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Fabrique NIEL, Le Locle

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Academic year: 2022

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(1)

P r i x d u n u m é r o : 10 centimes Bureaux : R u e de l a S e r r e , 58

S U I S S E

>^L

ABONNEMENTS

Un an Six mois

Suisse . . . . Fr. 6.— Fr. 3.—

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suisses 20 ct., offres et demandes de place 10 et. la ligne, étrangères 25 centimes la ligne

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Organe de la Chambre suisse de l'Horlogerie, des Chambres de commerce, des Bureaux de contrôle et des Syndicats protessionnels.

Les Consulats suisses à l'étranger reçoivent le j o u r n a l

Bureau des Annonces: HAASENSTEIN & VOGLER, 51, rue Leopold Robert, LA CHAUX-DE-FONDS et succursales en Suisse et à l'étranger

La campagne contre les trusts et l'horlogerie aux Etats-Unis

Nos lecteurs savent que la cour s u p r ê m e des Etats-Unis, sur plainte portée par le procureur général, a prononcé récemment la dissolution de la Standard Oil Co, ou trust du pétrole. Nous lisons dans le Je- welers Circular du 27 décembre q u ' u n e plainte semblable a été portée contre la Keystone Watch Gase Go et contre ses di- recteurs, parmi lesquels un Suisse, M.Théo- phile Zurbrugg, accusés d'infraction à la loi Sherman contre les trusts.

La Keystone Watch Case Go a des suc- cursales de ventes en Angleterre, en Alle- magne et dans d'autres pays, et fait passa- blement de réclame dans les j o u r n a u x hor- logers ; elle a m ê m e envoyé, il y a quel- ques années , des représentants jusqu'en Suisse, p o u r offrir ses boites dorées et plaquées. Nous pensons en conséquence intéresser nos lecteurs, en publiant quel- ques extraits de l'acte d'accusation dressé par le procureur général, qui jette un jour curieux sur les procédés commerciaux de cette firme.

/ . Constitution du trust.

En 1899, Théophile Zurbrugg, alors fabricant de boites, s'associa avec deux autres maisons 9ous la raison «T. Zurbrugg Go», et peu de temps après, cette société fusionna avec la «Ri- verside Watch Case Go» à Riverside N. J. A la même époque, existait à Philadelphie une fabri- que de boites sous la raison sociale de «Keys- tone Watch Case Go». Elle fusionna avec la Riverside en conservant sa propre dénomination.

En 1899, le même Zurbrugg et ses associés établirent la «Philadelphie Watch Gase Go» qui, distincte en apparence de la Keystone Watch Gase Go, avait en réalité des intérêts communs avec celle-ci.

En 1900, la Keystone absorbait la «New-York Standard Watch Go», qui produisait un mouve- ment de montre bon marché.

En 1901 et 1903, absorption de deux nouvelles fabriques de mouvements démontres, la «United States Watch G0» et la «Howard Watch G0». Gelte dernière, qui produisait un mouvement de bonne qualité, avantageusement connu aux Etats-Unis, était tombée en faillite. La Keystone reconstitua une nouvelle compagnie sous le même titre, pour profiter de la réputation acquise par cette marque.

En 1908, acquisition de la «Crescent Watch

Gase Co», laquelle avait repris, quelques années auparavant, la suite de la' fabrication de boiles de la célèbre«WalthamWalch Co», celte dernière s'étant bornée dès lors à la fabrication du mou- vement de montre.

Par suite de cette acquisition~il se-créa une communauté étroite d'intérêts.entre la Keystone et la fabrique de Wallham,

En 1904, la Keystone conclut également un contrat avec la grande fabrique d'Elgin, et acqué- rait en même temps le «contrôle» d"une impor- tante fabrique-de boites de Toronto (Canada), la «American Witch Case Co..»

Par suite de toutes ces fusions, amalgamations, créations de compagnies sœurs, et conclusions d'ententes étroites, la Keystone Watch Case Go s'était assuré la fabrication et la vente du 80°/o environ du total des boites de montres produites aux Etats-Unis, et était en mesure d'empêcher ses concurrents, parmi lesquels la « Illinois Watch Gase Go » et la « Duber Watch Case Co », etc.

d'obtenir les mouvements de marques connues.

Elle constituait en ce moment un important établissement, comme le prouvent les bilans suivants de 1910 et 1911.

Actif Immeubles Machines

Marchandises en stock et en fabrication . . . Caisse et débiteurs . . . Clientèle, brevets et mar-

ques de fabrique . . Total . . Passif

Capital Cranciers

Excédent ( réserves et Total . .

1911

Dollars

2.057.730 2.483.679 3.844.246 3.316.428 2.803.907 14.505.990

1911 6.000.000 2.862.164

14.505.990

1910

Dollars

1.930.151 2.438.519 3.887.298 3.032.216 2.807.550 14.095.734 . 1910 6.000.000 2.783.813 5.311.921 14.095.734

Le réquisitoire du procureur général re- lève le chiffre exagéré — 50 % du capital social — auquel sont inventoriés la clien- tèle et les marques et brevets, fait qui prouve q u e , comme cela est généralement le cas p o u r les trusts, le capital des diver- ses sociétés fusionnées avait été démesu- rément enflé.

II. Actes du trusts.

Arrivé à ce point, la Keystone se crut assez forte pour imposer ses volontés à sa clientèle.

Nos lecteurs se souviennent sans doute de la cir- culaire qu'elle adressait aux «Jobbers» des

Etats-Unis, en janvier 1910, par laquelle elle leur demandait entr'autres :

1° de s'engager à ne pas vendre ses articles en-dessous du prix fixé par elle;

2° de s'engager à soumettre à son approbation toutps les réclames faites par eux au sujet de ses propres articles ;

3° de s'engager à ne pas vendre les produits des fabriques concurrentes.

Pour prêter plus d'appui à ses clients dans cette lutte contre les fabriques dissidentes, la Kpystone se mit à fabriquer en grandes quan- tités des boites de qualité très inférieure sans les munir d'aucune de ses marques connues.

Ces boîtes portaient en revanche des mentions

— fausses — relatives à leur qualité, et des indi- cations — mensongères — de garantie pour un nombre respectable d'années. El elles étaient cé- déps. à tout prix, même en dessous du coût, pour obliger les fabriques demeurées en dehors du trust, à sacrifier leurs propres articles, si elles désiraient soutenir la concurrence tandis que la Keystone pouvait maintenir les prix réguliers de ses boîtes à marques.

On se rend compte que la Keystone WTatch Case Co commettait une véritable fraude, lorsqu'elle vendait même à bas prix des articles sans valeur, portant, soit sur des étiquettes, soit sur les boites elles- mêmes, des indications absolument fausses, quant à leur qualité. Il convient d'engager nos fabricants suisses à ne pas oublier ces procédés, et à vérifier exactement ce qui leur sera offert ou fourni, si jamais il leur' arrive de traiter avec cette maison.

De renseignements qui nou* ont été fournis d'autre source il résulte du reste que la Key9tone échoua dans sa tentative de monopolisation du commerce de l'horlogorie, ses concurrents ayant répondu à cette attaque en débauchant des em- ployés des principales maisons d'horlogerie, qu'ils établirent dans la plupart des localités des Etats-Unis en leur accordant tout le crédit qui leur était nécessaire.

• *

Le procureur général reproche ensuite au trust d'avoir abusé de sa situation pri- vilégiée pour extorquer («to exact») du public un bénéfice déraisonnable, qui lui permit de distribuer un dividende de 1 4 % sur son capital action. E n tenant compte de la manière dont ce dernier a été éva- lué, cela représente bien 25 % sur le capi- tal réel primitif des diverses sociétés fu- sionnées.

(2)

24 LA FÉDÉRATION HORLOGÈRE SUISSE

La Keystone a d u reste des procédés commerciaux sui generis. C'est ainsi qu'une certaine qualité de boites étant vendue à un prix d o n n é , une autre qualité contenant seulement p o u r -quelques cents d'or de plus, était vendue juste le double. C'est ainsi encore que trois qualités de boites contenant respectivement pour dollars 1,29, 1,50 et 2,49 d'or, et dont la façon est évi- demment à très peu de chose près la même, sont vendues au public aux prix uniforme de dollars 6,75.

La vente des mouvements Howard se faisait sur la base d'une soi-disant licence de brevet, imprimée sur les cartons, et par laquelle on im- posait aux acheteurs l'obligation de ne pas sépa- rer les mouvements de leurs boîtes ; de ne pas vendre les montres à des clients non agréés par la compagnie ; de ne pas les céder enfin au-des- sous des prix fixés par celle-ci.

Le Procureur général déclare que les brevets auxquels se rapporte cette soi-disant licence sont sans aucune importance, et qualifie de sub- terfuge la dite licence destinée à masquer sous une apparente protection de droits d'inventeur, des mesures directement contraires à la loi Sher- man n «anti-trust».

Le Procureur conclut en proposant au Tribunal de déclarer illégale la constitution même du trust ; illégaux ses arrangements avec la clientèle tendant à fixer les prix de vente et à boycotter certains concurrents; illégale enfin la prétendue licence relative à la vente des mouvements Howard.

On peut être sceptique quant à l'efficacité des sanctions proposées, et prévoir que même dissous, le trust se reconstituera immédiatement sous une autre forme. Du reste, il s'écoulera certainement un temps considérable avant qu'un jugement intervienne. Nous aurons soin de tenir nos lec- teurs au courant de la question.

* *

L'étude des procédés commerciaux de la Keystone contient pour n o u s autres

Suisses un enseignement, et c'est ce qui n o u s a engagé à reproduire les détails qui précèdent.

Bien q u e l'importation en Suisse de boites plaquées et dorées de provenance américaine n'ait plus de bien loin l'impor- tance qu'elle avait prise il y a quelques années, elle atteint toujours encore un cer- tain chiffre malgré les recherches et les analyses entreprises autrefois chez nous qui ont permis de constater quelles quanti- tés infinitésimales d'or étaient déposées sou- vent sur des boites vendues très cher, nos fabricants se laissent tenter à l'occasion par l'auréole qui entoure tout ce qui nous vient des Etats-Unis ; par les habiletés d'une ré- clame et de procédés qui vont même par- fois plus loin q u e n o s lois ne le permettent

— rappelons les boites portant la mention illicite de « p l a q u é or 14 k. » — ; ils ou- blient qu'il est de mauvaise politique de soutenir un fournisseur étranger qui n e demande qu'à devenir un c o n c u r r e n t ; et ils oublient surtout q u e n o u s avons aussi maintenant en Suisse une industrie de la boite plaquée et dorée, qui livre des pro- duits superbes, et qui ne demanderait qu'à se développer, pour peu qu'elle rencontre quelque appui chez nos fabricants.

Et, d'autre part, q u a n d nous nous trou- verons à l'étranger en présence de réclames exagérées du trust américain, à qui les bénéfices « déraisonnables » qu'il « extor- que » de ses clients américains, permettent de pratiquer le « d u m p i n g system» de vendre ses produits très b o n marché hors du pays, ne craignons pas de faire remar- q u e r aux clients disposés à se laisser ten- ter , et cela d'après les renseignements officiels contenus dans le réquisitoire du

procureur général, q u e même lorsque l'on croit acheter à bas prix un article dont on ne peut vérifier la qualité, on est exposé à le payer en définitive souvent encore beau- coup trop cher.

Il se dégage de l'ensemble des faits un enseignement précieux : c'est qu'il est im- possible, pour un acheteur de boites ou d'autres objets en plaqué or, de connaître m ê m e approximativement, la valeur in- trinsèque de ces objets.

Un objet en or, quel qu'en soit le titre, a une valeur de métal facile à d é t e r m i n e r ; il suffit d'en connaître le poids et de le multiplier par la valeur du gramme d'or de son titre. P o u r un objet en plaqué, vendu à tant la pièce et sans q u e le poids soit un facteur d'appréciation de sa valeur, le public acheteur n'a aucun moyen de sa- voir s'il est volé ou non.

C'est ce q u e n o u s avons dit et répété au cour des polémiques auxquelles a d o n n é lieu le projet de loi fédérale sur la vente des objets d'or et d'argent.

On sait que ce projet contient l'interdic- tion de vendre, en Suisse, de la bijouterie à un titre inférieur au k. 18 p o u r l'or et que, comme fiche de consolation offerte à ceux q u e leurs m o y e n s ne permettent pas d'acquérir de la bijouterie au k. 18, on leur recommandait le plaqué ou le doublé, soit la perspective d'être trompés sans possibilité de s'en rendre compte.

E s p é r o n s que les renseignements qui précèdent sur les agissements de la Keys- tone Watch Case Co contribueront à leur ouvrir les yeux. '

Chronique des assurances

A la Société commerciale de Zurich.

On écrit de Zurich, au Journal de Genève:

Il convient de revenir plus en détail sur l'as- semblée de la Société commerciale de Zurich, convoquée le 8 janvier à la Tonhalle pour discuter de la loi fédérale du 13 juin 1911 sur les assu- rances.

Après l'exposé très clair, très judicieux et très concluant du colonel Richard, tendant au rejet de la loi, la tâche de défendre la loi, tâche qui incombait à M. le conseiller aux Etats Usteri, n'était pas facile. M. Richard avait déclaré que les raisons qui ont élé avancées en faveur du monopole au Conseil national étaient, selon l'avis de M. Usteri lui-même, insoutenables. En revan- che, M. Usteri a voulu justifier le monopole par des motifs techniques d'assurance. Mais, eux aussi, ont élé contredits par M. Richard d'une façon très concluante, ce qui n'a pas empoché M. Usteri de les reprendre dans la discussion.

Un autre argument que M. Usteri a fait valoir en faveur du monopole a été celui de la Banque Nationale. C'est M. John Lyz, industriel, qui a répliqué en disant que le seul privilège qui soit concédé à cette institution est le droit d'émission de billets de banque et que, dans tout autre do- maine financier, la Banque Nationale est en con- currence avec les établissements existants.

M. le conseiller national Sulzer-Ziegler a ex- pliqué ensuite sa conversion en faveur de la loi, lui qui, jadis, en était l'un des adversaires les plus opiniâtres. Il a dit que la loi qu'il a com- battue au sein du Conseil national n'est plus du tout la même que celle qu'on présente aujourd'hui.

Le Conseil des Etats, et plus particulièrement M. Usteri, l'a modifiée de fend en comble. M.

Sulzer n'est pas encore d'accord en tous points, mais il estime que mieux vaut avoir une loi que de n'en avoir point. L'orateur déplore ensuite que ce soit précisément la Chambre zuricoise du commerce qui ait lancé le referendum. Il est vrai que la Chambre de commerce de Genève était aussi de la partie. Celle de Bàle également, ajoute le président, M.Wunderly de Murait.

M. Sulzer se plaint du manque de contact entre les milieux industriels et commerciaux et leurs représentants à l'Assemblée fédérale. Les choses ne peuvent pas continuer ainsi, sinon notre tra-

vail à Berne est inutile. Il déclare, en terminant qu'il ne fera plus longtemps partie du Conseil national.

M. Ulrico Yollenweider, tout en reconnaissant les mérites de M. Sulzer, l'a cependant nette- ment combattu. Il ne nie pas que la loi ait subi de profondes modifications au Conseil des Etats, mais les craintes de l'industrie vis-à-vis du mo- nopole et des accidents non-professionnels, dont l'incorporation dans la loi a été maintenue par l'Assemblée fédérale, subsistent après comme avant. C'est là, aujourd'hui encore, l'opinion de la majorité de la Chambre de commerce, et M.

Sulzer était du même avis jusqu'au jour du vote à l'appel nominal au Conseil national, en juin 1911. Ce n'est qu'à ce moment que, tout à coup, il s'est plié à la majorité en votant oui.

Ont encore pris la parole : MM. Pfenninger, dé- puté, de Wâdenswil, Huber, d'Œrlikon, et John Lyz, industriel, qui se sont tous prononcés con- tre la loi.

La discussion ayant pris la tournure que je viens de décrire, il ne pouvait plus y avoir le moindre doute sur le sort de la résolution qui était soumise à l'Assemblée peu avant minuit.

Acceptée par l'écrasante majorité de 129 voix contre 17, elle recommande aux électeurs le re- jet de la loi en ce sens que : 1. le Conseil fédéral, dans le cas où elle serait refusée par le peuple, devrait reprendre sans retard la partie concer- nant les accidents, en tenant compte des vœux de l'industrie ; 2. il ne serait fait aucune opposi- tion à l'assurance-maladie, qui, sans aucun changement, pourrait entrer immédiatement en vigueur.

* *

Une déclaration à retenir.

La lettre ci-dessous montre à quels pro- cédés peu loyaux ont recours certains par- tisans de la loi d'assurance.

Lors de la campagne p o u r le referen- d u m , ceux qui recommandaient à leurs concitoyens de le signer étaient traités de coquins; aujourd'hui, les adversaires de la loi sont gratifiés de l'épithète d'exploiteurs des travailleurs.

Ça promet.

« Je reçois, sur la question «Assurance-mala- die-accidents», un appel au peuple suisse, conçu dans les termes habituels des placards socialistes, où les adversaires du projet fédéral sont traités d'exploiteurs des travailleurs, e t c . , et signé:

«La Fédération ouvrière suisse» et « Les Caisses de maladie suisses».

« Sans entrer dans le fond du débat, je ne veux que protester contre l'abus qui est fait du nom des «Caisses de maladie», contre leur gré, à leur insu dans tous les cas, attendu qu'elles n'ont pas été consultées pour savoir s'il leur convenait de signer le manifeste en question. Plusieurs de ces caisses de maladie se sont déclarées pour la loi;

plusieurs lui sont opposées: la plupart d'entre elles n'ont pas pris position en assemblées plé- niéres de leurs membres et, malgré la pression de certains.comités, le vote affirmatif des mutua- listes n'est rien moins qu'assuré. On a tort, par conséquent, de leur attribuer une unanimité com- plète sur la question.

«Quoiqu'il en soit, les auteurs de l'appel dont je vous parle ont le droit de défendre leur opi-

nion par les arguments qui leur plaisent, mais pas celui de signer leur prose du nom des autres, dans le but évident d'induire en erreur ceux qui ne sont pas exactement renseignés.

«Rob. JLLLIARD,

Trésorier de la Société genevoise de secours mutuels en cas de maladie.»

Suppression d'un bureau de garantie français

Par décret du 21 décembre 1911, sur la propo- sition du ministre des finances:

Est supprimé, à partir du 1er janvier 1912, le bureau de garantie pour l'essai et la marque des ouvrages d'or, de platine et d'argent établi à An- gers (Maine-et-Loire.)

La circonscription de ce bureau est réunie à celle du bureau de Saumur (Maine-et-Loire.)

(3)

Exportation d'horlogerie et de boîtes à musique aux Etats-Unis Publié d'après les renseignements fournis par les

consulats des Etals-Unis Année

1864 1865 1866 1867 1868 1869 1870 1871 1872 1873 1874 1875 1876 1877 1878 1879 1880 1881 1882 1883 1884 1885 1886 1887 1888 1889 1890 1891 1892 1893 1894 1895 1896 1897 1898 1899

Hoilogerie Fr. • 8.477.192 11.301.954 13.093.408 10.362.418 10.469.728 13.322.578 16.512.162 17.105.752 18.312.511 13.054.147 12.119.941 8.499.501 4.809.822 3.569.048 3.995.716 5.292.098 10.143.813 11.809.122 13.238.489 11.146.010 7.469.704 4.479.586 6.682.457 8.658.181 9.374.935 9.451.572 9.948.811 10.828.422 9.168.250 7.671.229 5.386.879 5.183.492 4.725.223 4.305.626 3.866.532 5.018.933

Bottes a musique

Fr.

72.482 108.399 300.108 265.196 344.448 258.738 341.148 350.637 441.852 433.573 252.817 186.523 141.357 102.105 95.679 187.759 261.833 447.599 582.799 728.015 999.385 851.919 1.134.775 1.224.952 1.244.275 1.318.521 1.558.077 1.410.282 1.093.948 925.560 665.646 653.004 614.092 484.726 221.590 277.523

Total de l'exportation

suisse Fr.

37.256.642 49.280.049 58.658.373 39.260.318 41.304.991 53.931.428 69.190.244 80.675.680 79.481.103 60.391.809 61.351.931 54.867.355 53.483.944 53.025.445 54.497.878 69.541.701 84.405.908 79.331.766 101.225.747 94.087.977 83.450.721 70.992.914 77.644.829 75.757.209 77.778.414 77.037.943

»1.571.282 77.760.577 79.419.527 78.701.794 69.243.860 85.240.200 67.757.512 68.579.052 72.068.742 89.184.606

1900 1901 1902 1903 1904 1905 1906 1907 1908 1909 1910 1911

Total

6.289.949 8.789.586 9.000.375 11.233.317 11.253.466 11.717.716 12.484.542 13.007.582 8.155.020 8.307.984 9.796.964 10.396.243 449.347.986

407.586 370.971 454.263 427.783 313.012 270.336 223?582 170.226 69.249 70.799 76.754 88.565 23.524.468

93.242.464 86.744.438 107.046.734 111.491.139 101.248.995 123.608.962 136.662.506 157.604.501 113.034.793 139.800.655 137.640.169 133.196.149 3.958.850.982 Il résulte du tableau ci-dessus :

a) Horlogerie. L'année 1877 accuse avec fr. 3.509.04S, la plus faible exportation aux Etats-Unis. L'année 1872, par contre indique la plus haute enregistrée à ce jour, avec un total de fr. 18.312.511. Mêmes les deux années précé- dentes, avec fr. 16.512.162 et fr. 17.105.752, n'ont pas encore été dépassées.

Pendant la période de 1864 à 1873, l'horloge- rie vient au 2me rang de notre exportation to- tale dans ce pays, avec une moyenne d'ex- portation annuelle de fr. 13.200.000 (la soie et soieries viennent au 1er rang avec fr. 30.240.000), puis au 3"'e rang, pendant les années de 1874 à 1894 avec une moyenne de fr .8.260.000. (La soie et soieries occupent jusqu'en 1884, la première place et les broderies la seconde, mais à ce mo- meut là, les broderies passent en'première ligne et les soieries en deuxième); Pendant les deux années 1895-6, l'horlogerie passe au quatrième rang, faisant place aux tissus de coton, pour re- prendre de nouveau le troisième rang et le main- tenir de 1897 à 1907. Dès cette année, elle passe au quatrième rang.

La moyenne d'exportation annuelle d'horlo- gerie est de fr. 9.360.000. s

b) Boîtes à musique. L'exportation des boites à musique dans ce pays indique depuis 1864 une courbe remontante jusqu'en 1890, chiffre d'ex- portation de fr. 1.558.077, plus jamais atteint, pour descendre peu à peu à fr. 88.565, en 1911,

chiffre presque égal à celui de 1864. En 1908, la plus faible exportation a été enregistrée avec fr. 69.249.

La moyenne d'exportation annuelle de boites à musique est de fr. 490.000.

L'exporlation totale de l'horlogerie depuis 1864, représente le ll,35°/o, et celle des boîtes à musi- que le 0,59 °/° de l'exportation totale de la Suisse aux Etals-Unis.

Trop de banques aux Etats-Unis Le contrôleur fédéral des banques, M. Murray, a refusé déjà l'ouverture de nombreuses banques, surtout dans l'Ouest, parce que le besoin ne s'en faisait pas sentir. Dans l'ancien Ouest agricole, qui n'est pas encore le far west, on cite une région sans grande ville embrassant plusieurs Etats avec 5000 banques, soit unfe pour 350 fa- milles. Il n'est pas rare de rencontrer une banque dans un hameau de 200 âmes, quelquefois deux.

Paudra-t-il, se demande M. Murray, reconnaître à tout solliciteur le droit d'ouvrir un établisse- ment financier, même à des spéculateurs véreux sortant de prison? Mais sur quel, texte de loi appuyer un système de restrictions? Il n'en exis- tait pas encore.

Le Kansas vient de fournir le premier, à la suite d'une décision de la Cour suprême kan- sienne, qui a reconnu le droit en question aux pouvoirs publics, et ceux-ci ont décrété qu'avant de statuer sur l'autorisation de fonder une nou- velle banque, il faudra examiner la nécessité qu'il peut y avoir à le faire. Ceci est une preuve à ajouter à d'autres que, même aux Etats-Unis, on ne conçoit pas la liberté de commerce et d'in- dustrie comme illimitée.

C o t e d e l ' a r g e n t

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