface

Ce que j'écris n'est pas le commencement de Mémoires sur la guerre 1940-1945. On en a assez et trop publié! J'en ai lu au moins une quinzaine. Deux se détachent des autres dans leur splendeur grani- tique : ceux de Winston Churchill et ceux de Charles de Gaulle. Le reste, s'il fut lisible jadis, sombre dans la grisaille aujourd'hui, sauf, peut-être, mais à un point de vue essentiellement militaire, les livres de Montgomery et d'Alan Brooke.

A tous ceux qui m'ont demandé d'écrire mes Mémoires, j'ai répondu : « Quel intérêt voulez-vous qu'ils offrent vingt ans après la fin des opérations, alors que ceux qui ont paru bien auparavant en ont si peu? » Ils émanaient pourtant d'hommes ayant vu les événements de près, ayant tenu pendant la tour- mente, au sein de gouvernements de grands pays voués tout entiers à la guerre, des leviers de commande. J'étais, moi, un des quatre membres du gouvernement en exil d'un petit pays envahi, ne par- ticipant pas aux conseils des grands Alliés, tout en ayant d'amicales relations personnelles avec leurs

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représentants. Si ceux-ci n'ont pu intéresser le public, comment le pourrais-je? La guerre de 1940-1945 est connue, archiconnue, je n'en parlerai certainement pas.

Ceci exprime ma conviction profonde et ma déci- sion arrêtée.

Mais il m'est arrivé souvent, en parlant avec des compatriotes, des amis, des membres de ma famille, des personnalités royales, de constater qu'il existe une période étonnamment peu et mal connue. C'est celle qui couvre les trois mois écoulés entre la décla- ration de guerre (10 mai 1940) et mon arrivée en Angleterre (9 août 1940). On ignore ce qui, pendant ce bref espace de temps, se passa, dans les faits et dans les âmes. On ignore les conflits, les angoisses, les contradictions intérieures, qui assiégèrent les membres du gouvernement belge, leurs réactions suc- cessives. On ignore comment, sous l'épreuve, se défi- nirent les caractères. On ignore dans quelle mesure les décisions prises et les actions exécutées le furent par suite des événements, de la volonté des hommes ou du hasard.

Tout cela est présent à mon esprit, car ces trois mois, avec les quatre années qui les suivirent et que je passai à Londres, sont l'époque de ma vie qui m'a le plus profondément marqué, celle où j'ai le plus senti les responsabilités qui peuvent peser sur un homme.

C'est pourquoi j'ai décidé de relater ce que fut cette période. Je me garderai de commentaires. J'in- diquerai les faits, je décrirai les situations. Ceci n'est pas destiné à la publication actuelle. Je l'écris à la demande de mes enfants, et le ferai lire par quelques personnes. On pourra le publier soit après ma mort,

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soit vingt-cinq ans après la fin de la guerre, quand les passions seront calmées. Cela éclairera une période restée trouble, encore aujourd'hui dans l'esprit de la plupart des Belges.

J'ai rédigé ceci d'un trait, sans l'aide de documents ou de notes, car je décrivais un film enregistré par ma mémoire et qui y forme un tout. Aussi l'on m'excusera si j'ai donné trop de développement à certains détails, ou si j'en ai omis d'autres qu'on juge plus importants. L'Histoire sans anecdote m'a toujours paru morte. Ce qui devient l'Histoire a été la vie de tous les jours, avec ses moments banaux, dramatiques ou comiques. Nous ne différons pas du héros de la Chartreuse de Parme, qui s'est trouvé au cœur d'une des plus grandes batailles du monde sans s'en douter. Ce n'est que dans les opérettes que les guerriers, massés sur la scène, chantent : « Je pars pour la guerre de Cent Ans. » Mon but a simplement été de faire revivre par le lecteur ce que j'avais vécu.

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Première partie Sur la branche

EXPOSÉ HISTORIQUE ET ANECDOTIQUE D'UNE VIE MINISTÉRIELLE DU 10 MAI AU 9 AOÛT 1940

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1.

Le départ

Nous aurons la guerre

Depuis 1936, j'étais certain que la guerre éclaterait et que la Belgique y serait entraînée. J'étais à Londres le jour où Anglais et Français, réunis quelques jours après la déclaration du président Sarrault d'après laquelle « la France ne discuterait pas avec Strasbourg à portée des canons allemands », décidèrent de ne pas s'opposer à la remilitarisation de la rive gauche du Rhin.

J'étais là pour affaires et comptais rentrer à Bruxelles le lendemain matin, étant venu dans mon avion personnel et n'aimant pas piloter de nuit. Je décidai pourtant de partir tout de suite. J'atterris à Bruxelles au moment où le balisage s'allumait. Une demi-heure plus tard, j'étais chez moi. Ma femme, étonnée de ce retour soudain et contraire à mes habi- tudes, me demanda :

— Qu'est-il arrivé?

— Il est arrivé que nous aurons la guerre.

— Quand? Maintenant?

— Non. Dans deux ans, trois ans, cinq ans, mais nous l'aurons sûrement. Nous devons en parler.

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Nous en parlâmes très avant dans la nuit. Les déci- sions n'étaient pas difficiles à prendre. Comme offi- cier de réserve, je devais, dans le plan de mobilisation générale, diriger, de Londres ou de New York, les commissions d'achat. Nos trois fils avaient, à ce moment-là, respectivement vingt-deux, vingt et onze ans. Les deux aînés seraient mobilisés. Ma femme me dit :

— Tu rejoindras ton poste. Tu emmèneras le petit avec toi et t'occuperas de son éducation. Moi, je resterai. Il y aura trop de gens partis. Il ne faut pas que cette guerre soit uniquement la guerre des pauvres gens.

Nous avions été pendant trente ans un ménage extrêmement uni; même la Première Guerre ne nous avait séparés que deux ans; c'était donc une décision très dure pour chacun de nous, mais elle était juste et nous n'eûmes pas de discussion à ce sujet.

C'est ainsi que les événements de 1940 nous trou- vèrent prêts. Depuis le 10 mai, je couchais chaque soir au ministère des Finances, avec mon jeune fils, valises bouclées, pour le cas où le départ de nuit serait brusquement décidé. Il n'en fut pas ainsi, et c'est dans l'après-midi du 16 mai que nous partîmes en caravane pour Ostende.

Que, sitôt la guerre déclarée, la Belgique serait envahie n'avait jamais fait de doute ni dans l'esprit de ma femme ni dans le mien. D'où les dispositions arrêtées par nous dès 1936. Cela paraît tout naturel aujourd'hui. C'était loin d'être l'état d'esprit général alors. A preuve une conversation que j'eus, en 1939, avec le Roi.

D'accord avec Georges Janssen, le gouverneur de la Banque Nationale, j'avais estimé dès alors qu'il

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fallait mettre en sûreté l'or de notre institut d'émis- sion. Il y en avait pour sept cent cinquante millions de dollars. Le Conseil des ministres avait approuvé mon projet, mais m'avait demandé d'en informer le Roi.

La seule question du Roi fut :

— Pourquoi n'envoyez-vous pas une partie de cet or en Suède?

Je lui répondis que la Suède était trop près de l'Allemagne, et il n'insista pas.

Mais dans le courant de la conversation qui suivit, j'entamai une phrase commençant par ces mots :

— Si la guerre éclate, et si, comme il y a neuf chances sur dix, la Belgique y est entraînée...

Le Roi qui m'écoutait, la tête penchée, la releva brusquement et m'interrompit :

— Vous voulez dire neuf chances sur dix qu'elle n'y soit pas entraînée?

— Non, Sire, qu'elle le soit.

En moi-même, je pensais : dix chances sur dix. Il me regarda avec des yeux bouleversés, presque hagards, et me dit :

— Mais alors, ce sera un bain de sang!

En cette seconde, j'ai perçu à la fois et son horreur des massacres et sa tendance à s'accrocher à des illusions ou à des dogmes.

Des dogmes... C'est un dogme qui avait fait décider le départ du gouvernement pour Ostende. Au Conseil des ministres, je déclarai que c'était une absurdité.

Rien n'était organisé à Ostende pour un séjour du gouvernement, et surtout, de l'administration. Il était impossible d'y faire un travail utile. Pourquoi ne pas aller directement à Paris, où nous trouverions les installations nécessaires? Rien n'y fit. On partit pour

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Ostende, territoire belge. De même, on se battrait, mais on se battrait en sol belge seulement. Dès ce moment, je retrouvai cette idée, passée à l'état de dogme, enracinée depuis des dizaines d'années dans les cerveaux de tous les chefs d'état-major successifs, cette idée qui devait causer tant de tort à la Belgique et un mal irréparable à son roi; cette idée, pas même militaire, qui identifiait la défense de la Belgique, les obligations de la Belgique, à la seule défense du territoire belge.

Dieu merci ! J'ai vu, quatre mois plus tard, nos avia- teurs se battre pour la Belgique dans le ciel d'Angle- terre.

La première bonne nouvelle

En attendant, il fallait s'installer (il y a des mots ironiques) à Ostende. Mes amis Pisart, partis l'avant- veille pour Londres, d'où ils devaient gagner l'Amé- rique — Pisart avait été nommé conseiller écono- mique de Theunis, notre ambassadeur extraordinaire à New York — avaient mis à ma disposition leur villa Albert-Elisabeth et leur personnel. (La villa Albert-Elisabeth est ainsi nommée parce que le Roi et la Reine y résidèrent avant leur accession au trône).

J'invitai à y loger avec moi quelques amis, parmi eux Victor de Laveleye, Georges Janssen et Martial Van Schelle. Je ne devais plus revoir ce dernier, exé- cuté vers la fin de la guerre par les Allemands. Fai- sant à mauvaise fortune bon visage, je commandai au chef le meilleur repas qu'il fût possible d'improvi- ser — ce serait autant de bonnes choses en moins que les Allemands trouveraient! On mangea de l'omelette

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aux truffes et on but le champagne à la victoire finale, mais sans joie réelle, car dès alors nous nous sentions embarqués dans une terrible aventure.

Jaspar avait fait de même à « Brise de mer », la villa de ses amis Vaxelaire, où il avait dîné avec les membres de son cabinet. Les devoirs de sa charge comportaient la tâche d'organiser l'accueil des réfu- giés, et il s'en était occupé à fond, comme il faisait pour toutes choses. A cette fin, il avait embrigadé un certain nombre de volontaires qu'il avait attachés à son cabinet, et qui formaient, en compagnie de son chef de cabinet Thélismar, un groupe plutôt hétéro- clite. Le lendemain de notre arrivée, je me promenais avec Spaak sur la digue, quand nous vîmes arriver en sens inverse Jaspar, gesticulant avec animation et entouré d'un petit groupe comprenant un prêtre.

Comme ils s'approchaient, nous le reconnûmes : c'était l'abbé Van der Cruyssen, de l'abbaye d'Orval.

Spaak me dit :

— Vous allez voir que c'est son nouvel attaché de cabinet.

Et tous deux de rire de cette plaisanterie. Aussi nous eûmes peine à garder notre sérieux quand Jas- par nous le présenta :

— L'abbé d'Orval, de mon cabinet.

Ma première préoccupation était d'envoyer mon jeune fils en Angleterre : d'abord pour le mettre à l'abri, ensuite, pour être plus libre de mes entour- nures, quoi qu'il arrivât. Un des premiers navires à quitter le port était un bateau français. Je confiai l'enfant au capitaine, un brave Breton, qui me promit de l'amener sain et sauf à Douvres. Prouesse pleine d'optimisme, car des avions allemands avaient par- semé la côte de mines magnétiques sous-marines, et

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le bateau français n'avait pas encore été « dégaussé », c'est-à-dire prémuni contre elles. Aussi, n'est-ce pas sans émotion que je le vis quitter l'estacade et que je le suivis des yeux avec mes jumelles aussi loin que possible. J'avais donné quelques livres sterling à Etienne pour prendre le train à Douvres et un taxi à Londres. Il connaissait, d'autre part, les adresses de quelques amis que j'avais là-bas et qui, j'en étais sûr, s'occuperaient de lui. Je lui promis de le rejoindre au plus tôt et lui demandai de rester en contact avec notre ambassadeur, mon vieil ami Cartier de Marchienne.

Dès le premier matin, mes prévisions s'étaient réa- lisées. Des bombes étaient tombées dans les environs, les vitres de beaucoup d'immeubles avaient sauté, on ne pouvait rester là avec toute une administration, et l'ordre vint, le matin du 18, de quitter Ostende pour La Panne. Je partis dans ma voiture, emmenant avec moi Georges Janssen, qui m'avait accompagné depuis Bruxelles et ne devait pas me quitter pendant deux mois.

Le soir, à La Panne, Spaak me prit à part :

— Gutt, Pierlot et moi vous demandons de vous rendre d'urgence à Paris. Le Roi veut que Pierlot et moi restions dorénavant auprès de lui. Nous crai- gnons les tendances de l'état-major et de Van Over- straeten. Tâchez de voir Paul Reynaud demain encore. Dites-lui qu'il faut que le général Gamelin aille voir le Roi et le remonte. C'est indispensable.

J'avertis aussitôt Georges Janssen, et nous allâmes nous coucher dans la chambre que nous partagions.

Je dormis peu. Chaque fois que je m'éveillais, j'en- tendais la respiration oppressée de mon compagnon, décelant dès alors la maladie qui devait l'emporter

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un an plus tard, mais qu'il cachait avec un courage admirable.

A quatre heures, je l'éveillai. J'avais commandé, la veille au soir, un petit déjeuner bien fourni et un paquet de sandwichs pour la route, craignant qu'on ne pût s'arrêter nulle part. Georges Janssen, n'ayant pas faim, but une tasse de café. J'en absorbai plu- sieurs et me lestai d'un nombre impressionnant de tartines. Je pressentais que je passerais une longue journée au volant et que la route serait dure.

Avant mon départ, l'hôtelier m'avertit :

— N'allez pas par Amiens, les Allemands en appro- chent très vite, ils y sont peut-être. Tâchez de passer par Abbeville, puis Rouen-Paris.

L'avertissement était opportun, car même la route d'Abbeville fut terrible. Elle était encombrée de colonnes montantes, fantassins sur les côtés, charroi au milieu. A tout instant, ma voiture allant en sens inverse provoquait des encombrements, et j'eus sérieu- sement maille à partir avec des officiers alliés. Deux d'entre eux — un Anglais, un Français — me mena- cèrent successivement de leur revolver pour m'empê- cher d'aller de l'avant. J'avais eu beau me faire remettre un laissez-passer signé par le Premier mi- nistre et revêtu de cachets militaires, c'était un laissez- passer belge, et il n'impressionnait pas mes interlocu- teurs. J'eus plus facilement raison du Français, car j'avais fait inscrire sur mon ordre de mission « pour une conférence urgente avec M. le Président Rey- naud ». Mais le président Reynaud signifiait peu de chose pour un capitaine de Sa Majesté britannique.

Nous arrivâmes finalement à Abbeville. La ville avait été bombardée le matin, le chemin de fer atteint,

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et le passage à niveau bloqué. Les alertes se succé- daient. On annonçait l'approche des Allemands.

Après deux heures d'attente, le passage à niveau fut ouvert et, débarrassé d'une grosse anxiété, nous filâmes presque allègrement sur Rouen.

La route était moins encombrée et, dix heures après notre départ, nous mangions avec appétit nos sand- wichs en dégustant un petit vin du pays à la terrasse d'un bistrot, sur les hauteurs qui dominent Rouen.

Les champs s'étendaient à perte de vue, sous un ciel bleu, dans une atmosphère d'où la guerre semblait exclue. Je dis à mon compagnon :

— Il n'est pas possible que ce pays tombe dans les mains des Allemands.

— Vous avez raison, ce n'est pas possible.

C'était totalement absurde, mais la sérénité de cet émouvant paysage était contagieuse.

Nous repartîmes, sans plus rencontrer de difficultés majeures malgré l'encombrement inévitable des approches de Paris; et à sept heures du soir, j'entrai dans le bureau de Paul Reynaud.

J'avais vu celui-ci avant la guerre, et, le 13 mai, Spaak et moi avions fait un voyage éclair à Paris pour régler quelques questions urgentes avec lui et Marchandeau, mon collègue des Finances. Il m'ac- cueillit avec une grande amabilité et, avant même que j'eusse fini de lui exposer l'objet de ma mission, il m'interrompit :

— Le général Gamelin n'est plus généralissime. Je l'ai remplacé par le général Weygand qui est arrivé cet après-midi du Levant, plus alerte que jamais.

— C'est la première bonne nouvelle de la guerre, lui répondis-je.

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Imprimé en France Achevé d'imprimer le 15 mai 1971 dans les ateliers de l'imprimerie Diguet-Deny pour le compte de la Librairie Arthème Fayard,

6, rue Casimir-Delavigne à Paris (VI Dépôt légal : 2 trimestre 1971.

N° d'édition : 4434 — N° d'impression : 843

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Participant d’une démarche de transmission de fictions ou de savoirs rendus difficiles d’accès par le temps, cette édition numérique redonne vie à une œuvre existant jusqu’alors uniquement

sur un support imprimé, conformément à la loi n° 2012-287 du 1er mars 2012 relative à l’exploitation des Livres Indisponibles du XXe siècle.

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