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Sur les interférences de deux ondes planes ultrasonores application de ce phénomène à une nouvelle méthode de mesure de la vitesse du son

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Sur les interférences de deux ondes planes ultrasonores

application de ce phénomène à une nouvelle méthode de

mesure de la vitesse du son

Jean-Paul Cance

To cite this version:

(2)

SUR LES

INTERFÉRENCES

DE DEUX ONDES PLANES

ULTRASONORES

APPLICATION DE CE

PHÉNOMÈNE

A UNE NOUVELLE

MÉTHODE

DE MESURE DE LA VITESSE DU SON

Par JEAN-PAUL CANCE.

Laboratoire

d’Optique

et

Acoustique

à l’Ecole de

Physique

et Chimie. Paris.

Sommaire. 2014 L’interférence de deux ondes élastiques ultrasonores planes, se propageant à travers un

liquide et atteignant sa surface libre, crée dans le champ de cette surface, commun aux deux faisceaux,

une distribution périodique de tension de radiation analogue à la distribution d’intensité lumineuse donnée par le biprisme de Fresnel. Il se forme ici, suivant les lignes équidistantes de tension maxima, des rides immobiles de liquide soulevé.

La mesure de l’équidistance de ces rides fournit une nouvelle méthode de mesure de la vitesse de

propagation des ondes élastiques. Les résultats obtenus pour le toluène, l’eau, le mercure sont en

concor-dance avec ceux d’autres auteurs.

-

1.

Généralités.

1. Antériorités. - Toutes les méthodes modernes

de mesure de la vitesse de

propagation

des ondes

élas-tiques

dans les milieux

liquides

s’adressent aux

ultra-sons

produits grâce

à la

piézoélectricité

du

quartz

’découverte par P. et J. Curie

(’)

et

appliquée

à la pro-duction d’ultrasons par M. P.

Langevin

(2).

Jusqu’ici

aucune

dispersion

sensible n’a pu être mise

en

évidence,

ce

qui

a

permis

aux divers

expérimenta-teurs de varier dans de très

larges

limites les

fré-quences

utilisées.

Les principaux phénomènes appliqués

à des méthodes de mesure sont d’une

part

les ondes stationnaires

(interféromètre acoustique

de Pierce

(3))

et d’autre

part

la diffraction par fluctuation d’indice de réfraction

(MM.

Lucas et

Biquard

(~1); Debye

et Sears

(5)).

La pre-mière de ces méthodes était seule

applicable jusqu’ici

aux

liquides

opaques. Par son

emploi,

Hubbard et Loomis

(1)

ont fourni les seuls résultats existants pour le mercure à ma connaissance.

2. Interférences Rôle de la tension de radia-tion. - Soient

(fig.

1) :

Fig. i .

Deux

quartz Qi, Q2, immergés

dans le

liquide

étudié,

et émettant deux faisceaux d’ondes

planes

syn-chrones et de même

amplitude

a ;

V,

la vitesse de

propagation

des ondes ultrasonores dans le

liquide;

T,

leur

période ;

?~ = VT leur

longueur

d’onde;

a sin

27c -

le mouvement à la surface des

quartz;

T

a,

l’angle

commun des

quartz

avec leur

plan

bissec-teur

vertical;

h,

la distance OH de la surface libre P à l’arête hori-zontale 0 des

plans

des

quartz ;

Un

point

A de la surface défini par sa distance x au

plan

bissecteur ;

di

et

d2

les distances

respectives

de A à

Qi

et

Q~;

ai

l’élongation

de la vibration

produite

par

Qi

au

point A ;

a2

l’élongation

de la vibration

produite

par

Q2

en ce même

point.

Nous avons :

dl h sin oc + xpos a;

d2-hsina.-xcosa

d’où :

vibrations dont les

composantes

verticales en A sont

respectivement :

La

composante

verticale de la vibration résultante est :

vibration de la forme :

si l’on pose

et

Or,

la tension de radiation exercée par l’onde

(I)

sur

(3)

309

le

plan

réflecteur

quasi parfait

de la surface

liquide-air

est donnée par

(’) :

- - --.

où 0

représente

l’angle

des normales à l’onde et au

plan

réflecteur. Ici cos 6 .= i

puisque

nous n’avons

gardé

que la

composante

verticale de la vibration.

E,

représentant

la densité moyenne

d’énergie,

est donné dans le cas d’un

plan parfaitement

réfléchissant

(comme

dans le cas d’une onde

stationnaire)

par

(g) :

-.

pdV

, .

t . ,

représentant

une

pression

isotrope

transmise à

VdP

toute la masse du

liquide,

le seul terme

dirigé

de la tension de radiation

appliquée

à la

surface,

sera :

La tension de radiation N sera donc maxima avec

COS2 27C x cos x x cos oc _

k

étantétant

B

À / "

À

2

un nombre entier

quelconque.

La résultante des deux ondes ultrasonores

produira

donc une tension variable d’un

point

à l’autre de la surface

libre ;

et l’on

conçoit

que cette surface restera

soulevée suivant les

lignes

de tension

maxima,

parallèles,

d’équidistance :

Remarquons l’analogie

de ce

phénomène

avec les

effets

optiques

obtenus par le

biprisme

de Fresnel éclairé en lumière

parallèle (ondes

planes).

L’intensité lumineuse est

proportionnelle

au carré de

l’amplitude

comme ici la tension

de ;radiation.

Ces deux

grandeurs

ont donc une distribution de même forme.

3.

Application

à une méthode de mesure de V.

- La connaissance de la

fréquence

de vibration du

-

1

quartz

N

== 11’

et de

l’angle

a,

permet (1)

de ramener la mesure de la vitesse de

propagation

V à la mesure de

l’équidistance

d. De la relation

(IV)

on tire en effet :

(V)

II. Etude

expérimentale.

1.

Appareils

de

production

du

phénomènes

a)

Les

quartz. -

Les

plaques

de

quartz

utilisées sont

rectangulaires

(longueur

50 mm,

largeur

25 mm,

épaisseur 1,5

mm).

Afin d’être aussi

identiques

que

possible,

elles ont été tirées par le constructeur d’une

seule

plaque

carrée taillée

perpendiculairement

à l’axe

électrique.

La

fréquence

de résonance fondamentale de ces

quartz

correspond

à ~ .106

cycles/sec

environ.

(On

compte,

en

effet,

100 m hertziens par mm

d’épaisseur).

En

fait,

grâce

à la résonance de leurs

partiels,

et à l’amor-tissement considérable dû au

liquide,

j’ai

pu

opérer

dans une très vaste échelle de

fréquences.

J’ai rendu les faces conductrices en les dorant par

pulvérisation cathodique (20

mA,

1 200

V).

Fig. 2.

J’ai réalisé

(fig. 2),

pour recevoir

chaque

quartz,

une monture évidée en laiton

L,

fermée à sa

partie

infé-rieure par une

glace G.

Une

garde

isolante étant

prévue

au contour de la dorure intérieure

C,

celle-ci forme l’électrode

isolée,

et

communique

avec l’extérieur par un contact

souple

S relié à un fil sous tube de verre T.

Fig. :3.

La deuxième électrode formée par la dorure extérieure A a été connectée à un contact

souple

pour les

liquides

mauvais

conducteurs;

dans les

expériences

avec le

mercure, celui-ci a

joué

le rôle d’électrode

supérieure.

Les

poches

d’air dans les montures ont

dû,

par la

(4)

Tous les

assemblages

ont été réalisés à la colle de

poisson

genre « Seccotine » suffisamment insoluble dans les

liquides organiques.

J’ai fixé

(fig.

3)

les deux montures munies de leur

quartz

à un

équipage

de laiton T au moyen d’écrous de serrage

E,

E,

permettant

de faire varier

l’angle

a. Le

tout,

fixé à un

support

universel à

crémaillère, peut

être

immergé à

volonté dans le

liquide

étudié.

b)

Oscillateur. - Les électrodes des deux

quartz

ont

été connectées en

parallèle

aux bornes d’un émetteur à deux

lampes

du

type

symétrique de Mesny,

fournissant des

fréquences

de 2. i0~ à 5. .10~

cycles/sec.

2.

Appareils

de mesure. -

a)

Choix et mesure de

l’angle

a. - L’erreur relative

sur la vitesse donnée par

(V)

est : -.

Fig. 4.

Pour une

fréquence

donnée : si a

diminue, d

diminue

.. Ad

1

aussi,

mais

d

n’augmente

pas car on

compte

alors un

plus

grand

nombre de rides. D~

même,

pour que

Fig. 5.

à cos a

soit

petit

il faut que c’est-à-dire a, soit

cos a

petit.

On serait donc conduit à

prendre

les

quartz

très voisins de la verticale. Mais la

composante

(II)

de

l’amplitude

serait alors nulle et le

phénomène

ne se

produirait plus.

J’ai donc

adopté

un

compromis

en

faisant la

plupart

des mesures pour « voisin de fi0°.

Après

avoir,

grâce

aux écrous

E,

donné à x une valeur de 60° mesurée au

rapporteur,

j’ai

mesuré sa vraie valeur à l’aide d’un

goniomètre

autocollimateur don-nant les 20 secondes d’arc au vernier.

Fig. 6.

b)

Mesure de la

fréquence. -

La

fréquence

de l’oscillateur était mesurée dans

chaque expérience

avec un ondemètre à

lampe

de

néon,

possédant

des courbes

d’étalonnage

relatives à un

jeu

de trois selfs

interchan-Fig. ’7 et 8.

geables.

La

précision

est de ±

0,5

m hertzien. L’on-demètre restait

couplé

très lâche à l’oscillateur

pen-dant toute la durée d’une mesure afin de contrôler la

(5)

311

c)

Mesure de

l’équidistance

des rides

(fig. 4).

-L’éclairage

est fourni par une

lampe

« archer » L à

filament

rectiligne

parallèle

aux rides. L’observation se fait dans un viseur V à court

foyer.

La

lampe

et le le viseur sont solidaires du chariot C d’une machine à diviser M. Les

déplacements,

toujours

de même sens pour éviter le

temps perdu

de la

vis,

se lisent directe-ment sur l’échelle et le tambour T donnant le 200e de millimètre. Il est à noter

(fig. 5)

que le viseur n’est pas au

point

sur la surface S du

liquide

elle-même,

mais pour obtenir une observation

nette,

il faut le mettre au

point

sur les

pseudo images

virtuelles v,

rebrousse-ments des

caustiques

des surfaces réfléchissantes con-vexes

V ;

ou sur les

pseudo-images

réelles r données par les surfaces concaves R des

thalwegs.

Pratique-ment,

j’ai toujours opéré

avec les

images

v. Notons que

ces

images

ne sont ni fixes ni

équidistantes,

c’est

pourquoi j’ai

rendu la

lampe

solidaire du

déplacement

de la lunette afin de retrouver les mêmes conditions lors des passages au réticule des

franges

successives. L’ensemble de

l’apareillage est

représenté

par la

figure 6.

Fig. 9.

Les

figures

7 et 8 sont des

photographies

du

champ

du viseur

(on distingue

les fils du

réticule)

avec le mercure.

3. Fonctionnement. -

a)

Production des rides. Effets

parasites,

leur élimination. - Les

premiers

essais ont eu lieu avec le toluène. Les

quartz

et leur

équipage

mobile ont été

immergés

et soumis à une

tension alternative de

fréquence

voisine de ~ . t 06

cycles/sec.

Les rides

parallèles

équidistantes

en accord avec la théorie ont aussitôt apparu dans le

champ

commun

aux deux faisceaux.

Cependant,

une

agitation générale

de la surface rendait

impossible

toute mesure

précise.

Cette

agita-tion

pouvait

sembler

imputable

à un

phénomène

de houle par modulation à basse

fréquence

de la tension excitatrice.

(La

tension

plaque

de l’oscillateur étant obtenue par un redresseur à

valve.)

L’addition de

con-densateurs

tampons

aux bornes du redresseur d’ali-mentation

plaque

fut sans effet sur cette instabilité.

On

pouvait

espérer

atténuer les vagues en entourant la

partie

utile de la surface

liquide

de flotteurs de

papier

ou de coton. Ces tentatives n’eurent aucun

succès.

Une autre cause

possible

des effets

parasites

pouvait

être la suivante

(fig.

1).

Les ondes émises par

Qi,

après

réflexion sur la surface

libre,

vont

frapper Q2, réagir

sur

lui,

et

après

réflexion sur

Q2

reviennent

frapper

la surface libre. Il en est de même du faisceau émis par

Q2.

-

Ainsi,

aux ondes ultrasonores directes se

super-posent

des ondes

ayant

subi des réflexions

multiples.

Pour éviter que les ondes réfléchies par la surface du

liquide

ne rencontrent à nouveau les

quartz,

j’ai

incliné ceux ci autour d’un axe horizontal OX

(fig. 9)

en courbant convenablement le

support

T. Les ondes réfléchies R sont alors amorties par

absorption

dans le

liquide.

Grâce à cet

artifice,

les rides immobiles de la théorie se sont désormais

produites

sur une surface calme.Il est à remarquer que cette inclinaison des

quartz

est sans influence sur le

paralléllisme

et

l’équidistance

des

franges.

En

effet,

d’après

(III)

le terme tension de radiation en un

point

ne contient pas la hauteur de

liquide

h. Les lieux des maxima des carrés des

ampli-tudes sont en réalité des

plans

verticaux,

parallèles

au

plan

bissecteur du dièdre des

quartz, équidistants

de

(IV) :

d=

-2 À

cos ,i

et

les rides sont définies par les in-"

tersections de ces

plans

avec la surface libre. La rota-tion choisie pour

l’équipage

ne

peut

donc en rien modi-fier le

phénomène.

b)

Rides dans le cas du mercure. - La relation

(III)

montre que la tension de radiation est

proportion-nelle à la densité po du

liquide

étudié,

elle est donc

13,6

fois

environ

plus

forte avec le mercure

qu’avec

l’eau

amplitude

constante du

quartz).

Comme cette tension soulève un

liquide

13,6

fois

plus

dense,

le

phénomène

est du même ordre d’intensité. Il a été

parfois

avan-tageux

de couvrir le mercure d’une mince couche

d’eau,

d’alcool ou de toluène pour en diminuer la tension

superficielle

et

permettre

aux rides

d’apparaître

avec une

puissance appliquée plus

faible. En effet

(’°)

la tension

superficielle

du mercure en

présence

d’air est de 470

dynes :

cm, et

augmente

vite avec la durée

d’exposition

à l’air. Elle n’est que de 374

dynes :

cm en

présence

d’eau.

III. Résultats.

1. Mode de calcul. - Nous avons vu

(V)

que la vitesse de

propagation

est donnée par

V = ~ ~Vd cos «.

Or les lectures

portent

sur :

la

longueur

d’onde hertzienne A de l’oscillateur donnée en mètres

par l’ondemètre ;

le

déplacement

1 du chariot de la machine à diviser

correspondant

au défilé d’un nombre n de

franges

au réticule du viseur. La

(6)

En

prenant

3.1010 cm : s pour vitesse des ondes hertziennes on a

AT 310 /

N

- 3 .10 to

cycles : seconde,

d _ l

10-3

mètre ;

A. 10t n

V est donné en m : s par :

2. Mesures avec le toluène. - J’ai utilisé le toluène à

20°C,

avec a =

450,

A = i70 m.

Les mesures sont

indiquées

par le tableau :

on a

d’où

Or

Parthasarathy

trouve 1 320

m/s

et cite les résultats de divers auteurs échelonnés entre 1303 et 1 327

m/sec.

Cet accord avec les résultats antérieurs m’a

permis

d’utiliser le toluène pour vérifier que les influences

respectives

de la

fréquence

et de

l’angle

des

quartz

sont bien conformes à la relation

(V).

2. Mesures avec le mercure. - La

température

est restée constamment voisine de

2ÕoC,

et

l’angle

a sen-siblement

égal

à 60°. Pour A == les mesures ont

été :

donnant V = ~ 443

m/sec.

Pour A = 170 m, les

mesures ont été :

donnant V = i444

m/sec.

Les mesures ont été

répétées

pour diverses fré-quences. Voici l’ensemble des résultats obtenus.

La moyenne de ces 23 mesures est V ==

1442,30

m/sec.

Or,

Hubbard et Loomis

(’2)

indiquent

1 448

m/s.

Les différences entre les nombres trouvés sont environ de 1 pour 100

provenant

des erreurs de cet

ordre,

dues à l’ondemètre

employé.

Je suis heureux de remercier M. R. Lucas pour les facilités

qu’il

a accordées à ce travail dans son labora-toire et la bienveillance avec

laquelle

il m’a

dirigé.

Qu’il

trouve ici

l’expression

de ma vive

gratitude.

Je

prie

respectueusement

M. P.

Langevin d’accepter

mes

vifs remerciements pour l’intérêt

qu’il

a

porté

à ces

recherches.

Manuscrit reçu le 3 juin 1938.

BIBLIOGRAPHIE

(1) J, et P. CURIE. Journ. de Phys., 2es, 1882, 1, p. 245.

(2) P. LANGEVIN. Brevet Français n° 505 703 du 17 sept. 1918. Procédé pour l’émission et

la réception

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sous-marines à l’aide des propriétés piezo-électriques du quartz. (3) PIERCE. Proc. Am. Ac. Sc., 1925, 60, p. 271.

(4) R. LUCAS et BIQUARD. C. R., 19 2, 194, p. 2132 et 1932, 195,

p. 121 et p. 1066.

(5) DEBYE et SEARS. Proc. Nat Ac Sc. Washington, 1932, 18, p.409.

(6) HUBBARD et LOOMIS. Phil Mag., 1928, 5, p. 1177.

(7) BRILLOUIN. Les tenseurs en

Mécanique

et Elasticité (Masson, Paris 1938), p. 300.

(8) BRILLOUIN Id. ibid., p. 304. (9) J. P. CANCE. C. R., 1938, 206, p. 504.

(10) PASCAL. Traité de chimie minerale (Masson 1933), VIII, p. 834. (11) S. PARTHASARATHY. Mem. Ind Inst. Sc., 1935, vol. 2, n° 5, sect. A, p. 503 et 505.

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